Une histoire de voisinage 2 les rumeurs d'immeubles. - histoire érotique

Nous voilà donc samedi, il est dix heures, j'ai les yeux brumeux à la suite de ces folles parties de jambes en l'air. David m'a laissé un mot sur la table de chevet, me disant de rester dans le lit car il est partit chercher des viennoiseries pour me préparer un petit déjeuner.
Il est plein de tendresse, amoureux, c'est le mari idéal même si parfois il rentre tard le soir à cause de son travail pour rien au monde je n'irais en chercher un autre. Comme indiquer sur le mot, je reste dans le lit. Au bout de trente minutes, j'entends la porte d'entrée s'ouvrir, je sens l'odeur du café envahir l'appartement. Je le vois venir avec un plateau, il s'y trouve nos deux bols avec deux croissants, un pot de confiture et un verre de jus d'orange. Il le pose sur la commode, il se déshabille et se couche à mes côtés pour que l'on déjeune ensemble.
Nous prenons tout notre temps, et nous en profitons pour discuter de notre rencontre avec le voisinage. Il trouve les voisins très accueillant. Une fois le café bu et les croissants mangés, il se lève pour poser le plateau dans la cuisine et revient avec le pot de confiture.
Je lui demande ce qu'il va faire, un peu farceur je m'attends à tout venant de lui. Il s'allonge à côté de moi, met le pot sur sa table de chevet, l'ouvre et commence à m'en mettre sur le bout des seins. Le froid de la confiture me fait pointer. Il commence à lécher la confiture, ce qui crée en moi une certaine excitation, c'est la première fois qu'il joue avec ce genre de chose. Puis il continue d'en étaler sur mon ventre jusqu'à l'entrée de mon vagin. A mon tour, je prends le pot et je fais de même avec lui, autant jouer à son jeu. Visiblement, la sensation ne le laisse pas indifférent. Le goût sucré est très sympathique. Il me remet sur le dos et m'en met sur mon bouton magique qu'il aspire goulûment. Ce qui me fait immédiatement mouiller. De mon côté, je fais la même chose sur le bout de sa verge. Ce petit jeu me plaît beaucoup. Je l'aspire fortement, puis je laisse le pot de côté pour l'avaler. Je le prends en bouche, fait des vas et vient.
Aujourd'hui c'est l'inauguration de notre lit conjugal. Je me mets de côté, il caresse ma fente, puis introduit deux doigts dans mon vagin. Je mouille tellement que parfois je crois être une femme fontaine. Je prends position au dessus de sa verge, je veux le sentir en moi. Je m'empale sur lui, je commence les vas et vient, le sucre de la confiture fait qu'à chaque mouvement nous collons un peu. La position du chandelier est l'une de mes préférées car elle fait monter mon orgasme très rapidement, avant que celui-ci arrive, il me positionne à quatre pattes sur le lit, il me prend alors en levrette, je sens son bas du ventre fouetté mes fesses et son membre profondément en moi, les vas et vient sont plus viril. Cette position de soumission me rend folle.
Il me retourne ensuite sur le dos, il est toujours en moi et en plus il me lèche le bout de mes seins, je sens en moi l'orgasme monté. Je sens le bout de sa verge grossir et ses mains s'accrocher à mes fesses. Quand tout à coup, je sens le fluide du plaisir m'envahir.
Après un petit moment, de repos nous allons à la douche. Nous nous habillons et partons à la découverte de notre nouveau quartier et du parc qui entoure la résidence.
Je m'habilles avec un débardeur et un jean classique. Lui se prend un tee shirt et un pantalon normal. Nous descendons dans les escaliers. Robert nous croise et nous salue avec un large sourire.
J'espère que nos ébats n'ont pas réveillé l'immeuble, j'ai tout fais pour être le plus discrète possible. Nous partons en direction de l'artère principale de la rue, nous nous attablons à la terrasse d'un restaurant. Les serveuses sont aimables et le cuisinier très proche de ses clients. Le repas se déroule à merveille. Nous retournons ensuite en direction de notre résidence pour y visiter le parc. Le portail est sécurisé ce qui fait que seul les résidents ou les amis ou membres des familles peuvent y accéder. Il y a un terrain de jeu qui est au centre du parc, il y a un petit parcours sportif, et une fontaine représentant Vénus la déesse de l'amour.
Charles le professeur de mathématique est en train de faire un jogging, il s'arrête en nous voyant et nous salue, nous demande si l'accueil de la veille nous a plu. Nous lui indiquons que nous trouvons tout le monde très gentil et que c'est un plaisir de pouvoir vivre en harmonie dans une résidence comme la notre. Pendant la discussion, je sens son regard se balader sur le haut de ma poitrine découverte. Je n'y prête pas attention. Je vois un peu plus loin Béatrice qui est en train de jouer avec ses enfants dans l'endroit réserver. Je laisse Charles et David dans leur bavardage d'hommes. Ils doivent certainement avoir des points communs sur quelques sujets. Je vais donc voir Béatrice. Elle me salue, me fait la bise, puis m'invite à m'asseoir sur le banc à ses côtés.
Robin et Louise deux enfants très polis viennent aussi me dire bonjour. Dans notre premier secret de femme Béatrice me parle de son amour pour Thierry. Je fais de même avec mon mari et raconte la fierté de l'avoir rencontrer. Puis pour je ne sais quelle raison, elle se met à me parler du voisinage qui nous entoure. Elle trouve tout le monde serviable. Sauf Charles qu'elle trouve un peu vicieux quelques fois. Les deux jeunes étudiants ne font pratiquement jamais de bruits.
Robert le président du syndic est prêt à apporter son aide dès qu'il y a besoin. Puis elle me parle de Alain comme un dragueur permanent. Il est photographe pour un magasine de mode dans la région. Son mari quand à lui, travaille dans la marine ce qui fait qu'il part pratiquement trois mois par an pour des missions d'entraînement et le reste de l'année il est en caserne à cent kilomètres de la résidence. Elle m'indique que par la même occasion Marc est le suppléant de Robert en cas d'absence. Je prends note de tout ce qu'elle me dit comme ça je pourrais être plus naturelle avec mes voisins que je ne connais pas vraiment pour le moment. Ses jugements ne m'inquiètent pas précédemment avec David nous étions dans un immeuble ou personne ne se parlait, l'ambiance était même parfois pesante et ça jouer quelques fois sur notre libido.
Depuis notre arrivée, dans cette nouvelle résidence, je me sens revivre et mon mari aussi vu les deux jours qu'il m'a fait vivre avec plaisir. Je dis au revoir à Béatrice et part rejoindre David qui maintenant discute avec Johanna la petite amie de Paul. Je les rejoins leur discussion tourne autour des droits du travail. Nous nous saluons avec la jeune fille qui me demande si je fais des cours particuliers pour perfectionner son écriture de la langue française. Je lui dis alors que le soir je peux être disponible pour elle afin de l'aider dans la quête de son diplôme.
Le dimanche, mon mari se repose, demain il va aller travailler et moi de mon côté l'attendre jusqu'au soir c'est la première fois que je vais me retrouver seule dans cet appartement.
De plus comme la fin de l'année scolaire s'est terminé je vais subir cet emploi du temps jusqu'en septembre.
Le lundi, il est huit heure du matin, et j'entends un bruit de moteur derrière la porte du couloir, chose qui n'existait pas dans notre ancien immeuble, il y a une société de nettoyage qui vient s'occuper de l'entretien des couloirs et des escaliers. La dame m'explique, qu'elle vient une fois par semaine et qu'un homme s'occupe de la gestion des bacs d'ordures. L'immeuble est vraiment bien gérer. Je décide de déjeuner, j'écoute les nouvelles de la journée, puis je me décide à aller en ville acheter quelques objets de décoration pour donner de la vie à cet appartement. Je prend la voiture et me dirige vers une zone commerciale. J'achète une horloge, deux plantes d'intérieurs, une chaise longue et un parasol. Je retourne à la maison.
Et je commence à décharger mes emplettes du coffre de la voiture. Quand soudain la minuterie de la lumière s'éteint, se qui me procure un haut le cœur. La lumière se rallume, Marc le suppléant de Robert à la surveillance de la résidence promenait son chien quand il a entendu mon petit cri.
Il me dit de ne pas s'inquiéter le parking est sécurisé, mais il verra à l'occasion avec le responsable du syndic si la durée de la minuterie ne peut pas être un peu plus longue.
La sécurité des voisins est une priorité pour tous me dit-il...