Une fille qui aimait ça
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une fille qui aimait ça
Elle m’avait dit, ce soir tu pourras rester chez moi vu qu’il est bien tard pour retourner en ta lointaine banlieue.
Et je ne me suis pas du tout méfié.
Elle a dit aussi, va passe à la douche, tu seras beaucoup mieux après, bien propre.
Là encore je ne me suis pas méfié, je ne suis pas bien malin.
Et quand j’ai vu qu’il n’y avait dans cet appart parisien, son appart, qu’un seul lit, là j’aurais dû vraiment me méfier. Surtout que c’était un grand lit bien large du genre king size. Avec néanmoins qu’un seul oreiller … sorte de signe extérieur indicateur.
Elle m’a dit, je suppose que tu n’as pas apporté de pyjama. Cela tombe bien car dans mon lit les gars ne portent jamais de pyjama. D’ailleurs dans mon lit jamais personne ne porte quoique ce soit.
Mon lit est en quelque sorte zone naturiste en laquelle tout le monde vaque toujours tout nu. Enfin surtout la nuit. Du moins quand je suis là. Et dans mon lit moi aussi moi surtout suis toute nue.
Alors j’ai compris que j’eusse dû préalablement me méfier. Mais là c’était un peu tard.
Quand je suis sorti de la douche bien étrillé la serviette en pagne j’ai vu qu’elle m’attendait couette sous le menton avec un grand sourire de connivence dans le lit queensize géant.
Elle a dit, ce qui est sympa entre copains c’est de contacter les corps les peaux. Pour dormir c’est bien mieux. C’est bien plus sympa.
Je me disais copains tu parles … avec cette fille-là, ça va probablement finir en partie de sexe débridée.
Mais non.
C’était une fille surtout intéressée par la tendresse.
Alors je me suis coulé dans le lit tout contre elle. Elle était toute nue, je l’étais aussi. Elle était chaude, j’étais un peu mouillé, mal séché.
Elle avait ouvert ses bras et m’a serré. C’était bon.
Je sentais ses seins contre mon thoraxSa tête était dans mon cou bouche humide et chaudeSes jambes ses cuisses s’emmêlaient aux miennesSes pieds me faisaient caresses de plantes douces.
Cette fille était toute de tendresse.
Par inadvertance sa main gauche a saisi la hampe de mon bitos.
Comme en concordance sa main droite a empaumé mes roupes en leur sac strié contracté.
Cette fille ronronnait comme chatte prude chaste en petit paradis
Son ventre serrait ma cuisse et l’épaisse toison frottait, trempée des sucs de ses émois, glissant sur ma peau.
J’avais parfaite conscience des ourlés de ses lèvres ouvertes qui cherchaient, qui me cherchaient.
Elle faisait sa timide et se croquemitouflait dans mes bras, cuisses hautes, sourire doucement engageant.
Moi, je pensais, si c’est cela que l’on appelle sexfriend alors je suis partant.
Ses deux mains à ma bite se sont activées. L’une retroussant le prépuce pour dégager totalement le gland, l’autre filant sur le périnée pour visiter les villosités du cul d’un majeur autoritaire.
Le pouce passait et repassait sur le méat en caresse légère et bienveillante tandis que par ailleurs mon rectum était sévèrement violé en profondeur d’un doigt incursif et intrusif.
J’ai voulu causer et lui dire, à cette fille somme toute assez sympa. J’ai voulu lui dire que cette affaire avec elle était incongrue et génante. Que j’avais par ailleurs une amie de cœur très chère et qu’il me paraissait un peu inconvenant de prendre mon pied ainsi en sex-sympathie avec une inconnue néanmoins très bandante mais ni amoureuse ni amante.
Elle n’a pas parlé.
Juste elle s’est glissée sous moi, m’a avalé de son sexe béant et trempé, m’a serré de bras aimants et s’est déchaînée de vagin pulsant en triturant ma bite comme pour la traire à fond.
Vu que j’étais assez gêné de la tournure qu’avaient prises les choses je ne disais rien. Surtout que mon bitos était géant long dur épais avec gland hyper gonflé et que, comme on-dit, je ne savais plus honnêtement où me mettre.
Enfin je savais assurément où la mettre et je m’en contentais simplement. Et manifestement l’opération lui convenait également parfaitement.
Le petit monsieur raclait son col dur à chaque passage avant de buter dans le mou au dessus et de distendre ses chairs de fond de ventre. Elle chantait en vocalise en psalmodie des trilles qui me comblaient de bonheur partagé.
J’ai dit, peut être est-il inconvenant de s’adonner à ces activités de sexfriends débridés alors que j’ai par ailleurs une amie chère très chère qui partage ma vie et mes nuits.
Faut reconnaître qu’elle n’a rien trouvé à redire. Mais son lutinage n’en n’a pas pour autant cessé.
A contrario elle a monté ses cuisses et croché mes épaules de ses chevilles. Elle était en souplesse totale accrochée à moi et me suçurait à l’oreille, viens laisse aller on va dormir enlacés. Ta copine n’en saura rien, viens t’éclater dans mon ventre.
Elle a dit, moi j’aime ça, le jus chaud des gars.
Et je ne me suis pas du tout méfié.
Elle a dit aussi, va passe à la douche, tu seras beaucoup mieux après, bien propre.
Là encore je ne me suis pas méfié, je ne suis pas bien malin.
Et quand j’ai vu qu’il n’y avait dans cet appart parisien, son appart, qu’un seul lit, là j’aurais dû vraiment me méfier. Surtout que c’était un grand lit bien large du genre king size. Avec néanmoins qu’un seul oreiller … sorte de signe extérieur indicateur.
Elle m’a dit, je suppose que tu n’as pas apporté de pyjama. Cela tombe bien car dans mon lit les gars ne portent jamais de pyjama. D’ailleurs dans mon lit jamais personne ne porte quoique ce soit.
Mon lit est en quelque sorte zone naturiste en laquelle tout le monde vaque toujours tout nu. Enfin surtout la nuit. Du moins quand je suis là. Et dans mon lit moi aussi moi surtout suis toute nue.
Alors j’ai compris que j’eusse dû préalablement me méfier. Mais là c’était un peu tard.
Quand je suis sorti de la douche bien étrillé la serviette en pagne j’ai vu qu’elle m’attendait couette sous le menton avec un grand sourire de connivence dans le lit queensize géant.
Elle a dit, ce qui est sympa entre copains c’est de contacter les corps les peaux. Pour dormir c’est bien mieux. C’est bien plus sympa.
Je me disais copains tu parles … avec cette fille-là, ça va probablement finir en partie de sexe débridée.
Mais non.
C’était une fille surtout intéressée par la tendresse.
Alors je me suis coulé dans le lit tout contre elle. Elle était toute nue, je l’étais aussi. Elle était chaude, j’étais un peu mouillé, mal séché.
Elle avait ouvert ses bras et m’a serré. C’était bon.
Je sentais ses seins contre mon thoraxSa tête était dans mon cou bouche humide et chaudeSes jambes ses cuisses s’emmêlaient aux miennesSes pieds me faisaient caresses de plantes douces.
Cette fille était toute de tendresse.
Par inadvertance sa main gauche a saisi la hampe de mon bitos.
Comme en concordance sa main droite a empaumé mes roupes en leur sac strié contracté.
Cette fille ronronnait comme chatte prude chaste en petit paradis
Son ventre serrait ma cuisse et l’épaisse toison frottait, trempée des sucs de ses émois, glissant sur ma peau.
J’avais parfaite conscience des ourlés de ses lèvres ouvertes qui cherchaient, qui me cherchaient.
Elle faisait sa timide et se croquemitouflait dans mes bras, cuisses hautes, sourire doucement engageant.
Moi, je pensais, si c’est cela que l’on appelle sexfriend alors je suis partant.
Ses deux mains à ma bite se sont activées. L’une retroussant le prépuce pour dégager totalement le gland, l’autre filant sur le périnée pour visiter les villosités du cul d’un majeur autoritaire.
Le pouce passait et repassait sur le méat en caresse légère et bienveillante tandis que par ailleurs mon rectum était sévèrement violé en profondeur d’un doigt incursif et intrusif.
J’ai voulu causer et lui dire, à cette fille somme toute assez sympa. J’ai voulu lui dire que cette affaire avec elle était incongrue et génante. Que j’avais par ailleurs une amie de cœur très chère et qu’il me paraissait un peu inconvenant de prendre mon pied ainsi en sex-sympathie avec une inconnue néanmoins très bandante mais ni amoureuse ni amante.
Elle n’a pas parlé.
Juste elle s’est glissée sous moi, m’a avalé de son sexe béant et trempé, m’a serré de bras aimants et s’est déchaînée de vagin pulsant en triturant ma bite comme pour la traire à fond.
Vu que j’étais assez gêné de la tournure qu’avaient prises les choses je ne disais rien. Surtout que mon bitos était géant long dur épais avec gland hyper gonflé et que, comme on-dit, je ne savais plus honnêtement où me mettre.
Enfin je savais assurément où la mettre et je m’en contentais simplement. Et manifestement l’opération lui convenait également parfaitement.
Le petit monsieur raclait son col dur à chaque passage avant de buter dans le mou au dessus et de distendre ses chairs de fond de ventre. Elle chantait en vocalise en psalmodie des trilles qui me comblaient de bonheur partagé.
J’ai dit, peut être est-il inconvenant de s’adonner à ces activités de sexfriends débridés alors que j’ai par ailleurs une amie chère très chère qui partage ma vie et mes nuits.
Faut reconnaître qu’elle n’a rien trouvé à redire. Mais son lutinage n’en n’a pas pour autant cessé.
A contrario elle a monté ses cuisses et croché mes épaules de ses chevilles. Elle était en souplesse totale accrochée à moi et me suçurait à l’oreille, viens laisse aller on va dormir enlacés. Ta copine n’en saura rien, viens t’éclater dans mon ventre.
Elle a dit, moi j’aime ça, le jus chaud des gars.
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