Une fête masculine - histoire érotique

Entre mes lèvres un beau sexe de 20 centimètres se faufile. Je suis bourré. J’en ai conscience. Je me trouve à genoux devant cet homme beaucoup plus âgé. Il doit avoir dans les soixante ans. Moi j’en ai 23. Un autre homme est assit sur le canapé à côté de nous. Il nous mate, la verge en main. Il n’est pas aussi bien membré que mon amant mais se défend. Je ne sais pas si il veut que je le suce. Je suis nu entre ces deux hommes, à genoux. Eux sont habillés. L’homme a tout simplement déboutonné son pantalon pour me laisser le prendre en bouche. Je sens mon propre sexe raide entre mes cuisses. C’est typique.

Une fille m’a pas mal dragué à la fac - brune, dans les 1m60, mignonne. Après quelques semaines d’échanges de plus en plus suggestifs, je l’ai enfin ramené chez moi. On s’embrasse, se caresse. Elle est fougue et directe. Elle me déboutonne le pantalon, glisse sa main contre mon membre. Je raidis instantanément. Elle se déshabille entièrement. Je m’attends à une montée emplie de caresses, de langues et de taquineries mais elle me surprend. Elle se place sur le ventre, cambrant ses fesses vers moi. Elle a de magnifiques fesses. J’entraperçois sa vulve. Elle est épilée. Elle me veut tout de suite. Mais pour moi c’est fini. Je me bloque. Elle m’a surpris. Je me touche, la caresse aussi, me frotte à elle mais rien n’y fait. Je débande totalement. Je vois la déception dans ses yeux. Elle tente de m’exciter par tous les moyens. Elle est tellement moite qu’elle arrive même à me faire entrer en elle un instant. Mais je ne gonfle pas. Mes 19 centimètres se sont réduits à néant. Elle me prend en bouche dans un dernier effort, me surprend même en insérant un doigt dans mon anus. Sa langue et chaude et son doigt adepte mais c’est foutu. Elle se rhabille, ses seins ronds disparaissant sous un amas de tissus. Ses fesses sont à nouveau enveloppées par un beau tanga en dentelle noire. Elle part sans un mot.

Mais à présent mon phallus se dresse. Il ne servira en aucun cas ce soir mais il se met au garde à vous tout de même. Je ne m’étais en aucun cas fixé comme objectif de sucer qui que ce soit, surtout pas un homme trois fois mon âge. Il est bel homme mais je ne crois pas que sans l’alcool et une insistance lourde, nous nous serions retrouvé dans cette situation. A vrai dire je n’avais aucunement l’intention d’aller à cette soirée. Un ami plus âge m’avait invité dans l’espoir de me voir enfin l’accompagner à ce qu’il appelait « un truc de vieux ». Personne n’avait en dessous de quarante ans mais surtout, il n’y avait aucune femme. Du moment où j’ai franchit la porte à ma disparition dans une chambre accompagné de deux hommes, le flirte, les caresses perdues et le mains baladeuses ont fait rage. Au départ j’étais un peu nerveux mais l’alcool me mit rapidement à l’aise. Mon amant avait eu la confiance et le toucher approprié pour faire le reste. Une voix autoritaire m’avait rapidement vu nu.

Je le suce à fond à présent, sa verge s’enfonçant entre mes lèvres, contre ma langue. Il a bon gout et une hygiène impeccable. Il est totalement rasé du pubis et des boules. Je les malaxe d’ailleurs d’une main. Mes lèvres se concentrent à présent sur le gland. L’homme gémit.

L’autre homme se lève, s’approche, la queue toujours en main, se place derrière moi et continu de se masturber. Rapidement j’entends de profonds soupirs, puis, un instant plus tard, un jet chaud et épais s’étale sur le bas de mon dos, mes reins et mes fesses. Le foutre vient en quatre à-coups puis coule contre ma peau. Je continu de pomper.

Le voyeur, satisfait, quitte la pièce.

Sans dire un mot, mon amant se retire de ma bouche. Il me lève par les épaules et me guide vers le canapé contre lequel il me pousse, assis, son sexe à nouveau à hauteur de mes yeux. Il me lève le bassin et m’écarte les cuisses. Il m’observe un instant, mon croupier et pubis totalement imberbe. Mon sexe est toujours dressé contre mon ventre. Il s’applique de la salive sur le gland déjà lubrifié. Sans hésiter un instant il se positionne contre mon trou. Il pousse. Ma paroi résiste mais il ne tarde à dépasser cette barrière. Une douleur soudaine me fait gémir. Il est en moi à présent, immobile, me laissant me dilater autour de sa verge. Peu à peu la douleur s’efface. Je lui fais oui de la tête. Il me prend longuement, enfonçant avec chaque coup, un peu plus sa verge. C’est exquis. Je jouis. Je repense à la croupe de mon amante récente. Tandis que l’homme me lime je me fais serment de la reconquérir, de lui arracher ses vêtements et de fourrer mon membre en elle.

L’homme me baise longuement en missionnaire. La douleur revient peu à peu, et c’est au comble d’un mariage entre plaisir et torture que l’homme se retire et se laisse exploser sur moi, mes cuisses, mes boules, mon trou, puis mon ventre et enfin, un dernier jet contre mon visage.

Il me laisse ainsi, nu, noyé de foutre et de relents de plaisirs.