Une infirmière 1
Récit érotique écrit par JefCostello [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une infirmière 1
Avant-hier, comme souvent, j’ai pris mon vélo et j’ai tourné avant de déjeuner. J’aime faire ça, je regarde les femmes seules, je leur dit qu’elles sont belles et elles me sourient… Ou partent effrayées !
Hier, j’ai “repéré” une femme d’une petite quarantaine qui sortait son chien. J’ai fait en sorte de me retrouver face à elle. Elle a tiré la laisse et j’ai répondu qu’il n’y avait pas de problème, je pouvais passer !
J’ai demandé alors la race du petit chien, un bichon. J’ai fait des compliments sur le chien et il s’est mis à faire une crotte. Elle a sorti alors un sac noir pour ramasser mais ne savait pas quoi faire de la laisse. Je lui ai proposé de tenir le chien. Elle a hésité mais m’a tendu la laisse. La glace était rompue, nous avons eu un échange. Je l'ai accompagnée sur le trottoir et j’ai appris qu’elle était encore en vacances car “elle était fonctionnaire!”. Elle souriait, elle était fière. J’ai souri.
C’est une femme pleine de charme, elle a le cheveux blond tirés en arrière, un joli sourire, une petite poitrine sous un pull de coton. Elle a de larges hanches et donc un cul superbe. Deux belles jambes un peu fortes, ce qui lui donne une allure un peu gauche…. Mais j’aime bien !
Au moment de rentrer dans son immeuble, je lui ai demandé ce qu’elle voulait faire et elle m’a répondu qu’elle allait passer son après-midi avec son mari. Le message était direct, j'étais éconduit mais les bases étaient là, je reviendrai !
Ce matin vers 9h, j’ai tourné autour du quartier et j’ai fini par la voir. Il faut toujours sortir les chiens le matin, je le sais !
Elle était là, en jogging et pas coiffée. Ses cheveux étaient tirés sommairement en arrière. Elle avait un sweat à capuche violet et j’ai deviné qu’elle venait de se lever. On a discuté, on a souri. Je suis rassurant avec ma veste et ma chemise. Mon jean me donne une allure un peu cool, les baskets aussi et le vélo de ville est très sécurisant. Je ne crois pas qu’il y ait d'histoire de tueur en série en vélo…
Elle a jeté un sac noir dans une poubelle, j’ai compris que le bichon avait fait ce qu’il devait faire. On se rapprochait de l’entrée de l’immeuble et je lui ai demandé si c'était toujours elle qui sortait le chien et jamais son mari. Elle m’a répondu que son mari travaillait sur un chantier en province et qu’il était parti hier. J'ai souri, elle aussi…
Je me suis lancé et j’ai demandé si elle ne voulait pas m’offrir un café. Elle m’a répondu “chez moi ?”. J'ai répondu oui en souriant et elle a réfléchi…
OK, montez !
Dans l'ascenseur, elle m’a dit qu’elle était infirmière scolaire et j’ai souri. J’ai raconté mes souvenirs d’enfance, de visite médicale. De tous les enfants en slip qui attendaient de voir le médecin. Elle souriait. J’ai bien sûr évoqué le fantasme de l’infirmière en blouse. Le souvenir de m'être fait draguer quand j'étais jeune sans le voir, 2 fois à l'hôpital ! Elle a rit, on était bien.
Nous sommes rentrés et le chien est allé se mettre dans son panier. Elle m’a proposé de me servir un café à sa machine espresso pendant qu’elle allait finir de se préparer et prendre une douche. J’ai feuilleté les albums de photos qui étaient sur la table basse. Elle a passé son été au soleil, j’ai reconnu la Corse ! Encore un sujet de conversation pour moi qui adore cette île !
Top less, elle a effectivement deux petits seins pointus très sexy…
Elle est apparue les cheveux mouillés et habillée comme la veille. Un pull de coton léger et un jean moulant finalement pas très sexy. Pieds nus, elle s’est installée à côté de moi et elle a légèrement rougit en voyant les photos d’elle presque nue. On peut se promener presque nue sur une plage l’été mais pas forcément se montrer à un inconnu dans un appartement loin de la mer et du soleil !
Et elle a dit, “Je pense à un truc, j’ai une surprise pour toi ! “
“Allez!”
Elle venait de me tutoyer…
Elle s’est levée et elle est partie vers sa chambre. “Ne bouge pas !”
“Ça ne risque pas, j’adore les surprises ! “
Ça n'a pas été long, elle est vite revenue et depuis le couloir m’a dit de fermer les yeux. J’ai senti qu’elle était rentrée, elle m’a dit de regarder et je l’ai vu, devant moi, avec sa blouse d’infirmière et ses sandales Scholl. Il y avait tout, le bouton du haut ouvert, une vraie blouse blanche, pas un déguisement ridicule et surtout, impossible de savoir ce qu’il y a dessous, comme une vraie, le fantasme !
Elle s’est assise à côté de moi et m’a dit, regarde. Elle a sorti d’une poche un stéthoscope et de l’autre, une poignée de préservatif au couleur des anneaux olympiques. On fait beaucoup de prévention auprès des jeunes. J’en ai même distribué à des 5ième !
J’étais sec, impossible de parler. Elle a pris son stéthoscope et a commencé à écouter mon coeur. Un bouton puis l'autre et mon torse était nu.
“Ton cœur s’accélère ! “
J’ai glissé ma main sous sa blouse pour vérifier, elle ne portait pas de culotte, rien. Elle a sourit et a dit :
“Ton cœur s’emballe ! “
Elle m’a embrassé, elle avait pris la direction de notre relation.
Bien sûr, je me suis rapidement repris, j’ai trouvé sa chatte ouverte et mouillée. Son clito en attente, j’ai joué, il grossissait, elle poussait de petits cris. Je l’ai allongée sur le canapé et j’ai ouvert sa blouse, rien dessous bien sûr. J’ai vite pris ses petits seins dans ma main et dans ma bouche. Ils sont petits mais sensibles et j’ai commencé à mordiller puisque je ne pouvais pas malaxer et serrer dans mes mains. Mon autre main était toujours sur sa chatte, son clito et j’alternais des pénétrations et des caresses sur ses lèvres et son clito. Elle a poussé un cri, je venais de mordre un peu fort son teton. “Encore, fais moi encore mal !”
Je me suis relevé, je l’ai fixé et j’ai souris. Je l’ai prise par les cheveux et je lui ai murmuré à l’oreille un “d’accord!”.
Je l’ai rapidement retournée et j’ai claqué ses fesses. Elle poussait des cris de douleur mais ne me demandait pas d'arrêter. Elle s’est finalement retournée, je claquais alternativement sans m'arrêter une fesse puis l’autre et j’ai vu qu’elle mordait ses lèvres et qu’une larme coulait de son œil. J’ai immédiatement cessé et j’ai caressé ses fesses, embrassé ses rougeurs. Elle sursautait mais était apaisée.
Je me suis assis sur le canapé, j’a retiré mon pantalon et mon caleçon et j’ai commencé à masturber mon sexe pour qu’il atteigne une belle érection. Je l’ai fixé, et j’ai fait un signe de tête pour lui dire ce que j’attendais. Elle s’est mise à gemou entre mes jambes et elle a pris mon sexe dans ses mains, dans sa bouche. J’ai mis ma tête en arrière, j’étais bien. Elle me suçait divinement bien, lentement, puis avec fougue. C'était parfois maladroit mais très agréable.
Je suis revenu vers elle et j’ai caressé ses cheveux.
Je lui ai dit “viens!”. Elle a pris un des préservatifs, le rouge, l’a enfilé sur mon sexe et m’a chevauché. J’ai posé mes mains sur ses fesses, elle a sursauté. Elle avait encore mal mais j’ai maintenu et serré mes mains. Elle a grimacé … Puis sourit !
Elle a fermé les yeux et pris la direction de nos mouvements. C’est elle qui bougeait sur moi, ses ongles enfoncés dans mes épaules. Elle a relevé les yeux vers le plafond et elle a joui en poussant un cri. Elle est revenue vers moi, m’a fixé dans les yeux. J’ai à mon tour maintenu son cul pendant que je limais et j’ai joui profondément en elle.
J’aime les bichons, j’aime les infirmières !
Hier, j’ai “repéré” une femme d’une petite quarantaine qui sortait son chien. J’ai fait en sorte de me retrouver face à elle. Elle a tiré la laisse et j’ai répondu qu’il n’y avait pas de problème, je pouvais passer !
J’ai demandé alors la race du petit chien, un bichon. J’ai fait des compliments sur le chien et il s’est mis à faire une crotte. Elle a sorti alors un sac noir pour ramasser mais ne savait pas quoi faire de la laisse. Je lui ai proposé de tenir le chien. Elle a hésité mais m’a tendu la laisse. La glace était rompue, nous avons eu un échange. Je l'ai accompagnée sur le trottoir et j’ai appris qu’elle était encore en vacances car “elle était fonctionnaire!”. Elle souriait, elle était fière. J’ai souri.
C’est une femme pleine de charme, elle a le cheveux blond tirés en arrière, un joli sourire, une petite poitrine sous un pull de coton. Elle a de larges hanches et donc un cul superbe. Deux belles jambes un peu fortes, ce qui lui donne une allure un peu gauche…. Mais j’aime bien !
Au moment de rentrer dans son immeuble, je lui ai demandé ce qu’elle voulait faire et elle m’a répondu qu’elle allait passer son après-midi avec son mari. Le message était direct, j'étais éconduit mais les bases étaient là, je reviendrai !
Ce matin vers 9h, j’ai tourné autour du quartier et j’ai fini par la voir. Il faut toujours sortir les chiens le matin, je le sais !
Elle était là, en jogging et pas coiffée. Ses cheveux étaient tirés sommairement en arrière. Elle avait un sweat à capuche violet et j’ai deviné qu’elle venait de se lever. On a discuté, on a souri. Je suis rassurant avec ma veste et ma chemise. Mon jean me donne une allure un peu cool, les baskets aussi et le vélo de ville est très sécurisant. Je ne crois pas qu’il y ait d'histoire de tueur en série en vélo…
Elle a jeté un sac noir dans une poubelle, j’ai compris que le bichon avait fait ce qu’il devait faire. On se rapprochait de l’entrée de l’immeuble et je lui ai demandé si c'était toujours elle qui sortait le chien et jamais son mari. Elle m’a répondu que son mari travaillait sur un chantier en province et qu’il était parti hier. J'ai souri, elle aussi…
Je me suis lancé et j’ai demandé si elle ne voulait pas m’offrir un café. Elle m’a répondu “chez moi ?”. J'ai répondu oui en souriant et elle a réfléchi…
OK, montez !
Dans l'ascenseur, elle m’a dit qu’elle était infirmière scolaire et j’ai souri. J’ai raconté mes souvenirs d’enfance, de visite médicale. De tous les enfants en slip qui attendaient de voir le médecin. Elle souriait. J’ai bien sûr évoqué le fantasme de l’infirmière en blouse. Le souvenir de m'être fait draguer quand j'étais jeune sans le voir, 2 fois à l'hôpital ! Elle a rit, on était bien.
Nous sommes rentrés et le chien est allé se mettre dans son panier. Elle m’a proposé de me servir un café à sa machine espresso pendant qu’elle allait finir de se préparer et prendre une douche. J’ai feuilleté les albums de photos qui étaient sur la table basse. Elle a passé son été au soleil, j’ai reconnu la Corse ! Encore un sujet de conversation pour moi qui adore cette île !
Top less, elle a effectivement deux petits seins pointus très sexy…
Elle est apparue les cheveux mouillés et habillée comme la veille. Un pull de coton léger et un jean moulant finalement pas très sexy. Pieds nus, elle s’est installée à côté de moi et elle a légèrement rougit en voyant les photos d’elle presque nue. On peut se promener presque nue sur une plage l’été mais pas forcément se montrer à un inconnu dans un appartement loin de la mer et du soleil !
Et elle a dit, “Je pense à un truc, j’ai une surprise pour toi ! “
“Allez!”
Elle venait de me tutoyer…
Elle s’est levée et elle est partie vers sa chambre. “Ne bouge pas !”
“Ça ne risque pas, j’adore les surprises ! “
Ça n'a pas été long, elle est vite revenue et depuis le couloir m’a dit de fermer les yeux. J’ai senti qu’elle était rentrée, elle m’a dit de regarder et je l’ai vu, devant moi, avec sa blouse d’infirmière et ses sandales Scholl. Il y avait tout, le bouton du haut ouvert, une vraie blouse blanche, pas un déguisement ridicule et surtout, impossible de savoir ce qu’il y a dessous, comme une vraie, le fantasme !
Elle s’est assise à côté de moi et m’a dit, regarde. Elle a sorti d’une poche un stéthoscope et de l’autre, une poignée de préservatif au couleur des anneaux olympiques. On fait beaucoup de prévention auprès des jeunes. J’en ai même distribué à des 5ième !
J’étais sec, impossible de parler. Elle a pris son stéthoscope et a commencé à écouter mon coeur. Un bouton puis l'autre et mon torse était nu.
“Ton cœur s’accélère ! “
J’ai glissé ma main sous sa blouse pour vérifier, elle ne portait pas de culotte, rien. Elle a sourit et a dit :
“Ton cœur s’emballe ! “
Elle m’a embrassé, elle avait pris la direction de notre relation.
Bien sûr, je me suis rapidement repris, j’ai trouvé sa chatte ouverte et mouillée. Son clito en attente, j’ai joué, il grossissait, elle poussait de petits cris. Je l’ai allongée sur le canapé et j’ai ouvert sa blouse, rien dessous bien sûr. J’ai vite pris ses petits seins dans ma main et dans ma bouche. Ils sont petits mais sensibles et j’ai commencé à mordiller puisque je ne pouvais pas malaxer et serrer dans mes mains. Mon autre main était toujours sur sa chatte, son clito et j’alternais des pénétrations et des caresses sur ses lèvres et son clito. Elle a poussé un cri, je venais de mordre un peu fort son teton. “Encore, fais moi encore mal !”
Je me suis relevé, je l’ai fixé et j’ai souris. Je l’ai prise par les cheveux et je lui ai murmuré à l’oreille un “d’accord!”.
Je l’ai rapidement retournée et j’ai claqué ses fesses. Elle poussait des cris de douleur mais ne me demandait pas d'arrêter. Elle s’est finalement retournée, je claquais alternativement sans m'arrêter une fesse puis l’autre et j’ai vu qu’elle mordait ses lèvres et qu’une larme coulait de son œil. J’ai immédiatement cessé et j’ai caressé ses fesses, embrassé ses rougeurs. Elle sursautait mais était apaisée.
Je me suis assis sur le canapé, j’a retiré mon pantalon et mon caleçon et j’ai commencé à masturber mon sexe pour qu’il atteigne une belle érection. Je l’ai fixé, et j’ai fait un signe de tête pour lui dire ce que j’attendais. Elle s’est mise à gemou entre mes jambes et elle a pris mon sexe dans ses mains, dans sa bouche. J’ai mis ma tête en arrière, j’étais bien. Elle me suçait divinement bien, lentement, puis avec fougue. C'était parfois maladroit mais très agréable.
Je suis revenu vers elle et j’ai caressé ses cheveux.
Je lui ai dit “viens!”. Elle a pris un des préservatifs, le rouge, l’a enfilé sur mon sexe et m’a chevauché. J’ai posé mes mains sur ses fesses, elle a sursauté. Elle avait encore mal mais j’ai maintenu et serré mes mains. Elle a grimacé … Puis sourit !
Elle a fermé les yeux et pris la direction de nos mouvements. C’est elle qui bougeait sur moi, ses ongles enfoncés dans mes épaules. Elle a relevé les yeux vers le plafond et elle a joui en poussant un cri. Elle est revenue vers moi, m’a fixé dans les yeux. J’ai à mon tour maintenu son cul pendant que je limais et j’ai joui profondément en elle.
J’aime les bichons, j’aime les infirmières !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une suite est prévue avec cette belle infirmière ?
Sage, une infirmière, j’imagine que les hommes fantasmes aussi sur l’institutrice ?
Elle histoire, du vécu ?