Une histoire de voisinage, le concours de danse.
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2013 dans la catégorie Plus on est
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Une histoire de voisinage, le concours de danse.
Cinq jours après les événements de la salle de sport, Robert vient me voir en compagnie de Johanna. Il veut aller au centre ville dans une boutique spécialisé en tenue de soirée afin d'y tester des robes. Les cours de danses, nous ont permis d'être au point pour le concours.
Maintenant il va nous choisir une robe chacune afin d'être présentable lors de la soirée. Je prends la décision de les suivre. Robert nous invite à nous installer dans son véhicule. Nous arrivons dans le bourg, nous nous arrêtons à proximité de l'église et nous nous dirigeons devant une boutique de couturière. La dame qui se trouve à l'intérieur est une amie de Robert, elle nous emmène dans une pièce réservée au tenue de soirée. Il y a six robes à essayer, trois pour moi et le même nombre pour Johanna. J'en sélectionne une rouge et blanche, elle est magnifique, le plongeon dans le dos arrive jusqu'en bas des reins visiblement, le décolleté est en fine dentelle blanche. Je me mets en sous-vêtement et enfile la robe, je me dirige vers le miroir.
Elle est encore plus splendide. Le haut sous-pèse légèrement mes seins qui sont rehaussés, il y a une fente au niveau de la jambe droite ce qui facilitera les mouvements. La couturière et Robert sont satisfaits de mon choix. Johanna quand à elle essaye le même modèle mais noire avec une fine dentelle rouge à la place du blanc sur la mienne. Notre ami est ravi, ces robes sont magnifiquement bien portées. Nous remontons dans la boutique, Robert nous paye les tenues en remerciement et nous rentrons à la résidence. Johanna me propose de rester avec moi jusqu'à l'heure du départ pour le concours. J'accepte, se sera sans doute beaucoup plus facile de s'aider entre fille à l'heure des préparatifs. Il est dix-huit heure le concours commence dans deux heures. Marc vient toquer à ma porte, j'ouvre. Il vient nous signaler que nous partirons dans une heure à la villa de leur ami. Avec la jeune fille, nous nous douchons, nous habillons et nous maquillons. Au bout d'une demi-heure, la sonnerie de l'appartement retenti, j'ouvre se sont les deux hommes qui sont prêts. En entrant, leurs yeux s'écarquillent en nous voyant vêtues de la sorte. Après ce bref instant d'évasion, nous décidons de partir en direction de la villa.
Elle se situe à trente kilomètres de la résidence. Nous roulons paisiblement, Marc qui s'est installé à côté de moi, me glisse dans l'oreille que je suis totalement désirable dans cette tenue. Je lui retourne le compliment car lui aussi dans son ensemble il est beau. Complètement perdue dans mes pensées et à la fois un peu stressée, nous arrivons devant un immense portail noir. Il s'ouvre et apparaît devant nous une demeure extraordinaire, digne des films américains.
Le terrain est immense, j'aperçois un court de tennis, une statue en plein milieu du jardin.
La maison est soutenue par deux colonnes et la porte en bois est immense. Nous nous arrêtons devant cette entrée, un voiturier nous aide à descendre de la voiture qu'il prend pour aller la stationner dans un parking privée. Un major d'homme nous accueille sur le parvis, il est l'heure de rentrer et de se présenter à Thomas le propriétaire de cette maison et l'organisateur de cette soirée. Il nous fait faire un bref tour de la demeure, puis nous invite à venir dans le salon. Quelques invités sont déjà arrivés, d'autres vont suivre. On nous offre une coupe de champagne et quelques amuses bouches. Au bout d'une heure, toutes les personnes sont présentes.
Nous nous présentons à chacune d'elle de manière courtoise. L'ambiance est un peu électrique, une douce musique retenti depuis le sous-sol. Il s'agit d'une grande pièce avec pleins de miroir, un podium et aussi un disc-jockey qui diffuse les diverses mélodies que nous pouvons entendre.
L'organisateur de la soirée monte sur le podium, il demande le silence, et nous présente les quatre membres de son jury. Ils circuleront parmi les participants et attribueront des notes.
Les meilleurs seront cités en fin de prestation, et les gagnants recevront des cadeaux suivant leur performance. Les vainqueurs se verront offrir une récompense qui reste pour le moment secrète. Il nous propose de nous échauffer, le début des épreuves commencent dans cinq minutes.
J'en profite pour m'étirer, Johanna fait de même ainsi que Robert et Marc. Un décompte est lancé, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un c'est parti. C'est un zouk pour commencer, Robert me saisit par les hanches et me voilà dans une danse mémorable, collés-serrés, Marc fait de même avec sa cavalière, je ne vois même pas le temps passer.
Au bout de quatre minutes la musique s'arrête. Raphaël, l'un des membres du jury prend la parole, il y a dix couples de danseurs qui sont mis à l'écart et sont invités à récupérer leur récompense. Il s'agit d'un panier garni de produit de beauté. Avec mon cavalier, nous poursuivons la compétition. Marc et Johanna aussi. Quelques roulements de tambour, et voilà que la musique recommence. Ce coup-ci, le rythme est plus calme, c'est une salsa classique.
Avec Robert nous connaissons parfaitement les pas à faire suite aux entraînements précédents.
Au bout de cinq minutes, la musique s'arrête de nouveau et dix autres couples sont sélectionnés, ils ne feront plus partis du concours. Ils montent chacun leur tour sur le podium et reçoivent comme récompense, des chemises d'un grand couturier pour les hommes et de robe pour les femmes.
Nous ne sommes plus que cinq. Marc et Johanna sont toujours présents. Après le départ de tout ce monde, une alarme retenti, c'est le début d'une nouvelle chanson, les guitares raisonnent, nous voilà parti dans un rock endiablé. Je commence à transpirer, la chaleur est montée d'un cran. Quelques minutes après, la chanson s'arrête, j'ai le cœur qui palpite le concours devient de plus en plus stressant. Ce coup-ci c'est Thomas l'organisateur qui prend le micro et invite les trois couples qui ne continueront pas l'aventure. Eux reçoivent le panier garni et des tenues de grands couturiers. Nous nous retrouvons en duel avec Marc et Johanna. La finale promet d'être mémorable. Une musique beaucoup plus douce est diffusée. C'est un slow. Pendant cinq minutes, je suis collé à Robert, qui en profite pour me caresser le dos et me faire quelques bisous dans le cou. Ce qui m'électrise totalement. La mélodie ralenti, c'est la fin.
Thomas remonte sur le podium et annonce un fait exceptionnel. Le jury n'arrive pas à se départager. Johanna, Marc, Robert et moi même sommes vainqueurs de cette épreuve. Il nous invite sur le podium et deux personnes se rapprochent de nous. Ils nous tendent le panier garni avec les produits de beauté, les tenues de grands couturiers, une invitation dans un centre aquatique de balnéothérapie et quatre billets d'avion pour un séjour de deux semaines à Tahiti. Nous donnons l'accolade à Thomas. J'embrasse mes trois compagnons. Les autres invités déçus d'avoir perdu quittent la maison, tandis que le propriétaire de la maison nous invite dans un salon privé afin de boire une coupe de champagne et de manger un peu afin de reprendre un peu d'énergie.
Nous discutons de tout et de rien. Thomas nous propose de continuer cette conversation dans la piscine. Le soucis c'est que nous n'avons pas de maillots de bain. Aucun problème, il a une collection de tenue de bain à faire essayer autant le faire maintenant. Il appelle son major d'homme. Lui demande de récupérer un carton dans le sous-sol dans lequel se trouve la tenue.
Il revient au bout de cinq minutes, la marque des maillots masculins ressemblent fortement à celle que David mon mari vend sur internet ou dans la boutique à Paris. Je prends le carton effectivement, il s'agit de sa marque. Je ne dis rien. Je reçois mon carton, la marque est identique aux modèles masculins. David m'aurait menti ? Irait-il à Paris faire des essayages à des top-modèles ? Les questions fusent dans mon esprit. Johanna me sort de mes pensées, et me dit d'ouvrir le paquet. Ce que je fais aussitôt. Le maillot de bain est magnifique, il est en dentelle blanche, il est doux. Celui de la jeune fille est identique. Nous demandons au propriétaire des lieux un endroit ou nous pouvons nous changer. Une salle à l'abri des regards nous est proposé. Nous nous déshabillons, puis enfilons nos maillots. Nous découvrons dans le même temps qu'il s'agit d'un string et nos d'un maillot classique. Tant pis, un cadeau ne se refuse pas, se serait impossible. Depuis les événements de l'anniversaire de Johanna, j'ai comme l'impression d'être devenue beaucoup plus sure de mon corps, presque exhibitionniste je dirais par moment. Nous nous dirigeons vers la piscine, elle est bordée de bois et de transats.
Nous voyons les trois hommes à l'intérieur qui discute à l'intérieur. Nous entrons doucement dans l'eau, elle n'est pas profonde, un mètre cinquante, sa fraîcheur est surprenante. Thomas décide d'appeler son major d'homme, Alfonso, afin qu'il nous emmène deux bouteilles de champagnes avec ses flûtes. Le disc-jockey, Mathieu, qui a terminé le rangement de son matériel, vient nous rejoindre dans la piscine. Nous sommes six dans l'eau. Heureusement la piscine est grande. Au bout de quelques instants le Alfonso revient avec le champagnes. Il le pose sur le bord de l'étendue d'eau avec les verres. Le propriétaire propose à l'homme de maison de venir nous rejoindre dans l'eau. Nous voilà deux filles entourées par cinq hommes dans la piscine. Nous nous rapprochons de Robert et Marc, afin de trinquer à notre victoire commune.
Avec une petite dose d'ironie, Robert nous fait remarquer que nos seins sont visibles à travers le maillot à cause de l'eau. Un peu gênée nous mettons rapidement devant notre poitrine.
Marc se rapproche de moi, et commence à me faire des chatouilles dans le dos, il plonge sur l'eau m'en fait sous les pieds ce qui me provoque des petits cris et des rires aux éclats.
En remontant, je sens sa main me caresser les jambes jusqu'aux fesses ce qui me donne un grand frisson. Je me raccroche à son bras de peur de glisser, ce qui laisse apparaître mes globes. J'accepte alors qu'il m'enlève le haut du maillot. Me voilà seins nus, Johanna ne tarde pas à faire de même. Après nous sommes en terrain connu. Alfonso qui n'avait pas forcément des possibilités de rencontre dû à son travail resta les yeux grands ouverts devant le spectacle qui s'offrait à lui. Thomas n'était pas en reste. Après avoir bu quelques flûtes de champagnes l'ambiance monte d'un cran. Johanna qui trouve certainement en l'alcool un côté aphrodisiaque, embrasse à pleine bouche, on peut voir facilement les langues se liées entre elle. Marc se rapproche de moi dans le même instant et me retourne face à Alfonso.
Il lui propose de m'embrasser les seins. L'homme ne se fait pas prier pour attendre. Les caresses chaudes de sa langue m'excitent énormément. Je glisse ma main sous l'eau dans son maillot. Il a une verge impressionnante. Ma main est presque trop petite pour la contenir. Thomas voyant la scène se rapproche derrière moi, il me penche la tête en arrière et je sens sa bouche parcourir mon cou, mes tétons pointent durs. Robert rejoint Johanna, il la désire tellement, il lui caresse les seins, glisse ses doigts sous l'eau pour toucher sa vulve. Thomas nous propose de sortir de la piscine pour s'installer sur les transats. Je m'allonge sur le dos, les deux hommes sont complètement nus, j'avale leur sexe chacun leur tour. Des doigts se glissent sur l'élastique de mon string que je sens descendre le long de mes jambes qui s'écartent petit à petit. C'est Marc, il me soulève les jambes pour me faire un cunnilingus dont seul lui connaît le secret. Il me pénètre sa langue, joue avec mon clitoris, un orgasme arrive très vite.
Je pousse des gémissements de bonheur. Alfonso veut me prendre, Marc lui laisse la place. Sa verge est imposante, elle est longue certainement vingt centimètres mais c'est plutôt le diamètre qui me surprend, presque huit centimètres. Mes lèvres s'écartent doucement, je le sens qu'il pousse petit à petit, et d'un coup il est en moi. Il est tellement gros que je le sens me frotter le point G ce qui me propulse en un rien de temps au septième ciel.
Marc s'active dans ma bouche, alors que Thomas à califourchon se branle entre mes seins.
Je suis comblée de plaisir. Johanna de son côté, se fait pénétrer par Mathieu, elle prend du plaisir, je l'entends gémir, et même pousser des cris de jouissances répétitifs. De mon côté, je sens Alfonso accélérer les mouvements, son sexe grossit de plus en plus, je sens qu'il va exploser. Ce qui est le cas au bout de cinq minutes. Je sens le liquide chaud au fond de mon vagin qui coule entre mes cuisses. Son manque de pratique lui a procuré une sorte de précocité d'adolescent. Très excitant d'ailleurs. Thomas décide de s'allonger sur le transat, il veut que je m'empale sur lui. De l'autre côté, Johanna est prise en sandwich par Robert et Mathieu, elle est au bord de l'explosion. À califourchon, je prends le membre de Thomas que je mets à l'entrée de ma vulve encore ruisselante de plaisir.
Je m'enfonce sur lui, les vas et vient son énergique, une fois de plus je ne me contrôle plus.
Ma cyprine coule à flot. Marc qui dans le même temps s'en aperçoit en prend pour me glisser un doigt puis deux dans mon petit trou. Ce qui me provoque un arc électrique dans le corps.
Depuis la découverte de la double pénétration, j'en suis complètement accroc. Thomas me soulève, il veut me sodomiser et me partager avec Marc. Mon trou s'écarte petit à petit et je sens la verge me pénétrer sans douleur. Mon deuxième homme se présente face à moi. Et là c'est le déluge de plaisir. Les deux hommes me prennent en sandwich. J'ai cinq ou six orgasmes à la suite.
De son côté Johanna, à pris en bouche Mathieu, Robert et même Alfonso. Rapidement, les glands gonflent au contact de sa langue puis lui explosent totalement sur le visage. Le liquide de l'amour lui coule entre les seins jusqu'à sa petite fente. De mon côté, les hommes deviennent de plus en plus rapide. Leurs sexes gonflent de plus en plus, je sens la sève montée. Ils se déchargent en moi en même temps. Marc se retire de moi, j'en fais de même avec Thomas dont le sperme coule sur mes jambes. Quelle partie de jambe en l'air magnifique. J'ai encore pris énormément de plaisir. Nous prenons tous une douche commune à proximité de la piscine.
Thomas nous propose de dormir sur place. Nous acceptons. En rentrant dans la maison, nous buvons tous un grand verre d'eau. Après quelques instants, Thomas se rapproche de moi, il me demande pourquoi lorsque j'ai découvert la marque des maillots de bain j'ai changé de tête. Un peu surprise, je lui réponds franchement que David mon mari est le créateur de cette marque. Surpris, il me dit qu'il ne connaissait pas du tout l'existence d'une femme dans la vie de celui qui est censé être mon époux. Je lui demande alors des précisions.
Et d'un ton franc, il me signale que David a une femme sur Paris qu'il fréquente depuis de nombreuses années, il a même tendance parfois à aller dans les clubs échangistes son départ de la capitale l'avait même étonné. Un peu prise au dépourvue malgré la partie de jambes en l'air, je le remercie de cette information. Dans le même temps, il me dit que mon mari n'est pas très futé de faire du mal à une femme comme moi et que si je le souhaite, nous pouvons organiser une sorte de piège. J'accepte après tout moi aussi je me suis amusée, mais en apprenant cette nouvelle, je me dis qu'il est peut être temps que je me libère de ce poids.
Pour qui sait peut être avoir une réelle histoire d'amour après avoir connue de belles parties de sexe endiablées...
Maintenant il va nous choisir une robe chacune afin d'être présentable lors de la soirée. Je prends la décision de les suivre. Robert nous invite à nous installer dans son véhicule. Nous arrivons dans le bourg, nous nous arrêtons à proximité de l'église et nous nous dirigeons devant une boutique de couturière. La dame qui se trouve à l'intérieur est une amie de Robert, elle nous emmène dans une pièce réservée au tenue de soirée. Il y a six robes à essayer, trois pour moi et le même nombre pour Johanna. J'en sélectionne une rouge et blanche, elle est magnifique, le plongeon dans le dos arrive jusqu'en bas des reins visiblement, le décolleté est en fine dentelle blanche. Je me mets en sous-vêtement et enfile la robe, je me dirige vers le miroir.
Elle est encore plus splendide. Le haut sous-pèse légèrement mes seins qui sont rehaussés, il y a une fente au niveau de la jambe droite ce qui facilitera les mouvements. La couturière et Robert sont satisfaits de mon choix. Johanna quand à elle essaye le même modèle mais noire avec une fine dentelle rouge à la place du blanc sur la mienne. Notre ami est ravi, ces robes sont magnifiquement bien portées. Nous remontons dans la boutique, Robert nous paye les tenues en remerciement et nous rentrons à la résidence. Johanna me propose de rester avec moi jusqu'à l'heure du départ pour le concours. J'accepte, se sera sans doute beaucoup plus facile de s'aider entre fille à l'heure des préparatifs. Il est dix-huit heure le concours commence dans deux heures. Marc vient toquer à ma porte, j'ouvre. Il vient nous signaler que nous partirons dans une heure à la villa de leur ami. Avec la jeune fille, nous nous douchons, nous habillons et nous maquillons. Au bout d'une demi-heure, la sonnerie de l'appartement retenti, j'ouvre se sont les deux hommes qui sont prêts. En entrant, leurs yeux s'écarquillent en nous voyant vêtues de la sorte. Après ce bref instant d'évasion, nous décidons de partir en direction de la villa.
Elle se situe à trente kilomètres de la résidence. Nous roulons paisiblement, Marc qui s'est installé à côté de moi, me glisse dans l'oreille que je suis totalement désirable dans cette tenue. Je lui retourne le compliment car lui aussi dans son ensemble il est beau. Complètement perdue dans mes pensées et à la fois un peu stressée, nous arrivons devant un immense portail noir. Il s'ouvre et apparaît devant nous une demeure extraordinaire, digne des films américains.
Le terrain est immense, j'aperçois un court de tennis, une statue en plein milieu du jardin.
La maison est soutenue par deux colonnes et la porte en bois est immense. Nous nous arrêtons devant cette entrée, un voiturier nous aide à descendre de la voiture qu'il prend pour aller la stationner dans un parking privée. Un major d'homme nous accueille sur le parvis, il est l'heure de rentrer et de se présenter à Thomas le propriétaire de cette maison et l'organisateur de cette soirée. Il nous fait faire un bref tour de la demeure, puis nous invite à venir dans le salon. Quelques invités sont déjà arrivés, d'autres vont suivre. On nous offre une coupe de champagne et quelques amuses bouches. Au bout d'une heure, toutes les personnes sont présentes.
Nous nous présentons à chacune d'elle de manière courtoise. L'ambiance est un peu électrique, une douce musique retenti depuis le sous-sol. Il s'agit d'une grande pièce avec pleins de miroir, un podium et aussi un disc-jockey qui diffuse les diverses mélodies que nous pouvons entendre.
L'organisateur de la soirée monte sur le podium, il demande le silence, et nous présente les quatre membres de son jury. Ils circuleront parmi les participants et attribueront des notes.
Les meilleurs seront cités en fin de prestation, et les gagnants recevront des cadeaux suivant leur performance. Les vainqueurs se verront offrir une récompense qui reste pour le moment secrète. Il nous propose de nous échauffer, le début des épreuves commencent dans cinq minutes.
J'en profite pour m'étirer, Johanna fait de même ainsi que Robert et Marc. Un décompte est lancé, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un c'est parti. C'est un zouk pour commencer, Robert me saisit par les hanches et me voilà dans une danse mémorable, collés-serrés, Marc fait de même avec sa cavalière, je ne vois même pas le temps passer.
Au bout de quatre minutes la musique s'arrête. Raphaël, l'un des membres du jury prend la parole, il y a dix couples de danseurs qui sont mis à l'écart et sont invités à récupérer leur récompense. Il s'agit d'un panier garni de produit de beauté. Avec mon cavalier, nous poursuivons la compétition. Marc et Johanna aussi. Quelques roulements de tambour, et voilà que la musique recommence. Ce coup-ci, le rythme est plus calme, c'est une salsa classique.
Avec Robert nous connaissons parfaitement les pas à faire suite aux entraînements précédents.
Au bout de cinq minutes, la musique s'arrête de nouveau et dix autres couples sont sélectionnés, ils ne feront plus partis du concours. Ils montent chacun leur tour sur le podium et reçoivent comme récompense, des chemises d'un grand couturier pour les hommes et de robe pour les femmes.
Nous ne sommes plus que cinq. Marc et Johanna sont toujours présents. Après le départ de tout ce monde, une alarme retenti, c'est le début d'une nouvelle chanson, les guitares raisonnent, nous voilà parti dans un rock endiablé. Je commence à transpirer, la chaleur est montée d'un cran. Quelques minutes après, la chanson s'arrête, j'ai le cœur qui palpite le concours devient de plus en plus stressant. Ce coup-ci c'est Thomas l'organisateur qui prend le micro et invite les trois couples qui ne continueront pas l'aventure. Eux reçoivent le panier garni et des tenues de grands couturiers. Nous nous retrouvons en duel avec Marc et Johanna. La finale promet d'être mémorable. Une musique beaucoup plus douce est diffusée. C'est un slow. Pendant cinq minutes, je suis collé à Robert, qui en profite pour me caresser le dos et me faire quelques bisous dans le cou. Ce qui m'électrise totalement. La mélodie ralenti, c'est la fin.
Thomas remonte sur le podium et annonce un fait exceptionnel. Le jury n'arrive pas à se départager. Johanna, Marc, Robert et moi même sommes vainqueurs de cette épreuve. Il nous invite sur le podium et deux personnes se rapprochent de nous. Ils nous tendent le panier garni avec les produits de beauté, les tenues de grands couturiers, une invitation dans un centre aquatique de balnéothérapie et quatre billets d'avion pour un séjour de deux semaines à Tahiti. Nous donnons l'accolade à Thomas. J'embrasse mes trois compagnons. Les autres invités déçus d'avoir perdu quittent la maison, tandis que le propriétaire de la maison nous invite dans un salon privé afin de boire une coupe de champagne et de manger un peu afin de reprendre un peu d'énergie.
Nous discutons de tout et de rien. Thomas nous propose de continuer cette conversation dans la piscine. Le soucis c'est que nous n'avons pas de maillots de bain. Aucun problème, il a une collection de tenue de bain à faire essayer autant le faire maintenant. Il appelle son major d'homme. Lui demande de récupérer un carton dans le sous-sol dans lequel se trouve la tenue.
Il revient au bout de cinq minutes, la marque des maillots masculins ressemblent fortement à celle que David mon mari vend sur internet ou dans la boutique à Paris. Je prends le carton effectivement, il s'agit de sa marque. Je ne dis rien. Je reçois mon carton, la marque est identique aux modèles masculins. David m'aurait menti ? Irait-il à Paris faire des essayages à des top-modèles ? Les questions fusent dans mon esprit. Johanna me sort de mes pensées, et me dit d'ouvrir le paquet. Ce que je fais aussitôt. Le maillot de bain est magnifique, il est en dentelle blanche, il est doux. Celui de la jeune fille est identique. Nous demandons au propriétaire des lieux un endroit ou nous pouvons nous changer. Une salle à l'abri des regards nous est proposé. Nous nous déshabillons, puis enfilons nos maillots. Nous découvrons dans le même temps qu'il s'agit d'un string et nos d'un maillot classique. Tant pis, un cadeau ne se refuse pas, se serait impossible. Depuis les événements de l'anniversaire de Johanna, j'ai comme l'impression d'être devenue beaucoup plus sure de mon corps, presque exhibitionniste je dirais par moment. Nous nous dirigeons vers la piscine, elle est bordée de bois et de transats.
Nous voyons les trois hommes à l'intérieur qui discute à l'intérieur. Nous entrons doucement dans l'eau, elle n'est pas profonde, un mètre cinquante, sa fraîcheur est surprenante. Thomas décide d'appeler son major d'homme, Alfonso, afin qu'il nous emmène deux bouteilles de champagnes avec ses flûtes. Le disc-jockey, Mathieu, qui a terminé le rangement de son matériel, vient nous rejoindre dans la piscine. Nous sommes six dans l'eau. Heureusement la piscine est grande. Au bout de quelques instants le Alfonso revient avec le champagnes. Il le pose sur le bord de l'étendue d'eau avec les verres. Le propriétaire propose à l'homme de maison de venir nous rejoindre dans l'eau. Nous voilà deux filles entourées par cinq hommes dans la piscine. Nous nous rapprochons de Robert et Marc, afin de trinquer à notre victoire commune.
Avec une petite dose d'ironie, Robert nous fait remarquer que nos seins sont visibles à travers le maillot à cause de l'eau. Un peu gênée nous mettons rapidement devant notre poitrine.
Marc se rapproche de moi, et commence à me faire des chatouilles dans le dos, il plonge sur l'eau m'en fait sous les pieds ce qui me provoque des petits cris et des rires aux éclats.
En remontant, je sens sa main me caresser les jambes jusqu'aux fesses ce qui me donne un grand frisson. Je me raccroche à son bras de peur de glisser, ce qui laisse apparaître mes globes. J'accepte alors qu'il m'enlève le haut du maillot. Me voilà seins nus, Johanna ne tarde pas à faire de même. Après nous sommes en terrain connu. Alfonso qui n'avait pas forcément des possibilités de rencontre dû à son travail resta les yeux grands ouverts devant le spectacle qui s'offrait à lui. Thomas n'était pas en reste. Après avoir bu quelques flûtes de champagnes l'ambiance monte d'un cran. Johanna qui trouve certainement en l'alcool un côté aphrodisiaque, embrasse à pleine bouche, on peut voir facilement les langues se liées entre elle. Marc se rapproche de moi dans le même instant et me retourne face à Alfonso.
Il lui propose de m'embrasser les seins. L'homme ne se fait pas prier pour attendre. Les caresses chaudes de sa langue m'excitent énormément. Je glisse ma main sous l'eau dans son maillot. Il a une verge impressionnante. Ma main est presque trop petite pour la contenir. Thomas voyant la scène se rapproche derrière moi, il me penche la tête en arrière et je sens sa bouche parcourir mon cou, mes tétons pointent durs. Robert rejoint Johanna, il la désire tellement, il lui caresse les seins, glisse ses doigts sous l'eau pour toucher sa vulve. Thomas nous propose de sortir de la piscine pour s'installer sur les transats. Je m'allonge sur le dos, les deux hommes sont complètement nus, j'avale leur sexe chacun leur tour. Des doigts se glissent sur l'élastique de mon string que je sens descendre le long de mes jambes qui s'écartent petit à petit. C'est Marc, il me soulève les jambes pour me faire un cunnilingus dont seul lui connaît le secret. Il me pénètre sa langue, joue avec mon clitoris, un orgasme arrive très vite.
Je pousse des gémissements de bonheur. Alfonso veut me prendre, Marc lui laisse la place. Sa verge est imposante, elle est longue certainement vingt centimètres mais c'est plutôt le diamètre qui me surprend, presque huit centimètres. Mes lèvres s'écartent doucement, je le sens qu'il pousse petit à petit, et d'un coup il est en moi. Il est tellement gros que je le sens me frotter le point G ce qui me propulse en un rien de temps au septième ciel.
Marc s'active dans ma bouche, alors que Thomas à califourchon se branle entre mes seins.
Je suis comblée de plaisir. Johanna de son côté, se fait pénétrer par Mathieu, elle prend du plaisir, je l'entends gémir, et même pousser des cris de jouissances répétitifs. De mon côté, je sens Alfonso accélérer les mouvements, son sexe grossit de plus en plus, je sens qu'il va exploser. Ce qui est le cas au bout de cinq minutes. Je sens le liquide chaud au fond de mon vagin qui coule entre mes cuisses. Son manque de pratique lui a procuré une sorte de précocité d'adolescent. Très excitant d'ailleurs. Thomas décide de s'allonger sur le transat, il veut que je m'empale sur lui. De l'autre côté, Johanna est prise en sandwich par Robert et Mathieu, elle est au bord de l'explosion. À califourchon, je prends le membre de Thomas que je mets à l'entrée de ma vulve encore ruisselante de plaisir.
Je m'enfonce sur lui, les vas et vient son énergique, une fois de plus je ne me contrôle plus.
Ma cyprine coule à flot. Marc qui dans le même temps s'en aperçoit en prend pour me glisser un doigt puis deux dans mon petit trou. Ce qui me provoque un arc électrique dans le corps.
Depuis la découverte de la double pénétration, j'en suis complètement accroc. Thomas me soulève, il veut me sodomiser et me partager avec Marc. Mon trou s'écarte petit à petit et je sens la verge me pénétrer sans douleur. Mon deuxième homme se présente face à moi. Et là c'est le déluge de plaisir. Les deux hommes me prennent en sandwich. J'ai cinq ou six orgasmes à la suite.
De son côté Johanna, à pris en bouche Mathieu, Robert et même Alfonso. Rapidement, les glands gonflent au contact de sa langue puis lui explosent totalement sur le visage. Le liquide de l'amour lui coule entre les seins jusqu'à sa petite fente. De mon côté, les hommes deviennent de plus en plus rapide. Leurs sexes gonflent de plus en plus, je sens la sève montée. Ils se déchargent en moi en même temps. Marc se retire de moi, j'en fais de même avec Thomas dont le sperme coule sur mes jambes. Quelle partie de jambe en l'air magnifique. J'ai encore pris énormément de plaisir. Nous prenons tous une douche commune à proximité de la piscine.
Thomas nous propose de dormir sur place. Nous acceptons. En rentrant dans la maison, nous buvons tous un grand verre d'eau. Après quelques instants, Thomas se rapproche de moi, il me demande pourquoi lorsque j'ai découvert la marque des maillots de bain j'ai changé de tête. Un peu surprise, je lui réponds franchement que David mon mari est le créateur de cette marque. Surpris, il me dit qu'il ne connaissait pas du tout l'existence d'une femme dans la vie de celui qui est censé être mon époux. Je lui demande alors des précisions.
Et d'un ton franc, il me signale que David a une femme sur Paris qu'il fréquente depuis de nombreuses années, il a même tendance parfois à aller dans les clubs échangistes son départ de la capitale l'avait même étonné. Un peu prise au dépourvue malgré la partie de jambes en l'air, je le remercie de cette information. Dans le même temps, il me dit que mon mari n'est pas très futé de faire du mal à une femme comme moi et que si je le souhaite, nous pouvons organiser une sorte de piège. J'accepte après tout moi aussi je me suis amusée, mais en apprenant cette nouvelle, je me dis qu'il est peut être temps que je me libère de ce poids.
Pour qui sait peut être avoir une réelle histoire d'amour après avoir connue de belles parties de sexe endiablées...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
a part la fin c'était bien je pense a reproduire ça chez moi