Une femme prêtée par son mari
Récit érotique écrit par Prospero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une femme prêtée par son mari
C’était un temps que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître Le temps du Minitel. Les réseaux sociaux avant la lettre, première époque de la D.A.O (drague assistée par ordinateur). Combien de rencontres se sont faites par son entremise ? Ce que j’en sais c’est que j’ai rencontré des tas de femmes et de couples assis dans un bon fauteuil un verre à portée de main, sans oublier les kleenex on ne sait jamais quel dialogue on va avoir. Sur 10 contacts 2 ou 3 se concrétisait. C’était facile et sympa les gens étaient plus ouverts, plus vrais que de nos jours. J’ai même mis fin a cette pêche miraculeuse en rencontrant ma femme de cette façon.
J’étais entre deux relations, donc virtuellement seul, alors juste avant le week-end n’ayant rien de prévu justement. Je passais quelques moments sur les sites dont je ne me souviens plus des noms d’ailleurs. Mais je me souviens des prénoms, Jocelyne et Christian. Un couple qui cherchait un homme pour un trio justement ce prochain week- end. Le dialogue s’établit, il prend une tournure favorable. Ensuite discussion au téléphone pour bien fixer les attentes de tous, les règles bref l’intendance. C’était si convivial qu’il y eut même quelques jeux téléphoniques, ma foi plutôt agréable.
Pour les incrédules, je pense que le succès et le taux de rencontres par rapport aux nombres de contacts étaient bien plus élevé que maintenant avec le net. Sans doute que les utilisateurs étaient bien plus motivés et sincères que de nos jours. N’oublions pas également qu’a cet époque la liberté de mœurs était bien plus grande que de nos jours. J’ai été par mon âge dans la bonne période et si je devais compter les rencontres faites je devrais avoir un gros boulier. Désolé avec e mien je ne compte que jusqu’à 2 .
Rendez-vous était pris donc avec Jocelyne et Christian pour le samedi en début d’après-midi chez moi étant entendu que nous passerions la nuit de samedi à dimanche chez eux. Pour une simple histoire de travaux de papier peint qu’un membre de la famille devait leur faire.
A l’heure dite, coup de sonette. A l’époque j’avais un appartement trés agréable mais dans une maison ancienne et quand on habitait au premier il fallait descendre ouvrir la porte. Je descends donc, j’ouvre la porte et là sur les marches Jocelyne, seule Christian dans la voiture qui me fait un coucou de la main et me dit.
- Je te confie Jocelyne on se retrouve ce soir j’ai du boulot. Et il démarre en trombe.
Un peu interloqué, j’interroge Jocelyne du regard.
- Ne m’en parles pas ! Son frère devait nous faire le papier peint cet après-midi et il nous prévient au dernier moment qu’il ne peut pas venir. Me dit Jocelyne.
- Il fallait me téléphoner, on aurait repoussé un peu. Dis-je
- Mais non, je ne vais pas poser du papier moi et je préfère m’amuser. Bon déjà bon jour, enchantée et on s’embrasse quand même.
Sans que je puisse répondre, baiser sur la bouche, petite langue qui s’immisce . J’aime beaucoup la simplicité de tout çà.
- Allez viens entre il fait froid
- Oh oui j’ai vraiment froid. Entrouvrant son manteau de fourrure Je vois qu’elle est nue en dessous. Et la vision est idyllique.
- En effet viens vite, je vais te réchauffer. Dis-je avec un sourire.
Je bafoue la bienséance en montant l’escalier derrière elle mais vu la situation c’est pardonnable je pense. Dans l’appartement il fait chaud, j’ai toujours été frileux et vu mes activités j’ai toujours quelques degrés de trop.
A peine entrée dans l’appartement Jocelyne laisse tomber son manteau de fourrure noir sur la moquette du salon. Et retire son bonnet. Des longs cheveux châtain bouclés tombent en cascade sur ses épaules. Nue, elle n’a que son porte –jarretelles noir des bas fumés à couture, des escarpins à talons de presque 10 cm à vue de nez. Une peau bronzée malgré l’hiver. Pas une seule marque de maillot. Des seins magnifiques, lourds mais fermes, des aréoles larges et grenues surmontées de tétons charnus et longs. Sa taille me parait diablement fine, ses hanches sont larges et prolongées par des cuisses fuselées. Avec ses talons, Jocelyne est un peu plus grande que moi.
Son visage n’est pas vilain, loin de là, mais sur un tel corps on aurait pensé trouver un visage exceptionnel.
- Alors, Gilles pas trop déçu fit-elle avec une moue adorable. Je te plais ?
- Quel homme n’aimerais pas t’avoir ainsi dans son salon ? Dis-je. Alors comme çà tu es en pensions chez moi pour la journée ? Ton mari est confiant.
- Oh on a bien compris que tu étais sérieux et habitué à ce genre de choses. Non ?
- Qu’un mari me dépose sa femme nue sous un manteau de fourrure c’est la première fois. Et toi pas trop déçue ?
- Non tu es comme tu l’avais dit, mais tu ne nous avais pas dit que tu avais de si magnifiques yeux verts.
- C’est gentil, mais toi franchement tu n’avais pas dit que tu n'étais pas vilaine mais sans plus ? Une coupe belle demoiselle ?
- Je ne suis pas un top model Gilles, et oui je veux bien un peu de champagne. Tu connais beaucoup de femme qui refusent du champagne ?
- Tu as raison, c’est bien pour cela que j’en ai toujours
- Et en plus tu ne te refuse rien on dirait .
- Pour une jolie femme comme toi c’est la moindre des choses. Dis-je
- Flatteur !
Jocelyne pose ses doigts sur ma coupe et la tire vers ses lèvres qu’elle a approchées, en bois une petite gorgée. Me regarde en souriant.
- Maintenant je connais tes pensées, et je crois que tu as envie de moi non ?
- Elle me tends sa coupe j’y trempe mes lèvres et dit.
- Je sais maintenant que tu es heureuse d’être là et que l’on va passer un bon moment.
- Oh oui tout à fait et que tu es vraiment un vrai “gentleman”, malgré ma tenue, tu ne m’as pas sauté dessus et çà j’apprécies.
- Ou bien tu ne m’attires pas ? Insinuais-je en souriant.
- Ha non impossible mon chéri, vu la bosse dans ton pantalon et elle éclate de rire se rapprochant de moi lèvres tendues.
Les coupes sont abandonnées sur la petite table, elle m’enlace pour un baiser très sérieux cette fois, Nos lèvres soudées, nos langues combattant pour envahir la bouche de l’autre.
Dieu qu’elle sent bon, sans doute du Dior, curieusement sa bouche a le gout de fruits rouges et j’adore çà. Ses doigts fébriles ont vite dégrafé les boutons de ma chemise et maintenant attaquent la ceinture de mon pantalon. Une jambe passée de chaque côté de ma cuisse droite, elle frotte son sexe tout lisse contre ma cuisse. Je sens la chaleur de sa chatte au travers du tissu.
Le baiser cesse elle me murmure à l’oreille.
- J’ai très envie tu sais mon cœur.
- Alors vient. Dis-je la soulevant comme une plume.
Je la porte jusqu’a la chambre où je la dépose doucement sur le lit. Jocelyne écarte le compas de ses cuisses, me dévoilant le rose nacré de son sexe ouvert. Elle dit vrai quand elle parle d’envie, la belle est déja bien humide. J’ai enjamé mon pantalon avant de venir dans la chambre mais mon caleçon est toujours là. Joueuse elle en baisse la ceinture avec ses talons.
- Viens dit-elle viens prends moi.
- Patience petite coquine, je vais aller boire dans ton coquillage.
- Hooo jolie expression j’adore.
Je m’installe entre ses cuisses, sa peau est douce et frémissante. Elle ne ment pas quand elle me dit qu’elle a envie. Elle montre tous les signes du désir. Les replis de son sexe vu de tout près sont plus qu’humides, la belle inonde sa conque de sa liqueur transparente. Elle sent bon cette chatte, épicée, un peu piquante, chaude et palpitante. Je vais y mettre la révolution. J’écarte les petites lèvres avec mes pouces, son clitoris est tout mignon planqué dans son capuchon. Il est petit mais il gonfle a vu d’œil. Ma lanque léche le pourtour de son sexe passant brièvement sur le petit bouton.
- Ohh Oui tu as la langue si douce.
Elle a posé ses mains sur ma tête ses doigts enfouis dans mes cheveux. Je plonge ma langue dans son sexe, c’est brûlant, elle tressaille crispe ses mains sur ma tête, me tirant vers elle, m’invitant à entrer dans son sexe. Je tiens ses lèvres ouvertes avec mes doigts et je dévore la chair rose de ce sexe offert. J’enfonce ma langue au plus profond de sa caverne de plus en plus inondée. Mon nez frotte légèrement son clitoris, le petit coquin a pris de l’ampleur et semble voulor se dresser un peu plus encore. Il est assez saillant pour que je le pince entre mes lèvres tirant de Jocelyne de longs soupirs de plaisir.
Je sens ma queue de plus en plus dure. J’ai très envie de la prendre, Jocelyne a un corps magnifique, je pouvais presque faire le tour de sa taille avec mes deux mains. Je sais qu’avec ma langue je peux rendre folle a peu près n’importe quelle femme. Ce n’est aucunement de la gloriole, c’est un fait établi. Trop de mes partenaires me l’ont dit, trop d’entre elles ont toujours réclamé ce traitement. Ce n’est pas une gloire, c’est tout simple j’adore lécher un sexe et en général mon but est de faire jouir la femme. Combien de fois ai-je entendu le qualificatif de “langue de velours” ma femme est sans doute la plus grande fan de ma langue même au bout de presque 35 ans de vie commune. A ce moment avec Jocelyne je ne savais même pas que ma femme existait. Je ne ressentais pas l’envie de me contenter d’une seule femme.
- Viens sur moi chéri j veux te sucer dit Jocelyne entre deux soupirs.
Je ne me faisais pas prier et m’installais, 69 sur ma belle conquête. A peine avais-je placé ma queue au-dessus de son visage qu’elle prenait mon gland dans sa bouche. C’était bouillant, et elle se mit a me pomper avec entrain. Je frissonnais. Ses mains sur mes fesses se promenaient, ses doigts s’approchant de mon anus. Lâchant un instant ma queue, elle dit en caressait ma rondelle de son ongle.
- Je crois que tu aimes par-là Gilles.
Je me souvins qu’on avait parlé de bisexualité avec Christian son mari. Cessant un instant de la lécher je répondis
- Oh oui tout ce que tu veux chérie.
Quelques secondes plus tard je sentais une langue contre mon petit trou. Sensation que j’aime, puis des doigts prirent possession de la place, alors que sa bouche reprenait mon gland gonflé. Elle trouva facilement la prostate et je me mis à ressentir des ondes de plaisir rapidement.
Le sexe de Jocelyne, largement ouvert par mes doigts, devient au fil des minutes un cloaque ruisselant, ma salive mêlée a sa mouille grasse coule lentement sur ses fesses, tachant les draps au-dessous. Son clito est saillant et tendu, je peux a peine l’éffleurer sans qu’elle fasse un bond. Ma belle inconnue est engluée dans le plaisir.
Elle n’est pas en reste et pompe ma queue de belle manière. Massant voir écrasant mes couilles, elle fait monter en moi un plaisir intense. Je suis sur le point de changer de position et de la prendre quand elle me dit.
- Baise-moi, Gilles vite prends moi, j’ai envie de te sentir dans mon ventre.
Comment résister a un tel appel ? Je n’y résiste pas, je change de position. Je me place entre ses cuisses, ses jambes sur mes épaules. En poussant sa croupe se relève, me dévoilant un sexe luisant, ouvert. Je n’ai qu’à poser mon gland contre l’orifice brulant. Son visage est rouge, yeux mi-clos elle m’observe, lèvres entre ouvertes et souffle court. Sa poitrine et la base de son cou sont rougies par l’excitation. Ses mains agripent mes bras , elle me tire vers elle.
- Viens, viens vite. Prends-moi !! Dit-elle lançant son sexe vers moi d’un coup de reins.
Je plonge ma queue dans sa fournaise. Le sexe palpite, se resserre sur mon chibre tandis qu’elle renverse sa tête en arrière en émettant un son rauque. Je ne suis pas en reste et je pousse un soupir d’extrême satisfaction alors que mon pubis entre en contact avec son ventre
- Hmmm oui comme çà chéri, Oui baise moi comme une chienne.
Je découvre que Jocelyne aime les dialogues bien verts. Je me met au diapason.
- C’est çà salope, soit ma pute.. Tu aimes que je te dise çà .. Dis le..
- Oui soit dur avec moi, je suis ta salope, j’aimes çà. Gifles moi.
- En plus tu es une truie soumise j’adore çà
Je lui met une grande claque sur les fesses, qu’elle accueille en se crispant et serrant ma queue dans sa chatte. Puis une gifle, mesurée sur son visage. Cela semble la combler. Elle se redresse s’accroche à mon cou. Elle plante ses yeux dans les miens, et murmure.
- Sois dur avec moi, baise-moi fort j’aime ça, frappes moi Dit elle
-Tu est vraiment une salope, tu veux être mon esclave ? Ma chose ?
- Oh Ouiiii Ouiiii je suis ton jouet, frappes moi encore.
Je la gifle, lui claque les fesses encore et alors qu’elle se remet sur le lit, je gifle très fort ses seins. Je sens ma queue broyée par les muscles de son sexe. Elle à la bouche ouverte, sa tête ballote de droite à gauche. Je prends la cadence et gifle ses mamelles en aller-retour. Sa tête suit le même mouvement, accompagnant les coups. J’intensifie mes coups, elle semble aimer l’escalade. Et les mouvements spasmodiques de son sexe en sont la preuve.
Je continue à la pistonner, même plus fort, ma queue bute au fond de son sexe, elle mouille comme une folle, un anneau blanchâtre nait autour de ma queue qui se couvre de son jus intime. Malgré l’expérience, je ne vais plus pouvoir retenir longtemps l’orage qui monte de mes couilles à mon sexe. Les reins de Jocelyne sont secoués de spasmes. Elle aussi ne va plus tenir longtemps.
Les seins de Jocelyne sont rougis par mes coups, sa peau est brûlante. A force de nous agiter ainsi, nous sommes en sueur tous les deux. Cela fait partie des choses qui me booste énormément. Un corps en sueur, luisant dans la faible lumière rien de mieux pour me faire bander. Tout m’excite avec Jocelyne. Livrée par son mec, elle est superbe, soumise, adore les baffes. Peut-être plus je ne sais pas encore. Mon cerveau tourne à fond. Des images naissent.
La bouche entrouverte, elle me regarde les yeux étincelants de désir tandis que je plaque ses poignets sur le lit. J’approche ma bouche de la sienne et commence un baiser furieux tandis que je donne de grand coup de reins. Elle accompagne en cadence mes mouvements. Le résultat est une montée en flèche de mon excitation. Je sens ma queue gonfler encore si c’est possible. Son vagin est mouvant, doux comme de la soie, brulant comme des braises. J’aimerais voir les contractions de ce sexe de mes yeux. Je ne fais que les sentir mais c’est déjà une expérience en soi. J’ai assez peu ressenti cette sensation avec toutes les femmes que j’ai eu. Jocelyne comme toutes ces femmes était unique.
Elle casse le baiser car là elle veut crier, et c’est un vrai cri, elle est arrivée à l’orgasme, son sexe me malaxe la queue, je sens vraiment les convulsions qui me serrent, me relâchent le sexe. Du fond de mes couilles monte à son tour mon plaisir, je ne peux plus le contenir. Moi aussi je me mets à crier mon plaisir, oui je suis de ceux qui font du bruit. Je me plante au fond de son vagin violemment. Je suis comme çà, arrivé a ce moment je suis assez brutal. Je sens qu’elle trouve que c’est peut-être un peu trop d’ailleurs. Mais heureusement c’est bref et au moment où je commence à me répandre en elle, je redeviens doux.
- Oh ouiii cheri, ouiii . Murmure Jocelyne, je te sens couler en moi. C’est bon.
Elle est parcourue de frisson et commence à se détendre. Ce moment juste après l’orgasme, là nous avons eu le bonheur de jouir presque synchro, c’est assez rare. Ce moment est magnifique, le resterais là des heures, Jocelyne semble dans le même état d’esprit. Elle se laisse aller, me bécote le visage, ses mains caressent mon dos mes flancs. Je caresse son front, moite, écarte les cheveux de ses yeux. Je pose mes lévres sur son front pour de petits baisers. On est sur la même longueur d’onde, c’est assez surprenant, il y a un peu plus d’une heure je ne l’avais jamais vue. Là on a l’impression que l’on se connait depuis des années. Curieusement j’en ai parlé avec elle ensuite et elle a eu cette même sensation. Dans la suite de nos rencontres il y a toujours eu un lien entre elle et moi. Jocelyne pensait qu’on était “compatibles” en fait elle avait un mari tout allait bien mais elle disait toujours que si on c’était rencontré autrement il y aurait pu avoir une histoire.
Ceci n’était que la rencontre. Rien n’est fini. La suite bientôt
J’étais entre deux relations, donc virtuellement seul, alors juste avant le week-end n’ayant rien de prévu justement. Je passais quelques moments sur les sites dont je ne me souviens plus des noms d’ailleurs. Mais je me souviens des prénoms, Jocelyne et Christian. Un couple qui cherchait un homme pour un trio justement ce prochain week- end. Le dialogue s’établit, il prend une tournure favorable. Ensuite discussion au téléphone pour bien fixer les attentes de tous, les règles bref l’intendance. C’était si convivial qu’il y eut même quelques jeux téléphoniques, ma foi plutôt agréable.
Pour les incrédules, je pense que le succès et le taux de rencontres par rapport aux nombres de contacts étaient bien plus élevé que maintenant avec le net. Sans doute que les utilisateurs étaient bien plus motivés et sincères que de nos jours. N’oublions pas également qu’a cet époque la liberté de mœurs était bien plus grande que de nos jours. J’ai été par mon âge dans la bonne période et si je devais compter les rencontres faites je devrais avoir un gros boulier. Désolé avec e mien je ne compte que jusqu’à 2 .
Rendez-vous était pris donc avec Jocelyne et Christian pour le samedi en début d’après-midi chez moi étant entendu que nous passerions la nuit de samedi à dimanche chez eux. Pour une simple histoire de travaux de papier peint qu’un membre de la famille devait leur faire.
A l’heure dite, coup de sonette. A l’époque j’avais un appartement trés agréable mais dans une maison ancienne et quand on habitait au premier il fallait descendre ouvrir la porte. Je descends donc, j’ouvre la porte et là sur les marches Jocelyne, seule Christian dans la voiture qui me fait un coucou de la main et me dit.
- Je te confie Jocelyne on se retrouve ce soir j’ai du boulot. Et il démarre en trombe.
Un peu interloqué, j’interroge Jocelyne du regard.
- Ne m’en parles pas ! Son frère devait nous faire le papier peint cet après-midi et il nous prévient au dernier moment qu’il ne peut pas venir. Me dit Jocelyne.
- Il fallait me téléphoner, on aurait repoussé un peu. Dis-je
- Mais non, je ne vais pas poser du papier moi et je préfère m’amuser. Bon déjà bon jour, enchantée et on s’embrasse quand même.
Sans que je puisse répondre, baiser sur la bouche, petite langue qui s’immisce . J’aime beaucoup la simplicité de tout çà.
- Allez viens entre il fait froid
- Oh oui j’ai vraiment froid. Entrouvrant son manteau de fourrure Je vois qu’elle est nue en dessous. Et la vision est idyllique.
- En effet viens vite, je vais te réchauffer. Dis-je avec un sourire.
Je bafoue la bienséance en montant l’escalier derrière elle mais vu la situation c’est pardonnable je pense. Dans l’appartement il fait chaud, j’ai toujours été frileux et vu mes activités j’ai toujours quelques degrés de trop.
A peine entrée dans l’appartement Jocelyne laisse tomber son manteau de fourrure noir sur la moquette du salon. Et retire son bonnet. Des longs cheveux châtain bouclés tombent en cascade sur ses épaules. Nue, elle n’a que son porte –jarretelles noir des bas fumés à couture, des escarpins à talons de presque 10 cm à vue de nez. Une peau bronzée malgré l’hiver. Pas une seule marque de maillot. Des seins magnifiques, lourds mais fermes, des aréoles larges et grenues surmontées de tétons charnus et longs. Sa taille me parait diablement fine, ses hanches sont larges et prolongées par des cuisses fuselées. Avec ses talons, Jocelyne est un peu plus grande que moi.
Son visage n’est pas vilain, loin de là, mais sur un tel corps on aurait pensé trouver un visage exceptionnel.
- Alors, Gilles pas trop déçu fit-elle avec une moue adorable. Je te plais ?
- Quel homme n’aimerais pas t’avoir ainsi dans son salon ? Dis-je. Alors comme çà tu es en pensions chez moi pour la journée ? Ton mari est confiant.
- Oh on a bien compris que tu étais sérieux et habitué à ce genre de choses. Non ?
- Qu’un mari me dépose sa femme nue sous un manteau de fourrure c’est la première fois. Et toi pas trop déçue ?
- Non tu es comme tu l’avais dit, mais tu ne nous avais pas dit que tu avais de si magnifiques yeux verts.
- C’est gentil, mais toi franchement tu n’avais pas dit que tu n'étais pas vilaine mais sans plus ? Une coupe belle demoiselle ?
- Je ne suis pas un top model Gilles, et oui je veux bien un peu de champagne. Tu connais beaucoup de femme qui refusent du champagne ?
- Tu as raison, c’est bien pour cela que j’en ai toujours
- Et en plus tu ne te refuse rien on dirait .
- Pour une jolie femme comme toi c’est la moindre des choses. Dis-je
- Flatteur !
Jocelyne pose ses doigts sur ma coupe et la tire vers ses lèvres qu’elle a approchées, en bois une petite gorgée. Me regarde en souriant.
- Maintenant je connais tes pensées, et je crois que tu as envie de moi non ?
- Elle me tends sa coupe j’y trempe mes lèvres et dit.
- Je sais maintenant que tu es heureuse d’être là et que l’on va passer un bon moment.
- Oh oui tout à fait et que tu es vraiment un vrai “gentleman”, malgré ma tenue, tu ne m’as pas sauté dessus et çà j’apprécies.
- Ou bien tu ne m’attires pas ? Insinuais-je en souriant.
- Ha non impossible mon chéri, vu la bosse dans ton pantalon et elle éclate de rire se rapprochant de moi lèvres tendues.
Les coupes sont abandonnées sur la petite table, elle m’enlace pour un baiser très sérieux cette fois, Nos lèvres soudées, nos langues combattant pour envahir la bouche de l’autre.
Dieu qu’elle sent bon, sans doute du Dior, curieusement sa bouche a le gout de fruits rouges et j’adore çà. Ses doigts fébriles ont vite dégrafé les boutons de ma chemise et maintenant attaquent la ceinture de mon pantalon. Une jambe passée de chaque côté de ma cuisse droite, elle frotte son sexe tout lisse contre ma cuisse. Je sens la chaleur de sa chatte au travers du tissu.
Le baiser cesse elle me murmure à l’oreille.
- J’ai très envie tu sais mon cœur.
- Alors vient. Dis-je la soulevant comme une plume.
Je la porte jusqu’a la chambre où je la dépose doucement sur le lit. Jocelyne écarte le compas de ses cuisses, me dévoilant le rose nacré de son sexe ouvert. Elle dit vrai quand elle parle d’envie, la belle est déja bien humide. J’ai enjamé mon pantalon avant de venir dans la chambre mais mon caleçon est toujours là. Joueuse elle en baisse la ceinture avec ses talons.
- Viens dit-elle viens prends moi.
- Patience petite coquine, je vais aller boire dans ton coquillage.
- Hooo jolie expression j’adore.
Je m’installe entre ses cuisses, sa peau est douce et frémissante. Elle ne ment pas quand elle me dit qu’elle a envie. Elle montre tous les signes du désir. Les replis de son sexe vu de tout près sont plus qu’humides, la belle inonde sa conque de sa liqueur transparente. Elle sent bon cette chatte, épicée, un peu piquante, chaude et palpitante. Je vais y mettre la révolution. J’écarte les petites lèvres avec mes pouces, son clitoris est tout mignon planqué dans son capuchon. Il est petit mais il gonfle a vu d’œil. Ma lanque léche le pourtour de son sexe passant brièvement sur le petit bouton.
- Ohh Oui tu as la langue si douce.
Elle a posé ses mains sur ma tête ses doigts enfouis dans mes cheveux. Je plonge ma langue dans son sexe, c’est brûlant, elle tressaille crispe ses mains sur ma tête, me tirant vers elle, m’invitant à entrer dans son sexe. Je tiens ses lèvres ouvertes avec mes doigts et je dévore la chair rose de ce sexe offert. J’enfonce ma langue au plus profond de sa caverne de plus en plus inondée. Mon nez frotte légèrement son clitoris, le petit coquin a pris de l’ampleur et semble voulor se dresser un peu plus encore. Il est assez saillant pour que je le pince entre mes lèvres tirant de Jocelyne de longs soupirs de plaisir.
Je sens ma queue de plus en plus dure. J’ai très envie de la prendre, Jocelyne a un corps magnifique, je pouvais presque faire le tour de sa taille avec mes deux mains. Je sais qu’avec ma langue je peux rendre folle a peu près n’importe quelle femme. Ce n’est aucunement de la gloriole, c’est un fait établi. Trop de mes partenaires me l’ont dit, trop d’entre elles ont toujours réclamé ce traitement. Ce n’est pas une gloire, c’est tout simple j’adore lécher un sexe et en général mon but est de faire jouir la femme. Combien de fois ai-je entendu le qualificatif de “langue de velours” ma femme est sans doute la plus grande fan de ma langue même au bout de presque 35 ans de vie commune. A ce moment avec Jocelyne je ne savais même pas que ma femme existait. Je ne ressentais pas l’envie de me contenter d’une seule femme.
- Viens sur moi chéri j veux te sucer dit Jocelyne entre deux soupirs.
Je ne me faisais pas prier et m’installais, 69 sur ma belle conquête. A peine avais-je placé ma queue au-dessus de son visage qu’elle prenait mon gland dans sa bouche. C’était bouillant, et elle se mit a me pomper avec entrain. Je frissonnais. Ses mains sur mes fesses se promenaient, ses doigts s’approchant de mon anus. Lâchant un instant ma queue, elle dit en caressait ma rondelle de son ongle.
- Je crois que tu aimes par-là Gilles.
Je me souvins qu’on avait parlé de bisexualité avec Christian son mari. Cessant un instant de la lécher je répondis
- Oh oui tout ce que tu veux chérie.
Quelques secondes plus tard je sentais une langue contre mon petit trou. Sensation que j’aime, puis des doigts prirent possession de la place, alors que sa bouche reprenait mon gland gonflé. Elle trouva facilement la prostate et je me mis à ressentir des ondes de plaisir rapidement.
Le sexe de Jocelyne, largement ouvert par mes doigts, devient au fil des minutes un cloaque ruisselant, ma salive mêlée a sa mouille grasse coule lentement sur ses fesses, tachant les draps au-dessous. Son clito est saillant et tendu, je peux a peine l’éffleurer sans qu’elle fasse un bond. Ma belle inconnue est engluée dans le plaisir.
Elle n’est pas en reste et pompe ma queue de belle manière. Massant voir écrasant mes couilles, elle fait monter en moi un plaisir intense. Je suis sur le point de changer de position et de la prendre quand elle me dit.
- Baise-moi, Gilles vite prends moi, j’ai envie de te sentir dans mon ventre.
Comment résister a un tel appel ? Je n’y résiste pas, je change de position. Je me place entre ses cuisses, ses jambes sur mes épaules. En poussant sa croupe se relève, me dévoilant un sexe luisant, ouvert. Je n’ai qu’à poser mon gland contre l’orifice brulant. Son visage est rouge, yeux mi-clos elle m’observe, lèvres entre ouvertes et souffle court. Sa poitrine et la base de son cou sont rougies par l’excitation. Ses mains agripent mes bras , elle me tire vers elle.
- Viens, viens vite. Prends-moi !! Dit-elle lançant son sexe vers moi d’un coup de reins.
Je plonge ma queue dans sa fournaise. Le sexe palpite, se resserre sur mon chibre tandis qu’elle renverse sa tête en arrière en émettant un son rauque. Je ne suis pas en reste et je pousse un soupir d’extrême satisfaction alors que mon pubis entre en contact avec son ventre
- Hmmm oui comme çà chéri, Oui baise moi comme une chienne.
Je découvre que Jocelyne aime les dialogues bien verts. Je me met au diapason.
- C’est çà salope, soit ma pute.. Tu aimes que je te dise çà .. Dis le..
- Oui soit dur avec moi, je suis ta salope, j’aimes çà. Gifles moi.
- En plus tu es une truie soumise j’adore çà
Je lui met une grande claque sur les fesses, qu’elle accueille en se crispant et serrant ma queue dans sa chatte. Puis une gifle, mesurée sur son visage. Cela semble la combler. Elle se redresse s’accroche à mon cou. Elle plante ses yeux dans les miens, et murmure.
- Sois dur avec moi, baise-moi fort j’aime ça, frappes moi Dit elle
-Tu est vraiment une salope, tu veux être mon esclave ? Ma chose ?
- Oh Ouiiii Ouiiii je suis ton jouet, frappes moi encore.
Je la gifle, lui claque les fesses encore et alors qu’elle se remet sur le lit, je gifle très fort ses seins. Je sens ma queue broyée par les muscles de son sexe. Elle à la bouche ouverte, sa tête ballote de droite à gauche. Je prends la cadence et gifle ses mamelles en aller-retour. Sa tête suit le même mouvement, accompagnant les coups. J’intensifie mes coups, elle semble aimer l’escalade. Et les mouvements spasmodiques de son sexe en sont la preuve.
Je continue à la pistonner, même plus fort, ma queue bute au fond de son sexe, elle mouille comme une folle, un anneau blanchâtre nait autour de ma queue qui se couvre de son jus intime. Malgré l’expérience, je ne vais plus pouvoir retenir longtemps l’orage qui monte de mes couilles à mon sexe. Les reins de Jocelyne sont secoués de spasmes. Elle aussi ne va plus tenir longtemps.
Les seins de Jocelyne sont rougis par mes coups, sa peau est brûlante. A force de nous agiter ainsi, nous sommes en sueur tous les deux. Cela fait partie des choses qui me booste énormément. Un corps en sueur, luisant dans la faible lumière rien de mieux pour me faire bander. Tout m’excite avec Jocelyne. Livrée par son mec, elle est superbe, soumise, adore les baffes. Peut-être plus je ne sais pas encore. Mon cerveau tourne à fond. Des images naissent.
La bouche entrouverte, elle me regarde les yeux étincelants de désir tandis que je plaque ses poignets sur le lit. J’approche ma bouche de la sienne et commence un baiser furieux tandis que je donne de grand coup de reins. Elle accompagne en cadence mes mouvements. Le résultat est une montée en flèche de mon excitation. Je sens ma queue gonfler encore si c’est possible. Son vagin est mouvant, doux comme de la soie, brulant comme des braises. J’aimerais voir les contractions de ce sexe de mes yeux. Je ne fais que les sentir mais c’est déjà une expérience en soi. J’ai assez peu ressenti cette sensation avec toutes les femmes que j’ai eu. Jocelyne comme toutes ces femmes était unique.
Elle casse le baiser car là elle veut crier, et c’est un vrai cri, elle est arrivée à l’orgasme, son sexe me malaxe la queue, je sens vraiment les convulsions qui me serrent, me relâchent le sexe. Du fond de mes couilles monte à son tour mon plaisir, je ne peux plus le contenir. Moi aussi je me mets à crier mon plaisir, oui je suis de ceux qui font du bruit. Je me plante au fond de son vagin violemment. Je suis comme çà, arrivé a ce moment je suis assez brutal. Je sens qu’elle trouve que c’est peut-être un peu trop d’ailleurs. Mais heureusement c’est bref et au moment où je commence à me répandre en elle, je redeviens doux.
- Oh ouiii cheri, ouiii . Murmure Jocelyne, je te sens couler en moi. C’est bon.
Elle est parcourue de frisson et commence à se détendre. Ce moment juste après l’orgasme, là nous avons eu le bonheur de jouir presque synchro, c’est assez rare. Ce moment est magnifique, le resterais là des heures, Jocelyne semble dans le même état d’esprit. Elle se laisse aller, me bécote le visage, ses mains caressent mon dos mes flancs. Je caresse son front, moite, écarte les cheveux de ses yeux. Je pose mes lévres sur son front pour de petits baisers. On est sur la même longueur d’onde, c’est assez surprenant, il y a un peu plus d’une heure je ne l’avais jamais vue. Là on a l’impression que l’on se connait depuis des années. Curieusement j’en ai parlé avec elle ensuite et elle a eu cette même sensation. Dans la suite de nos rencontres il y a toujours eu un lien entre elle et moi. Jocelyne pensait qu’on était “compatibles” en fait elle avait un mari tout allait bien mais elle disait toujours que si on c’était rencontré autrement il y aurait pu avoir une histoire.
Ceci n’était que la rencontre. Rien n’est fini. La suite bientôt
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Eh bien prospero on ne manque pas de détails tes descriptions sont complètes ton texte est limpide il se relit même pour mieux l’apprécier et on est impatient de lire ta suite Daniel
Voilà une après-midi bien agréable. Si mon adorable mari voulais se mettre au diapason de celui de votre Jocelyne, cela me plairais bien . Surtout quand vous devenez un peu brutal. Là j'ai soudain eu très chaud . J'aimerais biens savoir la suite et si votre Jocelyne est un peu comme moi.
J'adore vos Histoires. Gilles ( est ce votre prénom a vous? ) je suis curieuse
J'adore vos Histoires. Gilles ( est ce votre prénom a vous? ) je suis curieuse