UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 02 : UNE SUPER SOIREE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 02 : UNE SUPER SOIREE Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 02 : UNE SUPER SOIREE
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOITEP 02 : UNE SUPER SOIREE

On se retrouvait donc devant un thé …
Comme apéritif j'ai connu mieux mais bon … En face de moi il y avait Étienne, le copain d'Hélène … Il était beau Étienne, brun et bronzé, les cheveux courts légèrement ondulants, une barbe très courte avec les joues bien dégagées, les yeux marron dans lesquels on pouvait voir passer … Bon je laisse tomber la dernière fois j'ai dit n'importe quoi ! C'est vrai quoi je ne sais pas ce qui rime avec marron et qui fait viril moi !

Il était viril Étienne, en tout cas il en avait l'air, avec une superbe chemise de cow-boy son jeans très classe parfaitement ajusté et le tout de marque … C'était quoi comme marque au fait ? … Prizunic ! … Beuh, bof … Mais bon lui il était craquant, il s'habillait comme un clodo mais bon il était craquant quand même … Et puis ces fringues de chiotte il suffirait de les lui enlever … Éh, éh, éh …
Je l'imaginait sur son tracteur. Ça fait viril ça un tracteur ? C'est mieux que des yeux de biches pour un mec ! La discussion allait bon train, le thé était fade, si j'avais pas braillé un peu j'aurai même pas eu de sucre … Encore cette histoire de régime BIO … Mais c'est quoi cette marque de péquenauds ? Finalement c'est pas le thé qui était fade, j'avais mis quatre sucres, c'était l'apéro … Il n'y avait rien à boire ! Même pas une petite goûte de Vodka, de Gin, Whisky … Pfffff … C'est pas une manière de vivre ça. On aurait pu aller faire des courses mais dans ces coins paumés tout est fermé passé vingt heure et en plus le magasin le plus proche est à vingt kilomètres au moins ! On n'a pas idée de venir s'installer dans un endroit pareil ! Il faut être à moitié barge pour avoir de telles pensées !

Après le repas on traînait un peu autour de la piscine, je prévoyais de faire quelques plongeons, vous savez que je nage comme un dauphin … Moi c'est simple dès que je vois une étendue d'eau libre et sauvage, comme une piscine par exemple, rien ne peut me retenir. Il faudrait vraiment penser à la faire recouvrir cette piscine ! Et la chauffer pour l'hiver !

Étienne : Et tu fais quoi dans la vie toi Benoît ?
Moi : Bein euh … Je …Nadine : Il glande …Hélène : Il se branle !
Moi : Mééééé … !
Étienne : Non je voulais dire comme travaille …Hélène : Il glande !
Nadine : Il vit de ses rentes …Étienne : C'est vrai ça ? Tu ne bosses pas ?
Moi : Bein … C'est que …Nadine : Non il ne bosse pas !
Hélène : Il glande !
Moi : Mais c'est fini ça les filles … Le moi dernier par exemple, j'ai été très occupé …Nadine : C'est vrai que c'était les soldes !

Tout le monde éclatait de rire … Sauf moi … Je faisais la moue … Pfff … Elles m'embêtent !

Il était bien foutu ce Étienne ! Je le regardais quand il retirait sa chemise de cow-boy super classe, belle musculature, belles proportions … Il était bronzé, je l'imaginait en train de conduire son tracteur, torse nue, les cheveux dans le vent, un chapeau sur la tête façon Indiana Jones, un petite chaîne en or autour du cou. Je me disais que finalement la vie à la campagne, ça a du bon !

Rapidement mon imagination m'entraînait, j'étais assis sur le capot de son tracteur, je le regardait conduire au travers des champs, un gros bazar ( je sais pas comment ça s'appelle ces trucs là moi ) ramassais les choux qui retombaient dans la benne qui nous suivait. Il me souriait, un éclat de lumière sur ses dents blanches, un sourire à tomber, je lui tendais un verre de champagne … Euhhh , d'un coup je suis pas sûr là pour le champagne … Mais bon c'est pas grave !

Étienne arrêtait son tracteur et en descendait, je contemplait longuement ses épaules, son dos musclé et bronzé, et son cul. Son pantalon lui faisait un cul je ne vous dis pas. C'est ça de choisir une grande marque ! Ses soulier cirés lui donnaient une élégance de gentlemen cow-boy ! Je sautais avec légèreté sur le sol et retombais avec élégance … Hop !

On se regardait, il me souriait et de la tête me faisait signe de le suivre. Il m'entraînait dans la benne qui était accrochée juste derrière son véhicule, il y avait un douillet coussin de blé sur lequel nous nous allongions l'un à côté de l'autre. A côté de nous, soigneusement rangées un tas de tomates, dans un autre coin un tas de choux, des pommes ainsi que des filets de pommes de terre justes cueillies …
Je m'approchais de lui, sa peau était chaude et sentait bon le soleil, une peau douce et brune, légèrement poilue d'une toison très douce. Je lui caressais doucement le torse, je m'attardais sur ses tétons, je les embrassais, les suçais il penchait la tête en arrière en gémissant de plaisir, il me caressais les cheveux. Mes doigts se promenaient sur son ventre, il était bien musclé, ça muscle la conduite du tracteur … Je sentais ma queue qui commençait à se manifester.

Il me repoussait en arrière, je me laissais faire et me retrouvais allongé sur le dos, il se penchait sur moi à son tour et je devinais la douceur des ses lèvres, la fermeté de son corps, sa force. Je sentais quelque chose de dur en haut de sa cuisse et c'était pas son téléphone …
Je retirais ma chemise.

On s'agrippait l'un à l'autre, il me tenait serré contre lui, je le retenais, il faisait chaud et il était brûlant de cette brûlure qui fait qu'on en redemande tant elle est douce et agréable … La chaleur humaine ne brûle pas vraiment. Je le retournais et c'est moi qui était sur lui maintenant. Son corps était musclé de partout et ses fesses étaient fermes et rondes. Je commençais à baver d'envie. Je m'imaginais déjà en train de le sucer, il semblait prometteur, il avait une grosse bite c'est sûr. C'est mieux quand on se fait enculer ça, une grosse bite !

Il se relevait juste devant moi, et je voyais ouvrir son pantalon, il bougeait au ralenti. Il avait dégrafé son ceinturon, quand je dis qu'il ressemble à un cow-boy, il ouvrait le premier bouton de son jeans, les autres suivaient sans résister, il portait déjà un maillot de bain et dévoilait ses jambes, je n'avais pas encore vu ses jambes. Belles, fines, longues, musclées et recouverte de cette douce fourrure qu'on s'attend à trouver chez un homme … Viril … J'admirais la jolie bosse très prometteuse, mais je m'en doutait déjà, son maillot de bain très ajusté le mettait en valeur … Ouai ! Viril … Je me disais qu'elle en avait de la chance Mathilde … Non c'est pas Mathilde , Florence … C'est pas ça non plus ! Nathalie, Lucienne … Je sais plus et je m'en fout !

Il me regardait, devinait-il mes pensées à ce moment précis, il posait son pantalon juste à côté de lui, il plongeait et m'arrosait, j'étais trempé … Il l'avait fait exprès l'andouille …
Au moins je retrouvais mes esprits ! J'allais passer moi aussi un maillot de bain et plongeais à mon tour dans la piscine ou les deux filles l'avaient rejoint.

La soirée avançait, j'avais donc bien un peu rêvé sur le physique et le corps superbe d’Étienne, mais bon … C'est le petit copain d'une grande copine de ma petite sœur … Alors ! Je préférais me retenir … Ma sœur est un peu chatouilleuse sur le sujet … Tout ça depuis que je lui avais piqué son copain quand on était à la petite école … C'était il y a des années et elle y pense encore. Elle m'a dit que si jamais je recommençais elle me ferait subir … Non je veux pas vous le dire, rien que d'y penser ça fait trop peur, et pourtant je suis courageux !

Je me rappelais brusquement que je n'avais pas vidé mon coffre.

Moi : Les filles ! J'ai laissé mon bagage dans mon coffre, il faut que j'aille le chercher ! Quelqu'un peut venir m'aide ?

Les deux filles se regardaient incrédules …
Nadine : Non j'y crois pas ! ( puis me regardant ) Ne me dis pas que …Moi : Je te jure que cette fois ci j'ai voyagé léger …
Étienne : Si tu veux mais tu as … Une valise ?
Moi : J'ai presque rien, je ne suis là que pour un mois …
Étienne enfilait rapidement un T-shirt, on était en maillot de bain. Il fallait bien, à cause des filles, entre mec on aurait été en maillot de bain mais sans maillot de bain … éh, éh, éh… Je ne sais pas si je suis clair là ? Bref ! Il me regardait, je passais un pantalon, une chemise que je refermais avec élégance …
Étienne : On va juste chercher une ou deux valises … Moi : Oui mais on va sortir !
Étienne : Ta voiture est juste devant la maison !
Moi : Oui mais elle est dehors !

Il tournait la tête vers les filles … Elles étaient pliées de rire …
Nadine : Quelqu'un pourrait vous voir et mon frère aime bien être présentable en toutes circonstances …
Je faisais ça vite et passait mes chaussures sans mettre de chaussettes … Nous arrivions à ma voiture, j'ouvrais le coffre et en sortait une valise, puis une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième un peu plus petite que les autres …
Étienne : Ah ! Tout de même … C'est pour un mois .
Moi : J'ai pris le stricte minimum …
J'ouvrais la portière arrière et en sortait une valise, puis une seconde … Je plongeait dans la voiture.

Étienne : C'est tout ?
Moi : Oui il n'y a presque plus rien … Elle est coincée …
Non sans effort, je tirais hors de la voiture une autre valise. Puis une toute petite valise genre bagage à main et enfin une sacoche .

Moi : Voilà ! ( D'un air tout content de moi ) Étienne : Le stricte minimum, je vois, remarque tu avais prévenu !

On faisait plusieurs tours et on déposait les bagages dans l'entrée …
Hélène : ( elle criait ) Oué ! C'est moi qui ai gagné ! Nadine tu avais dit huit moi j'avais dit plus …Nadine : La sacoche ne compte pas !
Hélène : La sacoche est un bagage. Ta ta ta … C'est moi qui ai gagné !

Étienne lâchait un grand soupir …
Moi : Tu m'as dit Nadine qu'il y avait une boîte sympa pas loin ?
Nadine : Oui mais tu ne vas pas nous quitter ?
Moi : Mais certainement pas, je vais passer toute la soirée avec vous mais je vais me changer parce que aussitôt après je passe y faire un tour …
Je partais vers ma chambre avec deux valises …
Moi : Et je voudrais pas arriver trop tard !

Je revenais prendre deux autres valises …
Moi : Mais en attendant je suis tout à vous !

Étienne s'était laissé tombé sur le canapé et me regardait faire, il avait l'air de ne pas croire ce qu'il voyait …
Étienne : Mais il est à peine neuf heures et demie !
Hélène : Et s'il désire y être pour minuit il ne faut pas qu'il traîne.
Nadine : Ne t'inquiète pas, tu va pas tarder à comprendre !
Moi : Mais ne vous inquiétez pas je suis avec vous toute la soirée !

Je m'enfermais alors dans ma chambre et en ressortait vers onze heures et demie !

Entre temps la nuit était tombée, ils s'étaient installés dans le salon et je devinais qu'ils parlaient de moi ! Je m'étais fait tout beau, costume élégant, pantalon bien ajusté, je veux dire par là bien serré mais qui ne gène pas les mouvements, chemise avec les deux boutons du haut ouverts, veste légère ouverte, foulard, petites chaussures souples en daim … J'avais gardé une certaine élégante-négligence-calculée en prenant soin de ne pas mettre de chaussettes …
Moi : Vous me trouvez comment ? Là ça va je n'ai pas trop forcé, c'est une boite de péquenauds, c'est peut être pas la peine d'en faire plus …Nadine : Vas y tourne toi … Ahhh ! Mais tu ne vas pas sortir avec cette chemise ?
Moi : Quoi ma chemise ! Quoi ma chemise ! Quoi ma chemise ?

Étienne mettait sa main devant sa figure et je l'entendais.

Étienne : C'est pas vrai ! J'y crois pas !
Moi : C'est ma chemise ? Mais dites ! … ( avec une angoisse incontrôlable dans voix )Hélène : Là tu le cherches ! Mais non mon trésor elle est très bien ta chemise !

Nadine éclatait de rire …
Hélène : Ne l'écoute pas elle te taquine, c'est tout, tu sais comment elle est … Moi : C'est vrai ? Si tu me voyais comme ça un soir au coin d'une rue tu serais impressionnée, séduite, enfin tu me remarquerais quoi ?

Étienne se retournait et je l'entendais rire, il n'en pouvait plus ! Nadine faisait pareil. J'avais même l'impression que Hélène avait aussi envie de rigoler mais j'étais pas sûr. Pourtant je suis perspicace !

Hélène : Ça c'est sûr je te remarquerais mais j'ai tout ce qu'il me faut à la maison …
De toutes façons je n'avais plus le temps pour me changer … Je leur faisait la bise à toutes les trois … Oui je sais ! … Puis je les laissais en leur lançant …
Moi : Bon les filles je vous laisse, soyez sages ! J'ai vraiment passé une super soirée !

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