Une fille plutôt sympa
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Une fille plutôt sympa
Elle était harnachée du six points Schroth dans le baquet de droite. L’habitacle de cette petite voiture de sport était exiguë et cette grande fille dépassait de partout.
Elle regardait devant elle inquiète de l’orage qui s’était abattu sur la Camargue et avait transformé la route étroite et sinueuse en rivière en crue. Elle pensait, je suis folle d’avoir souscrit à cette aventure de bout du monde avec ces mecs aventureux pétrîts de vitesse et d’adrénaline.
Sa main est tombée tout naturellement sur la braguette du pilote, pour garder au chaud au milieu des trombes d’eau qui s’abattaient sur la petite auto. Comme pour faire abri. En confiance.
Le pilote pilotait les yeux tendus vers le rideau d’eau devant le pare-brise ruisselant battu de l’essuie-glace endiablé.
En vingt secondes la bite fut raide, comme en inconscience tant pourtant l’attention et la concentration étaient monopolisées par la conduite de la petite auto légère.
La fille portait une légère robe d’été de cotonnade et ses petits seins ronds pommelaient le devant. Il le savait pour l’avoir observée l’après-midi durant. Il pensait, maintenant qu’elle a ma bite en main, ses tétons ont-ils pointé ? Mais il ne pouvait s’en assurer car il lui fallait garder regard sur la trajectoire à suivre et ensuite, car dans le crépuscule obscurci par l’orage on ne pouvait rien voir dans ce petit habitacle aux vitres embuèes.
Il pensait, pour savoir réellement il me faudrait empaumer… Et je ne puis lâcher le volant tant la voiture est instable en aquaplaning permanent sous ce déluge.
Cette fille, qui l’avait sollicité pour la longue promenade qui menait du circuit de Lédenon à la ville fortifiée d’Aigues-Mortes où était programmé le souper au restaurant gitan La Camargue, cette fille était venue en Porsche avec son frangin. Elle avait participé des activités de circuit et de courses en passagère de la Porsche mais surtout en spectatrice de tribune avec les autres copines de pilotes du club.
C’était une fille qui n’avait pas froid aux yeux et aimait le risque et la vitesse. Et les garçons couillus.
La journée avait été très chaude sur le plateau gardois et la petite robe légère suspendue aux épaules par deux simples fines bretelles mettait en évidence les petits seins qui saillaient sur le large thorax de cette fille. Des seins qui ne balançaient pas, que l’on imaginait durs, formés de matière ferme comme le bronze des statues. Des statues noires de filles nues.
Finalement, elle n’est pas restée bien longtemps main posée sur la toile épaisse du jean. Malgré l’hommage raide conséquent de son geste.
Le garçon était déçu. Serait-elle, cette grande fille-là, velléitaire ?
Elle a secoué la tête de droite de gauche comme en dénégation, a débouclé le harnais pour dégager les sangles basses, celles qui contournent l’aine pour filer par un trou du baquet entre les cuisses. De deux pouces elle a chopé la culotte et l’a menée à ses chevilles. Elle en a inspecté le gousset trempé et l’a reniflé puis en a fait une boule qu’elle a présentée sous le nez du pilote.
Sans un mot.
Puis elle l’a posée à côté de l’iPhone du gars sur la petite étagère d’aluminium qui faisait office de boîte à gants.
Et elle a rebouclé les sangles du harnais en tirant bas sa robe pour cacher l’abricot glabre un instant dévoilé.
Tout naturellement elle est revenue à la braguette du gars et, lors que l’auto glissait entre roubines et marais, elle a descendu doucement le zip épais de laiton jusqu’à la butée sous les couilles.
Dégager le large bouton de ceinture fut facile tant elle semblait habile et habituée à l’exercice, de deux doigts et du pouce de main droite.
Le bitos était tendu en oblique dans le pli de l’aine. Elle l’a redressé, ramené au nombril et dégagé de la ceinture élastique du boxer. Dépassaient la tête et un tronçon d’un bon tiers de hampe. C’était un bel organe et la fille a marqué sa satisfaction par un petit grognement de contentement.
Elle a voulu libérer le gland du prépuce, tirant celui-ci bas dans le sillon coronal en col roulé. Et puis, mouillant son pouce de salive baveuse, a caressé le méat en légèreté. Légèreté un peu agitée néanmoins des soubresauts de la voiture en reprises d’adhérence au milieu des glissades aquatiques dans le sable et la boue.
La pluie a brusquement cessé et le chauffage combiné à la clim pleins tubes ont dégagé les vitrages et le pare-brise des buées.
La voiture était arrêtée au milieu de rien, de plantes aquatiques, de roseaux, d’herbes hautes.
Elle a débouclé le harnais du pilote puis le sien propre. Ils sont sortis de l’auto en souple exercice de contorsion entre châssis alu et capote.
Le ciel était magnifique, clair de voile nuageux haut mais sans soleil. Les étendues d’eau partout exhalaient une brume chaude fantasmagorique et des odeurs puissantes de marais sain écolo en prés salés.
La solitude était totale tant la route avait disparu. L’auto était comme noyée, eau aux moyeux.
La grande fille a dit, enfin elle parlait, ma robe est toute mouillée de pluie je ne crains plus rien. Et elle s’est couchée sur la capote noire, les bras en avant. Sans retourner sa tête elle a dit, please ne décharge pas en moi, ma culotte est trempée et je n’ai rien d’autre à me mettre. Personne n’aime la dèche qui dégouline sur ses hauts de cuisse, surtout pour dîner au resto entre amis.
Elle a ajouté, en sus tu seras content, un peu frustré peut-être, de bander toute la soirée à me mater toute nue sous ma robe au milieu des concurrents pilotes toujours très ardents.
Tu seras seul à le savoir … tu n’en banderas que mieux.
Plus long plus dur le gland bien dégagé en attente, à l’affût.
Viendras-tu à ma table, t’assoir en face de moi comme macho possessif ou bien me laisseras-tu vaquer en liberté ailleurs au milieu des mâles bourdonnants vibrionnants ?
Quelle que soit ton attitude sache que je serai cette nuit dans tes bras dans ton lit et que c’est toi qui m’offriras les lourdes giclées orgasmiques en cascades que j’attends. Que j’attends de toi.
Mais pour l’heure, simple visite. Mène-moi où je veux aller et retiens-toi de m’y accompagner.
Le gars l’a immédiatement chopée aux hanches troussée et en rapide lutinage de l’abricot dégorgeant de dindon plissé a déclenché sa satisfaction.
Le devant de la robe était trempé du mouillé de la capote et dessinait les pointus de ses tétons. Elle a dit, si tu mets le chauffage à fond ce sera sec en arrivant au resto La Camargue d’Aigues-Mortes et personne n’en saura.
Dans l’auto elle lui a fait un petit bisou au coin des lèvres et a habilement rempaqueté le bitos trop long trop dur pour ce jean Wrangler un peu trop serré un peu trop étroit.
Elle a dit, celui-là est pour moi cette nuit qui vient. Que pour moi.
Elle regardait devant elle inquiète de l’orage qui s’était abattu sur la Camargue et avait transformé la route étroite et sinueuse en rivière en crue. Elle pensait, je suis folle d’avoir souscrit à cette aventure de bout du monde avec ces mecs aventureux pétrîts de vitesse et d’adrénaline.
Sa main est tombée tout naturellement sur la braguette du pilote, pour garder au chaud au milieu des trombes d’eau qui s’abattaient sur la petite auto. Comme pour faire abri. En confiance.
Le pilote pilotait les yeux tendus vers le rideau d’eau devant le pare-brise ruisselant battu de l’essuie-glace endiablé.
En vingt secondes la bite fut raide, comme en inconscience tant pourtant l’attention et la concentration étaient monopolisées par la conduite de la petite auto légère.
La fille portait une légère robe d’été de cotonnade et ses petits seins ronds pommelaient le devant. Il le savait pour l’avoir observée l’après-midi durant. Il pensait, maintenant qu’elle a ma bite en main, ses tétons ont-ils pointé ? Mais il ne pouvait s’en assurer car il lui fallait garder regard sur la trajectoire à suivre et ensuite, car dans le crépuscule obscurci par l’orage on ne pouvait rien voir dans ce petit habitacle aux vitres embuèes.
Il pensait, pour savoir réellement il me faudrait empaumer… Et je ne puis lâcher le volant tant la voiture est instable en aquaplaning permanent sous ce déluge.
Cette fille, qui l’avait sollicité pour la longue promenade qui menait du circuit de Lédenon à la ville fortifiée d’Aigues-Mortes où était programmé le souper au restaurant gitan La Camargue, cette fille était venue en Porsche avec son frangin. Elle avait participé des activités de circuit et de courses en passagère de la Porsche mais surtout en spectatrice de tribune avec les autres copines de pilotes du club.
C’était une fille qui n’avait pas froid aux yeux et aimait le risque et la vitesse. Et les garçons couillus.
La journée avait été très chaude sur le plateau gardois et la petite robe légère suspendue aux épaules par deux simples fines bretelles mettait en évidence les petits seins qui saillaient sur le large thorax de cette fille. Des seins qui ne balançaient pas, que l’on imaginait durs, formés de matière ferme comme le bronze des statues. Des statues noires de filles nues.
Finalement, elle n’est pas restée bien longtemps main posée sur la toile épaisse du jean. Malgré l’hommage raide conséquent de son geste.
Le garçon était déçu. Serait-elle, cette grande fille-là, velléitaire ?
Elle a secoué la tête de droite de gauche comme en dénégation, a débouclé le harnais pour dégager les sangles basses, celles qui contournent l’aine pour filer par un trou du baquet entre les cuisses. De deux pouces elle a chopé la culotte et l’a menée à ses chevilles. Elle en a inspecté le gousset trempé et l’a reniflé puis en a fait une boule qu’elle a présentée sous le nez du pilote.
Sans un mot.
Puis elle l’a posée à côté de l’iPhone du gars sur la petite étagère d’aluminium qui faisait office de boîte à gants.
Et elle a rebouclé les sangles du harnais en tirant bas sa robe pour cacher l’abricot glabre un instant dévoilé.
Tout naturellement elle est revenue à la braguette du gars et, lors que l’auto glissait entre roubines et marais, elle a descendu doucement le zip épais de laiton jusqu’à la butée sous les couilles.
Dégager le large bouton de ceinture fut facile tant elle semblait habile et habituée à l’exercice, de deux doigts et du pouce de main droite.
Le bitos était tendu en oblique dans le pli de l’aine. Elle l’a redressé, ramené au nombril et dégagé de la ceinture élastique du boxer. Dépassaient la tête et un tronçon d’un bon tiers de hampe. C’était un bel organe et la fille a marqué sa satisfaction par un petit grognement de contentement.
Elle a voulu libérer le gland du prépuce, tirant celui-ci bas dans le sillon coronal en col roulé. Et puis, mouillant son pouce de salive baveuse, a caressé le méat en légèreté. Légèreté un peu agitée néanmoins des soubresauts de la voiture en reprises d’adhérence au milieu des glissades aquatiques dans le sable et la boue.
La pluie a brusquement cessé et le chauffage combiné à la clim pleins tubes ont dégagé les vitrages et le pare-brise des buées.
La voiture était arrêtée au milieu de rien, de plantes aquatiques, de roseaux, d’herbes hautes.
Elle a débouclé le harnais du pilote puis le sien propre. Ils sont sortis de l’auto en souple exercice de contorsion entre châssis alu et capote.
Le ciel était magnifique, clair de voile nuageux haut mais sans soleil. Les étendues d’eau partout exhalaient une brume chaude fantasmagorique et des odeurs puissantes de marais sain écolo en prés salés.
La solitude était totale tant la route avait disparu. L’auto était comme noyée, eau aux moyeux.
La grande fille a dit, enfin elle parlait, ma robe est toute mouillée de pluie je ne crains plus rien. Et elle s’est couchée sur la capote noire, les bras en avant. Sans retourner sa tête elle a dit, please ne décharge pas en moi, ma culotte est trempée et je n’ai rien d’autre à me mettre. Personne n’aime la dèche qui dégouline sur ses hauts de cuisse, surtout pour dîner au resto entre amis.
Elle a ajouté, en sus tu seras content, un peu frustré peut-être, de bander toute la soirée à me mater toute nue sous ma robe au milieu des concurrents pilotes toujours très ardents.
Tu seras seul à le savoir … tu n’en banderas que mieux.
Plus long plus dur le gland bien dégagé en attente, à l’affût.
Viendras-tu à ma table, t’assoir en face de moi comme macho possessif ou bien me laisseras-tu vaquer en liberté ailleurs au milieu des mâles bourdonnants vibrionnants ?
Quelle que soit ton attitude sache que je serai cette nuit dans tes bras dans ton lit et que c’est toi qui m’offriras les lourdes giclées orgasmiques en cascades que j’attends. Que j’attends de toi.
Mais pour l’heure, simple visite. Mène-moi où je veux aller et retiens-toi de m’y accompagner.
Le gars l’a immédiatement chopée aux hanches troussée et en rapide lutinage de l’abricot dégorgeant de dindon plissé a déclenché sa satisfaction.
Le devant de la robe était trempé du mouillé de la capote et dessinait les pointus de ses tétons. Elle a dit, si tu mets le chauffage à fond ce sera sec en arrivant au resto La Camargue d’Aigues-Mortes et personne n’en saura.
Dans l’auto elle lui a fait un petit bisou au coin des lèvres et a habilement rempaqueté le bitos trop long trop dur pour ce jean Wrangler un peu trop serré un peu trop étroit.
Elle a dit, celui-là est pour moi cette nuit qui vient. Que pour moi.
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