Une histoire grec

Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Une histoire grec
Cette histoire je ne l'ai pas vécu personnellement, c'est l'aventure que ma femme l'a vécu et que je vous rapporte !
Cette histoire se déroule... Comment dire... En parallèle, à la même période, que l'histoire d'Agnès (voir "il n'y a pas d'âge pour évoluer").
Un jour de printemps, Sophie débarque dans le bureau de Caline. C’est son amie, sa collègue et la partenaire occasionnelle, avec son mari, de nos soirées échangistes
— Tu sais, dit-elle à Caline, que Mike et moi avons gagné un séjour de vacances sur une île en Grèce ? Nous devrions partir dans huit jours... Mais manque de peau... Figures-toi qu’hier, en sortant, il a raté une marche et s’est méchamment foulé la cheville. Il est dans le plâtre pour trois semaines ! Cela ne te dit rien de le remplacer ?
— Je ne sais pas, au pied levé, ce n’est pas si simple.
Agnès, la troisième luron de l'équipe, qui a entendu la conversation intervient :
— Caline... Tu sais que c’est une période assez calme, si tu veux partir quelques jours je m’arrangerai. Il te faut juste poser tes vacances en disant que c'est une urgence familiale sans rentrer dans les détails et je pense pas que tu auras droit à un refus.
— Si je comprends bien, tout le monde me pousse à partir, alors…
Dix jours plus tard, elles embarquent à destination de leur île.
À l’hôtel, Sophie et Caline s’ennuient un peu entre la piscine, la plage réservée et le restaurant. Elles sortent donc volontiers de l’hôtel pour se promener, aller jusqu’au village proche ou se promener le long de la côte. Elles finissent un jour, descendant un sentier escarpé, par découvrir une petite crique sympa. Elles décident d’en faire leur plage privée.
Un soir où elles dînent avec un jeune couple de Belges qui, au cours de leur bavardage, ils arrivent à la conclusion que ce quatuor, pratique le naturisme, et elles leur proposent de les accompagner dans leur petit paradis qu'elles viennent de découvrir.
Dans l’eau le couple belge chahute gaiement, un peu jalouses par cette ambiance, les filles font de même.
Lorsqu’ils sortent de l’eau, Georges, le jeune homme belge, blond et sportif, ne peut cacher son excitation qu’en se couchant sur le ventre. Claude, sa jolie jeune femme, une vraie rousse, ne se laisse pas faire et commence à l’asticoter. Georges joue le jeu et finit par se dire qu’ils sont presque seuls et commence à caresse sa femme qui visiblement ne demande pas mieux.
Sophie se dit que si elle aussi se laisse aller, cela les libérera et comme en plus, elle en a très envie, elle prend Caline entre ses bras et, par un baiser profond, elle éveille ses sens.
Ce sont donc deux couples qui forniquent non loin l’un de l’autre. Les Belges jouissent dans un rugissement de bonheur, ils avaient vraiment besoin l’un de l’autre.
Repus, ils assistent à la fin des ébats lesbiens des deux filles dont les caresses les amènent au plaisir.
Ils sont maintenant face à face. Les Belges ne savent pas trop quelle contenance prendre et se contentent de sourire.
— Nous en avions vraiment envie ! Dit Georges.
— Je ne vous cache pas les filles, que Georges en a toujours envie. Rajoute Claude avec un grand sourire.
— Pas de prob. Dit Sophie.
— Cela ne nous a pas contrariées de vous voir faire l’amour... Bien au contraire, dit Caline.
— Je ne m'aurais jamais cru que vous étiez lesbiennes ? Dit Claude.
— Nous ne sommes pas exclusives, répond Sophie, nous aimons le sexe, autant avec nos maris qu'avec d'autres hommes et avec des femmes qui nous plaisent.
— C’est vrai ? Reprend Claude. Un de mes fantasmes serait d'avoir une expérience avec une femme... Adolescente, j’ai eu l'occasion d'embrasser ou caresser furtivement une camarade de classe mais sans plus !
— C’est l’occasion ! Lui dit Georges.
— Tu ne serais pas jaloux ?
Caline, toujours disponible pour une jolie fille qui lui plaît, s’est approchée de Claude et l’a prise dans ses bras. Approchant sa bouche de la sienne, elle l’embrasse et force de sa langue l’ouverture de ses lèvres. Claude répond très rapidement à sa demande et fouille elle aussi la bouche de sa complice. Les mains de Caline ne restent pas inactives et caressent les seins, le ventre, pour s’insinuer entre les jambes de sa partenaire qui, au premier contact, les ouvre largement appelant la caresse.
Plus timide dans ce premier contact, Claude pelote tout de même les tétons de ma belle épouse qui décide de passer au stade suivant. Embrassant sa partenaire sur tout le corps passant des tétines qu’elle suçote au nombril qu’elle excite de la langue, elle noie son nez dans la toison rousse du pubis pour atteindre son bouton d’amour. Les soupirs de Claude témoignent de son bonheur. Elle se décide et plonge à son tour sa tête entre les cuisses de sa partenaire.
Pendant que les deux nouvelles amazones se donnent du plaisir, Georges, assistant au spectacle, n’a pas pu empêcher une belle érection. Sophie opportuniste lui dit :
— Je crois qu’il va falloir que je te soulage !
Prenant sans hésitation la virilité qui se trouve à sa portée, elle entreprend une masturbation à deux mains. Une subite envie lui prend et elle gobe le beau phallus de Georges. Celui-ci, excité par la vue de sa femme dans les bras de Caline, bascule Sophie et lui glisse la langue au plus profond de son intimité.
Les deux couples, accouplés tête-bêche, trouvent successivement l’accomplissement de leur plaisir ; Caline goûtant les sécrétions de sa compagne et Sophie, au fond de sa gorge, l’éjaculation de son compagnon.
Quelques minutes passent leur permettant de redescendre sur terre.
— C’était merveilleux, dit Claude, je recommencerai volontiers. Tu aurais pu faire l’amour à Sophie, tu sais, dit-elle en s’adressant à son mari. Je n’aurais pas été jalouse.
— Nous aurons sûrement l’occasion de nous revoir à quatre intervient Sophie et nous pourrons changer de partenaire, dit-elle en regardant Claude avec envie.
Ils retournent tous prendre un bain avant le retour à l’hôtel.
Après cet agréable moment passé ensemble, ils décident de retourner à quatre, le lendemain dans leur crique sauvage. Les deux amies sitôt arrivées se mettent nues, Georges et Claude suivent le mouvement. Tous se ruent dans la mer et chahutent gaiement. Lorsqu’ils sortent de l’eau, Georges ne peut cacher son excitation bien dressée, si cela est moins visible chez les filles, ce n’en est pas moins vrai.
C’est d’ailleurs Claude qui ouvre les hostilités en prenant Sophie dans ses bras pour découvrir avec elle les plaisirs lesbiens déjà découverts avec Caline la veille.
Caline trouve cela à son goût, elle a très envie depuis hier de retrouver le plaisir que procure une bite. Georges, lui, a connu la main et les lèvres de Sophie, mais souhaite faire l’amour avec ma princesse depuis que son épouse lui en a donné l’autorisation.
Ils se retrouvent donc dans les bras l’un de l’autre. Leurs caresses débutent dans un baiser profond et, ayant basculé, ils se livrent à un 69 qui exacerbe leur sens.
Georges n’y tient plus et bascule sa partenaire pour la prendre en levrette. Cette position lui permet d’observer Claude et Sophie jouer aux jeux saphiques.
Après avoir effectuer quelques positions, cette dernière (Sophie) apprend à sa partenaire le plaisir procuré par la friction de leur clitoris l’un contre l’autre en croisant leurs jambes en X.
La crique résonne bientôt de cris et halètements de plaisir. Quelques minutes de récupération et un bain de mer plus tard, sa femme propose à Georges de faire l’amour à leurs deux amies. Elle a envie de jouer les voyeuses. Sophie s’empale sur son érection nouvelle tandis que Caline offre son minou à ses lèvres.
Claude se caresse en jouissant du spectacle, mais les deux amies, qui se font face, veulent qu‘elle participe et l’attirent entre elles.
Elle est debout, les jambes ouvertes au-dessus de son homme. Sa chatte et son œillet sont fouillés par les mains expertes des deux filles. Sophie tortille ses hanches sur le mât dressé, tandis que Caline se fait lécher le minou, inondant le visage de Georges de sa cyprine.
Une nouvelle fois l’écho de leurs plaisirs qui se suivent, l’un après l’autre, résonne dans la crique.
Le reste des vacances se passe ainsi entre excursions et baignades à la crique. Il faut dire que, pour Sophie et Caline, le séjour en club-hôtel n’est pas trop leur truc. En fait, elles fréquentent surtout leurs amis belges et aussi Marcel et Louise, un couple de retraités parisiens, avec lesquels elles ont sympathisé. Elles les invitent même un jour dans leur crique naturiste.
Lorsque les deux amies se mettent nues, Marcel et Louise n’hésitent pas à faire de même.
Après un bain de mer, ils bronzent au soleil printanier. Les deux copines se rendent compte que Marcel est en érection.
— Eh bien ! Marcel, c’est le soleil qui te met dans cet état ? Demande la ravissante Caline.
— Je crois plutôt... Répond Louise... Que c’est la présence de deux jolies femmes comme vous ! Tu sais, ajoute-t-elle, à son intention, si tu veux te masturber en les regardant, cela ne me gêne pas !
— Il préférerait peut-être que je m’en charge moi ? Dit Caline.
— Si tu veux ! dit Louise. Je suis certaine que cela lui fera un souvenir de vacances inoubliable.
Caline s’est approchée et en douceur prend entre ses doigts le membre de Marcel qui malgré sa petite soixantaine montre une forme exemplaire.
Sophie, elle, est proche de Louise.
— Vous êtes encore vachement sexy à votre âge ! Si tu n’es pas jalouse, je suis sûre que Caline ferait bien, tout comme moi d’ailleurs, l’amour avec ton homme. Et toi, tu aimes le sexe ?
— Nous faisons encore l’amour, mon mari et moi, et j’aime toujours ça. Je ne crois pas après autant d’années passées avec lui que je serais jalouse, au contraire, qu’il connaisse encore le plaisir avec une autre ce serait bien.
— Et toi tu n’aimerais pas connaître le plaisir avec une autre ?
— Je ne sais pas, je ne connais pas. Mais quand on vous voit ensemble, cela à l’air de vous réussir !
Tout en parlant avec Louise, Sophie l’a prise dans ses bras et tend ses lèvres. Un peu d’hésitation, puis Louise tend les siennes. La langue qui les entrouvre est bien acceptée et croise la sienne après un moment.
Sophie allonge sa partenaire et, abandonnant sa bouche, couvre son corps de baisers. Lorsqu’elle aborde ses cuisses, les jambes s’ouvrent naturellement et offrent une chatte en chaleur à la langue experte de Sophie. Prise par ce nouvel appel du désir, Louise ne pense pas à faire de même, mais glisse une main entre les jambes de sa partenaire pour la masturber en profitant de ses caresses buccales.
De l’autre côté, voyant la tournure des événements, Caline s’est allongée et attire Marcel qui ne peut résister à l’appel de la jeune femme et la pénètre avec un bonheur évident.
Marcel, qui éjacule dans la chatte de sa jeune partenaire, et Louise, qui noie le visage de Sophie de son plaisir, trouvent presque ensemble, dans des râles de bonheur, l’aboutissement de leur plaisir, les deux amies suivent de peu leurs aînés dans la jouissance.
Revenant sur terre, Louise leur dit :
— Je ne croyais pas que j’allais trouver, à mon âge, une nouvelle facette à ma sexualité et trouver du plaisir avec une femme tout en voyant mon homme s’envoyer en l’air avec une autre.
Leurs vacances s’achèvent en passant plus de temps à la crique qu’à l’hôtel. Ils y amènent une fois les Belges, une autre fois les gentils pensionnés. Ils s’y retrouvent tous la veille de leur départ.
C’est la première fois qu’ils y sont tous les six. L’atmosphère devient rapidement érotique, chaque couple ayant eu des rapports avec les deux amies, ils se doutent qu’il en est de même pour l’autre, mais rien ne s’est jamais passé entre eux. Chacun des deux couples espérait, à la veille du départ, revivre une dernière aventure avec Sophie et ma salope !
Ils sont tous étendus au soleil, après un premier bain de mer.
Les trois jeunes femmes ont envie de se rafraîchir et repartent à l’eau. Leurs jeux érotiques et les échanges de caresses lesbiennes sont sans équivoque. Assistant à ce spectacle, ces messieurs, qui sont restés sur la plage en compagnie de Louise, ne tardent pas à montrer une virilité dressée vers le ciel.
Très excitée, elle aussi, Louise ne peut résister au plaisir de prendre le membre de son homme entre ses doigts. L’autre érection étant à portée, elle tente une main timide, ne rencontrant pas de recul, elle s’enhardit et branle maintenant les deux virilités.
Elle n’a jamais eu l’occasion d’avoir deux hommes en même temps, tout en gardant dans une main le sexe de Georges, elle bascule pour prendre entre ses lèvres celui de son mari.
À quatre pattes, au-dessus de lui, elle sent le membre de Georges, qui s’est libéré de sa main, s’introduire en elle. Marcel, allongé sur le dos, voit le sexe de son ami s’introduire dans la chatte de son épouse et commencer un va-et-vient viril. Cette vision exaspère son excitation qui, ajoutée à la succion de la bouche sur son gland, le fait gicler au fond de la gorge qui l’accueille. Cela provoque un premier orgasme à Louise, un second suit rapidement lorsqu’à son tour Georges jouit, lui projetant de longues giclées de sperme au fond de son vagin.
Quand les filles sortent de l’eau, les trois corps sont encore enlacés. Claude voyant la situation s’exclame en rigolant :
— Décidément on ne peut pas vous laisser seuls, vous faites tout de suite des bêtises.
Et tout le monde part d’un grand éclat de rire !
— Lors de notre départ en vacances, explique Louise, nous n’avions pas envisagé des vacances érotiques. Je ne crois pas que je raconterai celles-ci à mes petits enfants !
À la prochaine aventure...
Cette histoire se déroule... Comment dire... En parallèle, à la même période, que l'histoire d'Agnès (voir "il n'y a pas d'âge pour évoluer").
Un jour de printemps, Sophie débarque dans le bureau de Caline. C’est son amie, sa collègue et la partenaire occasionnelle, avec son mari, de nos soirées échangistes
— Tu sais, dit-elle à Caline, que Mike et moi avons gagné un séjour de vacances sur une île en Grèce ? Nous devrions partir dans huit jours... Mais manque de peau... Figures-toi qu’hier, en sortant, il a raté une marche et s’est méchamment foulé la cheville. Il est dans le plâtre pour trois semaines ! Cela ne te dit rien de le remplacer ?
— Je ne sais pas, au pied levé, ce n’est pas si simple.
Agnès, la troisième luron de l'équipe, qui a entendu la conversation intervient :
— Caline... Tu sais que c’est une période assez calme, si tu veux partir quelques jours je m’arrangerai. Il te faut juste poser tes vacances en disant que c'est une urgence familiale sans rentrer dans les détails et je pense pas que tu auras droit à un refus.
— Si je comprends bien, tout le monde me pousse à partir, alors…
Dix jours plus tard, elles embarquent à destination de leur île.
À l’hôtel, Sophie et Caline s’ennuient un peu entre la piscine, la plage réservée et le restaurant. Elles sortent donc volontiers de l’hôtel pour se promener, aller jusqu’au village proche ou se promener le long de la côte. Elles finissent un jour, descendant un sentier escarpé, par découvrir une petite crique sympa. Elles décident d’en faire leur plage privée.
Un soir où elles dînent avec un jeune couple de Belges qui, au cours de leur bavardage, ils arrivent à la conclusion que ce quatuor, pratique le naturisme, et elles leur proposent de les accompagner dans leur petit paradis qu'elles viennent de découvrir.
Dans l’eau le couple belge chahute gaiement, un peu jalouses par cette ambiance, les filles font de même.
Lorsqu’ils sortent de l’eau, Georges, le jeune homme belge, blond et sportif, ne peut cacher son excitation qu’en se couchant sur le ventre. Claude, sa jolie jeune femme, une vraie rousse, ne se laisse pas faire et commence à l’asticoter. Georges joue le jeu et finit par se dire qu’ils sont presque seuls et commence à caresse sa femme qui visiblement ne demande pas mieux.
Sophie se dit que si elle aussi se laisse aller, cela les libérera et comme en plus, elle en a très envie, elle prend Caline entre ses bras et, par un baiser profond, elle éveille ses sens.
Ce sont donc deux couples qui forniquent non loin l’un de l’autre. Les Belges jouissent dans un rugissement de bonheur, ils avaient vraiment besoin l’un de l’autre.
Repus, ils assistent à la fin des ébats lesbiens des deux filles dont les caresses les amènent au plaisir.
Ils sont maintenant face à face. Les Belges ne savent pas trop quelle contenance prendre et se contentent de sourire.
— Nous en avions vraiment envie ! Dit Georges.
— Je ne vous cache pas les filles, que Georges en a toujours envie. Rajoute Claude avec un grand sourire.
— Pas de prob. Dit Sophie.
— Cela ne nous a pas contrariées de vous voir faire l’amour... Bien au contraire, dit Caline.
— Je ne m'aurais jamais cru que vous étiez lesbiennes ? Dit Claude.
— Nous ne sommes pas exclusives, répond Sophie, nous aimons le sexe, autant avec nos maris qu'avec d'autres hommes et avec des femmes qui nous plaisent.
— C’est vrai ? Reprend Claude. Un de mes fantasmes serait d'avoir une expérience avec une femme... Adolescente, j’ai eu l'occasion d'embrasser ou caresser furtivement une camarade de classe mais sans plus !
— C’est l’occasion ! Lui dit Georges.
— Tu ne serais pas jaloux ?
Caline, toujours disponible pour une jolie fille qui lui plaît, s’est approchée de Claude et l’a prise dans ses bras. Approchant sa bouche de la sienne, elle l’embrasse et force de sa langue l’ouverture de ses lèvres. Claude répond très rapidement à sa demande et fouille elle aussi la bouche de sa complice. Les mains de Caline ne restent pas inactives et caressent les seins, le ventre, pour s’insinuer entre les jambes de sa partenaire qui, au premier contact, les ouvre largement appelant la caresse.
Plus timide dans ce premier contact, Claude pelote tout de même les tétons de ma belle épouse qui décide de passer au stade suivant. Embrassant sa partenaire sur tout le corps passant des tétines qu’elle suçote au nombril qu’elle excite de la langue, elle noie son nez dans la toison rousse du pubis pour atteindre son bouton d’amour. Les soupirs de Claude témoignent de son bonheur. Elle se décide et plonge à son tour sa tête entre les cuisses de sa partenaire.
Pendant que les deux nouvelles amazones se donnent du plaisir, Georges, assistant au spectacle, n’a pas pu empêcher une belle érection. Sophie opportuniste lui dit :
— Je crois qu’il va falloir que je te soulage !
Prenant sans hésitation la virilité qui se trouve à sa portée, elle entreprend une masturbation à deux mains. Une subite envie lui prend et elle gobe le beau phallus de Georges. Celui-ci, excité par la vue de sa femme dans les bras de Caline, bascule Sophie et lui glisse la langue au plus profond de son intimité.
Les deux couples, accouplés tête-bêche, trouvent successivement l’accomplissement de leur plaisir ; Caline goûtant les sécrétions de sa compagne et Sophie, au fond de sa gorge, l’éjaculation de son compagnon.
Quelques minutes passent leur permettant de redescendre sur terre.
— C’était merveilleux, dit Claude, je recommencerai volontiers. Tu aurais pu faire l’amour à Sophie, tu sais, dit-elle en s’adressant à son mari. Je n’aurais pas été jalouse.
— Nous aurons sûrement l’occasion de nous revoir à quatre intervient Sophie et nous pourrons changer de partenaire, dit-elle en regardant Claude avec envie.
Ils retournent tous prendre un bain avant le retour à l’hôtel.
Après cet agréable moment passé ensemble, ils décident de retourner à quatre, le lendemain dans leur crique sauvage. Les deux amies sitôt arrivées se mettent nues, Georges et Claude suivent le mouvement. Tous se ruent dans la mer et chahutent gaiement. Lorsqu’ils sortent de l’eau, Georges ne peut cacher son excitation bien dressée, si cela est moins visible chez les filles, ce n’en est pas moins vrai.
C’est d’ailleurs Claude qui ouvre les hostilités en prenant Sophie dans ses bras pour découvrir avec elle les plaisirs lesbiens déjà découverts avec Caline la veille.
Caline trouve cela à son goût, elle a très envie depuis hier de retrouver le plaisir que procure une bite. Georges, lui, a connu la main et les lèvres de Sophie, mais souhaite faire l’amour avec ma princesse depuis que son épouse lui en a donné l’autorisation.
Ils se retrouvent donc dans les bras l’un de l’autre. Leurs caresses débutent dans un baiser profond et, ayant basculé, ils se livrent à un 69 qui exacerbe leur sens.
Georges n’y tient plus et bascule sa partenaire pour la prendre en levrette. Cette position lui permet d’observer Claude et Sophie jouer aux jeux saphiques.
Après avoir effectuer quelques positions, cette dernière (Sophie) apprend à sa partenaire le plaisir procuré par la friction de leur clitoris l’un contre l’autre en croisant leurs jambes en X.
La crique résonne bientôt de cris et halètements de plaisir. Quelques minutes de récupération et un bain de mer plus tard, sa femme propose à Georges de faire l’amour à leurs deux amies. Elle a envie de jouer les voyeuses. Sophie s’empale sur son érection nouvelle tandis que Caline offre son minou à ses lèvres.
Claude se caresse en jouissant du spectacle, mais les deux amies, qui se font face, veulent qu‘elle participe et l’attirent entre elles.
Elle est debout, les jambes ouvertes au-dessus de son homme. Sa chatte et son œillet sont fouillés par les mains expertes des deux filles. Sophie tortille ses hanches sur le mât dressé, tandis que Caline se fait lécher le minou, inondant le visage de Georges de sa cyprine.
Une nouvelle fois l’écho de leurs plaisirs qui se suivent, l’un après l’autre, résonne dans la crique.
Le reste des vacances se passe ainsi entre excursions et baignades à la crique. Il faut dire que, pour Sophie et Caline, le séjour en club-hôtel n’est pas trop leur truc. En fait, elles fréquentent surtout leurs amis belges et aussi Marcel et Louise, un couple de retraités parisiens, avec lesquels elles ont sympathisé. Elles les invitent même un jour dans leur crique naturiste.
Lorsque les deux amies se mettent nues, Marcel et Louise n’hésitent pas à faire de même.
Après un bain de mer, ils bronzent au soleil printanier. Les deux copines se rendent compte que Marcel est en érection.
— Eh bien ! Marcel, c’est le soleil qui te met dans cet état ? Demande la ravissante Caline.
— Je crois plutôt... Répond Louise... Que c’est la présence de deux jolies femmes comme vous ! Tu sais, ajoute-t-elle, à son intention, si tu veux te masturber en les regardant, cela ne me gêne pas !
— Il préférerait peut-être que je m’en charge moi ? Dit Caline.
— Si tu veux ! dit Louise. Je suis certaine que cela lui fera un souvenir de vacances inoubliable.
Caline s’est approchée et en douceur prend entre ses doigts le membre de Marcel qui malgré sa petite soixantaine montre une forme exemplaire.
Sophie, elle, est proche de Louise.
— Vous êtes encore vachement sexy à votre âge ! Si tu n’es pas jalouse, je suis sûre que Caline ferait bien, tout comme moi d’ailleurs, l’amour avec ton homme. Et toi, tu aimes le sexe ?
— Nous faisons encore l’amour, mon mari et moi, et j’aime toujours ça. Je ne crois pas après autant d’années passées avec lui que je serais jalouse, au contraire, qu’il connaisse encore le plaisir avec une autre ce serait bien.
— Et toi tu n’aimerais pas connaître le plaisir avec une autre ?
— Je ne sais pas, je ne connais pas. Mais quand on vous voit ensemble, cela à l’air de vous réussir !
Tout en parlant avec Louise, Sophie l’a prise dans ses bras et tend ses lèvres. Un peu d’hésitation, puis Louise tend les siennes. La langue qui les entrouvre est bien acceptée et croise la sienne après un moment.
Sophie allonge sa partenaire et, abandonnant sa bouche, couvre son corps de baisers. Lorsqu’elle aborde ses cuisses, les jambes s’ouvrent naturellement et offrent une chatte en chaleur à la langue experte de Sophie. Prise par ce nouvel appel du désir, Louise ne pense pas à faire de même, mais glisse une main entre les jambes de sa partenaire pour la masturber en profitant de ses caresses buccales.
De l’autre côté, voyant la tournure des événements, Caline s’est allongée et attire Marcel qui ne peut résister à l’appel de la jeune femme et la pénètre avec un bonheur évident.
Marcel, qui éjacule dans la chatte de sa jeune partenaire, et Louise, qui noie le visage de Sophie de son plaisir, trouvent presque ensemble, dans des râles de bonheur, l’aboutissement de leur plaisir, les deux amies suivent de peu leurs aînés dans la jouissance.
Revenant sur terre, Louise leur dit :
— Je ne croyais pas que j’allais trouver, à mon âge, une nouvelle facette à ma sexualité et trouver du plaisir avec une femme tout en voyant mon homme s’envoyer en l’air avec une autre.
Leurs vacances s’achèvent en passant plus de temps à la crique qu’à l’hôtel. Ils y amènent une fois les Belges, une autre fois les gentils pensionnés. Ils s’y retrouvent tous la veille de leur départ.
C’est la première fois qu’ils y sont tous les six. L’atmosphère devient rapidement érotique, chaque couple ayant eu des rapports avec les deux amies, ils se doutent qu’il en est de même pour l’autre, mais rien ne s’est jamais passé entre eux. Chacun des deux couples espérait, à la veille du départ, revivre une dernière aventure avec Sophie et ma salope !
Ils sont tous étendus au soleil, après un premier bain de mer.
Les trois jeunes femmes ont envie de se rafraîchir et repartent à l’eau. Leurs jeux érotiques et les échanges de caresses lesbiennes sont sans équivoque. Assistant à ce spectacle, ces messieurs, qui sont restés sur la plage en compagnie de Louise, ne tardent pas à montrer une virilité dressée vers le ciel.
Très excitée, elle aussi, Louise ne peut résister au plaisir de prendre le membre de son homme entre ses doigts. L’autre érection étant à portée, elle tente une main timide, ne rencontrant pas de recul, elle s’enhardit et branle maintenant les deux virilités.
Elle n’a jamais eu l’occasion d’avoir deux hommes en même temps, tout en gardant dans une main le sexe de Georges, elle bascule pour prendre entre ses lèvres celui de son mari.
À quatre pattes, au-dessus de lui, elle sent le membre de Georges, qui s’est libéré de sa main, s’introduire en elle. Marcel, allongé sur le dos, voit le sexe de son ami s’introduire dans la chatte de son épouse et commencer un va-et-vient viril. Cette vision exaspère son excitation qui, ajoutée à la succion de la bouche sur son gland, le fait gicler au fond de la gorge qui l’accueille. Cela provoque un premier orgasme à Louise, un second suit rapidement lorsqu’à son tour Georges jouit, lui projetant de longues giclées de sperme au fond de son vagin.
Quand les filles sortent de l’eau, les trois corps sont encore enlacés. Claude voyant la situation s’exclame en rigolant :
— Décidément on ne peut pas vous laisser seuls, vous faites tout de suite des bêtises.
Et tout le monde part d’un grand éclat de rire !
— Lors de notre départ en vacances, explique Louise, nous n’avions pas envisagé des vacances érotiques. Je ne crois pas que je raconterai celles-ci à mes petits enfants !
À la prochaine aventure...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
👍👍👍
Le fait de partager des beaux et bons moments intimes et intenses, avec tout son cœur et son corps, sont très importants pour l'épanouissement personnel.
Merci cher Daniel... Cela me fait plaisir de savoir que je vous fais plaisir !
Très beau récit jouissif et bandant j’aurai aimé être le mari retraité . Toujours bien de décrit sans excès. Daniel

