Une jeune fille bien informée
Récit érotique écrit par Dede des alpes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2016 dans la catégorie A dormir debout
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Une jeune fille bien informée
Une jeune fille bien informée
-Roland notre fille va atteindre sa majorité. Nous voudrions être sûrs qu’elle ne sera pas la proie de pervers qui profiteront de son innocence. En tant qu’ami pourrais-tu la questionner discrètement, Hervé et moi lui avons dit que nous serions absents cet après-midi, tu pourrais l’interroger pour savoir ce qu’elle connait du sexe.
-Tu me gênes, je suis son parrain mais ne je n’ai pas envie de vous rapporter ce qu’elle me confiera
-Nous ne te demandons pas cela, tu l’interrogeras dans le salon, nous serons cachés derrière le paravent, comme cela nous entendrons ce qu’elle te dit et serons plus à même de la conseiller par la suite si besoin dans ce délicat domaine
-D’accord, dans ce cas pas de problème.
L’après-midi Roland est donc censé être seul pour entreprendre cette discussion, mais Elodie le devance et s’asseyant en face de lui sur un pouf très bas l’interpelle :
-Mes parents sont partis pour tout l’après-midi et j’ai prévu de recevoir des copains, j’espère que tu ne me dénonceras pas ?
-Bien sûr que non tu me connais mais je suis surpris de ta position corporelle : assise en face de moi, jupe très courte et cuisses écartées je vois ton string qui est inséré entre les lèvres de ta foufoune, cela me semble un peu provoquant pour une jeune fille de ton âge. Mais je suis étonné qu’à ton âge tes poils pubiens n’aient pas encore poussés ?
-Ecoutes parrain je suis de la nouvelle génération et les plaisirs du sexe ne m’effraient pas. Mes parents n’osent pas m’en parler mais avec mes potes nous nous sommes éduqués sur internet et je crois connaitre beaucoup de choses concernant la baise. Quand à mes poils ce sont mes potes qui se font un plaisir de me les enlever, même les quelques poils que j’avais parait-il dans la raie du cul Dernièrement c’est Julien qui me les a ôtés pendant qu’Éric tenait mes fesses bien écartées. Max qui assistait à l’opération avec Nico m’a d’ailleurs dit qu’il était étonné de voir des poils du cul si longs. Tous mes amis sont très joueurs. Je te signale que, en douce je me suis fait prescrire la pilule. Je n’aime pas les rapports avec une capote, j’aime bien sentir le foutre des mecs gicler en moi et imprégner mes entrailles. Restes avec moi, quand ils seront là tu pourras en juger !
Avant que Roland ne puisse répondre la sonnette retentit :
-Ce sont mes copains qui arrivent, je vais ouvrir. Nat et Domi vous n’êtes que deux ? Julien et Éric avaient promis de venir, c’est dommage… mais entrez, vous ferez connaissance avec mon parrain.
Roland est présenté à deux jeunes gars : Nat qui lui semble d’origine martiniquaise est un grand brun à la peau basanée vêtu d’un teeshirt jaune et d’un flottant nylon blanc. Domi lui vêtu d’un jogging crème est du type blond, plutôt râblé.
-Asseyez-vous dit-elle en s’installant de nouveau sur ce pouf qui dévoile généreusement son intimité aux deux arrivants mâles alignés sur le canapé. Qu’est-ce que je vous sers à boire ? Je propose whisky- orange pour tous !
Elle se relève prestement faisant voler sa courte jupe de tissu très léger ce qui leur permet d’admirer très brièvement ses fesses rebondies. Chacun peut les admirer plus longuement, la ficelle du string disparaissant entre les deux globes, Roland lorsque lui tournant le dos, penchée en avant elle sert ses deux amis, puis ces derniers quand elle sert Roland qui bénéficie aussi d’une belle vue sur un décolleté qui baille largement sur une poitrine libre de tout soutien-gorge. Lorsqu’elle se rassoie elle reprend sa position initiale semblant vouloir allumer les mâles. Elle doit avoir réussi, Roland remarque le jogging gonflé de Domi et s’aperçoit que la bite de Nat pointe son nez dans l’entre-jambe du flottant un peu trop large! Belle bite assez longue pour dépasser du vêtement et montrer son gros bout violacé.
-Roland avant que vous arriviez m’interrogeait sur ma pratique sexuelle. Si vous êtes d’accord je lui ai proposé une démonstration de notre savoir-faire en la matière ! Si vous êtes partant on démarre !
Se levant vivement maladroitement ( ?) elle renverse le verre de Nat sur le flottant de nylon qui sous l’effet du liquide devient assez transparent pour que chacun ai une vue assez nette du beau matériel de notre jeune homme.
-Oh mon dieu excuses-moi Nat, laisses je vais m’en occuper s’écrit-elle en frottant vivement le tissu et ce qu’il y a dessous. Ne t’inquiètes pas je te l’enlève, je vais le rincer tout de suite.
Sans attendre elle tire sur les jambes du flottant et libère une belle tige qui manque de lui frapper le visage.
-Mais tu en as aussi sur la queue, laisses- moi te la nettoyer .Je ne peux pas perdre cet excellent cocktail ajoute-elle avant de lécher soigneusement le vît. Regardez il en a partout, Domi relève lui les jambes que je puisse lui sucer les couilles et le périnée. Ramènes bien ses genoux vers les épaules il en a même dans la raie !
Roland est surpris de voir sa filleule s’activer devant lui sans gêne aucune sur toute la partie génitale de son copain! Il voit le mât de Nat se dresser encore plus, gonfler, se tendre, le prépuce se retirer pour découvrir le gland violacé au méat suintant. Elle a le plus grand mal à engloutir tour à tour chacune des grosses couilles, les enduisant copieusement de salive pour les débarrasser du cocktail. Puis sa langue nettoie le périnée remonte dans la raie jusqu’à l’anus, petit rond noir dégagé par la position, quelle honore de quelques coups de langue. Roland pense aussi à Hervé et Jocelyne, les parents, qui par les interstices du paravent doivent assister aux exploits de leur fille ! Ils doivent être bien surpris de ses connaissances en anatomie masculine, de sa dextérité à en user. Roland ne peut se retenir d’apprécier le fessier qu’Elodie penchée sur son travail lui dévoile sans complexe, la ficelle de son string barre tout juste l’anneau brun et plissé de l’anus de la belle.
-Bon passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’au moins une bite dans mon cul. La dernière fois c’était Nat, cette fois c’est à toi Domi. Lâches les cuisses de Nat, tiens-toi debout que je puisse baisser ton futal et te sucer pour durcir cette bite encore un peu molle, je la veux dure et gonflée au moins comme celle de Nat.
Roland abasourdi par l’aisance de la jeune demoiselle la voit agir comme elle l’a dit s’agenouiller, baisser sans précautions le jogging libérant une tige à demi érigée, gland dégagé car circoncis et l’avaler jusqu’à avoir les bourses pendantes tout contre son menton. Incroyable ! Roland n’aurait pas cru qu’elle puisse en avaler une aussi profondément. Il imagine, il voit que la bite gonfle, écarte les lèvres dégoulinantes de salive qui la relâche bientôt.
-Assez je n’ai pas envie que tu te vides les couilles maintenant, je veux te sentir cracher bien profond dans mon con. Allez Roland assied toi confortablement et régales toi de notre show. Domi allonges toi au sol sur le dos, de trois quart par rapport à mon parrain qu’il ne puisse rien perdre de l’action… bien…. je m’accroupis au-dessus de toi, Nat viens guider sa queue dans mon con… voilà je suis bien installée… Nat si ça te tente encules- moi, je me penche pour te faciliter l’introduction… craches un peu sur ton vit et dans ma rondelle ça rentrera plus facilement… élargis mon sphincter avec tes doigts s’il te plait… voilà allez enfiles moi toi aussi et essayez de synchroniser vos mouvements, pour moi ce sera plus jouissif…
Roland croyait halluciner, dire qu’il pensait aborder avec gène le délicat sujet du coït et voilà qu’Elodie lui faisait une démonstration magistrale d’une double pénétration! Devant ce spectacle imprévu lui aussi sentait la sève monter et se retenait pour rester simple spectateur, surtout que les parents derrière le paravent devaient tout voir et entendre. Malgré tout il ne put se retenir de s’approcher très près des fesses du trio pour voir entrer et sortir les deux sexes du corps de la demoiselle. Tout d’abord quand l’un sortait aux trois quarts, l’autre s’enfonçait puis ils se mirent à pénétrer ou reculer en même temps ce qui secouait fortement les nichons de la femelle.
-Allez viens parrain ton slip doit être tendu, je sens ton souffle sur mes fesses, dessapes-toi, j’ai encore un trou de libre, approche ta bite je te fais une pipe.
Comment résister plus longtemps ? En moins de temps qu’il faut pour l’écrire Roland en chemise présente sa queue aux lèvres voraces qui s’activent en cadence sous les assauts des deux autres mâles. Elle le lâche un moment pour donner ses instructions :
-Vous devez être prêts maintenant, j’aimerai que vous éjaculiez tous trois en même temps dans mes orifices, accélérez la cadence…allez lâchez-vous…crachez votre semence, je veux déborder de partout… oui… oui allez-y … oh c’est sublime..
C’est à ce moment que dans un grand fracas le paravent s’écroule et tous trois imbriqués les uns dans les autres découvrent la mère d’Elodie prise en levrette par son mari !
-Excusez-nous les enfants mais devant votre spectacle nous ne pouvions rester indifférents et nous avons heurté le paravent dans la fougue de nos mouvements coïtaux. C’est quand j’ai enculé maman, un peu durement je dois l’avouer, que nous l’avons fait tomber. Mais ne vous gênez pas pour nous, finissons chacun nos petites affaires. Je suis sûr que Jocelyne sera prête à nettoyer de sa langue de velours les instruments de tes petits camarades. Bienvenue au club des adultes ma fille, nous avons pu juger de visu que nous n’avons rien à t’apprendre en ce qui concerne le domaine du cul et de ses jouissances!
-Roland notre fille va atteindre sa majorité. Nous voudrions être sûrs qu’elle ne sera pas la proie de pervers qui profiteront de son innocence. En tant qu’ami pourrais-tu la questionner discrètement, Hervé et moi lui avons dit que nous serions absents cet après-midi, tu pourrais l’interroger pour savoir ce qu’elle connait du sexe.
-Tu me gênes, je suis son parrain mais ne je n’ai pas envie de vous rapporter ce qu’elle me confiera
-Nous ne te demandons pas cela, tu l’interrogeras dans le salon, nous serons cachés derrière le paravent, comme cela nous entendrons ce qu’elle te dit et serons plus à même de la conseiller par la suite si besoin dans ce délicat domaine
-D’accord, dans ce cas pas de problème.
L’après-midi Roland est donc censé être seul pour entreprendre cette discussion, mais Elodie le devance et s’asseyant en face de lui sur un pouf très bas l’interpelle :
-Mes parents sont partis pour tout l’après-midi et j’ai prévu de recevoir des copains, j’espère que tu ne me dénonceras pas ?
-Bien sûr que non tu me connais mais je suis surpris de ta position corporelle : assise en face de moi, jupe très courte et cuisses écartées je vois ton string qui est inséré entre les lèvres de ta foufoune, cela me semble un peu provoquant pour une jeune fille de ton âge. Mais je suis étonné qu’à ton âge tes poils pubiens n’aient pas encore poussés ?
-Ecoutes parrain je suis de la nouvelle génération et les plaisirs du sexe ne m’effraient pas. Mes parents n’osent pas m’en parler mais avec mes potes nous nous sommes éduqués sur internet et je crois connaitre beaucoup de choses concernant la baise. Quand à mes poils ce sont mes potes qui se font un plaisir de me les enlever, même les quelques poils que j’avais parait-il dans la raie du cul Dernièrement c’est Julien qui me les a ôtés pendant qu’Éric tenait mes fesses bien écartées. Max qui assistait à l’opération avec Nico m’a d’ailleurs dit qu’il était étonné de voir des poils du cul si longs. Tous mes amis sont très joueurs. Je te signale que, en douce je me suis fait prescrire la pilule. Je n’aime pas les rapports avec une capote, j’aime bien sentir le foutre des mecs gicler en moi et imprégner mes entrailles. Restes avec moi, quand ils seront là tu pourras en juger !
Avant que Roland ne puisse répondre la sonnette retentit :
-Ce sont mes copains qui arrivent, je vais ouvrir. Nat et Domi vous n’êtes que deux ? Julien et Éric avaient promis de venir, c’est dommage… mais entrez, vous ferez connaissance avec mon parrain.
Roland est présenté à deux jeunes gars : Nat qui lui semble d’origine martiniquaise est un grand brun à la peau basanée vêtu d’un teeshirt jaune et d’un flottant nylon blanc. Domi lui vêtu d’un jogging crème est du type blond, plutôt râblé.
-Asseyez-vous dit-elle en s’installant de nouveau sur ce pouf qui dévoile généreusement son intimité aux deux arrivants mâles alignés sur le canapé. Qu’est-ce que je vous sers à boire ? Je propose whisky- orange pour tous !
Elle se relève prestement faisant voler sa courte jupe de tissu très léger ce qui leur permet d’admirer très brièvement ses fesses rebondies. Chacun peut les admirer plus longuement, la ficelle du string disparaissant entre les deux globes, Roland lorsque lui tournant le dos, penchée en avant elle sert ses deux amis, puis ces derniers quand elle sert Roland qui bénéficie aussi d’une belle vue sur un décolleté qui baille largement sur une poitrine libre de tout soutien-gorge. Lorsqu’elle se rassoie elle reprend sa position initiale semblant vouloir allumer les mâles. Elle doit avoir réussi, Roland remarque le jogging gonflé de Domi et s’aperçoit que la bite de Nat pointe son nez dans l’entre-jambe du flottant un peu trop large! Belle bite assez longue pour dépasser du vêtement et montrer son gros bout violacé.
-Roland avant que vous arriviez m’interrogeait sur ma pratique sexuelle. Si vous êtes d’accord je lui ai proposé une démonstration de notre savoir-faire en la matière ! Si vous êtes partant on démarre !
Se levant vivement maladroitement ( ?) elle renverse le verre de Nat sur le flottant de nylon qui sous l’effet du liquide devient assez transparent pour que chacun ai une vue assez nette du beau matériel de notre jeune homme.
-Oh mon dieu excuses-moi Nat, laisses je vais m’en occuper s’écrit-elle en frottant vivement le tissu et ce qu’il y a dessous. Ne t’inquiètes pas je te l’enlève, je vais le rincer tout de suite.
Sans attendre elle tire sur les jambes du flottant et libère une belle tige qui manque de lui frapper le visage.
-Mais tu en as aussi sur la queue, laisses- moi te la nettoyer .Je ne peux pas perdre cet excellent cocktail ajoute-elle avant de lécher soigneusement le vît. Regardez il en a partout, Domi relève lui les jambes que je puisse lui sucer les couilles et le périnée. Ramènes bien ses genoux vers les épaules il en a même dans la raie !
Roland est surpris de voir sa filleule s’activer devant lui sans gêne aucune sur toute la partie génitale de son copain! Il voit le mât de Nat se dresser encore plus, gonfler, se tendre, le prépuce se retirer pour découvrir le gland violacé au méat suintant. Elle a le plus grand mal à engloutir tour à tour chacune des grosses couilles, les enduisant copieusement de salive pour les débarrasser du cocktail. Puis sa langue nettoie le périnée remonte dans la raie jusqu’à l’anus, petit rond noir dégagé par la position, quelle honore de quelques coups de langue. Roland pense aussi à Hervé et Jocelyne, les parents, qui par les interstices du paravent doivent assister aux exploits de leur fille ! Ils doivent être bien surpris de ses connaissances en anatomie masculine, de sa dextérité à en user. Roland ne peut se retenir d’apprécier le fessier qu’Elodie penchée sur son travail lui dévoile sans complexe, la ficelle de son string barre tout juste l’anneau brun et plissé de l’anus de la belle.
-Bon passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’au moins une bite dans mon cul. La dernière fois c’était Nat, cette fois c’est à toi Domi. Lâches les cuisses de Nat, tiens-toi debout que je puisse baisser ton futal et te sucer pour durcir cette bite encore un peu molle, je la veux dure et gonflée au moins comme celle de Nat.
Roland abasourdi par l’aisance de la jeune demoiselle la voit agir comme elle l’a dit s’agenouiller, baisser sans précautions le jogging libérant une tige à demi érigée, gland dégagé car circoncis et l’avaler jusqu’à avoir les bourses pendantes tout contre son menton. Incroyable ! Roland n’aurait pas cru qu’elle puisse en avaler une aussi profondément. Il imagine, il voit que la bite gonfle, écarte les lèvres dégoulinantes de salive qui la relâche bientôt.
-Assez je n’ai pas envie que tu te vides les couilles maintenant, je veux te sentir cracher bien profond dans mon con. Allez Roland assied toi confortablement et régales toi de notre show. Domi allonges toi au sol sur le dos, de trois quart par rapport à mon parrain qu’il ne puisse rien perdre de l’action… bien…. je m’accroupis au-dessus de toi, Nat viens guider sa queue dans mon con… voilà je suis bien installée… Nat si ça te tente encules- moi, je me penche pour te faciliter l’introduction… craches un peu sur ton vit et dans ma rondelle ça rentrera plus facilement… élargis mon sphincter avec tes doigts s’il te plait… voilà allez enfiles moi toi aussi et essayez de synchroniser vos mouvements, pour moi ce sera plus jouissif…
Roland croyait halluciner, dire qu’il pensait aborder avec gène le délicat sujet du coït et voilà qu’Elodie lui faisait une démonstration magistrale d’une double pénétration! Devant ce spectacle imprévu lui aussi sentait la sève monter et se retenait pour rester simple spectateur, surtout que les parents derrière le paravent devaient tout voir et entendre. Malgré tout il ne put se retenir de s’approcher très près des fesses du trio pour voir entrer et sortir les deux sexes du corps de la demoiselle. Tout d’abord quand l’un sortait aux trois quarts, l’autre s’enfonçait puis ils se mirent à pénétrer ou reculer en même temps ce qui secouait fortement les nichons de la femelle.
-Allez viens parrain ton slip doit être tendu, je sens ton souffle sur mes fesses, dessapes-toi, j’ai encore un trou de libre, approche ta bite je te fais une pipe.
Comment résister plus longtemps ? En moins de temps qu’il faut pour l’écrire Roland en chemise présente sa queue aux lèvres voraces qui s’activent en cadence sous les assauts des deux autres mâles. Elle le lâche un moment pour donner ses instructions :
-Vous devez être prêts maintenant, j’aimerai que vous éjaculiez tous trois en même temps dans mes orifices, accélérez la cadence…allez lâchez-vous…crachez votre semence, je veux déborder de partout… oui… oui allez-y … oh c’est sublime..
C’est à ce moment que dans un grand fracas le paravent s’écroule et tous trois imbriqués les uns dans les autres découvrent la mère d’Elodie prise en levrette par son mari !
-Excusez-nous les enfants mais devant votre spectacle nous ne pouvions rester indifférents et nous avons heurté le paravent dans la fougue de nos mouvements coïtaux. C’est quand j’ai enculé maman, un peu durement je dois l’avouer, que nous l’avons fait tomber. Mais ne vous gênez pas pour nous, finissons chacun nos petites affaires. Je suis sûr que Jocelyne sera prête à nettoyer de sa langue de velours les instruments de tes petits camarades. Bienvenue au club des adultes ma fille, nous avons pu juger de visu que nous n’avons rien à t’apprendre en ce qui concerne le domaine du cul et de ses jouissances!
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