Une histoire qui se termine bien 1
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une histoire qui se termine bien 1
Marc erre dans un grand magasin, il croise le regard d'une femme qui n'est pas un top-modèle, tirée à quatre épingles, elle a un charme fou, ils se dévisagent et se sourient.
Son cœur se serre, il reçoit comme une décharge électrique, c'est le coup de foudre, son cœur bat dans sa poitrine à se rompre. Il la regarde s'éloigner, en soupirant fortement.
Ses mains tremblent, elles sont moites. Tout se mêle dans sa tête, il se dit tant pis, je fonce, et décide de la suivre. La femme monte dans sa voiture, et démarre. Rapidement, Marc monte dans la sienne et la suit discrètement. La femme arrive devant une propriété, ou la porte métallique est ouverte. Marc gare sa voiture et épie la femme, qui entre dans un petit parc où se trouve une bâtisse. Elle range sa voiture et disparait dans la maison.
Cette femme mystérieuse, la trouble tellement qu'il en perd le sommeil. Ses nuits sont agitées, il ne pense qu'à elle, il faut qu'il la revoit, c'est primordial pour lui. Souvent, il se promène devant la maison avec l'espoir de la rencontrer. Mais un jour la chance est de son côté. La femme sort de la maison avec tenu en laisse, un chien.
Marc fait le promeneur, la femme passe devant lui, ils se saluent, il fait mine de s'intéresser au chien, et demande la permission de le caresser. La femme en souriant le permet, il se penche pour caresser l'animal, mais ses yeux se posent sur les longues jambes de la femme. Il ravale sa salive, et se redresse, les deux font quelques pas ensemble. Marc, assez bon dragueur, tente de séduire la femme.
C'est avec beaucoup d'humour qu'il la fait rire, les deux s'engagent dans un parc et arpentent les allées en papotant comme de vieux amis. La femme qui prénomme Géraldine, est charmée par Marc, elle ne cesse de lui sourire. L'heure tourne, il faut se séparer. La poignée de main pour se dire au revoir est chaude.
Marc demande s'il peut la revoir. Géraldine en souriant dit :
- Qui sait, le Hasard fait bien les choses !
Ce n'est pas la réponse qu'attendait Marc, mais il est tenace et dit en riant :
-Je vous attendrai demain ici dans ce parc, en espérant vous y revoir !
Géraldine en souriant réplique :
-J'avoue, je vous trouve très sympathique, votre compagnie m'est très agréable. Je ne veux pas que vous faire de fausses joies, je suis marié !
Marc fait une moue affreuse et dit :
- Moi aussi, mais je serai quand même là, demain, à la même heure !
Le lendemain, Marc fait, allée après allée en espérant revoir la femme qui le fait chavirer. Il attend longtemps avant de décider de rentrer. Mais sur le chemin du retour à la sortie du parc, il voit s'approcher vers lui Géraldine. Son cœur se met à battre la chamade, il la salue chaleureusement, et font quelques pas.
Ils prennent place sur un banc, et discutent, elle lui parle de son mari, lui de sa femme. Marc prend la main de Géraldine et l'embrasse tendrement. Puis finit par lui avouer :
-Ce que je ressens pour vous est inexplicable, je suis amoureux de vous, je ne dors plus !
Géraldine en poussant un gros soupir répond :
-Moi aussi, je ressens aussi quelques chose, mais je ne saurai dire quoi !
Aveux sur aveux, il se passe quelque chose d'inexplicable. Ils finissent par échanger un tendre, un baiser. Géraldine est pressée, elle doit rentrer. Pendant plusieurs jours, ils se rencontrent, s'embrassent, se caressent. Mais au fil des rencontres, l'envie de l'un pour l'autre est si fort, qu'ils se rendent dans un hôtel. Les baisers qu'ils échangent sont brûlants, rapidement les deux se retrouvent nus. Les mains moites de Marc parcourent le corps fébrile de Géraldine. Sa bouche sur sa peau la fait frémir. Il masse doucement les rondeurs mammaires, les presse souvent pour les raffermir. Mais dès qu'il gobe un mamelon, Géraldine se cabre, gémit en se cambrant fortement.
Ses mamelons durcissent, s'épaississent en prenant du volume. La bouche de Marc quitte les mats de chairs, et descend sur le corps tremblant d'excitation de Géraldine, qui ne cesse de geindre. La bouche avide se pose sur son nombril, et avec habileté, la pointe de la langue le fouille. Les gémissements de la femme prouvent que son plaisir est immense. La bouche vorace s'approche du puits d'amour qui déborde de cyprine. Elle se pose dessus, et aspire le jus au gout suave, en faisant geindre Géraldine.
La langue agile s'enfonce dans le cratère au bord de l'explosion et le fouille profondément. Géraldine est sur le point de s'évanouir de plaisir. Soudain la bouche diabolique fait hurler Géraldine lorsque qu'elle lui gobe le clito. La femme amante se cabre, en geignant fortement. Une jouissance atroce lui secoue les entrailles. Son cœur s'emballe, il bat à se rompre.
Géraldine s'accroche à marc comme une pieuvre sur son rocher. Son souffle est court. Marc l'embrasse férocement, les deux sont sur un nuage.
La verge de Marc est dressée comme un mât de cocagne, Géraldine la saisit et la branle en ne la quittant pas du regard. Marc gémit en serrant les dents. Enfin, elle décalotte le gland et le gobe. La coquine sait se servir de sa bouche, l'effet est presque immédiat. Marc se raidit et crie :
-Je vais jouir mon amour !
Géraldine recrache le gland et dit :
-Donne-moi tout mon chéri !
Rapidement, elle reprend en bouche le gland gonflé. Une puissante décharge de sperme, lui remplit la bouche. Elle doit repousser son amant pour ne pas étouffer. Elle pince les lèvres pour ne pas recracher la semence.
Elle regarde Marc, et avale en plusieurs gorgées la crème onctueuse que son amant lui a si généreusement offerte. Elle lui dit d'une voix amoureuse :
-Prends-moi, mon chéri, prends-moi !
Marc se place entre ses cuisses et lui enfonce sa verge entièrement dans le ventre. Elle s'accroche à lui en disant :
-Oui, oui, prends-moi fort, oh comme je t'aime !
La verge puissante coulisse dans le vagin noyé de cyprine, en prenant de la vitesse. Géraldine agite son bassin en donnant des coups de reins pour être bien empalée. Ses râles sont ceux d'une bête agonisante. Le pilonnage incessant, porte ses fruits, Géraldine se cabre en poussant un hurlement de jouissance. Elle s'agrippe à son amant en tremblant de tous ses membres. Marc la ramone profondément avant de lui remplit le ventre de sa semence épaisse. Les deux passent encore plusieurs heures à s'aimer avant de se séparer.
Les deux infidèles se voient souvent pour s'aimer. Mais un jour, Géraldine avoue qu'elle a tout raconté à son mari, et qu'il voudrait le rencontrer. Elle juge que c'est le moment, Marc est un peu stressé, mais il ne peut reculer. Bras dessus bras dessous, ils se rendent chez Géraldine.
Elle présente Marc à Richard son mari, les deux se saluent en se dévisageant longuement. Richard prend la parole :
-Ma femme m'a parlé de vous, elle ne le cache jamais rien, elle m'a dit, que vous êtes amoureux d'elle, et qu'elle ressent quelque chose pour vous. Je ne veux pas faire le mari jaloux, ni faire faire l'hypocrite. J'aime ma femme, c'est pour cela que je ne veux que son bonheur.
Bien que cela me coute, j'accepte qu'elle prenne du plaisir avec vous, je suis certain, que sexuellement, vous allez la combler et lui donner ce que je ne peux plus lui offrir, vu mon âge, nos étreintes sont rares !
Richard est beaucoup plus âgé que sa femme, les relations sexuelles entre eux s'en ressentent, Richard l'admet volontiers.
Marc reste muet devant cet homme si amoureux de sa femme, qui se sacrifie pour qu'elle soit heureuse. Géraldine enlace son mari et l'embrasse fougueusement comme pour le remercier. Une fois le baiser terminé, elle dit :
-Vous êtes les deux hommes de ma vie, oui, je vous aime tous les deux, c'est incroyable, mais c'est comme ça !
Richard a les larmes aux yeux, il se blottit contre sa femme et dit :
-Pour vous aimer, plus besoin de vous cacher, ici, c'est le paradis !
Marc a beaucoup de remords, il décide de dire lui aussi la vérité à sa femme Murielle. La pauvre femme humiliée, cocufiée, éclate en sanglot, toutes les explications que donne Marc sont vaines. Les jours passent, Murielle se morfond, elle voudrait arracher les yeux de cette inconnue. Mais un jour, Marc lui demande de recevoir Géraldine et Richard pour clarifier la situation. Murielle sursaute, puis, après un moment de réflexion, accepte.
Son cœur se serre, il reçoit comme une décharge électrique, c'est le coup de foudre, son cœur bat dans sa poitrine à se rompre. Il la regarde s'éloigner, en soupirant fortement.
Ses mains tremblent, elles sont moites. Tout se mêle dans sa tête, il se dit tant pis, je fonce, et décide de la suivre. La femme monte dans sa voiture, et démarre. Rapidement, Marc monte dans la sienne et la suit discrètement. La femme arrive devant une propriété, ou la porte métallique est ouverte. Marc gare sa voiture et épie la femme, qui entre dans un petit parc où se trouve une bâtisse. Elle range sa voiture et disparait dans la maison.
Cette femme mystérieuse, la trouble tellement qu'il en perd le sommeil. Ses nuits sont agitées, il ne pense qu'à elle, il faut qu'il la revoit, c'est primordial pour lui. Souvent, il se promène devant la maison avec l'espoir de la rencontrer. Mais un jour la chance est de son côté. La femme sort de la maison avec tenu en laisse, un chien.
Marc fait le promeneur, la femme passe devant lui, ils se saluent, il fait mine de s'intéresser au chien, et demande la permission de le caresser. La femme en souriant le permet, il se penche pour caresser l'animal, mais ses yeux se posent sur les longues jambes de la femme. Il ravale sa salive, et se redresse, les deux font quelques pas ensemble. Marc, assez bon dragueur, tente de séduire la femme.
C'est avec beaucoup d'humour qu'il la fait rire, les deux s'engagent dans un parc et arpentent les allées en papotant comme de vieux amis. La femme qui prénomme Géraldine, est charmée par Marc, elle ne cesse de lui sourire. L'heure tourne, il faut se séparer. La poignée de main pour se dire au revoir est chaude.
Marc demande s'il peut la revoir. Géraldine en souriant dit :
- Qui sait, le Hasard fait bien les choses !
Ce n'est pas la réponse qu'attendait Marc, mais il est tenace et dit en riant :
-Je vous attendrai demain ici dans ce parc, en espérant vous y revoir !
Géraldine en souriant réplique :
-J'avoue, je vous trouve très sympathique, votre compagnie m'est très agréable. Je ne veux pas que vous faire de fausses joies, je suis marié !
Marc fait une moue affreuse et dit :
- Moi aussi, mais je serai quand même là, demain, à la même heure !
Le lendemain, Marc fait, allée après allée en espérant revoir la femme qui le fait chavirer. Il attend longtemps avant de décider de rentrer. Mais sur le chemin du retour à la sortie du parc, il voit s'approcher vers lui Géraldine. Son cœur se met à battre la chamade, il la salue chaleureusement, et font quelques pas.
Ils prennent place sur un banc, et discutent, elle lui parle de son mari, lui de sa femme. Marc prend la main de Géraldine et l'embrasse tendrement. Puis finit par lui avouer :
-Ce que je ressens pour vous est inexplicable, je suis amoureux de vous, je ne dors plus !
Géraldine en poussant un gros soupir répond :
-Moi aussi, je ressens aussi quelques chose, mais je ne saurai dire quoi !
Aveux sur aveux, il se passe quelque chose d'inexplicable. Ils finissent par échanger un tendre, un baiser. Géraldine est pressée, elle doit rentrer. Pendant plusieurs jours, ils se rencontrent, s'embrassent, se caressent. Mais au fil des rencontres, l'envie de l'un pour l'autre est si fort, qu'ils se rendent dans un hôtel. Les baisers qu'ils échangent sont brûlants, rapidement les deux se retrouvent nus. Les mains moites de Marc parcourent le corps fébrile de Géraldine. Sa bouche sur sa peau la fait frémir. Il masse doucement les rondeurs mammaires, les presse souvent pour les raffermir. Mais dès qu'il gobe un mamelon, Géraldine se cabre, gémit en se cambrant fortement.
Ses mamelons durcissent, s'épaississent en prenant du volume. La bouche de Marc quitte les mats de chairs, et descend sur le corps tremblant d'excitation de Géraldine, qui ne cesse de geindre. La bouche avide se pose sur son nombril, et avec habileté, la pointe de la langue le fouille. Les gémissements de la femme prouvent que son plaisir est immense. La bouche vorace s'approche du puits d'amour qui déborde de cyprine. Elle se pose dessus, et aspire le jus au gout suave, en faisant geindre Géraldine.
La langue agile s'enfonce dans le cratère au bord de l'explosion et le fouille profondément. Géraldine est sur le point de s'évanouir de plaisir. Soudain la bouche diabolique fait hurler Géraldine lorsque qu'elle lui gobe le clito. La femme amante se cabre, en geignant fortement. Une jouissance atroce lui secoue les entrailles. Son cœur s'emballe, il bat à se rompre.
Géraldine s'accroche à marc comme une pieuvre sur son rocher. Son souffle est court. Marc l'embrasse férocement, les deux sont sur un nuage.
La verge de Marc est dressée comme un mât de cocagne, Géraldine la saisit et la branle en ne la quittant pas du regard. Marc gémit en serrant les dents. Enfin, elle décalotte le gland et le gobe. La coquine sait se servir de sa bouche, l'effet est presque immédiat. Marc se raidit et crie :
-Je vais jouir mon amour !
Géraldine recrache le gland et dit :
-Donne-moi tout mon chéri !
Rapidement, elle reprend en bouche le gland gonflé. Une puissante décharge de sperme, lui remplit la bouche. Elle doit repousser son amant pour ne pas étouffer. Elle pince les lèvres pour ne pas recracher la semence.
Elle regarde Marc, et avale en plusieurs gorgées la crème onctueuse que son amant lui a si généreusement offerte. Elle lui dit d'une voix amoureuse :
-Prends-moi, mon chéri, prends-moi !
Marc se place entre ses cuisses et lui enfonce sa verge entièrement dans le ventre. Elle s'accroche à lui en disant :
-Oui, oui, prends-moi fort, oh comme je t'aime !
La verge puissante coulisse dans le vagin noyé de cyprine, en prenant de la vitesse. Géraldine agite son bassin en donnant des coups de reins pour être bien empalée. Ses râles sont ceux d'une bête agonisante. Le pilonnage incessant, porte ses fruits, Géraldine se cabre en poussant un hurlement de jouissance. Elle s'agrippe à son amant en tremblant de tous ses membres. Marc la ramone profondément avant de lui remplit le ventre de sa semence épaisse. Les deux passent encore plusieurs heures à s'aimer avant de se séparer.
Les deux infidèles se voient souvent pour s'aimer. Mais un jour, Géraldine avoue qu'elle a tout raconté à son mari, et qu'il voudrait le rencontrer. Elle juge que c'est le moment, Marc est un peu stressé, mais il ne peut reculer. Bras dessus bras dessous, ils se rendent chez Géraldine.
Elle présente Marc à Richard son mari, les deux se saluent en se dévisageant longuement. Richard prend la parole :
-Ma femme m'a parlé de vous, elle ne le cache jamais rien, elle m'a dit, que vous êtes amoureux d'elle, et qu'elle ressent quelque chose pour vous. Je ne veux pas faire le mari jaloux, ni faire faire l'hypocrite. J'aime ma femme, c'est pour cela que je ne veux que son bonheur.
Bien que cela me coute, j'accepte qu'elle prenne du plaisir avec vous, je suis certain, que sexuellement, vous allez la combler et lui donner ce que je ne peux plus lui offrir, vu mon âge, nos étreintes sont rares !
Richard est beaucoup plus âgé que sa femme, les relations sexuelles entre eux s'en ressentent, Richard l'admet volontiers.
Marc reste muet devant cet homme si amoureux de sa femme, qui se sacrifie pour qu'elle soit heureuse. Géraldine enlace son mari et l'embrasse fougueusement comme pour le remercier. Une fois le baiser terminé, elle dit :
-Vous êtes les deux hommes de ma vie, oui, je vous aime tous les deux, c'est incroyable, mais c'est comme ça !
Richard a les larmes aux yeux, il se blottit contre sa femme et dit :
-Pour vous aimer, plus besoin de vous cacher, ici, c'est le paradis !
Marc a beaucoup de remords, il décide de dire lui aussi la vérité à sa femme Murielle. La pauvre femme humiliée, cocufiée, éclate en sanglot, toutes les explications que donne Marc sont vaines. Les jours passent, Murielle se morfond, elle voudrait arracher les yeux de cette inconnue. Mais un jour, Marc lui demande de recevoir Géraldine et Richard pour clarifier la situation. Murielle sursaute, puis, après un moment de réflexion, accepte.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon récit
Oui impatient de lire la suite , tout semble ouvert !
Marc (eh oui)
Strasbourg
Marc (eh oui)
Strasbourg
Félicitations ! Le suspense est au top ! Vivement le dénouement...
Quelle imagination Linsee, merci d'exister
Josiane
Josiane
Très bon début, je sens que la suite va être torride
Ouah j'attends la suite avec impatience.
Irma
Irma