Une histoire d'infidélité
Récit érotique écrit par Sherydaelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une histoire d'infidélité
Suite à mes premières expériences adultérines avec Eric, je ne parvenais plus à chasser de mon esprit une coupable mais imprescriptible envie de le revoir rapidement. Lui et moi échangions des messages de plus en plus chauds par nos portables interposés, et je cachais tant bien que mal à mon copain Alex la fébrilité qui m'envahissait à chacune des clandestines réponses de mon amant. Nous étions en été à Strasbourg, -pour restituer à ceux qui n'ont pas suivi- pendant les vacances étudiantes. Il faisait chaud mais Alex passait tout son temps sur son ordinateur à jouer à des jeux en ligne, me délaissant dramatiquement et ne me prêtant d'attention que pour contrôler mes allées et venues hors du studio que ses parents friqués avaient mis à sa disposition et dans lequel nous vivions en huis clos. J'étais contente, je n'avais pas de loyer à payer. Mais je devais supporter ce gars avec qui je sortais depuis la fin du lycée, et qui à présent se comportait comme un beauf de base fainéant, sans fantaisie ni curiosité. Pour lui un plan cul se résumait à un tripotage expéditif suivi d'un culbutage vite fait sous la couette. Je m'ennuyais ferme, je rêvais d'aventure.
Je brûlais de revoir au plus vite Eric, ce gars qui avait fait naître en moi un brasier intérieur que je ne me connaissais pas jusqu'alors. Ses messages me mettaient en feu. Il me parlait de ma chatte qui lui manquait, de sa bite qui était raide à force de penser à moi. Son langage était cru. Je lui répondais sur le même registre, ce qui était assez nouveau venant de moi. J’y prenais un plaisir certain et décomplexé. Il voulait que je le retrouve ce soir, il me donnait rendez-vous place de Haguenau vers 18h. Le studio où je vivais était proche des Halles, et j'inventais une histoire bidon mais plausible pour fausser compagnie à Alex. Je prétextais devoir faire des courses de fille à la pharmacie, et que ce soir j'étais de service au bar où je bossais l'été pour me faire de l'argent de poche. J'eus droit aux sempiternelles questions : ''tu rentres quand ?'' ''On mange quoi ?'' ''traîne pas en chemin...''. Je n'avais plus qu'une envie : ma barrer.
Je me prépare donc en milieu d'après midi. J'enfile une mini-jupe plissée blanche, très courte, mais je mets un legging sombre dessous pour ne pas faire criser Alex. Il ne sait pas que je ne porte pas de culotte. Je mets un tee-shirt noir sans prétention ni décolleté, avec dessous un soutif bonnet D que j'avais l'intention d'enlever à la première occasion histoire de satisfaire aux exigences d'Eric autant qu'à mes propres fantasmes de fille lubrique. Par dessus, j'enfile ma petite veste à franges couleur chamois et je chausse mes hautes bottes marron. Un peu de maquillage sans trop exagérer, et me voilà sortable en tout bien tout honneur. Alex ne soupçonne rien et me laisse partir, certes avec une moue résignée et un regard réprobateur. Mais je m'en fous.
Je file direct vers le centre commercial des Halles près de chez moi. Je sautille et suis toute excitée. Y'a pas mal de monde ce vendredi après-midi. J'imagine que vu la chaleur dehors, beaucoup de gens sont venus profiter de la clim dans les allées de boutiques. Je m'engouffre dans une enseigne de fringues où je sais que je trouverai mon bonheur. Je prends un top bandeau noir qui semble à ma taille et je file le payer sans même l'essayer. Je vais direct dans la cabine d'essayage pour me changer. Je me débarrasse du legging et du tee-shirt que je fourre dans mon sac, puis j'enfile le top. La vache, j'ai visé un peu juste ; le bout de tissu peine à contenir ma poitrine. Mon petit ventre est à l'air et ça me fait un décolleté limite scandaleux. Mon cœur bat vite, j'hésite. Je tire sur le top pour le faire remonter, mais il est trop court. Je remet ma petite veste à franges dessus et me regarde dans la glace. Très sympa, mais c'est presque au-delà du sexy. Je doute, me résous finalement à prendre autre chose mais au moment d'agir, sur une impulsion subite, je sors de la cabine en me disant ''soyons folle, courage !'' Une vendeuse me voit et me scrute. Elle fait de grands yeux mais ne commente pas. Elle me demande simplement ''Tout va bien ? Vous voulez encore essayer autre chose ?'' J'hésite. Et je mouille. ''Non merci, ça ira, bonne journée.''
Je sors de la émoustillée et me retrouve dans la galerie. Je regarde autour de moi, pour me rassurer je me dis que le groupe de nanas là-bas, avec leurs mini-shorts et leurs débardeurs sont à peu près aussi couvertes que moi. Oui mais moi j'ai une mini-jupe et rien en dessous. Je continue mon chemin, je traverse le sas d'entrée du centre commercial. La clim souffle et soulève le bout de tissu plissé qui me couvre les fesses. Je frémis mais ne mouille pas moins. Les mecs qui me croisent me matent. Dehors il fait chaud. Je trottine dans la rue, je suis guillerette et j'ai hâte d'être sur le lieu du rendez-vous. J'entends des sifflets près de moi. Je viens de dépasser en groupe de cinq gars genre lascars à côté d'un arrêt de bus de la CTS. ''Vas-y, chouf la tchaïe'' dit l'un ''Eh, mademoiselle, où tu vas comme ça ? T'as deux minutes ?'' m'interpelle l'autre. Je ne m'arrête pas, je file. Je ne suis pas rassurée. Leurs intentions sont probablement fort louables, mais je préfère ne pas m'y risquer. ''Saaalope !'' entends-je au loin alors que je m'éloigne à grands pas.
Une salope. C'était peut-être ce que j'étais en train de devenir. Je courrais pour aller tromper mon copain, et attifée comme la dernière des traînées. Étrangement, je me sentais dans mon élément, je n'avais ni honte ni remord. Non, je crois que je ne suis pas une salope, je suis simplement moi-même et pour une fois, je sais exactement ce que je veux. J'ai laissé au placard mes inhibitions et je compte bien profiter de ma vie. La place de Haguenau est enfin en vue. Il est genre 18h. Je me hâte de traverser la rue, entre les files de voiture. Mes seins ballottent et le top sans bretelles tend à glisser vers le bas ; je suis obligée de le tirer vers le haut régulièrement sinon je vais carrément me retrouver avec toute la marchandise à l'air. Voilà, j'y suis. Je regarde vite fait autour de moi. Personne. Quelle idée d'avoir installé un parc au beau milieu d'un rond point. Je me fous sur un banc en croisant les jambes, à l'ombre des arbres. L'air de jeu pour les gosses est désert. Où est Eric ? Je ne le vois pas, je prends mon portable et envoie un sms. Ca bip même pas une minute après. ''Écarte un peu tes jambes.'' Le filou, il me voit, il doit être planqué dans le coin. Je scrute le secteur mais il est bien caché. Mon cœur bat plus vite. J'obtempère donc. J'ouvre mes cuisses, assise sur mon banc. J'expose ma chatte toute mouillée et ma toison taillée méticuleusement en petit triangle ras. Nouveau bip. ''belle vue, c'est splendide. Caresse toi un petit peu.'' Il prend la peine d'écrire ses messages sans abréviation. J'ai un peu peur, j'hésite. Nouveaux coups d’œil aux alentours. Pas un chat. Bon. Je m’exécute. Doucement, je fais circuler mes doigts le long de mes cuisses jusqu'à les promener nonchalamment sur ma chatte. J'essaye de prendre un air décontracté, du genre l'air de rien, ni vu ni connu. C'est idiot, si quelqu'un passait par là, il ne verrait que ça : une fille en train de se tripoter sur un banc. Je suis le sillon de mes lèvres avec mon index. Mon bas-ventre est chaud. Je ruisselle. J'écarte mes grandes lèvres et fais glisser mes doigts au dedans. Je frôle mon clito. Je m'électrise moi-même. Doucement je me masse. C'est souverain. Je mord ma lèvre inférieure pour réprimer un feulement. Je m'enfonce un peu plus, je me caresse. Je commence à me lâcher, à abandonner toute prudence. Je gémis doucement et écarte davantage mes jambes pour faciliter le passage de ma main. Si je continue comme ça, je vais jouir. Je suis en train de me dire que je suis toute seule, là, sur ce banc, mais je suis beaucoup plus excitée et épanouie que je ne l'ai jamais été avec Alex.
''Alors mademoiselle, on se masturbe en plain air ?'' fait une voix faussement sérieuse près de moi. Eric ! Toute absorbée par mon affaire, je ne l'avais pas entendu surgir. Je lève des yeux brillants vers lui. ''Eh oui mon lapin, et on dirait bien que ça te plaît !'' ''Tu parles que ça me plaît !'' répond-il avec un sourire jusqu'aux oreilles. Il porte des converses, un bermuda en toile sombre et un tee-shirt blanc à col lacé. Il m'aide à me lever et m'embrasse à pleine bouche. Je saisis sa tête entre mes mains et lui rends son baiser comme une sauvageonne. Comme je suis heureuse de revivre une telle fougue ! Sans vergogne, Eric pose sa main sur un de mes nichons et me pelote avec enthousiasme. Je me laisse faire, je trouve ça tellement cool de me faire désirer et tripoter de cette façon. Il y va franchement et me met son autre main au cul, par dessous ma mini-jupe. Mon top qui avait déjà du mal à tenir en place tout seul est rapidement chassé par les doigts de mon amant qui pétrissent ma poitrine dénudée avec une délectation manifeste. C'est dingue, maintenant j'ai carrément envie qu'il me prenne et me fasse jouir là, maintenant, au milieu de ce parc urbain presque désert, à deux pas des bruits de klaxon et de la circulation dense. Il continue à gober ma bouche, à y enfouir sa langue et à me masser les fesses et les seins. Rien ne semble vouloir le motiver à s'arrêter et moi-même je ne me sens pas la volonté de mettre un terme à cette étreinte passionnée et décomplexée.
Du coin de l’œil, je vois un vieux type maigre en polo rayé qui traverse le parc avec son teckel. Nous sommes sur sa trajectoire. Il nous a vu. Les vestiges de pudeur qui persistent encore en moi me font reprendre conscience de ma situation, de ma tenue. Mes lèvres se déparent de celles d'Eric, je me dégage doucement. Il résiste une seconde, par principe, puis obtempère et me laisse m’éloigner de lui, à contrecœur. Il a compris et regarde lui aussi le vieux monsieur. ''Bonsoir'' fit-il, poliment. L'homme lui rend son bonsoir d'un air austère, puis me regarde. Il ne dit rien de plus et continue son chemin. J'ai cru le voir sourire. Cette interruption me frustre. Mon entrejambe est toute humide. Eric me chuchote à l'oreille : ''J'ai envie de te prendre. Tu me fais bander.'' Je me mords la lèvre inférieure et le regarde droit dans les yeux avec un air concupiscent. Moi aussi j'en ai terriblement envie. ''Viens'' me dit-il.
Il me prend la main et me guide vers un endroit plus tranquille. On traverse le pont direction Schiltigheim, là à gauche de la route il y a un coin avec de l'herbe et des bosquets d'arbres. Je le suis, toute excitée. Nous voilà un peu plus à l'abri, il plonge à nouveau sur moi pour m'embrasser. Il me pousse contre un tronc de peuplier et par derrière soulève ma courte jupe. Il fait glisser son bermuda. Il n'a pas de dessous lui non plus. Je sens sa verge plaquée contre mes fesses. D'un geste, il abaisse mon top, libérant mes nichons qui ballottent à l'air. Mes paumes plaquées contre l'écorce grise, je me penche légèrement en avant et cambre mon cul. Je suis toute mouillée et Eric n'a aucune peine à enfourner son sexe dans ma chatte exposée. Il attrape mes seins dans ses mains franches et commence à limer. Il y va sans chichis, de plus en plus vite. Mes tétons sont tout durcis. C'est si bon, j'ai du mal à réprimer des gémissement. Sa bite est énorme comparée à celle de Alex, je la sens aller et venir au fond de moi avec une immense délectation. A chaque fois qu'il me prend, c'est comme si il comblait un vide insondable et incommensurable que jamais Alex n'avait réussi à assouvir. En peu de temps, il arrive à me faire jouir. Je grogne, je feule, je gémis, je me crispe et halète. Lui pousse quelques râles sourds et se vide en moi en plusieurs giclées, à l'occasion de coups de boutoirs puissants et profonds. Il reste en moi quelques instants après avoir éjaculé. ''T'es vraiment extra,'' me susurre-t-il en appuyant sa tête par dessus mon épaule. Puis il se retire et remonte son froc. Tout ça a été très rapide. Ca n'en était pas moins bon. ''T'es pas mal non plus. J'espère qu'il te reste des forces.'' Je remets mon top en place et lisse les plis de ma mini-jupe. Je sens une coulée de foutre dégouliner de ma chatte et glisser le long de l'intérieur ma cuisse. Et je n'ai pas de culotte pour remédier à ceci. Tant pis, me dis-je en riant intérieurement.
Eric m’emmène ensuite dans un restaurant asiatique du quartier où il avait réservé une table pour 20h. La salle n'est pas immense, l'ambiance plutôt feutrée. Quelques clients nous ont précédés, mais nous arrivons parmi les premiers. Nous avons comme toujours bien discuté pendant que nous marchions : en plus d'être un excellent coup, Eric est aussi quelqu'un d'intelligent et de drôle. Il fait des études à l'INSA de Strasbourg, une école d'ingénieurs en sciences appliquées. J'ai beaucoup de plaisir à être en sa compagnie et je prends la ferme résolution de larguer Alex dès que j'aurais solutionné mon problème de logement. Nous nous installons, commandons et sirotons nos apéros. Je me penche vers lui pour causer par dessus la table et il caresse mes mains. Je sens mon top qui glisse. J’amorce un geste pour le remettre mais m'interrompt. Non. Pas touche. Ca m'excite de jouer l'exhib comme ça. J'attends de voir comment Eric réagira. Le tissu est juste au dessus de mes tétons. Il ne dit rien mais n'en perd pas une miette. Sous la table, je lui fait du pied en remontant sa jambe. Je reprends une chips et le top continue sa glissade. Ca y'est, d'une côté, un petit téton rose tout durci fait son apparition. C'est évidemment le moment que choisit la serveuse pour livrer les plats. C'est une asiatique d'une quarantaine d'années. La femme du patron ? Je vois à la trajectoire de ses yeux qu'elle a remarqué l'état de ma tenue. Très diplomate, elle se penche à mon oreille avant de se retirer et me dit avec un accent vietnamien ''Attention mademoiselle, votre haut est en train de glisser.'' Je rougis. Mais plutôt que de remonter mon top, j'ajuste ma veste à franges pour qu'elle vienne dissimuler ce téton. Évidemment, à peine je bouge pour saisir les baguettes que mon téton fait de nouveau coucou au monde extérieur, suivi de près par le deuxième. J'enfourne des bouchées à l'aide de mes baguettes tout en continuant à bavarder et à rire. Eric plaisante en discutant, son regard n'a de cesse de déraper sur mes seins. Les autres clients ne peuvent pas me voir, excepté un mec assis à la table la plus proche de nous. Je m'en fous, je reste comme ça, poitrine à découvert, et je mouille sur ma chaise. Ca n'a pas l'air de le déranger de toute façon, lui aussi jette des regards insistants vers moi. La frustration nous gagne, on ne peut pas faire grand chose d'autre que se faire du pied. Eric et moi expédions notre repas en nous dévorant mutuellement du regard. Je remonte mon top au moment de payer et nous nous jetons dehors comme si nous étions en retard à un rendez-vous.
A peine dans la rue, je me jette sur Eric pour l'enlacer et nous nous livrons à une étreinte passionnée. Il m'embrasse partout, sur le visage, sur le cou, sur mes seins. Je passe une main sous son tee-shirt, je pose une autre sur son cul. Je sens qu'il bande. Je mouille. On peut pas en rester là. Il propose de m'emmener chez lui. Sa voiture n'est pas garée loin. Nous marchons à pas pressés, je suis presque sautillante. Sa golf, un modèle vert bouteille plus tout jeune, est garée le long d'un trottoir, entre d'autres véhicules. Devant la voiture, nous nous enlaçons encore, nous nous embrassons. Il déverrouille les portières, on s'installe. Il démarre et on se met en route.
La suite, si vous la voulez, dans un prochain récit.
Je brûlais de revoir au plus vite Eric, ce gars qui avait fait naître en moi un brasier intérieur que je ne me connaissais pas jusqu'alors. Ses messages me mettaient en feu. Il me parlait de ma chatte qui lui manquait, de sa bite qui était raide à force de penser à moi. Son langage était cru. Je lui répondais sur le même registre, ce qui était assez nouveau venant de moi. J’y prenais un plaisir certain et décomplexé. Il voulait que je le retrouve ce soir, il me donnait rendez-vous place de Haguenau vers 18h. Le studio où je vivais était proche des Halles, et j'inventais une histoire bidon mais plausible pour fausser compagnie à Alex. Je prétextais devoir faire des courses de fille à la pharmacie, et que ce soir j'étais de service au bar où je bossais l'été pour me faire de l'argent de poche. J'eus droit aux sempiternelles questions : ''tu rentres quand ?'' ''On mange quoi ?'' ''traîne pas en chemin...''. Je n'avais plus qu'une envie : ma barrer.
Je me prépare donc en milieu d'après midi. J'enfile une mini-jupe plissée blanche, très courte, mais je mets un legging sombre dessous pour ne pas faire criser Alex. Il ne sait pas que je ne porte pas de culotte. Je mets un tee-shirt noir sans prétention ni décolleté, avec dessous un soutif bonnet D que j'avais l'intention d'enlever à la première occasion histoire de satisfaire aux exigences d'Eric autant qu'à mes propres fantasmes de fille lubrique. Par dessus, j'enfile ma petite veste à franges couleur chamois et je chausse mes hautes bottes marron. Un peu de maquillage sans trop exagérer, et me voilà sortable en tout bien tout honneur. Alex ne soupçonne rien et me laisse partir, certes avec une moue résignée et un regard réprobateur. Mais je m'en fous.
Je file direct vers le centre commercial des Halles près de chez moi. Je sautille et suis toute excitée. Y'a pas mal de monde ce vendredi après-midi. J'imagine que vu la chaleur dehors, beaucoup de gens sont venus profiter de la clim dans les allées de boutiques. Je m'engouffre dans une enseigne de fringues où je sais que je trouverai mon bonheur. Je prends un top bandeau noir qui semble à ma taille et je file le payer sans même l'essayer. Je vais direct dans la cabine d'essayage pour me changer. Je me débarrasse du legging et du tee-shirt que je fourre dans mon sac, puis j'enfile le top. La vache, j'ai visé un peu juste ; le bout de tissu peine à contenir ma poitrine. Mon petit ventre est à l'air et ça me fait un décolleté limite scandaleux. Mon cœur bat vite, j'hésite. Je tire sur le top pour le faire remonter, mais il est trop court. Je remet ma petite veste à franges dessus et me regarde dans la glace. Très sympa, mais c'est presque au-delà du sexy. Je doute, me résous finalement à prendre autre chose mais au moment d'agir, sur une impulsion subite, je sors de la cabine en me disant ''soyons folle, courage !'' Une vendeuse me voit et me scrute. Elle fait de grands yeux mais ne commente pas. Elle me demande simplement ''Tout va bien ? Vous voulez encore essayer autre chose ?'' J'hésite. Et je mouille. ''Non merci, ça ira, bonne journée.''
Je sors de la émoustillée et me retrouve dans la galerie. Je regarde autour de moi, pour me rassurer je me dis que le groupe de nanas là-bas, avec leurs mini-shorts et leurs débardeurs sont à peu près aussi couvertes que moi. Oui mais moi j'ai une mini-jupe et rien en dessous. Je continue mon chemin, je traverse le sas d'entrée du centre commercial. La clim souffle et soulève le bout de tissu plissé qui me couvre les fesses. Je frémis mais ne mouille pas moins. Les mecs qui me croisent me matent. Dehors il fait chaud. Je trottine dans la rue, je suis guillerette et j'ai hâte d'être sur le lieu du rendez-vous. J'entends des sifflets près de moi. Je viens de dépasser en groupe de cinq gars genre lascars à côté d'un arrêt de bus de la CTS. ''Vas-y, chouf la tchaïe'' dit l'un ''Eh, mademoiselle, où tu vas comme ça ? T'as deux minutes ?'' m'interpelle l'autre. Je ne m'arrête pas, je file. Je ne suis pas rassurée. Leurs intentions sont probablement fort louables, mais je préfère ne pas m'y risquer. ''Saaalope !'' entends-je au loin alors que je m'éloigne à grands pas.
Une salope. C'était peut-être ce que j'étais en train de devenir. Je courrais pour aller tromper mon copain, et attifée comme la dernière des traînées. Étrangement, je me sentais dans mon élément, je n'avais ni honte ni remord. Non, je crois que je ne suis pas une salope, je suis simplement moi-même et pour une fois, je sais exactement ce que je veux. J'ai laissé au placard mes inhibitions et je compte bien profiter de ma vie. La place de Haguenau est enfin en vue. Il est genre 18h. Je me hâte de traverser la rue, entre les files de voiture. Mes seins ballottent et le top sans bretelles tend à glisser vers le bas ; je suis obligée de le tirer vers le haut régulièrement sinon je vais carrément me retrouver avec toute la marchandise à l'air. Voilà, j'y suis. Je regarde vite fait autour de moi. Personne. Quelle idée d'avoir installé un parc au beau milieu d'un rond point. Je me fous sur un banc en croisant les jambes, à l'ombre des arbres. L'air de jeu pour les gosses est désert. Où est Eric ? Je ne le vois pas, je prends mon portable et envoie un sms. Ca bip même pas une minute après. ''Écarte un peu tes jambes.'' Le filou, il me voit, il doit être planqué dans le coin. Je scrute le secteur mais il est bien caché. Mon cœur bat plus vite. J'obtempère donc. J'ouvre mes cuisses, assise sur mon banc. J'expose ma chatte toute mouillée et ma toison taillée méticuleusement en petit triangle ras. Nouveau bip. ''belle vue, c'est splendide. Caresse toi un petit peu.'' Il prend la peine d'écrire ses messages sans abréviation. J'ai un peu peur, j'hésite. Nouveaux coups d’œil aux alentours. Pas un chat. Bon. Je m’exécute. Doucement, je fais circuler mes doigts le long de mes cuisses jusqu'à les promener nonchalamment sur ma chatte. J'essaye de prendre un air décontracté, du genre l'air de rien, ni vu ni connu. C'est idiot, si quelqu'un passait par là, il ne verrait que ça : une fille en train de se tripoter sur un banc. Je suis le sillon de mes lèvres avec mon index. Mon bas-ventre est chaud. Je ruisselle. J'écarte mes grandes lèvres et fais glisser mes doigts au dedans. Je frôle mon clito. Je m'électrise moi-même. Doucement je me masse. C'est souverain. Je mord ma lèvre inférieure pour réprimer un feulement. Je m'enfonce un peu plus, je me caresse. Je commence à me lâcher, à abandonner toute prudence. Je gémis doucement et écarte davantage mes jambes pour faciliter le passage de ma main. Si je continue comme ça, je vais jouir. Je suis en train de me dire que je suis toute seule, là, sur ce banc, mais je suis beaucoup plus excitée et épanouie que je ne l'ai jamais été avec Alex.
''Alors mademoiselle, on se masturbe en plain air ?'' fait une voix faussement sérieuse près de moi. Eric ! Toute absorbée par mon affaire, je ne l'avais pas entendu surgir. Je lève des yeux brillants vers lui. ''Eh oui mon lapin, et on dirait bien que ça te plaît !'' ''Tu parles que ça me plaît !'' répond-il avec un sourire jusqu'aux oreilles. Il porte des converses, un bermuda en toile sombre et un tee-shirt blanc à col lacé. Il m'aide à me lever et m'embrasse à pleine bouche. Je saisis sa tête entre mes mains et lui rends son baiser comme une sauvageonne. Comme je suis heureuse de revivre une telle fougue ! Sans vergogne, Eric pose sa main sur un de mes nichons et me pelote avec enthousiasme. Je me laisse faire, je trouve ça tellement cool de me faire désirer et tripoter de cette façon. Il y va franchement et me met son autre main au cul, par dessous ma mini-jupe. Mon top qui avait déjà du mal à tenir en place tout seul est rapidement chassé par les doigts de mon amant qui pétrissent ma poitrine dénudée avec une délectation manifeste. C'est dingue, maintenant j'ai carrément envie qu'il me prenne et me fasse jouir là, maintenant, au milieu de ce parc urbain presque désert, à deux pas des bruits de klaxon et de la circulation dense. Il continue à gober ma bouche, à y enfouir sa langue et à me masser les fesses et les seins. Rien ne semble vouloir le motiver à s'arrêter et moi-même je ne me sens pas la volonté de mettre un terme à cette étreinte passionnée et décomplexée.
Du coin de l’œil, je vois un vieux type maigre en polo rayé qui traverse le parc avec son teckel. Nous sommes sur sa trajectoire. Il nous a vu. Les vestiges de pudeur qui persistent encore en moi me font reprendre conscience de ma situation, de ma tenue. Mes lèvres se déparent de celles d'Eric, je me dégage doucement. Il résiste une seconde, par principe, puis obtempère et me laisse m’éloigner de lui, à contrecœur. Il a compris et regarde lui aussi le vieux monsieur. ''Bonsoir'' fit-il, poliment. L'homme lui rend son bonsoir d'un air austère, puis me regarde. Il ne dit rien de plus et continue son chemin. J'ai cru le voir sourire. Cette interruption me frustre. Mon entrejambe est toute humide. Eric me chuchote à l'oreille : ''J'ai envie de te prendre. Tu me fais bander.'' Je me mords la lèvre inférieure et le regarde droit dans les yeux avec un air concupiscent. Moi aussi j'en ai terriblement envie. ''Viens'' me dit-il.
Il me prend la main et me guide vers un endroit plus tranquille. On traverse le pont direction Schiltigheim, là à gauche de la route il y a un coin avec de l'herbe et des bosquets d'arbres. Je le suis, toute excitée. Nous voilà un peu plus à l'abri, il plonge à nouveau sur moi pour m'embrasser. Il me pousse contre un tronc de peuplier et par derrière soulève ma courte jupe. Il fait glisser son bermuda. Il n'a pas de dessous lui non plus. Je sens sa verge plaquée contre mes fesses. D'un geste, il abaisse mon top, libérant mes nichons qui ballottent à l'air. Mes paumes plaquées contre l'écorce grise, je me penche légèrement en avant et cambre mon cul. Je suis toute mouillée et Eric n'a aucune peine à enfourner son sexe dans ma chatte exposée. Il attrape mes seins dans ses mains franches et commence à limer. Il y va sans chichis, de plus en plus vite. Mes tétons sont tout durcis. C'est si bon, j'ai du mal à réprimer des gémissement. Sa bite est énorme comparée à celle de Alex, je la sens aller et venir au fond de moi avec une immense délectation. A chaque fois qu'il me prend, c'est comme si il comblait un vide insondable et incommensurable que jamais Alex n'avait réussi à assouvir. En peu de temps, il arrive à me faire jouir. Je grogne, je feule, je gémis, je me crispe et halète. Lui pousse quelques râles sourds et se vide en moi en plusieurs giclées, à l'occasion de coups de boutoirs puissants et profonds. Il reste en moi quelques instants après avoir éjaculé. ''T'es vraiment extra,'' me susurre-t-il en appuyant sa tête par dessus mon épaule. Puis il se retire et remonte son froc. Tout ça a été très rapide. Ca n'en était pas moins bon. ''T'es pas mal non plus. J'espère qu'il te reste des forces.'' Je remets mon top en place et lisse les plis de ma mini-jupe. Je sens une coulée de foutre dégouliner de ma chatte et glisser le long de l'intérieur ma cuisse. Et je n'ai pas de culotte pour remédier à ceci. Tant pis, me dis-je en riant intérieurement.
Eric m’emmène ensuite dans un restaurant asiatique du quartier où il avait réservé une table pour 20h. La salle n'est pas immense, l'ambiance plutôt feutrée. Quelques clients nous ont précédés, mais nous arrivons parmi les premiers. Nous avons comme toujours bien discuté pendant que nous marchions : en plus d'être un excellent coup, Eric est aussi quelqu'un d'intelligent et de drôle. Il fait des études à l'INSA de Strasbourg, une école d'ingénieurs en sciences appliquées. J'ai beaucoup de plaisir à être en sa compagnie et je prends la ferme résolution de larguer Alex dès que j'aurais solutionné mon problème de logement. Nous nous installons, commandons et sirotons nos apéros. Je me penche vers lui pour causer par dessus la table et il caresse mes mains. Je sens mon top qui glisse. J’amorce un geste pour le remettre mais m'interrompt. Non. Pas touche. Ca m'excite de jouer l'exhib comme ça. J'attends de voir comment Eric réagira. Le tissu est juste au dessus de mes tétons. Il ne dit rien mais n'en perd pas une miette. Sous la table, je lui fait du pied en remontant sa jambe. Je reprends une chips et le top continue sa glissade. Ca y'est, d'une côté, un petit téton rose tout durci fait son apparition. C'est évidemment le moment que choisit la serveuse pour livrer les plats. C'est une asiatique d'une quarantaine d'années. La femme du patron ? Je vois à la trajectoire de ses yeux qu'elle a remarqué l'état de ma tenue. Très diplomate, elle se penche à mon oreille avant de se retirer et me dit avec un accent vietnamien ''Attention mademoiselle, votre haut est en train de glisser.'' Je rougis. Mais plutôt que de remonter mon top, j'ajuste ma veste à franges pour qu'elle vienne dissimuler ce téton. Évidemment, à peine je bouge pour saisir les baguettes que mon téton fait de nouveau coucou au monde extérieur, suivi de près par le deuxième. J'enfourne des bouchées à l'aide de mes baguettes tout en continuant à bavarder et à rire. Eric plaisante en discutant, son regard n'a de cesse de déraper sur mes seins. Les autres clients ne peuvent pas me voir, excepté un mec assis à la table la plus proche de nous. Je m'en fous, je reste comme ça, poitrine à découvert, et je mouille sur ma chaise. Ca n'a pas l'air de le déranger de toute façon, lui aussi jette des regards insistants vers moi. La frustration nous gagne, on ne peut pas faire grand chose d'autre que se faire du pied. Eric et moi expédions notre repas en nous dévorant mutuellement du regard. Je remonte mon top au moment de payer et nous nous jetons dehors comme si nous étions en retard à un rendez-vous.
A peine dans la rue, je me jette sur Eric pour l'enlacer et nous nous livrons à une étreinte passionnée. Il m'embrasse partout, sur le visage, sur le cou, sur mes seins. Je passe une main sous son tee-shirt, je pose une autre sur son cul. Je sens qu'il bande. Je mouille. On peut pas en rester là. Il propose de m'emmener chez lui. Sa voiture n'est pas garée loin. Nous marchons à pas pressés, je suis presque sautillante. Sa golf, un modèle vert bouteille plus tout jeune, est garée le long d'un trottoir, entre d'autres véhicules. Devant la voiture, nous nous enlaçons encore, nous nous embrassons. Il déverrouille les portières, on s'installe. Il démarre et on se met en route.
La suite, si vous la voulez, dans un prochain récit.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Rare de voir une jeune femme aussi libre de son corps et de ses mots, sans vulgarité ni excès. Sa confession sent le vrai, ce qui n'est pas fréquent non plus. On participe à son plaisir franc. Bref,note maxi encore.
Si certain veulent discuter avec moi, ma messagerie HDS est là pour recueillir vos propos :)
Merci pour commentaires :) Je vais tâcher de vous raconter la suite de ce qui s'est passé et pourquoi pas de quelques autres aventures que j'ai vécu entre temps en compagnie d'Eric avec qui je vis aujourd'hui, ou en compagnie d'autres en toute complicité avec mon conjoint libertin.
tu as servi l apero...continue...tu peux m'ecrire.
la suite vite
trés beau récit puissant et réaliste...
Votre histoire me donne plein d'idées érotiques très chaudes. Si cela vous intéresse je suis à votre disposition
Super bandante histoire comme on aime. Continue à être impudique.
vite la suite de cette belle soirée qui ne fait que commencer