Une fille par semaine, en les attendant toutes ensembles.
Récit érotique écrit par PATRICIASEULE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Une fille par semaine, en les attendant toutes ensembles.
Sandrine ne me lâche plus. Elle organise tous les samedi une rencontre à trois : elle, moi, et à chaque fois une troisième fille différente. Je dois reconnaître qu'elle a très bon goût, et chacune me ravit. Elles sont toutes différentes, 20 à 37 ans, blondes ou brunes, grandes ou petites, minces ou un peu plus en chair, actives ou passives. Elles ont pourtant plusieurs points communs : elles sont douces, sympa, totalement libérées, coquines voire très coquines, salopes pour oser les mots. Mais surtout elles ont une chatte magnifique, elles démarrent au quart de tour, jouissent à volonté et en abondance, et distille une cyprine des plus délectables.
Je voudrais une partie à plusieurs, mais elle préfère me les faire connaître toutes individuellement, avant de m'embarquer dans une orgie. Je connais toutes les semaines des heures de plaisirs intenses, à trois. On s'aime entre filles, on s'embrasse amoureusement, on se caresse, on se lèche partout, partout, on se fouille de nos doigts, avec des godes, on se baise avec des godes ceintures. J'apprend à jouer le rôle de l'homme, et je m'éclate à prendre en levrette, ou sodomiser, mes camarades de jeu.
Certaines filles veulent qu'avec Sandrine on leur enfile des calibres démesurés, qu'on les fiste, ou qu'on leur urine dessus. Ma chérie me montre l'exemple et je ne me fais pas prier pour l'imiter. A chaque fois ces séances me survoltent, j'y pense toute la semaine, et le samedi suivant je propose la même fille, pour subir à mon tour le traitement qu'on lui a administré. Je jouis de ces plaisirs tabous, je suis de plus en plus garce, et j'aime ça.
On a fait le tour de toutes les filles, et j'espère enfin une partouze.
Malheureusement mon mari rentre en France pour quinze jours, et je vais devoir patienter. J'espère qu'après une longue absence il va se jeter sur moi pour me défoncer, mais pas de miracle. Il m'aime platement, comme par obligation du devoir conjugal. Je voudrais qu'il enfonce sa queue, même si elle est petite, au plus profond de tous mes orifices, et qu'il jouisse en moi. Au lieu de ça, il m'aime à la papa maman, se retire au bout de quelques trop courtes minutes, et éjacule sur mon ventre. Je pense alors à mes copines, aux vidéos, et je parviens à jouir pour le remercier de son attention.
Deux semaines se sont écoulées et j'emmène mon époux, un dimanche matin de très bonne heure, à l'aéroport. J'attends que l'avion décolle, et pour la première fois ,honteusement, je me sens soulagée par son départ .
J'avais prévenu Sandrine, et je file direct chez elle. A 7h30 du matin je suis nue dans son lit.
Comme tous les samedi elle s'est envoyée en l'air sans demi mesure, et elle ne rêve que d'une grasse matinée. Je me force à la respecter, et je me masturbe en silence en l'attendant.
A plus de neuf heures elle est enfin réveillée. J'ai poussé le drap pour l'admirer, et m'aimer en toute liberté. Elle me voit me satisfaire en toute impudeur, elle entend le clapotis du va et vient de mes doigts dans ma chounette détrempée, elle renifle les subtiles effluves que dégage mon minou chéri. Elle ne résiste plus, oublie sa fatigue. sa bouche s'empare de la mienne, puis glisse rapidement sur mes seins, mon ventre, pour stopper sur mon sexe ouvert et offert.
Quinze jours qu'une langue ne m'a visitée, quinze jours que je n'ai mangé un minou, et je suis hyper excitée. Je la met en position pour un 69 tant espéré, et on se dévore sans retenue. Sa mouille coule délicieusement dans ma bouche, et je n'économise pas la mienne pour lui rendre la politesse. On jouit sans bruit, nos cris étouffés dans le vagin de notre partenaire.
Après plus d'une heure on fait une petite pause. On prend un petit déjeuner, puis on remet le couvert jusqu'à midi, dans toutes les positions. On prend une douche et on s'offre un resto.
De retour chez elle, on se recouche pour un tendre câlin, et on évoque notre prochain samedi. Elle me propose enfin une partouze à neuf (inespéré) ou huit, sept, six, suivant les disponibilités des unes et des autres. Je suis partante en en espérant le maximum. Elle me prévient alors que ma première sera une spéciale.
En effet régulièrement elles perdent une fille de la bande. Soit elles en ont assez, se trouvent une (ou un) partenaire régulier, déménagent...... Elles cherchent alors une remplaçante et la soumettent à un bizutage. Les fois suivantes elle n'est plus bizute, mais l'égale des autres. Je ne suis pas remplaçante, mais supplémentaire pour agrandir leur cercle (sans mauvais jeu de mot), et je vais devoir en passer par là. C'est pour cela qu'elle a tenu à me les faire toutes rencontrer, pour connaître leurs petites manies les plus inavouables.
Elle me prévient que si j'accepte je ne pourrais faire marche arrière, ou alors je serais exclue du groupe. Elles me plaisent toutes, surtout les plus vicieuses. Alors j'accepte, sans condition, de me livrer à elles telle une chienne lubrique.
A suivre...
Je voudrais une partie à plusieurs, mais elle préfère me les faire connaître toutes individuellement, avant de m'embarquer dans une orgie. Je connais toutes les semaines des heures de plaisirs intenses, à trois. On s'aime entre filles, on s'embrasse amoureusement, on se caresse, on se lèche partout, partout, on se fouille de nos doigts, avec des godes, on se baise avec des godes ceintures. J'apprend à jouer le rôle de l'homme, et je m'éclate à prendre en levrette, ou sodomiser, mes camarades de jeu.
Certaines filles veulent qu'avec Sandrine on leur enfile des calibres démesurés, qu'on les fiste, ou qu'on leur urine dessus. Ma chérie me montre l'exemple et je ne me fais pas prier pour l'imiter. A chaque fois ces séances me survoltent, j'y pense toute la semaine, et le samedi suivant je propose la même fille, pour subir à mon tour le traitement qu'on lui a administré. Je jouis de ces plaisirs tabous, je suis de plus en plus garce, et j'aime ça.
On a fait le tour de toutes les filles, et j'espère enfin une partouze.
Malheureusement mon mari rentre en France pour quinze jours, et je vais devoir patienter. J'espère qu'après une longue absence il va se jeter sur moi pour me défoncer, mais pas de miracle. Il m'aime platement, comme par obligation du devoir conjugal. Je voudrais qu'il enfonce sa queue, même si elle est petite, au plus profond de tous mes orifices, et qu'il jouisse en moi. Au lieu de ça, il m'aime à la papa maman, se retire au bout de quelques trop courtes minutes, et éjacule sur mon ventre. Je pense alors à mes copines, aux vidéos, et je parviens à jouir pour le remercier de son attention.
Deux semaines se sont écoulées et j'emmène mon époux, un dimanche matin de très bonne heure, à l'aéroport. J'attends que l'avion décolle, et pour la première fois ,honteusement, je me sens soulagée par son départ .
J'avais prévenu Sandrine, et je file direct chez elle. A 7h30 du matin je suis nue dans son lit.
Comme tous les samedi elle s'est envoyée en l'air sans demi mesure, et elle ne rêve que d'une grasse matinée. Je me force à la respecter, et je me masturbe en silence en l'attendant.
A plus de neuf heures elle est enfin réveillée. J'ai poussé le drap pour l'admirer, et m'aimer en toute liberté. Elle me voit me satisfaire en toute impudeur, elle entend le clapotis du va et vient de mes doigts dans ma chounette détrempée, elle renifle les subtiles effluves que dégage mon minou chéri. Elle ne résiste plus, oublie sa fatigue. sa bouche s'empare de la mienne, puis glisse rapidement sur mes seins, mon ventre, pour stopper sur mon sexe ouvert et offert.
Quinze jours qu'une langue ne m'a visitée, quinze jours que je n'ai mangé un minou, et je suis hyper excitée. Je la met en position pour un 69 tant espéré, et on se dévore sans retenue. Sa mouille coule délicieusement dans ma bouche, et je n'économise pas la mienne pour lui rendre la politesse. On jouit sans bruit, nos cris étouffés dans le vagin de notre partenaire.
Après plus d'une heure on fait une petite pause. On prend un petit déjeuner, puis on remet le couvert jusqu'à midi, dans toutes les positions. On prend une douche et on s'offre un resto.
De retour chez elle, on se recouche pour un tendre câlin, et on évoque notre prochain samedi. Elle me propose enfin une partouze à neuf (inespéré) ou huit, sept, six, suivant les disponibilités des unes et des autres. Je suis partante en en espérant le maximum. Elle me prévient alors que ma première sera une spéciale.
En effet régulièrement elles perdent une fille de la bande. Soit elles en ont assez, se trouvent une (ou un) partenaire régulier, déménagent...... Elles cherchent alors une remplaçante et la soumettent à un bizutage. Les fois suivantes elle n'est plus bizute, mais l'égale des autres. Je ne suis pas remplaçante, mais supplémentaire pour agrandir leur cercle (sans mauvais jeu de mot), et je vais devoir en passer par là. C'est pour cela qu'elle a tenu à me les faire toutes rencontrer, pour connaître leurs petites manies les plus inavouables.
Elle me prévient que si j'accepte je ne pourrais faire marche arrière, ou alors je serais exclue du groupe. Elles me plaisent toutes, surtout les plus vicieuses. Alors j'accepte, sans condition, de me livrer à elles telle une chienne lubrique.
A suivre...
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
veinarde tu m'excites toujours.
Je doit reconnaitre que cette histoire delicieuse m'a vraiment excitée et que je n'ai pas resisté au plaisir de caresser mon clito tout gonflé de desir .Je suis une jeune Femme Bi de 26 Ans . Merci Patricia
un gros bisous ma petite chérie.
c'est de la part de qui? DEVINE
à bientôt
c'est de la part de qui? DEVINE
à bientôt
Bravo pour ce récit hors norme. Il aura eu une conséquence: je me suis vue avec toi et
je me suis faite jouir deux fois en relisant
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très excitante cette histoire. Mais tous les "maris" ne sont pas comme çà....Il faut
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