Une femme pour deux hommes (suite)
Récit érotique écrit par Douceurdivine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2007 dans la catégorie Plus on est
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Une femme pour deux hommes (suite)
Dans la chambre, ils s’approchèrent de moi, assise sur le bord du lit. Leurs sexes n’étaient pas en érection mais ils adoptaient des proportions raisonnables. Alain et mon homme se présentaient ainsi face à moi, totalement nus. Ils se tenaient debout fièrement, se tenant eux même par les épaules pour rapprocher aux plus près leurs deux sexes près de ma bouche.
Je les regardais de loin (ils étaient à un mètre de moi) puis s’approchant de moi, j’ai levé les yeux vers mon mari comme pour lui demander l’autorisation. De la main droite, j’ai pris son sexe pour le caresser. Il grossissait à vue d’oeil, devenant dur en l’espace de quelques secondes. Voila qu’il était en érection. Mon chéri appuya sur ma nuque pour que je le prenne en bouche. Ce que je fis sans plus attendre. J’allais et je venais doucement sur son sexe, en l’avalant le plus possible. En réalité, son sexe, de dimension respectable je le rappelle, pouvait entrer entièrement dans ma gorge. Parfois, cela me gênait et il fallait que je le retire aussitôt pour ne pas m’étouffer. Peut-être n’est-ce qu’une question de technique où de position. Toujours est-il que je le suçais avidement tantôt en passant ma langue le long de sa hampe, tantôt en lui mordillant délicatement le gland. Alain se branlait et posa lui aussi sa main sur ma nuque. Ils étaient deux à m’attirer ainsi vers leurs queues. Au gré de ses mouvements, Alain décalotta puis calotta son sexe plusieurs fois. Sa main sur ma nuque m’attira vers lui. J’ai regardé son sexe dressé comme un mât. Je le caressais à pleines mains.
- Suce ! Me dit-il.
J’avais l’impression qu’il me donnait un ordre. Sa main encouragea mes mouvements. Lui aussi chercha à enfourner son sexe au fond de ma gorge. Je ne sais pas si j’ai aimé, mais cela m’excitait beaucoup. Je trouvais cela normal, en tant que femme, de satisfaire ainsi mes deux étalons. Je leur offrais ce qu’ils désiraient le plus en espérant bien avoir mon lot de satisfaction.
Je m’appliquais à les sucer tous les deux, l’un puis l’autre, une dizaine de mouvements chacun. Je passais d’une queue à l’autre avec une telle aisance que cela aurait pu être l’œuvre de ma vie. Ce n’était en réalité que la deuxième fois.
Alain me releva, me tirant par le bras. Je suivis son désir et m’allongea sur le lit, face à lui. Marc, mon chéri vint s’asseoir près de moi, me caressant les seins avant de les embrasser.
- Tu veux de la queue ? Me dit Alain. On va t’en donner.
Alain tenait son sexe de la main droite et se plaça entre mes jambes :
- Tu vas la sentir ma grosse queue. Tu vas voir.
Alain se tenait face à moi. Il était là avec sa queue à la main. Je sentais que j’allais y passer à tel point que je sentais mon sexe s’humidifié. J’avais envie.
- Viens. Lui dis-je.
Je pris son sexe dans une main et le guida vers ma fente. Alain s’appuya sur les deux mains et me pénétra d’un coup. J’ai sentis son sexe me fendre comme une épée si bien que je ne pus rester indifférente à cette pénétration hors du commun. Je n’ai eu pour seul réflexe que d’écarter un peu plus les jambes. Je voulais le sentir au fond de moi. De mes mains posées sur ses hanches, je l’encourageais à venir de plus belle. Mes jambes s’accrochèrent à sa taille. C’était trop bon.
Marc s’était encore rapproché de moi, me présentant sans ménagement son sexe sous le nez. Je l’avalai encore une fois.
- Oui, c’est bon. Me dit-il. Continue comme ça, chérie.
Il se branlait littéralement dans la bouche. Je n’avais qu’à suivre ses mouvements. Je le suçais goulûment pour ne pas en perdre une miette. Je me sentais gourmande. Je réalisais à cette instant que deux hommes me baisaient : mon amant et mon mari. Je pensai à ces deux queues et au plaisir que j’avais. Pour rien au monde, je n’aurais voulu que cela s’arrête. Marc continua à glisser son sexe dans ma bouche ; je continuai à le sucer, parfois en faisant jouer ma langue autour de son sexe.
- T’es une belle salope. Me dit-il.
- Oui, lui dis-je sous l’effet de l’excitation.
Alain continuait de me baiser de plus belle. Il avait attrapé mes jambes et me secoua comme un pommier. Je sentais mon plaisir monter. La température de mon corps s’éleva, mais tout à coup, il s’arrêta :
- Attends, dit-il. Tu vas te retourner.
Sous le regard de mon mari, je me mis à quatre pattes sur le lit, la croupe bien tendue vers le regard de mon Amant. Marc surveillait les opérations : pas question pour Alain qu’il me sodomise.
Mon chéri, l’air dubitatif regarda Alain.
-Ne t’inquiète pas. Dit Alain à mon homme. Un marché est un marché.
Je rêve. Ils étaient en train de me considérer comme une marchandise.
- Dites donc, c’est de moi que vous parlez comme ça ?
Ils me considérèrent comme leur marchandise, leur produit à eux. J’étais offusquée par ce comportement.
-T’inquiète pas, poupée, on va pas te sodomiser. Du moins, pas moi, déclara Alain. On va juste s’amuser un peu.
Je restais perplexe quant à l’intention d’Alain. Mon chéri paraissait complice. Qu’avaient-ils manigancé à mon sujet.
Alain se positionna à genoux derrière moi. Je sentais son sexe sur mes fesses.
Que fais-tu lui dis-je.
Ne t’inquiète pas, nous ne sommes pas là pour te sodomiser, répéta-t-il. Je ne fais que tapoter ma queue sur ton joli derrière.
En effet, Alain avait pris son sexe dans la main pour le taper sur mes fesses. Cela l’amusait beaucoup, je tournais la tête pour voir, mais mon chéri m’enfourna à nouveau sa bite dans la bouche.
-Encore ! Fis-je à demi étouffée.
-Tu aimes ça, hein ? dit-il.
-Moui ! Fis-je la bouche pleine.
-On ne parle pas la bouche pleine. Dit-il.
-Moui, je ch’ais !
Son sexe me pilonna la gorge comme tout à l’heure. Marc me prenait par les cheveux.
-T’aimes ça salope, hein ?
-Moui !
Marc se branlait littéralement dans ma bouche, encore une fois. Soudain, c’est le sexe d’Alain que je sentais derrière moi. Il pointait sur mon anus.
J’ouvris les yeux de stupeur. Son sexe était entré en moi.
Marc ! M’exclamais-je avec étonnement. Il me sodomise.
-Je sais. Et alors ?
-Mais…
-mais c’est ce que tu voulais ma chérie, non ?
-Oui, mais….
Bah alors ?
Alain me sodomisait comme un fou. Il était accroupi, appuyé sur ses pieds et me tenait par la taille. Je n’aurai jamais cru que mon mari puisse laisser faire cela. Et bien que je ne sois pas une folle de la sodomie, cela me plaisait beaucoup ce jour-là.
Je suçais mon mari sous les coups de rein de mon amant. J’avançais sur la queue de mon homme chaque fois qu’Alain s’enfonça dans mon cul. Le plaisir pour moi d’être ainsi prise !
Ils étaient complices et ils avaient tout manigancés. Les coquins !
Alain continua son œuvre jusqu’à ce que mon mari décide de changer de position. Il se glissa sous mon corps, caressant et embrassant mes seins qui ne demandaient qu’à être choyé. Je le chevauchai. Alain revint derrière moi.
La queue de mon mari se glissa dans ma chatte. Que c’est bon ! Deux queues pour moi tout seule. J’embrassai mon mari avec fougue sous les coups de reins d’Alain.
-c’est bon, lui murmurai-je en silence.
Alain était très endurant. Il continua encore et encore. Marc s’agita en même temps.
La double pénétration ! Mon mari appelle cela une double pénétration. Je sais de quoi il s’agit maintenant.
Leurs sexes me pilonnèrent à toute allure. J’étais folle, secouée de toute part, à embrasser mon chéri. Mon corps chauffa et ma poitrine devint toute rouge. Je ne savais plus où j’avais la tête ni ce qui se passa. Mon chéri vint à éjaculer en moi dans un râle de plaisir. Alain, n’ayant pas encore joui, se retira de mon anus, se branla quelques instants et éjacula sur mes fesses. Il avait une quantité de foutre incroyable.
Bisous à tous.
Je les regardais de loin (ils étaient à un mètre de moi) puis s’approchant de moi, j’ai levé les yeux vers mon mari comme pour lui demander l’autorisation. De la main droite, j’ai pris son sexe pour le caresser. Il grossissait à vue d’oeil, devenant dur en l’espace de quelques secondes. Voila qu’il était en érection. Mon chéri appuya sur ma nuque pour que je le prenne en bouche. Ce que je fis sans plus attendre. J’allais et je venais doucement sur son sexe, en l’avalant le plus possible. En réalité, son sexe, de dimension respectable je le rappelle, pouvait entrer entièrement dans ma gorge. Parfois, cela me gênait et il fallait que je le retire aussitôt pour ne pas m’étouffer. Peut-être n’est-ce qu’une question de technique où de position. Toujours est-il que je le suçais avidement tantôt en passant ma langue le long de sa hampe, tantôt en lui mordillant délicatement le gland. Alain se branlait et posa lui aussi sa main sur ma nuque. Ils étaient deux à m’attirer ainsi vers leurs queues. Au gré de ses mouvements, Alain décalotta puis calotta son sexe plusieurs fois. Sa main sur ma nuque m’attira vers lui. J’ai regardé son sexe dressé comme un mât. Je le caressais à pleines mains.
- Suce ! Me dit-il.
J’avais l’impression qu’il me donnait un ordre. Sa main encouragea mes mouvements. Lui aussi chercha à enfourner son sexe au fond de ma gorge. Je ne sais pas si j’ai aimé, mais cela m’excitait beaucoup. Je trouvais cela normal, en tant que femme, de satisfaire ainsi mes deux étalons. Je leur offrais ce qu’ils désiraient le plus en espérant bien avoir mon lot de satisfaction.
Je m’appliquais à les sucer tous les deux, l’un puis l’autre, une dizaine de mouvements chacun. Je passais d’une queue à l’autre avec une telle aisance que cela aurait pu être l’œuvre de ma vie. Ce n’était en réalité que la deuxième fois.
Alain me releva, me tirant par le bras. Je suivis son désir et m’allongea sur le lit, face à lui. Marc, mon chéri vint s’asseoir près de moi, me caressant les seins avant de les embrasser.
- Tu veux de la queue ? Me dit Alain. On va t’en donner.
Alain tenait son sexe de la main droite et se plaça entre mes jambes :
- Tu vas la sentir ma grosse queue. Tu vas voir.
Alain se tenait face à moi. Il était là avec sa queue à la main. Je sentais que j’allais y passer à tel point que je sentais mon sexe s’humidifié. J’avais envie.
- Viens. Lui dis-je.
Je pris son sexe dans une main et le guida vers ma fente. Alain s’appuya sur les deux mains et me pénétra d’un coup. J’ai sentis son sexe me fendre comme une épée si bien que je ne pus rester indifférente à cette pénétration hors du commun. Je n’ai eu pour seul réflexe que d’écarter un peu plus les jambes. Je voulais le sentir au fond de moi. De mes mains posées sur ses hanches, je l’encourageais à venir de plus belle. Mes jambes s’accrochèrent à sa taille. C’était trop bon.
Marc s’était encore rapproché de moi, me présentant sans ménagement son sexe sous le nez. Je l’avalai encore une fois.
- Oui, c’est bon. Me dit-il. Continue comme ça, chérie.
Il se branlait littéralement dans la bouche. Je n’avais qu’à suivre ses mouvements. Je le suçais goulûment pour ne pas en perdre une miette. Je me sentais gourmande. Je réalisais à cette instant que deux hommes me baisaient : mon amant et mon mari. Je pensai à ces deux queues et au plaisir que j’avais. Pour rien au monde, je n’aurais voulu que cela s’arrête. Marc continua à glisser son sexe dans ma bouche ; je continuai à le sucer, parfois en faisant jouer ma langue autour de son sexe.
- T’es une belle salope. Me dit-il.
- Oui, lui dis-je sous l’effet de l’excitation.
Alain continuait de me baiser de plus belle. Il avait attrapé mes jambes et me secoua comme un pommier. Je sentais mon plaisir monter. La température de mon corps s’éleva, mais tout à coup, il s’arrêta :
- Attends, dit-il. Tu vas te retourner.
Sous le regard de mon mari, je me mis à quatre pattes sur le lit, la croupe bien tendue vers le regard de mon Amant. Marc surveillait les opérations : pas question pour Alain qu’il me sodomise.
Mon chéri, l’air dubitatif regarda Alain.
-Ne t’inquiète pas. Dit Alain à mon homme. Un marché est un marché.
Je rêve. Ils étaient en train de me considérer comme une marchandise.
- Dites donc, c’est de moi que vous parlez comme ça ?
Ils me considérèrent comme leur marchandise, leur produit à eux. J’étais offusquée par ce comportement.
-T’inquiète pas, poupée, on va pas te sodomiser. Du moins, pas moi, déclara Alain. On va juste s’amuser un peu.
Je restais perplexe quant à l’intention d’Alain. Mon chéri paraissait complice. Qu’avaient-ils manigancé à mon sujet.
Alain se positionna à genoux derrière moi. Je sentais son sexe sur mes fesses.
Que fais-tu lui dis-je.
Ne t’inquiète pas, nous ne sommes pas là pour te sodomiser, répéta-t-il. Je ne fais que tapoter ma queue sur ton joli derrière.
En effet, Alain avait pris son sexe dans la main pour le taper sur mes fesses. Cela l’amusait beaucoup, je tournais la tête pour voir, mais mon chéri m’enfourna à nouveau sa bite dans la bouche.
-Encore ! Fis-je à demi étouffée.
-Tu aimes ça, hein ? dit-il.
-Moui ! Fis-je la bouche pleine.
-On ne parle pas la bouche pleine. Dit-il.
-Moui, je ch’ais !
Son sexe me pilonna la gorge comme tout à l’heure. Marc me prenait par les cheveux.
-T’aimes ça salope, hein ?
-Moui !
Marc se branlait littéralement dans ma bouche, encore une fois. Soudain, c’est le sexe d’Alain que je sentais derrière moi. Il pointait sur mon anus.
J’ouvris les yeux de stupeur. Son sexe était entré en moi.
Marc ! M’exclamais-je avec étonnement. Il me sodomise.
-Je sais. Et alors ?
-Mais…
-mais c’est ce que tu voulais ma chérie, non ?
-Oui, mais….
Bah alors ?
Alain me sodomisait comme un fou. Il était accroupi, appuyé sur ses pieds et me tenait par la taille. Je n’aurai jamais cru que mon mari puisse laisser faire cela. Et bien que je ne sois pas une folle de la sodomie, cela me plaisait beaucoup ce jour-là.
Je suçais mon mari sous les coups de rein de mon amant. J’avançais sur la queue de mon homme chaque fois qu’Alain s’enfonça dans mon cul. Le plaisir pour moi d’être ainsi prise !
Ils étaient complices et ils avaient tout manigancés. Les coquins !
Alain continua son œuvre jusqu’à ce que mon mari décide de changer de position. Il se glissa sous mon corps, caressant et embrassant mes seins qui ne demandaient qu’à être choyé. Je le chevauchai. Alain revint derrière moi.
La queue de mon mari se glissa dans ma chatte. Que c’est bon ! Deux queues pour moi tout seule. J’embrassai mon mari avec fougue sous les coups de reins d’Alain.
-c’est bon, lui murmurai-je en silence.
Alain était très endurant. Il continua encore et encore. Marc s’agita en même temps.
La double pénétration ! Mon mari appelle cela une double pénétration. Je sais de quoi il s’agit maintenant.
Leurs sexes me pilonnèrent à toute allure. J’étais folle, secouée de toute part, à embrasser mon chéri. Mon corps chauffa et ma poitrine devint toute rouge. Je ne savais plus où j’avais la tête ni ce qui se passa. Mon chéri vint à éjaculer en moi dans un râle de plaisir. Alain, n’ayant pas encore joui, se retira de mon anus, se branla quelques instants et éjacula sur mes fesses. Il avait une quantité de foutre incroyable.
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