Une histoire qui se termine bien 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 262 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de linsee ont reçu un total de 1 295 715 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 466 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Une histoire qui se termine bien 2
Murielle se dit que c'est peut-être le moment de prendre sa revanche, elle se dit toi mon salaud, tu vas le payer chèrement. Ils décident d'un jour pour recevoir Richard et Géraldine. Le jour venu, Murielle est décidée de jouer le tout pour le tout, elle veut faire de Géraldine sa chose, pour faire baver son mari infidèle.
Les invités sont au salon, Géraldine, n'est pas très rassurée, elle regarde avec une certaine appréhension sa rivale. Mais Murielle, ne semble pas agressif, au contraire, elle est très souriante. Elle regarde sans cesse Géraldine, qui timidement répond à ses sourires. Les deux femmes au fil des minutes paraissent sympathiser. Marc est ravi de la tournure que prennent les choses, lui qui s'attendait au pire.
Murielle prend son verre et va s'assoir à côté de Géraldine, les deux papotent, en ignorant presque les deux hommes. Les compliments ne cessent de tomber. Géraldine est fascinée par la beauté naturelle de Murielle. Les deux femmes se regardent tendrement, Murielle se penche sur Géraldine, elle sait qu'elle lui fait de l'effet, et en lui donnant un petit baiser à la commissure des lèvres, dit :
-Si je m'écoutais, je te ferais l'amour !
Géraldine la regarde en ravalant sa salive, bien que n'étant pas lesbienne, la proposition est tentante. La coquine, Murielle, tend son piège, elle prend la main de Géraldine et du bout des doigts la caresse. Géraldine frissonne, elle déglutit, mais lorsque Murielle lui embrasse longuement le dessus et la paume de la main, elle frémit.
Géraldine est troublée. Murielle enfonce le clou, et se met à lui sucer l'index et le majeur avec douceur en l'enfonçant de plus en plus profondément dans sa bouche. Géraldine ne sait que faire, elle cherche du regard celui son mari, le bougre semble satisfait de ce qui se passe, il lui sourit.
Marc est éberlué, il se demande ce qui se passe, il ne dit pas un mot et avale son verre d'un trait, pour aussitôt s'en reverser un. La bouche de Murielle voyage doucement sur les doigts de Géraldine qui pousse de nombreux soupirs. Murielle, en ne quittant pas des yeux sa rivale, lui dit :
-Ça te plaît hein, vas-y suce les miens maintenant, imagine que c'est la bite de mon mari, aller prends ton pied ?
Murielle présente à la bouche entrouverte de Géraldine ses longs doigts fins, sans se poser de questions, Géraldine les prend en bouche et se met à sucer avec maladresse, mais au fil des minutes avec de plus en plus d'assurance. Murielle ajoute :
-Oui, oui, suce ma chérie, c'est la bite de mon mari que tu suces, oh, mais tu suces divinement, continue ma chérie !
Les deux femmes se sucent simultanément les doigts. Murielle pose sa main libre sur la cuisse de la suceuse et la glisse sous sa jupe. Instinctivement, Géraldine ouvre les cuisses, la main se pose sur son entrejambe et caresse la fente qui suinte depuis un bon. L'abondante cyprine humidifie la culotte. Murielle dit en retirant ses doigts de la bouche de Géraldine :
-Hum, tu mouilles bien ma chérie, nous allons faire de grandes choses ensemble !
Géraldine semble ensorcelée par Murielle, elle a les yeux hagards. Murielle appuie sur la culotte, le tissu mouillé, s'enfonce de quelques centimètres dans le sillon que forment les grandes lèvres. Habilement, ses doigts montent et descendent entre les lèvres pour taquiner le bouton d'amour. Géraldine geint de plaisir, sa respiration s'accélère. Murielle sait qu'elle a gagné, elle juge que sa proie et bonne à saisir. Elle retire ses doigts de la bouche de la suceuse et lui dit d'un ton autoritaire :
-Branle-toi, branle-toi maintenant !
Sans réfléchir, sous l'emprise de Murielle, Géraldine retrousse sa jupe et écarte sa culotte, Marc n'en croit pas ses yeux, il serre les poings, il marmonne des mots inaudibles. Murielle stoppe Géraldine :
-Attends, je vais te la retirer !
Avec habileté, elle lui retire la culotte, et la passe sous son nez en disant :
-Tu sens bon l'amour salope, aller branle-toi !
Les doigts agiles de Géraldine saisissent son clito et le branle avec de plus en plus d'intensité. Sa boule double de volume, maintenant Géraldine, sous les indications de Murielle, se branle férocement. Elle serre les dents, grimace, elle se tend comme un arc et dit d'une voix rauque :
-Je vais jouir, je vais jouir !
Murielle lui retire la main et lui dit :
-Je t'interdis de jouir, c'est moi qui vais te faire exploser !
Elle s'agenouille face à Géraldine et avance sa tête entre les cuisses largement ouvertes. Elle aspire le jus que la chatte chauffée à blanc rejette, puis enfonce sa langue dans le puits débordant de cyprine. Elle le fouille à en faire rugir Géraldine, qui hurle :
-Ça vient, ça vient !
Rapidement, Murielle lui gobe le clito et le suce avec rage, Géraldine se cabre et pousse un cri terrible, sa jouissance est fabuleuse. Un jet remplit la bouche de la suceuse qui avale, le plus possible, de ce nectar divin. La bouche de Murielle se pose brusquement sur l'anus, surprise par ce nouvel attouchement, Géraldine se tend comme un arc qui va lancer sa flèche. La langue passe sur le muscle de nombreuses fois en faisant gémir Géraldine.
-Mon Dieu, qu'est-ce que tu le fais là, tu veux me faire mourir, oh comme c'est bon !
La langue s'enfonce dans la gaine étroite et la fouille le plus loin possible. Géraldine est cambrée comme un pont un jour de tempête. Elle hurle :
-Mon Dieu, c'est démentiel, Murielle, Murielle, je vais jouir encore, oui, oui !
Une jouissance anale terrible fait délirer Géraldine. Elle dit en grognant :
-Mais pourquoi que tu me fais tout ça !
Murielle se redresse et répond :
-Tu fais jouir mon mari, je veux que tu sois ma chose, maintenant, tu vas me faire jouir, c'est la vengeance d'une femme cocue !
Géraldine réplique en béguant :
-C'est tellement bon, que je vais te faire tout ce que tu veux, tout, tout ma chérie !
Les deux femmes s'aident à se dévêtir. Une fois nue, Géraldine s'allonge tête bêche sur Murielle. Les deux femmes se broutent sauvagement la chatte, elles gémissent de plaisir devant les deux hommes qui bandent comme des poneys. Les langues trouvent facilement les endroits érogènes. Les deux amantes gémissent comme des bêtes blessées.
Les deux rivales se font jouir par tous les trous, les bouches voraces sont insatiables, dès qu'une jouissance est arrivée, elles s'activent pour en trouver une seconde. Marc sort sa verge tendue, fébrilement la saisit et commence un branlage qui le fait grimacer. Richard, souriant, sort lui aussi son membre qui d'habitude a beaucoup de mal à dresser la tête, mais là, il est dur comme du béton. Lui aussi, en contemplant les amantes, agite son mât. Murielle redresse la tête et regarde les verges tendues. Elle dit :
-Richard, je t'offre le cul de ta femme, vient l'enculer, elle est chaude comme de la braise !
Richard sursaute, sa femme ne lui a jamais autorisé cet accès, il se lève d'un bond. Murielle demande à sa chose de replier les jambes sur son ventre et de bien offrir à son mari son orifice encore vierge. Ce n'est pas rassurée que Géraldine s'exécute. Richard place contre l'anus ridé, sa verge bien décalottée. Murielle la maintient contre la petite porte pendant que Richard saisit les hanches de sa femme. Il pousse, Géraldine pousse un cri de douleur, l'anneau cède et avale lentement la queue puissante.
Géraldine croit mourir, elle s'agrippe ou elle peut en serrant les dents. Dilatée comme jamais, sa gaine forcée, accepte enfin la pénétration. Murielle, en souriant, dit :
-Vas-y Richard, venge-toi aussi de cette salope infidèle !
Le bougre la défonce comme un sauvage, Marc prit de jalousie marmonne, sa maitresse subit une vigoureuse sodomisation. Qui peu à peu tourne en plaisir, Géraldine maintenant geint de plaisir :
-Oui, oui, mon chéri défonce-moi bien le cul, oh mon Dieu comme c'est bon !
La bite entre est ressort de la gaine fortement sollicitée en prenant de plus en plus de vitesse. Un cabrage suivit d'un cri strident, fait sursauter Marc. Géraldine vient de jouir du cul pour la première fois de sa vie. Richard retrouve sa jeunesse, il pilonne le cul de sa femme comme un beau diable, il est en sueur et a la bouche ouverte. Marc n'en peut plus, il se lève et bascule sa femme, elle tente de se débattre, mais son mari est costaud. Il réussit à lui planter sa bite dans le ventre. Il donne des coups de reins comme un forcené.
Murielle capitule, elle s'accroche à lui, et grogne comme une bête. Les assauts sont terribles et interminables, Murielle a déjà joui deux fois. Elle s'agite en donnant, elle aussi, des coups de reins dévastateurs. Une troisième jouissance la fait cabrer. C'est à ce moment que Marc déverse en elle, sa semence qu'il a longtemps retenue.
Richard n'a pas dit son dernier mot, il ressort entièrement sa bite du cul de sa femme pour lui la replonger dans la chatte dégoulinante. Le bougre alterne chatte et cul pour Géraldine, c'est le summum du bonheur, elle obtient de nouvelles jouissances inespérées, elle reconnait plus son mari qui semble avoir repris du poil de la bête en lui ravageant les entrailles. En fin en gémissant comme une fauve, il remplit l'orifice qu'il a choisi, pour tout dire le cul.
Mais richard exceptionnellement bande encore, il fait subir à Murielle le même traitement qu'à sa femme. Prise, en alternance, par les deux orifices, Murielle jouit comme une damnée. Marc en profite pour assouvir sa soif de sexe avec sa maitresse, qui ne rechigne plus, aux assauts anaux. Elle semble même en faire son plaisir privilégier depuis peu.
Les invités sont au salon, Géraldine, n'est pas très rassurée, elle regarde avec une certaine appréhension sa rivale. Mais Murielle, ne semble pas agressif, au contraire, elle est très souriante. Elle regarde sans cesse Géraldine, qui timidement répond à ses sourires. Les deux femmes au fil des minutes paraissent sympathiser. Marc est ravi de la tournure que prennent les choses, lui qui s'attendait au pire.
Murielle prend son verre et va s'assoir à côté de Géraldine, les deux papotent, en ignorant presque les deux hommes. Les compliments ne cessent de tomber. Géraldine est fascinée par la beauté naturelle de Murielle. Les deux femmes se regardent tendrement, Murielle se penche sur Géraldine, elle sait qu'elle lui fait de l'effet, et en lui donnant un petit baiser à la commissure des lèvres, dit :
-Si je m'écoutais, je te ferais l'amour !
Géraldine la regarde en ravalant sa salive, bien que n'étant pas lesbienne, la proposition est tentante. La coquine, Murielle, tend son piège, elle prend la main de Géraldine et du bout des doigts la caresse. Géraldine frissonne, elle déglutit, mais lorsque Murielle lui embrasse longuement le dessus et la paume de la main, elle frémit.
Géraldine est troublée. Murielle enfonce le clou, et se met à lui sucer l'index et le majeur avec douceur en l'enfonçant de plus en plus profondément dans sa bouche. Géraldine ne sait que faire, elle cherche du regard celui son mari, le bougre semble satisfait de ce qui se passe, il lui sourit.
Marc est éberlué, il se demande ce qui se passe, il ne dit pas un mot et avale son verre d'un trait, pour aussitôt s'en reverser un. La bouche de Murielle voyage doucement sur les doigts de Géraldine qui pousse de nombreux soupirs. Murielle, en ne quittant pas des yeux sa rivale, lui dit :
-Ça te plaît hein, vas-y suce les miens maintenant, imagine que c'est la bite de mon mari, aller prends ton pied ?
Murielle présente à la bouche entrouverte de Géraldine ses longs doigts fins, sans se poser de questions, Géraldine les prend en bouche et se met à sucer avec maladresse, mais au fil des minutes avec de plus en plus d'assurance. Murielle ajoute :
-Oui, oui, suce ma chérie, c'est la bite de mon mari que tu suces, oh, mais tu suces divinement, continue ma chérie !
Les deux femmes se sucent simultanément les doigts. Murielle pose sa main libre sur la cuisse de la suceuse et la glisse sous sa jupe. Instinctivement, Géraldine ouvre les cuisses, la main se pose sur son entrejambe et caresse la fente qui suinte depuis un bon. L'abondante cyprine humidifie la culotte. Murielle dit en retirant ses doigts de la bouche de Géraldine :
-Hum, tu mouilles bien ma chérie, nous allons faire de grandes choses ensemble !
Géraldine semble ensorcelée par Murielle, elle a les yeux hagards. Murielle appuie sur la culotte, le tissu mouillé, s'enfonce de quelques centimètres dans le sillon que forment les grandes lèvres. Habilement, ses doigts montent et descendent entre les lèvres pour taquiner le bouton d'amour. Géraldine geint de plaisir, sa respiration s'accélère. Murielle sait qu'elle a gagné, elle juge que sa proie et bonne à saisir. Elle retire ses doigts de la bouche de la suceuse et lui dit d'un ton autoritaire :
-Branle-toi, branle-toi maintenant !
Sans réfléchir, sous l'emprise de Murielle, Géraldine retrousse sa jupe et écarte sa culotte, Marc n'en croit pas ses yeux, il serre les poings, il marmonne des mots inaudibles. Murielle stoppe Géraldine :
-Attends, je vais te la retirer !
Avec habileté, elle lui retire la culotte, et la passe sous son nez en disant :
-Tu sens bon l'amour salope, aller branle-toi !
Les doigts agiles de Géraldine saisissent son clito et le branle avec de plus en plus d'intensité. Sa boule double de volume, maintenant Géraldine, sous les indications de Murielle, se branle férocement. Elle serre les dents, grimace, elle se tend comme un arc et dit d'une voix rauque :
-Je vais jouir, je vais jouir !
Murielle lui retire la main et lui dit :
-Je t'interdis de jouir, c'est moi qui vais te faire exploser !
Elle s'agenouille face à Géraldine et avance sa tête entre les cuisses largement ouvertes. Elle aspire le jus que la chatte chauffée à blanc rejette, puis enfonce sa langue dans le puits débordant de cyprine. Elle le fouille à en faire rugir Géraldine, qui hurle :
-Ça vient, ça vient !
Rapidement, Murielle lui gobe le clito et le suce avec rage, Géraldine se cabre et pousse un cri terrible, sa jouissance est fabuleuse. Un jet remplit la bouche de la suceuse qui avale, le plus possible, de ce nectar divin. La bouche de Murielle se pose brusquement sur l'anus, surprise par ce nouvel attouchement, Géraldine se tend comme un arc qui va lancer sa flèche. La langue passe sur le muscle de nombreuses fois en faisant gémir Géraldine.
-Mon Dieu, qu'est-ce que tu le fais là, tu veux me faire mourir, oh comme c'est bon !
La langue s'enfonce dans la gaine étroite et la fouille le plus loin possible. Géraldine est cambrée comme un pont un jour de tempête. Elle hurle :
-Mon Dieu, c'est démentiel, Murielle, Murielle, je vais jouir encore, oui, oui !
Une jouissance anale terrible fait délirer Géraldine. Elle dit en grognant :
-Mais pourquoi que tu me fais tout ça !
Murielle se redresse et répond :
-Tu fais jouir mon mari, je veux que tu sois ma chose, maintenant, tu vas me faire jouir, c'est la vengeance d'une femme cocue !
Géraldine réplique en béguant :
-C'est tellement bon, que je vais te faire tout ce que tu veux, tout, tout ma chérie !
Les deux femmes s'aident à se dévêtir. Une fois nue, Géraldine s'allonge tête bêche sur Murielle. Les deux femmes se broutent sauvagement la chatte, elles gémissent de plaisir devant les deux hommes qui bandent comme des poneys. Les langues trouvent facilement les endroits érogènes. Les deux amantes gémissent comme des bêtes blessées.
Les deux rivales se font jouir par tous les trous, les bouches voraces sont insatiables, dès qu'une jouissance est arrivée, elles s'activent pour en trouver une seconde. Marc sort sa verge tendue, fébrilement la saisit et commence un branlage qui le fait grimacer. Richard, souriant, sort lui aussi son membre qui d'habitude a beaucoup de mal à dresser la tête, mais là, il est dur comme du béton. Lui aussi, en contemplant les amantes, agite son mât. Murielle redresse la tête et regarde les verges tendues. Elle dit :
-Richard, je t'offre le cul de ta femme, vient l'enculer, elle est chaude comme de la braise !
Richard sursaute, sa femme ne lui a jamais autorisé cet accès, il se lève d'un bond. Murielle demande à sa chose de replier les jambes sur son ventre et de bien offrir à son mari son orifice encore vierge. Ce n'est pas rassurée que Géraldine s'exécute. Richard place contre l'anus ridé, sa verge bien décalottée. Murielle la maintient contre la petite porte pendant que Richard saisit les hanches de sa femme. Il pousse, Géraldine pousse un cri de douleur, l'anneau cède et avale lentement la queue puissante.
Géraldine croit mourir, elle s'agrippe ou elle peut en serrant les dents. Dilatée comme jamais, sa gaine forcée, accepte enfin la pénétration. Murielle, en souriant, dit :
-Vas-y Richard, venge-toi aussi de cette salope infidèle !
Le bougre la défonce comme un sauvage, Marc prit de jalousie marmonne, sa maitresse subit une vigoureuse sodomisation. Qui peu à peu tourne en plaisir, Géraldine maintenant geint de plaisir :
-Oui, oui, mon chéri défonce-moi bien le cul, oh mon Dieu comme c'est bon !
La bite entre est ressort de la gaine fortement sollicitée en prenant de plus en plus de vitesse. Un cabrage suivit d'un cri strident, fait sursauter Marc. Géraldine vient de jouir du cul pour la première fois de sa vie. Richard retrouve sa jeunesse, il pilonne le cul de sa femme comme un beau diable, il est en sueur et a la bouche ouverte. Marc n'en peut plus, il se lève et bascule sa femme, elle tente de se débattre, mais son mari est costaud. Il réussit à lui planter sa bite dans le ventre. Il donne des coups de reins comme un forcené.
Murielle capitule, elle s'accroche à lui, et grogne comme une bête. Les assauts sont terribles et interminables, Murielle a déjà joui deux fois. Elle s'agite en donnant, elle aussi, des coups de reins dévastateurs. Une troisième jouissance la fait cabrer. C'est à ce moment que Marc déverse en elle, sa semence qu'il a longtemps retenue.
Richard n'a pas dit son dernier mot, il ressort entièrement sa bite du cul de sa femme pour lui la replonger dans la chatte dégoulinante. Le bougre alterne chatte et cul pour Géraldine, c'est le summum du bonheur, elle obtient de nouvelles jouissances inespérées, elle reconnait plus son mari qui semble avoir repris du poil de la bête en lui ravageant les entrailles. En fin en gémissant comme une fauve, il remplit l'orifice qu'il a choisi, pour tout dire le cul.
Mais richard exceptionnellement bande encore, il fait subir à Murielle le même traitement qu'à sa femme. Prise, en alternance, par les deux orifices, Murielle jouit comme une damnée. Marc en profite pour assouvir sa soif de sexe avec sa maitresse, qui ne rechigne plus, aux assauts anaux. Elle semble même en faire son plaisir privilégier depuis peu.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par linsee
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonne suite