une initiation trés réussie...
Récit érotique écrit par Ruoma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2006 dans la catégorie Pour la première fois
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une initiation trés réussie...
Jeune, il m'était déjà arrivé d'embrasser et d'avoir quelques flirts poussées avec une ou deux filles. Il n'était pas facile pour une fille de sortir un homme de couleur comme moi. J'avais en tout cas réussi à 16 ans à en connaître une (plus agée que moi) avec qui j'ai pu « conclure » : je n'étais plus un puceau
Cela s'est passé à la fin d'une année scolaire et en profitant de l'absence de ses parents, nous avions pu faire l'amour à trois reprises. La fille a joui de mes caresses, plus qu'avec mon sexe.
J'allais sur mes dix-sept ans au moment de cette aventure qui me révéla le corps de la femme...
J'avais un responsable, appelons-le Jean-Claude (35-40 ans), qui s'occupait de mon équipe de foot depuis trois ans déjà. Il passait me prendre ou me déposer à la maison après les entraînements. Il avait une sorte d'affection pour moi d'autant plus forte que j'étais un bon joueur, qu'il me chouchoutait depuis mes 14 ans.
Quelquefois, c'est moi qui allais chez lui, ce qui me permit de connaître sa femme Elise et de la voir habillée plus simplement et je reconnais qu'avec le temps et l'âge faisant, je ne manquais une occase de la mater. Elle me paraissait plus belle que lorsqu'elle se rendait au stade avec son mari : elle suscitait mon désir pour des masturbations délirantes, surtout depuis mon dépucelage.
Jean-Claude était un homme très jovial et prévenant : il savait nous mettre en confiance pour un match, et je savais aussi qu'il aimait sa belle femme car souvent nous l'avions vu l'embrasser ou la tenir prés de lui pendant nos journées de foot.
Il nous rendait fréquemment visite dans le vestiaires et même dans les douches pour nous taquiner et fêter nos victoires. Doué pour marquer des buts, il n''hésitait à me faire des cadeaux pour me remercier. Je ne trouvais donc rien d'anormal, cela s'étant produit plusieurs fois.
Un soir, après l'entraînement, il vint me chercher dans le vestiaire où j'étais souvent le dernier à sortir. Il me regarda m'habiller et finit par me dire en riant : « Charlie, tu deviens un vrai homme et tu es bien doté par la nature, elles doivent être contentes, tes copines » .
J'ai rougi et il me dit « tu sais, j'entends parler tes copains. Ils sont un peu impressionné ». Je me tus et il riait encore de ma gène mais j'osai lui dire dans la voiture que j'avais un peu honte et même peur de mon sexe que je voyais blesser les filles, peur qui provenait de quelques nanas qui ont fui quand elles m'ont senti bander contre elles.
Il ria de plus belle : « Attends d'être un peu plus grand et tu verras qui sera obligé de fuir »
Et ce soir-là, j'eus le sentiment que je pouvais me confier un homme, un ami qui ne se moquerait pas de moi. Car je sentais ses rires comme très amicaux et ses réponses régonflaient à bloc ma confiance.
Un jour, j'ai pu lui parler de mon aventure avec cette copine tout en lui expliquant mon insatisfaction dans la mesure où j'avais éjaculé trop vite lors de ces rapports. Il ria encore : « le plaisir avec une femme, c'est comme le foot mon garçon, il faut aimer le ballon, t'inquiètes pas tu apprendra un jour ».
Un soir, je m'étais blessé à la cheville et à la cuisse. Je traînai un peu la jambe. Je m'appuyai sur lui, direction son domicile pour des soins. Et me voilà, de nouveau en slip dans sa salle de bain et en présence d'Elise qui aida son mari. Je fus massé et bandé.
Heureusement que mon long tee-shirt caché mon début d'érection car dans ses mouvements, Elise ne se rendait pas compte que sa robe de chambre me laissait un paysage troublant : ses seins à peine caché pas sa chemise de nuit à bretelles ! Ce soir-là, mes pensées étaient toutes vers Elise.
Un jeudi de nov. vers 18h, alors que je me présentais chez Jean-Claude, Elise m?ouvrit, et m'indiqua qu'il n'était pas encore là, mais qu'il allait arriver sous peu.
- Tu n'as qu?'à entrer l'attendre si tu veux, dit- elle en s'effaçant de la porte. J'entrais et posais mon sac dans le couloir. Elle m'invita à m'asseoir dans la salle à manger.
Elise, était une femme d'environ 35-40 ans, jolie blonde au visage arrondi, les seins assez volumineux. A presque 17 ans, j'avais grandi et pris la même taille qu'elle (envir. 1,70) et je la regardai à présent comme un homme, mais je n'étais pas à l'aise avec mon désir, face à elle et c'était la première fois que je me retrouvais seul avec elle.
Je m'installai dans le fauteuil, tandis qu'elle s'excusa ayant à faire à la cuisine. Elle revînt au bout de quelques minutes.
- Jean-Claude est allé chez un dernier client, il vient juste d'appeler pour son retard, me dit-elle, je vais peut- être devoir t?accompagner.
- Très bien mais je peux prendre le bus aussi!
- Arrêtes de dire des bêtises. Veux tu un jus de fruit ?, dit elle, en revenant dans le salon. Cela te donneras du tonus
J'acceptais et je l'entendis le préparer dans la cuisine. Elle revînt avec un plateau sur lequel trônait un pot et deux verres. Elle le posa sur une petite table, et ce fut ma première surprise, je découvris, dans le décolleté de son chemisier assez ouvert, ses seins qui pendaient. C?était la première fois que je les voyais d'aussi près ! J'en fus ému, et je dus rougir. Tout en restant penchée, sans pens er à se cacher, bien au contraire, elle remplit mon verre.
Elle n'ignorait pas mon trouble, comme elle me le dit plus tard. Et elle s'installa face à moi dans le canapé. Je n'osais plus la regarder. Des tas de pensées me bousculaient l'esprit.
- Eh bien, tu n'es pas bavard aujourd'hui ! Est ce moi qui te fais peur ?
Il est vrai que Jean-Claude et moi parlions beaucoup de nos exploits sur le terrain, et cela l'amusait. Mais là, j'étais bloqué par la vue de ses seins blancs qui pendaient, et dont le téton était gros et beau à voir.
Je pris mon verre sur la table. Elle fit de même, et pour ce faire, elle du s'avancer un peu, écartant un peu les cuisses, me laissant voir sa culotte blanche qui surmontait ses bas. Je ne pouvais décoller mon regard de cette tâche blanche que sa jupe un peu remontée ne cachait plus !
Figé que j'étais, j'étais bien installé, à bien regarder, et je pus distinguer quelques poils qui s'échappaient de chaque côté de la culotte. Je bandais, et mon excitation devait se voir sur mon visage.
Elle se recula au fond du canapé, en laissant ses jambes légèrement ouvertes, et me regarda en souriant.
- Tu as l'air tout drôle soudain, dit-elle, serait-ce moi qui te fait peur ?
Je devais être plus perturbée par cette vue.
- Tu sais que tu es mignon, je t'ai souvent observé avec Jean Claude. Continua-telle
Je bredouillais je ne sais quoi mais je ne tenais plus. Le téléphone sonna et me sauva. Jean Claude ne sera pas à l'heure et Elise se leva pour s'habiller et me déposer au stade.
Je sentais mon érection et je dus me lever moi aussi, sans penser à la bosse qui devait se voir sur mon bas ventre. Dans la voiture, je pus à nouveau admirer ses cuisses que son manteau couvrait peu. Et au moment de descendre de la voiture, elle me dit « passe me voir plus tôt si tu veux la prochaine fois pour attendre J-C »...
Après l'entraînement, J-C me déposa et tout en me parlant, il me confia combien Elise fut contente du moment que j'avais passé avec elle. Je lui exprimais mon plaisir et lui proposait avec une voie un peu ému qui faillit me trahir :
- Tu sais JC, je peux passer pour chaque entraînement chez toi t'attendre si ça peut t'arranger pour ton boulot
- Si ça coince comme ce soir, je te dirai de le faire, me dit-il
Le jeudi suivant, je suis à nouveau chez mais dés 17h30. Il ne se passa rien. Elise était en pantalon et malgré cette tenue sage, elle était belle avec sa queue de cheval noué serrée qui lui dégageait bien le visage. On parla beaucoup et je la fis rire souvent.
Elle me regardait parfois, avec un léger sourire au coin des lèvres, avec un regard insistant que je ne lui connaissais pas. Enfin JC arriva, à l'heure cette fois et l'on partit. Dans la voiture, il me dit avoir retrouvé une Elise joyeuse et me remercia de ma présence auprès d'elle.
Pendant deux semaines, il put venir me chercher chez moi et les seuls moments passés avec Elise, le furent en présence de JC ou des gens du club qui allait organiser une soirée avec repas en déc.
Mais un soir à nouveau blessure, au genou cette foi avec une plaie à la fesse, et de nouveau soins dans la salle de bain de JC. Je devais baisser mon slip pour cela. En un flash, la phrase de JC me revint à l'esprit et il allait enfin m'être donner de voir la réaction d'une femme à la vue de mon sexe.
Je fis mine de résister le faire. Elise était à côté de son mari qui en me tournant un peu plus, me demanda de baisser plus ce slip et de tenir haut mon tee-shirt. J'étais face à elle, je vis ses yeux parcourir mon corps vers le bas. Elle tendait les cotons à JC et reposait directement son regard sur ma queue qui commença à réagir. Le soin se termine, il était temps.
J'ai dû passer chez JC pour l'entraînement suivant. Elise m'accueillit pour l'habituel jus de fruit. Elle porta une robe épaisse et ample dans laquelle je la sentais à l'aise. Elle voulut contrôler l'état de ma fesse blessée. Et me dit : « fais-moi voir ça, tu es capable d'aller jouer même si tu n'est pas en état de le faire »
Au milieu du salon, elle s'accroupit derrière moi, faisant semblant de se concentrer sur ce qu'elle avait à faire et je baissai survêt et slip. Elle me tourna légèrement pour avoir sous son regard ma queue qui commença à se tendre. Je fermai et la laissai tâter de ses doigts ma plaie qui fut à nouveau soignée et je ne pus empêcher une érection totale qui semblait la ravir car ses regard sur mon sexe était fréquents.
Quand JC arriva, elle lui déclara : « j'ai soigné ton joueur, il est bon pour le service ». Etonné mais satisfait de son attention, il la remercia par un baiser. Et nous partîmes. Pour rompre le silence, je lui dit ma joie pour ce que m'a fait sa femme. Il sourit à ma phrase :
« Elle a raison, il fallait le faire et puis elle t'aime bien. En plus, elle est tellement contente de te voir. Tu sais bien la faire rire. Et puis, tu es un mec très poli et ça, elle apprécie beaucoup » me dit-il, « toute façon, je l'aurais fait en arrivant. Dimanche, c'est un match important et tu dois être sur le terrain ».
Nous gagnâmes ce match et le retour en voiture fut joyeux. Assis à l'arrière et au milieu du siège, en prenant par l'épaule Elise, je lui dédie solennellement, le but que j'avais mis pour les soins qu'elle me fit. Ce fut le rire général, et je reçus deux bises de sa part où le bord de nos lèvres se toucha.
La soirée du club est là et j'y étais. JC obtins de mes parents que je puisse dormir chez lui si besoin, pour faire la fête car je l'avais mérité. C'était un vendredi soir sans match pour le dimanche.
Il y eut une ambiance du tonnerre et les seniors nous ont poussé tout doucement vers nos premiers verres d'alcool (Et glou et glou, vous connaissez).
La tête nous tournait et cela nous suffisait mais par contre les adultes dont JC, étaient bien partis. La musique nous permit de danser et je le fis avec Elise qui passait elle aussi une bonne soirée. Parfois je la matai de loin. Elle porta une robe bleu moulante qui arrivait jusqu'au genou et des collants.
Au cours d'une danse, je me collai bien à elle sans m'en rendre compte vraiment. Bien que mis dans les vapes par l'alcool, je ne pus contrôler cette érection : je me mis à faire le pitre sans me décoller d'elle et pour tenter de faire diversion? A la fin, je la remerciai et suis parti vers mes copains.
Vers 2h du matin, c'est un JC bien entamé que nous ramenons Elise et moi vers la voiture puis vers leur maison. On batailla pour l'amener jusqu'à son lit ce qui remit en forme Elise au point de se boire un whisky et de mimer à nouveau quelques pas de danse avec moi.
Elle se changea et c'est en chemise de nuit courte et avec mon aide, qu'elle déshabilla JC dans leur lit et je pus voir un sexe d'homme moins fourni que le mien auquel elle donna une petite tape avant couvrir son mari bien parti dans le sommeil. Je suivais tous ces gestes qui me révélaient parfois ses seins, ses fesses et sa culotte bleue en dentelle.
En retournant vers le salon, elle dit
- « tu as sommeil ?
- Non
Elle alla se chercher un glaçon pour un second verre et en revenant avec son verre, elle baissa au maxi les lumières.
- Je me suis bien amusée ce soir pas toi?
- Super, je ne savais qu'il y avait une telle ambiance
- Le club est super lui aussi. Viens t'asseoir à côté de moi, si tu veux, enchaîna-t-elle, et elle se poussa sur le bord du canapé.
- Alors, dis-moi, as-tu une petite amie ?
Surpris par cette question abrupte, je ne savais quoi répondre,
- Euh non, j'ai rompu depuis deux mois, répondis-je. Je mentais, car cela faisait plus de quatre mois que je n'avais pas embrassé une fille !
- Et moi, je te plais ? me dit-elle en mettant sa poitrine en évidence, tandis que je remarquais qu'entre les boutons entrebâillés de son chemise de nuit son sein droit m'était offert.
- On dirait que ça te fait de l'effet, hein, à voir ta tête et la bosse que tu as, en indiquant, mon bas-ventre gonflé.
Elle se rapprocha, mit sa main gauche sur mon pantalon , là où se situait la bosse en question. C'était la première fois qu'une main de femme me caressait ! Je ne cherchais pas à me retirer, mais j'étais rouge de confusion, et muet. Elle se rapprocha encore, son genou venant au contact du mien, puis elle leva sa jambe gauche et la posa sur mes cuisses, sa chemise glissant ette vue sur sa culotte en gros plan, m'excitait, tandis que sa main caressait doucement ma verge au travers de l'étoffe de mon pantalon.
- Veux tu me caresser toi aussi ?
Disant cela, elle déboutonna sa chemise de façon à offrir sa poitrine nue à ma vue. Je regardais ces seins, lourds, je n'osais pas avancer ma main dans leur direction.
- Tu peux les caresser, tu sais ça ne mord pas, me dit-elle en souriant
Toucher ses seins ! Ceux là même qui me faisaient bander ! Pour sûr, mais à dix sept ans, cela me faisait drôle, surtout avec une femme qui avait son âge. Je me décidais à poser ma main dessus, quand j'eus une pensée, je ne sais pourquoi, pour Jean-Claude : sa femme, m'invitait à lui caresser les seins.
Le contact de cette peau me trou bla profondément, je sentais de drôles de picotements au niveau du sexe, comme lors de mes branlettes ! Elle ouvrit mon pantalon, en femme qui sait y faire, et déboutonna ma braguette, puis tira légèrement sur mon slip, et prit mon sexe dans sa main. Ma main sur son sein, sa main sur ma verge, il ne m'en fallut pas plus : j'éjaculais !
Elle comprit ce qui m'arrivait, et se tournant vers moi, elle fit glisser avec son autre main mon slip un peu plus bas, et me branla très vite, tandis que les jets de semence partaient sur ma chemise et ses mains.
- Tu viens vite, c'est l'émotion dit elle toujours en souriant
Comme je m'étais mis debout pour ôter ma chemise, elle s'assis sur le bord du canapé, fit glisser mon pantalon et mon slip sur mes chevilles, puis elle passa ses mains derrière mes fesses, et ouvrant la bouche, sans un mot, elle prit ma verge molle dans sa bouche.
A mon âge, on a de l'énergie : je bandais rapidement, tandis que sa bouche allait et venait. Ses belles lèvres entouraient mon gland, l'avalaient, le laissaient repartir pour le reprendre à nouveau : ma première pipe est royale !
C'est alors qu'elle le laissa ressortir, et le prenant dans sa main droite, elle s'allongeât, la jambe droite hors du canapé, la gauche repliée, elle retira avec sa main gauche sa culotte et sa chatte s'offrit enfin à ma vue.
- Viens, j'en ai envie de ta belle queue, viens me dit elle dans un souffle, tandis qu'elle m'attirait sur elle. Sa main guida ma verge au bord de son sexe, je compris que j'étais bon pour un nouveau plaisir : mon vrai dépucelage !
Je sentis quelque chose de chaud et humide, très humide contre mon gland, puis je sentis nettement ma verge engloutie dans un lieu où le contact de la chair était quelques chose de très agréable : je pénétrai vraiment une chatte, je sentais vraiment ma queue l'ouvrir...
Et malgré que je sois gêné, car j'avais toujours mon pantalon en bas de jambes, je débutais mon vrai premier rapport sexuel. Elle s'extasia et me dit : « ta queue est belle, remplis-moi bien. Ell est grosse et je te sents bien. Oh oui , pousses encore. Là, continue, quelle queue, encore »...
A ses mots crus, le plaisir que j'avais ressentit tout à l'heure commençait à revenir. Elle poussa son ventre contre le mien, les yeux clos, sa bouche chercha alors la mienne, ses deux mains se joignirent derrière ma tête, sa langue entra dans ma bouche : notre premier baiser, un baiser comme je n'en avais jamais reçu, et encore moins donné !
J'accélérais alors mes coups de boutoir en elle, ce qui lui fit pousser quelques gémissements, puis elle ramena ses jambes derrière mon dos, mais comme un quart d'heure plus tôt, je déchargeais encore trop vite. Je sentis ma verge prise de frémissements, et tout mon sperme partit à nouveau en elle. Cette éjaculation provoqua chez elle une chose que j'ignorais jusqu'alors : l'orgasme. Elle gémit plus fort, se cambra violemment, mordit ma langue, ma bouche, et donna de violents coups de reins pour permettre à ma queue de la pénétrer au plus profond d'elle même.
Ses jambes qu'elle avait ramenées derrière mon dos se déplièrent, ses bras me lâchèrent, seulement pour me caresser la poitrine, j'étais alors en nage, tout plein de transpiration, ma queue en elle, baignant dans nos jus, sa chatte dégoulinant sur le canapé, je savourais ce nouveau plai sir. Ah que c'était bien meilleur que les branlettes que je me prodiguais ! La présence de ma verge en elle n'avait pas l'air de la gêner, mais la nature est ainsi faite.
Je me relevai pour retirer mon pantalon, et je découvris alors, pour la première fois, un sexe de femme après l'amour. Je restais à admirer cette fente rose au milieu d'une touffe de poils fournie
- Tu peux me caresser là, tu sais, dit-elle dans un souffle.
Je posais maladroitement ma main sur sa toison, puis mon pouce dans sa fente dégoulinante.
- Oui, continue comme ça, fit-elle,
Je faisais alors aller mon doigt dans sa vulve. Elle appuya alors sa main sur la mienne, empêchant mon pouce de ressortir, mais la massant de façon à ce que mon doigt aille de droite à gauche.
- Oui, caresse moi comme ça, oui c'est bon, continue, disait-elle
Elle descendit alors son autre main, et écarta ses lèvres. Je retirais ma main, et j'étais en admiration devant cette grotte rose, quand elle se mit à caresser son bouton. Ceci lui provoquait des soubresauts du bas-ventre, et le mouvement s'accélérant, elle remuait de plus en plus fort. Je bandais à nouveau, j'avais envie de la pénétrer.
Je n'en pouvais plus, je me penchais au dessus d'elle, et je guidais ma verge vers l'entrée de son sexe. Je sentis alors sa main s'extirper de son sexe, prendre ma queue, et l'aider à rentrer car je n'avais pas une érection suffisante. Je la pénétrais à nouveau, avec son aide, tandis qu'elle passait ses doigts gluant de nos jus sur mes lèvres ce qui ne me plaisait pas beaucoup, puis me tendit sa bouche, et m'embrassa encore.
- Oui, vas y enfonce toi bien, oh j'aime, viens, viens ! dit elle
J'allais et venais en elle avec force, et je l'apprendrais plus tard, elle eut un orgasme violent, car elle me prit les reins, enfonçant ses ongles dans ma chair à m'en faire mal. Deux ou trois coups de reins propulsant son ventre contre le mien, un cri, elle se cambra plus fort, et retomba, satisfaite alors qu'à mon tour je me vidai à nouveau en elle. Elle resta ainsi quelques minutes, puis ouvrit les yeux, se reprit, et se releva, me repoussant légèrement.
- Viens, on va se laver, dit-elle en m'entraînant dans la salle de bains.
Je la suivais, et elle me proposa de prendre une douche. Au sortir de la douche, elle me tendit une grande serviette, et m'essuya le corps, me massant le dos, m'embrassant dans le cou. Puis, me faisant tourner sur moi-même, elle m'essuya la poitrine, descendit vers le ventre, et se baissa pour essuyer mes cuisses. Je n'eus pas le temps de réaliser ce qui m'arrivait : ma queue était dans sa bouche, aspirée, avalée, sucée à nouveau, tandis qu'elle essuyait mes jambes, puis laissant tomber la serviette, elle se mit à me caresser les testicules, encore mieux que la première fois : résultat je bandais à nouveau !
- Eh bien, on dirait que tu aimes ça, hein , petit coquin, dit elle lâchant quelques secondes ma queue, mais la reprenant aussitôt entre ses lèvres.
Elle se releva, me regarda, m'embrassa sur la bouche, puis sans lâcher ma queue, elle se tourna, se pencha en avant, elle passa son autre main entre ses cuisses, et prit ma verge, la guida encore une fois vers sa tanière ! Je posais naturellement mes mains sur sa croupe, elle s'appuya au mur face à elle, et poussa sa belle croupe contre mon ventre. Je compris vite la manœuvre, et crispant mes mains sur ses reins, j'allais en venait en elle, tandis qu'elle se mit à me caresser les testicules, et aussi, je l'appris plus tard, à se branler le clitoris. Je me sentis partir au bout de quelques minutes de cette position, et je lâchais à nouveau mon jus en elle. Je n’avais plus envie de ressortir de cette grotte, tellement j'y étais bien ! Mais elle se dégagea, tandis que je voyais s'écouler sur le sol de la salle de bains le jus coulant se sa chatte encore ouverte. Elle attrapa une serviette, et m'enroula le sexe pour l'essuyer, tandis qu'elle s'asseyait sur le bidet pour laver le sien.
- Il est plus de 4h et si Jean-Claude se réveille, qu'est ce qu'il dirait ?…
Je regagnai heureux la chambre qui m'était préparé. Quand à JC, je sus plus tard que vers 5h du mat., pris par une double envie (pisser et surtout boire), il se leva sans allumer encore un peu vaseux...
De retour dans son lit, il ne put s'empêcher quelques caresses sur le corps d'Elise dormant nue à plat ventre et cuisses légèrement ouvertes. Quand il effleura sa chatte, ses poils étaient humides et ses lèvres bien gonflées. Il porta à ses narines ses doigts chargés du jus qu’ils avaient recueilli : aucun doute, sa belle venait de faire l’amour. Tout doucement et sans la réveiller, il lui enfonça tout doucement, un doigt pour mieux sentir l’état de cette chatte qu’il aimait tant. Il n’en revenait pas. Se mettant à bander, il glissa sur ce corps encore chaud de baise, pour investir la chatte bien humide en lui déclarant à voie basse « je t'aime ma salope d'amour ».
Elise ne disait rien, ni ne bougea pour le laisser prendre pied, ce qu'il fit avant de s'écrouler et s'endormir à nouveau… Et vers midi, je fus réveillé par les cris de jouissance d'Elise : elle faisait encore l'amour et je compris que c'était une gourmande… Elle nous offrit d'autres moments mais c'est une autre histoire : je venais d'apprendre à aimer et à combler les désirs d’une femme et surtout à être le complice d’un couple amoureux et coquin...
Je vous raconterai la suite et j’espère aussi retrouver une telle relation avec un couple pour qui le triolisme reste un moment d’amour d’exception qui ne peut s’improviser…
Cela s'est passé à la fin d'une année scolaire et en profitant de l'absence de ses parents, nous avions pu faire l'amour à trois reprises. La fille a joui de mes caresses, plus qu'avec mon sexe.
J'allais sur mes dix-sept ans au moment de cette aventure qui me révéla le corps de la femme...
J'avais un responsable, appelons-le Jean-Claude (35-40 ans), qui s'occupait de mon équipe de foot depuis trois ans déjà. Il passait me prendre ou me déposer à la maison après les entraînements. Il avait une sorte d'affection pour moi d'autant plus forte que j'étais un bon joueur, qu'il me chouchoutait depuis mes 14 ans.
Quelquefois, c'est moi qui allais chez lui, ce qui me permit de connaître sa femme Elise et de la voir habillée plus simplement et je reconnais qu'avec le temps et l'âge faisant, je ne manquais une occase de la mater. Elle me paraissait plus belle que lorsqu'elle se rendait au stade avec son mari : elle suscitait mon désir pour des masturbations délirantes, surtout depuis mon dépucelage.
Jean-Claude était un homme très jovial et prévenant : il savait nous mettre en confiance pour un match, et je savais aussi qu'il aimait sa belle femme car souvent nous l'avions vu l'embrasser ou la tenir prés de lui pendant nos journées de foot.
Il nous rendait fréquemment visite dans le vestiaires et même dans les douches pour nous taquiner et fêter nos victoires. Doué pour marquer des buts, il n''hésitait à me faire des cadeaux pour me remercier. Je ne trouvais donc rien d'anormal, cela s'étant produit plusieurs fois.
Un soir, après l'entraînement, il vint me chercher dans le vestiaire où j'étais souvent le dernier à sortir. Il me regarda m'habiller et finit par me dire en riant : « Charlie, tu deviens un vrai homme et tu es bien doté par la nature, elles doivent être contentes, tes copines » .
J'ai rougi et il me dit « tu sais, j'entends parler tes copains. Ils sont un peu impressionné ». Je me tus et il riait encore de ma gène mais j'osai lui dire dans la voiture que j'avais un peu honte et même peur de mon sexe que je voyais blesser les filles, peur qui provenait de quelques nanas qui ont fui quand elles m'ont senti bander contre elles.
Il ria de plus belle : « Attends d'être un peu plus grand et tu verras qui sera obligé de fuir »
Et ce soir-là, j'eus le sentiment que je pouvais me confier un homme, un ami qui ne se moquerait pas de moi. Car je sentais ses rires comme très amicaux et ses réponses régonflaient à bloc ma confiance.
Un jour, j'ai pu lui parler de mon aventure avec cette copine tout en lui expliquant mon insatisfaction dans la mesure où j'avais éjaculé trop vite lors de ces rapports. Il ria encore : « le plaisir avec une femme, c'est comme le foot mon garçon, il faut aimer le ballon, t'inquiètes pas tu apprendra un jour ».
Un soir, je m'étais blessé à la cheville et à la cuisse. Je traînai un peu la jambe. Je m'appuyai sur lui, direction son domicile pour des soins. Et me voilà, de nouveau en slip dans sa salle de bain et en présence d'Elise qui aida son mari. Je fus massé et bandé.
Heureusement que mon long tee-shirt caché mon début d'érection car dans ses mouvements, Elise ne se rendait pas compte que sa robe de chambre me laissait un paysage troublant : ses seins à peine caché pas sa chemise de nuit à bretelles ! Ce soir-là, mes pensées étaient toutes vers Elise.
Un jeudi de nov. vers 18h, alors que je me présentais chez Jean-Claude, Elise m?ouvrit, et m'indiqua qu'il n'était pas encore là, mais qu'il allait arriver sous peu.
- Tu n'as qu?'à entrer l'attendre si tu veux, dit- elle en s'effaçant de la porte. J'entrais et posais mon sac dans le couloir. Elle m'invita à m'asseoir dans la salle à manger.
Elise, était une femme d'environ 35-40 ans, jolie blonde au visage arrondi, les seins assez volumineux. A presque 17 ans, j'avais grandi et pris la même taille qu'elle (envir. 1,70) et je la regardai à présent comme un homme, mais je n'étais pas à l'aise avec mon désir, face à elle et c'était la première fois que je me retrouvais seul avec elle.
Je m'installai dans le fauteuil, tandis qu'elle s'excusa ayant à faire à la cuisine. Elle revînt au bout de quelques minutes.
- Jean-Claude est allé chez un dernier client, il vient juste d'appeler pour son retard, me dit-elle, je vais peut- être devoir t?accompagner.
- Très bien mais je peux prendre le bus aussi!
- Arrêtes de dire des bêtises. Veux tu un jus de fruit ?, dit elle, en revenant dans le salon. Cela te donneras du tonus
J'acceptais et je l'entendis le préparer dans la cuisine. Elle revînt avec un plateau sur lequel trônait un pot et deux verres. Elle le posa sur une petite table, et ce fut ma première surprise, je découvris, dans le décolleté de son chemisier assez ouvert, ses seins qui pendaient. C?était la première fois que je les voyais d'aussi près ! J'en fus ému, et je dus rougir. Tout en restant penchée, sans pens er à se cacher, bien au contraire, elle remplit mon verre.
Elle n'ignorait pas mon trouble, comme elle me le dit plus tard. Et elle s'installa face à moi dans le canapé. Je n'osais plus la regarder. Des tas de pensées me bousculaient l'esprit.
- Eh bien, tu n'es pas bavard aujourd'hui ! Est ce moi qui te fais peur ?
Il est vrai que Jean-Claude et moi parlions beaucoup de nos exploits sur le terrain, et cela l'amusait. Mais là, j'étais bloqué par la vue de ses seins blancs qui pendaient, et dont le téton était gros et beau à voir.
Je pris mon verre sur la table. Elle fit de même, et pour ce faire, elle du s'avancer un peu, écartant un peu les cuisses, me laissant voir sa culotte blanche qui surmontait ses bas. Je ne pouvais décoller mon regard de cette tâche blanche que sa jupe un peu remontée ne cachait plus !
Figé que j'étais, j'étais bien installé, à bien regarder, et je pus distinguer quelques poils qui s'échappaient de chaque côté de la culotte. Je bandais, et mon excitation devait se voir sur mon visage.
Elle se recula au fond du canapé, en laissant ses jambes légèrement ouvertes, et me regarda en souriant.
- Tu as l'air tout drôle soudain, dit-elle, serait-ce moi qui te fait peur ?
Je devais être plus perturbée par cette vue.
- Tu sais que tu es mignon, je t'ai souvent observé avec Jean Claude. Continua-telle
Je bredouillais je ne sais quoi mais je ne tenais plus. Le téléphone sonna et me sauva. Jean Claude ne sera pas à l'heure et Elise se leva pour s'habiller et me déposer au stade.
Je sentais mon érection et je dus me lever moi aussi, sans penser à la bosse qui devait se voir sur mon bas ventre. Dans la voiture, je pus à nouveau admirer ses cuisses que son manteau couvrait peu. Et au moment de descendre de la voiture, elle me dit « passe me voir plus tôt si tu veux la prochaine fois pour attendre J-C »...
Après l'entraînement, J-C me déposa et tout en me parlant, il me confia combien Elise fut contente du moment que j'avais passé avec elle. Je lui exprimais mon plaisir et lui proposait avec une voie un peu ému qui faillit me trahir :
- Tu sais JC, je peux passer pour chaque entraînement chez toi t'attendre si ça peut t'arranger pour ton boulot
- Si ça coince comme ce soir, je te dirai de le faire, me dit-il
Le jeudi suivant, je suis à nouveau chez mais dés 17h30. Il ne se passa rien. Elise était en pantalon et malgré cette tenue sage, elle était belle avec sa queue de cheval noué serrée qui lui dégageait bien le visage. On parla beaucoup et je la fis rire souvent.
Elle me regardait parfois, avec un léger sourire au coin des lèvres, avec un regard insistant que je ne lui connaissais pas. Enfin JC arriva, à l'heure cette fois et l'on partit. Dans la voiture, il me dit avoir retrouvé une Elise joyeuse et me remercia de ma présence auprès d'elle.
Pendant deux semaines, il put venir me chercher chez moi et les seuls moments passés avec Elise, le furent en présence de JC ou des gens du club qui allait organiser une soirée avec repas en déc.
Mais un soir à nouveau blessure, au genou cette foi avec une plaie à la fesse, et de nouveau soins dans la salle de bain de JC. Je devais baisser mon slip pour cela. En un flash, la phrase de JC me revint à l'esprit et il allait enfin m'être donner de voir la réaction d'une femme à la vue de mon sexe.
Je fis mine de résister le faire. Elise était à côté de son mari qui en me tournant un peu plus, me demanda de baisser plus ce slip et de tenir haut mon tee-shirt. J'étais face à elle, je vis ses yeux parcourir mon corps vers le bas. Elle tendait les cotons à JC et reposait directement son regard sur ma queue qui commença à réagir. Le soin se termine, il était temps.
J'ai dû passer chez JC pour l'entraînement suivant. Elise m'accueillit pour l'habituel jus de fruit. Elle porta une robe épaisse et ample dans laquelle je la sentais à l'aise. Elle voulut contrôler l'état de ma fesse blessée. Et me dit : « fais-moi voir ça, tu es capable d'aller jouer même si tu n'est pas en état de le faire »
Au milieu du salon, elle s'accroupit derrière moi, faisant semblant de se concentrer sur ce qu'elle avait à faire et je baissai survêt et slip. Elle me tourna légèrement pour avoir sous son regard ma queue qui commença à se tendre. Je fermai et la laissai tâter de ses doigts ma plaie qui fut à nouveau soignée et je ne pus empêcher une érection totale qui semblait la ravir car ses regard sur mon sexe était fréquents.
Quand JC arriva, elle lui déclara : « j'ai soigné ton joueur, il est bon pour le service ». Etonné mais satisfait de son attention, il la remercia par un baiser. Et nous partîmes. Pour rompre le silence, je lui dit ma joie pour ce que m'a fait sa femme. Il sourit à ma phrase :
« Elle a raison, il fallait le faire et puis elle t'aime bien. En plus, elle est tellement contente de te voir. Tu sais bien la faire rire. Et puis, tu es un mec très poli et ça, elle apprécie beaucoup » me dit-il, « toute façon, je l'aurais fait en arrivant. Dimanche, c'est un match important et tu dois être sur le terrain ».
Nous gagnâmes ce match et le retour en voiture fut joyeux. Assis à l'arrière et au milieu du siège, en prenant par l'épaule Elise, je lui dédie solennellement, le but que j'avais mis pour les soins qu'elle me fit. Ce fut le rire général, et je reçus deux bises de sa part où le bord de nos lèvres se toucha.
La soirée du club est là et j'y étais. JC obtins de mes parents que je puisse dormir chez lui si besoin, pour faire la fête car je l'avais mérité. C'était un vendredi soir sans match pour le dimanche.
Il y eut une ambiance du tonnerre et les seniors nous ont poussé tout doucement vers nos premiers verres d'alcool (Et glou et glou, vous connaissez).
La tête nous tournait et cela nous suffisait mais par contre les adultes dont JC, étaient bien partis. La musique nous permit de danser et je le fis avec Elise qui passait elle aussi une bonne soirée. Parfois je la matai de loin. Elle porta une robe bleu moulante qui arrivait jusqu'au genou et des collants.
Au cours d'une danse, je me collai bien à elle sans m'en rendre compte vraiment. Bien que mis dans les vapes par l'alcool, je ne pus contrôler cette érection : je me mis à faire le pitre sans me décoller d'elle et pour tenter de faire diversion? A la fin, je la remerciai et suis parti vers mes copains.
Vers 2h du matin, c'est un JC bien entamé que nous ramenons Elise et moi vers la voiture puis vers leur maison. On batailla pour l'amener jusqu'à son lit ce qui remit en forme Elise au point de se boire un whisky et de mimer à nouveau quelques pas de danse avec moi.
Elle se changea et c'est en chemise de nuit courte et avec mon aide, qu'elle déshabilla JC dans leur lit et je pus voir un sexe d'homme moins fourni que le mien auquel elle donna une petite tape avant couvrir son mari bien parti dans le sommeil. Je suivais tous ces gestes qui me révélaient parfois ses seins, ses fesses et sa culotte bleue en dentelle.
En retournant vers le salon, elle dit
- « tu as sommeil ?
- Non
Elle alla se chercher un glaçon pour un second verre et en revenant avec son verre, elle baissa au maxi les lumières.
- Je me suis bien amusée ce soir pas toi?
- Super, je ne savais qu'il y avait une telle ambiance
- Le club est super lui aussi. Viens t'asseoir à côté de moi, si tu veux, enchaîna-t-elle, et elle se poussa sur le bord du canapé.
- Alors, dis-moi, as-tu une petite amie ?
Surpris par cette question abrupte, je ne savais quoi répondre,
- Euh non, j'ai rompu depuis deux mois, répondis-je. Je mentais, car cela faisait plus de quatre mois que je n'avais pas embrassé une fille !
- Et moi, je te plais ? me dit-elle en mettant sa poitrine en évidence, tandis que je remarquais qu'entre les boutons entrebâillés de son chemise de nuit son sein droit m'était offert.
- On dirait que ça te fait de l'effet, hein, à voir ta tête et la bosse que tu as, en indiquant, mon bas-ventre gonflé.
Elle se rapprocha, mit sa main gauche sur mon pantalon , là où se situait la bosse en question. C'était la première fois qu'une main de femme me caressait ! Je ne cherchais pas à me retirer, mais j'étais rouge de confusion, et muet. Elle se rapprocha encore, son genou venant au contact du mien, puis elle leva sa jambe gauche et la posa sur mes cuisses, sa chemise glissant ette vue sur sa culotte en gros plan, m'excitait, tandis que sa main caressait doucement ma verge au travers de l'étoffe de mon pantalon.
- Veux tu me caresser toi aussi ?
Disant cela, elle déboutonna sa chemise de façon à offrir sa poitrine nue à ma vue. Je regardais ces seins, lourds, je n'osais pas avancer ma main dans leur direction.
- Tu peux les caresser, tu sais ça ne mord pas, me dit-elle en souriant
Toucher ses seins ! Ceux là même qui me faisaient bander ! Pour sûr, mais à dix sept ans, cela me faisait drôle, surtout avec une femme qui avait son âge. Je me décidais à poser ma main dessus, quand j'eus une pensée, je ne sais pourquoi, pour Jean-Claude : sa femme, m'invitait à lui caresser les seins.
Le contact de cette peau me trou bla profondément, je sentais de drôles de picotements au niveau du sexe, comme lors de mes branlettes ! Elle ouvrit mon pantalon, en femme qui sait y faire, et déboutonna ma braguette, puis tira légèrement sur mon slip, et prit mon sexe dans sa main. Ma main sur son sein, sa main sur ma verge, il ne m'en fallut pas plus : j'éjaculais !
Elle comprit ce qui m'arrivait, et se tournant vers moi, elle fit glisser avec son autre main mon slip un peu plus bas, et me branla très vite, tandis que les jets de semence partaient sur ma chemise et ses mains.
- Tu viens vite, c'est l'émotion dit elle toujours en souriant
Comme je m'étais mis debout pour ôter ma chemise, elle s'assis sur le bord du canapé, fit glisser mon pantalon et mon slip sur mes chevilles, puis elle passa ses mains derrière mes fesses, et ouvrant la bouche, sans un mot, elle prit ma verge molle dans sa bouche.
A mon âge, on a de l'énergie : je bandais rapidement, tandis que sa bouche allait et venait. Ses belles lèvres entouraient mon gland, l'avalaient, le laissaient repartir pour le reprendre à nouveau : ma première pipe est royale !
C'est alors qu'elle le laissa ressortir, et le prenant dans sa main droite, elle s'allongeât, la jambe droite hors du canapé, la gauche repliée, elle retira avec sa main gauche sa culotte et sa chatte s'offrit enfin à ma vue.
- Viens, j'en ai envie de ta belle queue, viens me dit elle dans un souffle, tandis qu'elle m'attirait sur elle. Sa main guida ma verge au bord de son sexe, je compris que j'étais bon pour un nouveau plaisir : mon vrai dépucelage !
Je sentis quelque chose de chaud et humide, très humide contre mon gland, puis je sentis nettement ma verge engloutie dans un lieu où le contact de la chair était quelques chose de très agréable : je pénétrai vraiment une chatte, je sentais vraiment ma queue l'ouvrir...
Et malgré que je sois gêné, car j'avais toujours mon pantalon en bas de jambes, je débutais mon vrai premier rapport sexuel. Elle s'extasia et me dit : « ta queue est belle, remplis-moi bien. Ell est grosse et je te sents bien. Oh oui , pousses encore. Là, continue, quelle queue, encore »...
A ses mots crus, le plaisir que j'avais ressentit tout à l'heure commençait à revenir. Elle poussa son ventre contre le mien, les yeux clos, sa bouche chercha alors la mienne, ses deux mains se joignirent derrière ma tête, sa langue entra dans ma bouche : notre premier baiser, un baiser comme je n'en avais jamais reçu, et encore moins donné !
J'accélérais alors mes coups de boutoir en elle, ce qui lui fit pousser quelques gémissements, puis elle ramena ses jambes derrière mon dos, mais comme un quart d'heure plus tôt, je déchargeais encore trop vite. Je sentis ma verge prise de frémissements, et tout mon sperme partit à nouveau en elle. Cette éjaculation provoqua chez elle une chose que j'ignorais jusqu'alors : l'orgasme. Elle gémit plus fort, se cambra violemment, mordit ma langue, ma bouche, et donna de violents coups de reins pour permettre à ma queue de la pénétrer au plus profond d'elle même.
Ses jambes qu'elle avait ramenées derrière mon dos se déplièrent, ses bras me lâchèrent, seulement pour me caresser la poitrine, j'étais alors en nage, tout plein de transpiration, ma queue en elle, baignant dans nos jus, sa chatte dégoulinant sur le canapé, je savourais ce nouveau plai sir. Ah que c'était bien meilleur que les branlettes que je me prodiguais ! La présence de ma verge en elle n'avait pas l'air de la gêner, mais la nature est ainsi faite.
Je me relevai pour retirer mon pantalon, et je découvris alors, pour la première fois, un sexe de femme après l'amour. Je restais à admirer cette fente rose au milieu d'une touffe de poils fournie
- Tu peux me caresser là, tu sais, dit-elle dans un souffle.
Je posais maladroitement ma main sur sa toison, puis mon pouce dans sa fente dégoulinante.
- Oui, continue comme ça, fit-elle,
Je faisais alors aller mon doigt dans sa vulve. Elle appuya alors sa main sur la mienne, empêchant mon pouce de ressortir, mais la massant de façon à ce que mon doigt aille de droite à gauche.
- Oui, caresse moi comme ça, oui c'est bon, continue, disait-elle
Elle descendit alors son autre main, et écarta ses lèvres. Je retirais ma main, et j'étais en admiration devant cette grotte rose, quand elle se mit à caresser son bouton. Ceci lui provoquait des soubresauts du bas-ventre, et le mouvement s'accélérant, elle remuait de plus en plus fort. Je bandais à nouveau, j'avais envie de la pénétrer.
Je n'en pouvais plus, je me penchais au dessus d'elle, et je guidais ma verge vers l'entrée de son sexe. Je sentis alors sa main s'extirper de son sexe, prendre ma queue, et l'aider à rentrer car je n'avais pas une érection suffisante. Je la pénétrais à nouveau, avec son aide, tandis qu'elle passait ses doigts gluant de nos jus sur mes lèvres ce qui ne me plaisait pas beaucoup, puis me tendit sa bouche, et m'embrassa encore.
- Oui, vas y enfonce toi bien, oh j'aime, viens, viens ! dit elle
J'allais et venais en elle avec force, et je l'apprendrais plus tard, elle eut un orgasme violent, car elle me prit les reins, enfonçant ses ongles dans ma chair à m'en faire mal. Deux ou trois coups de reins propulsant son ventre contre le mien, un cri, elle se cambra plus fort, et retomba, satisfaite alors qu'à mon tour je me vidai à nouveau en elle. Elle resta ainsi quelques minutes, puis ouvrit les yeux, se reprit, et se releva, me repoussant légèrement.
- Viens, on va se laver, dit-elle en m'entraînant dans la salle de bains.
Je la suivais, et elle me proposa de prendre une douche. Au sortir de la douche, elle me tendit une grande serviette, et m'essuya le corps, me massant le dos, m'embrassant dans le cou. Puis, me faisant tourner sur moi-même, elle m'essuya la poitrine, descendit vers le ventre, et se baissa pour essuyer mes cuisses. Je n'eus pas le temps de réaliser ce qui m'arrivait : ma queue était dans sa bouche, aspirée, avalée, sucée à nouveau, tandis qu'elle essuyait mes jambes, puis laissant tomber la serviette, elle se mit à me caresser les testicules, encore mieux que la première fois : résultat je bandais à nouveau !
- Eh bien, on dirait que tu aimes ça, hein , petit coquin, dit elle lâchant quelques secondes ma queue, mais la reprenant aussitôt entre ses lèvres.
Elle se releva, me regarda, m'embrassa sur la bouche, puis sans lâcher ma queue, elle se tourna, se pencha en avant, elle passa son autre main entre ses cuisses, et prit ma verge, la guida encore une fois vers sa tanière ! Je posais naturellement mes mains sur sa croupe, elle s'appuya au mur face à elle, et poussa sa belle croupe contre mon ventre. Je compris vite la manœuvre, et crispant mes mains sur ses reins, j'allais en venait en elle, tandis qu'elle se mit à me caresser les testicules, et aussi, je l'appris plus tard, à se branler le clitoris. Je me sentis partir au bout de quelques minutes de cette position, et je lâchais à nouveau mon jus en elle. Je n’avais plus envie de ressortir de cette grotte, tellement j'y étais bien ! Mais elle se dégagea, tandis que je voyais s'écouler sur le sol de la salle de bains le jus coulant se sa chatte encore ouverte. Elle attrapa une serviette, et m'enroula le sexe pour l'essuyer, tandis qu'elle s'asseyait sur le bidet pour laver le sien.
- Il est plus de 4h et si Jean-Claude se réveille, qu'est ce qu'il dirait ?…
Je regagnai heureux la chambre qui m'était préparé. Quand à JC, je sus plus tard que vers 5h du mat., pris par une double envie (pisser et surtout boire), il se leva sans allumer encore un peu vaseux...
De retour dans son lit, il ne put s'empêcher quelques caresses sur le corps d'Elise dormant nue à plat ventre et cuisses légèrement ouvertes. Quand il effleura sa chatte, ses poils étaient humides et ses lèvres bien gonflées. Il porta à ses narines ses doigts chargés du jus qu’ils avaient recueilli : aucun doute, sa belle venait de faire l’amour. Tout doucement et sans la réveiller, il lui enfonça tout doucement, un doigt pour mieux sentir l’état de cette chatte qu’il aimait tant. Il n’en revenait pas. Se mettant à bander, il glissa sur ce corps encore chaud de baise, pour investir la chatte bien humide en lui déclarant à voie basse « je t'aime ma salope d'amour ».
Elise ne disait rien, ni ne bougea pour le laisser prendre pied, ce qu'il fit avant de s'écrouler et s'endormir à nouveau… Et vers midi, je fus réveillé par les cris de jouissance d'Elise : elle faisait encore l'amour et je compris que c'était une gourmande… Elle nous offrit d'autres moments mais c'est une autre histoire : je venais d'apprendre à aimer et à combler les désirs d’une femme et surtout à être le complice d’un couple amoureux et coquin...
Je vous raconterai la suite et j’espère aussi retrouver une telle relation avec un couple pour qui le triolisme reste un moment d’amour d’exception qui ne peut s’improviser…
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