Une journée au bord de la rivière 2 - histoire érotique

Depuis deux jours, mon ami, Jean, m'aide pour quelques travaux dans la maison et le jardin. On est assis sur des fauteuils sur la terrasse en cette fin de journée.

- On a bien bossé, me dit-il en regardant le jardin maintenant propre et désherbé.

- Oui tu as raison et merci encore d'être venu.

Il boit une gorgée de jus de fruits.

- De rien. Il ne te manque qu'une seule chose maintenant, ajoute-t-il en passant son verre glacé sur son front.

- Laquelle ? dis-je en me tournant vers lui.

- Une piscine, dit-il.

- Une piscine ? pas besoin, j'ai la rivière pas loin, répondis-je.

Il vide son verre d'un coup puis ajoute :

- On y va ?

Je le regarde surpris.

- Où ?

- Á la rivière ! Il fait encore chaud et j'ai besoin de me rafraîchir, reprend-il en se levant.
Pendant le trajet, on discute travail, loisirs avant qu'il n'aborde le sujet sexe.

- Depuis ma séparation, ma vie sexuelle est assez plate, dit-il. Et toi ?

- Je n'ai pas eu de séparation mais pareils pour moi, quelques aventures sans rien de sérieux.
Je repense à cette dernière aventure avec Stella et Lola rencontrées au bord de la rivière.

Cette même rivière où nous nous rendons actuellement. Des souvenirs excitants me reviennent en tête, des images du corps des deux femmes avec leurs courbes généreuses passent devant mes yeux comme des diapositives. Et je me pose des questions.

Est-ce que je vais les revoir ?

Seront-elles encore présentes ?

Et puis je me souviens du dernier échange avec Lola quand elle me propose de m'installer au bord de la rivière à leurs places quand je veux. Et de lui répond que je viendrais accompagné.

Á notre arrivée il y a trois voitures garées sur un terrain de terre sous des arbres. Jean se dirige d'un pas rapide vers la rivière. Je le suis plus lentement.
Mon ami se déshabille et se jette à l'eau d'un coup.

- OOuuaaaa, ça fait du bien, dit-il lorsqu'il sort la tête à la surface. Allez viens, elle est fraîche.

Je regarde les alentours et voit Stella et Lola allongées à quelques mètres de moi. Réveillées par le plongeon de Jean, les deux femmes le regardent puis tournent la tête vers moi. J'aperçois un large sourire se dessiner sur les lèvres de chacune d'elles. Lola me fait un petit signe de la main.

Je redécouvre avec joie et délice les corps qu'elles exposent sans gêne aux rayons baissants du soleil et à mes yeux. Je ne suis pas surpris de les voir toutes les deux seins nus, vêtues uniquement d'un slip de bain qui se perd dans les plis du ventre et les rondeurs des cuisses.

Stella avec ses hanches et sa grosse poitrine toujours aussi excitante et Lola, avec ses gros seins n'a rien à envier à son amie. Je leur fais un petit signe de la main quand jean sort de l'eau. Il me rejoint et tourne la tête vers les deux femmes qui lui envoient un bonjour de la main.

- Tu les connais ? me demande-t-il en s'essuyant rapidement.

Je ne peux m'empêcher de regarder son sexe qui se dessine sous son caleçon. Même si je le compare au mien, la taille me semble impressionnante. Et contre toutes attentes, n'étant pas attiré par les hommes, je me dis que cela doit être super excitant d'avoir et de sentir cette bite raide glisser entre les fesses ou sur la langue.

- Alors ! insiste-t-il, tu les connais ?

Je réponds oui à Jean en faisant à mon tour un signe à Stella et Lola.

- Et bien présente-moi, ajoute-t-il.

J'avance, ou plutôt je suis poussé par Jean qui se colle à mon épaule comme un enfant timide qui se cache derrière la jupe de sa mère.

- Bonsoir Stella, Bonsoir Lola, dis-je lorsque je m'arrête près des deux femmes.

- Bonsoir, répondent-elle en même temps. On pensait ne plus te revoir, dit Stella qui se redresse et s'appuie sur ses coudes.

- Tu n'es pas venu seul ! dit Lola.

- Non, je vous présente Jean, répondis-je en tournant la tête vers mon ami qui me contourne, se penche pour tendre le bras et leur dire bonjour d'une poignée de main.

Je remarque aussitôt le regard envieux de Lola qui se pose sur le caleçon de Jean qui, de son côté, reluque sans retenue les deux paires de seins à portée de mains.

- Bonsoir mesdemoiselles, dit-il.

Je me retourne quand j'entends des voix derrière moi. Trois personnes marchent en direction du sentier vers les voitures.

- Comment vas-tu ? me demande Stella lorsque je pose à nouveau les yeux sur elle.

- Bien merci et toi ?

La discussion se poursuit avec des banalités, des questions sans importance pour combler les petits moments de silence parfois gênants.

- Qui veut me passer de la crème ? demande Lola qui attrape un tube et le brandit comme une torche dans notre direction.

Jean me regarde puis se porte volontaire.

- Cool, et n'hésite pas à mettre la dose, ajoute Lola qui se tourne et s'allonge sur le ventre.

Jean s'empare du tube de crème, fait sauter le bouchon et appuie. La crème jaillit et s'écrase sur les épaules larges de la jeune femme. Jean pose timidement le bout de ses doigts et fait des cercles pour étaler la crème.

Je m'assois près de Stella et nous continuons la conversation. Mon regard se porte sur ses énormes seins aux larges aréoles et tétons pointus comme des torpilles.

- Quoi de nouveau depuis la dernière fois ? me demande-t-elle.

- Pas grand-chose, dis-je, le train-train quotidien.

- N'aie pas peur, dit soudain Lola, je ne suis pas en sucre alors vas-y, ajoute-t-elle en relevant et tournant la tête vers Jean.

Sur ces mots, mon ami se redresse et s'assoit sans gêne sur l'arrière des cuisses de Lola. Il attrape le tube et déverse une grande quantité de crème sur la peau déjà rougie par des heures d'exposition au soleil. Lola glousse, rit sous les caresses appuyées de Jean.

Je vois les doigts empoigner la chair molle, presser les bourrelets sur les hanches et le dos comme de la pâte à pizza. Il se dresse ensuite sur les genoux, tend les bras et pose les mains sur la nuque qu'il masse doucement.

Lola gémit. Parfois un doigt de Jean glisse sur la joue jusqu'aux lèvres que Lola desserre pour l'embrasser, le lécher. Jean n'hésite pas et en enfonce un second. L'autre main presse la graisse abondante sur les hanches, le dos.

Jean frotte son bassin contre les fesses rondes et larges de Lola. Ni Stella, ni moi ne pouvons ignorer et ne pas voir la bite de Jean qui tend et déforme son caleçon. Il joue avec ses hanches pour pointer le bout de son sexe contre et entre les fesses de l'amie de Stella. La jeune femme soulève son bassin à la rencontre de ce morceau de chair palpitant.

Stella tend le bras et attrape mon poignet qu'elle place direct entre ses cuisses. C'est chaud, humide. Elle gémit comme son amie, ferme les yeux puis écarte largement ses cuisses. Je vois le petit morceau de tissu trempé, coincé entre ses cuisses.

Peut-être de la transpiration ? ou parce qu'elle s'est baigné ?

Mais avec l'aspect brillant et visqueux du jus, je comprends vite qu'elle mouille. Confirmation faîte quand Stella retire ma main de sa fourche pour la porter à mon nez.

- Vas y goûte mon jus et dis-moi si tu aimes ! dit-elle en empoignant un téton qu'elle pince puis tire.

Avant même de lécher mes doigts, je sens déjà l'odeur piquante et enivrante de sa mouille. Stella suit mes doigts qui s'approchent de ma bouche. Elle est comme mon reflet dans un miroir. Elle desserre les lèvres, sort la langue comme je le fais.

Elle fourre sa main entre ses cuisses, l'autre presse un sein pour faire jaillir le téton. Il n'est pas difficile pour Stella de le soulever, de tirer la langue pour lécher cette pointe dure et sensible.

- On n'en peut plus, ça fait trop longtemps qu'on attend, dit-elle alors que Jean se lève, retire son caleçon et va s'assoir à genoux au-dessus du crâne de Lola qui pose son menton sur ses mains jointes.

Une bite large et longue au gland humide pointe comme un cadran solaire sous le nez de Lola qui se dresse sur ses coudes. Je constate maintenant la taille impressionnante de son membre. En deux secondes, Lola l'enfonce dans sa bouche pour une gorge profonde.

Après quelques mouvements de Jean dans cette bouche chaude, Lola déglutit, de la bave coule sur son menton et les couilles rasées. Elle recrache le membre avant de lécher, sucer et gober les grosses boules.

Jean se penche en avant, tend les bras et masse le dos de sa partenaire occupée à le sucer à nouveau. Il empoigne la taille, puis les fesses qu'il claque plusieurs fois. On entend tous Lola gémir la bouche pleine, étouffée par le bâton de chair qui s'enfonce toujours plus loin dans la cavité buccale. Jean tire sur les fesses pour les écarter. Sa main glisse entre les masses souples et ses doigts titillent la fente baveuse de la jeune femme.

- Lève-toi et approche ! me dit Stella qui arrache son slip et le jette par-dessus sa tête. Je veux ta bite maintenant.

Avec des gestes précipités, désordonnés, elle s'accroche à mon short, le baisse. Elle tire sur ma bite raide. Je me retrouve debout devant Stella toujours assise. Mes jambes écartées, mes pieds posés de chaque côté de ses hanches, je lui présente ma bite décalottée.

Elle dépose ses lèvres sur le bout humide, pointe la langue qu'elle descend sur toute la longueur de la hampe jusqu'aux couilles qu'elle lèche. Après les avoir gobées, elle remonte vers le gland qu'elle tète.

Ses doigts remplacent sa langue sur mes couilles qu'elle presse comme des fruits. Je pose mes mains sur sa tête. Je baise sa bouche accueillante et chaude. Ma bite glisse sur sa langue. Mes boules frappent son menton de plus en plus vite. Je reste enfoncé au fond de sa gorge quelques secondes quand son nez plaque contre mon pubis. Je me retire. Ma bite est couverte de bave, comme le menton de Stella qui s'allonge et relève les cuisses sur sa poitrine. Son sexe, aux lèvres gonflées et humides, s'expose à mes yeux.

- Baise-moi maintenant, dit-elle.

Elle tourne la tête vers le couple, Lola et Jean, à côté de nous. Mon ami baise déjà sa partenaire en levrette. Ses cuisses claquent contre les grosses fesses de Lola qui pince et tire un téton d'une main, quand l'autre s'active entre ses cuisses.

- C'est trop booon, lâche Jean qui croise mon regard.

- J'adooore, lui répond Lola qui pousse sur ses bras vers l'arrière pour accompagner la bite raide de Jean en elle.

Je tombe à genoux entre les cuisses de Stella. J'attrape ma bite à la base, frotte le gland baveux contre la fente toute aussi coulante.

- HHuummm, gémit-elle.

Je frappe sur sa chatte rasée, percute le clito qu'elle exhibe en écartant ses lèvres gonflées. Je regarde Jean qui claque les fesses de Lola pendant qu'il la baise. La jeune femme gémit, crie.

Il sort sa bite de l'intimité de Lola. Il la frappe contre les fesses dodues puis plonge à nouveau avec plus de force entre les cuisses de sa partenaire. Les énormes seins de Lola balancent sous elle comme les cloches d'une église qui sonnent lors d'une cérémonie heureuse.

- Vas y plus foooort, crie Lola.

Lorsque j'enfonce ma bite dans la chatte de Stella, c'est chaud, doux comme un gant de velours. Ces parois intimes se contractent sur mon sexe qui disparaît tout entier en elle. Nous soufflons ensemble jusqu'à ce que je sois au fond.

- Enfin une grosse bite comme j'aime, dit Stella qui me retient par la taille avec ses jambes. Baise-moi encore plus fort que ton ami avec Lola.

On s'embrasse. Je commence à la pénétrer doucement d'abord pour qu'elle sente ma bite en elle, pour que le plaisir monte doucement.

- J'ai dit BAISE-MOI, reprend Stella qui me donne une gifle alors que son autre main attrape un de mes tétons, le presse, le tire, le tord entre ses doigts.

Je m'enfonce alors d'un coup brutal entre ses cuisses. Son visage se crispe. Elle pince plus fort mon téton, ce qui me donne des frissons et surtout, chose que je n'avais pas remarqué jusqu'à maintenant, encore plus d'excitation. Je sens ma bite plus dure, plus raide. J'accélère encore mes coups de reins.

Quand mon pubis frappe entre les cuisses de Stella, j'écrase le bouton gonflé et dure de ma belle partenaire du moment. Chaque coup résonne comme un pied qui marche dans une flaque d'eau. La mouille coule de sa fente sur mon bas-ventre, mes couilles. Stella relâche mon téton pour attraper les siens. Elle presse ses seins pour faire pointer les bouts que je m'empresse de sucer, lécher et mordre.

Jean et moi baisons nos partenaires à des cadences régulières et rapides. Chacune des femmes répond à l'autre par des gémissements, des cris qui résonnent de plus en plus fort.

- Je veux que ton pote me baise aussi, dit Stella.

Je tourne la tête vers Jean qui confirme lui aussi son envie de pénétrer Stella et la faire crier. Cinq secondes plus tard, je suis coincé entre les cuisses de Lola allongée sur le dos. Ma bite coulisse dans sa fente dilatée par la bite de Jean quelques secondes auparavant.

Elle presse ses seins l'un contre l'autre. Je me jette dessus pour les sucer. Je la baise aussi vite que possible. Mes couilles se balancent et s'écrasent contre ses fesses rembourrées.

- J'aime quand ça tape dure dans le fond de ma chatte crémeuse, me dit Lola quand elle relève et passe ses jambes autour de ma taille.

Je sens que son sexe s'ouvre et accueille le mien. Je commence à la baiser comme avec Stella. Je me couche sur elle. J'écrase sa poitrine contre mon torse. Nos bouches se soudent, nos langues se mêlent. Lola me serre dans ses bras et entre ses cuisses.

- Mais ce que j'aime encore plus, ajoute Lola, c'est quand mon homme se fait enculer pendant qu'il me baise.

Je m'arrête de bouger, la bite encore en Lola que je sens ramollir. Elle me sourit et resserre plus fort son étreinte sur moi et ses cuisses autour de ma taille.

- Tu te souviens de notre rencontre ? me demande Lola.

Je réponds oui de la tête.

- Alors ça va être encore meilleur tu vas voir, ajoute-t-elle.

Je tourne la tête pour voir Jean debout derrière moi, la bite raide couverte de mouille de Stella. Un petit sourire se dessine sur le visage de mon pote. Stella se tient dans son dos, lui caresse le sexe tendu comme elle l'avait fait avec moi lors de notre premier plan baise.

Je me détends. Lola me caresse le visage, m'embrasse doucement. J'ai un petit mouvement de sursaut quand je sens la bite de Jean se poser sur ma fesse puis glisser entre. C'est chaud, doux. La pression est plus forte quand le bout se pose sur mon anus qui se contracte.

- Respire doucement, me dit Lola.

La pression disparaît et soudain je vois le visage se Lola se tordre, la mâchoire se crispe. Elle ouvre la bouche sans qu'un son n'en sorte. Je sens le pubis de Jean frapper contre mes fesses à un rythme de plus en plus rapide. Lola me serre plus fort contre elle, plante ses ongles courts dans mon dos.

Je sens aussi deux mains qui se posent sur mes fesses pour les écarter, les claquer parfois. Puis des doigts glissent dans ma raie des fesses avant de s'arrêter sur mon anus. Une petite pression puis ils s'enfoncent dans mon cul. La sensation est agréable. Je me laisse faire pendant que Lola se fait baiser par l'énorme bite de Jean. Je sens la mienne à nouveau durcir quand les doigts coulissent facilement en moi.

- Tu vas voir comme c'est bon, me dit Stella à genoux à côté de moi.

Et elle a raison. Elle retire ses doigts pour laisser la place à la bite raide de Jean qui s'enfonce en moi sans résistance. La pénétration est facilitée par la mouille de Lola qui respire encore rapidement sous l'effet de cette baise rapide et brutale.

Malgré la taille imposante de sa bite, je ne ressens aucune douleur.

- Maintenant tu vas me baiser, dit Lola.

Elle glisse une main entre nous, prend ma bite qu'elle pointe entre ses cuisses, contre sa fente juteuse. Le bout frotte contre les lèvres gonflées de ma partenaire. Quand Jean se retire de mon cul puis s'enfonce à nouveau, ma bite pénètre d'un coup Lola. Elle se cramponne à mon dos.

- J'adooooore, crie-t-elle. Baisez-moi plus foooort.

Jean attrape mes hanches et m'encule plus fort, plus vite. Sa bite coulisse dans mon fondement. Mon anus s'écarte, je sens le contour chauffer et s'ouvrir encore. En même temps, ma bite pénètre Lola accompagnée des coups de riens de Jean. Je suis passif dans cette baise folle et excitante.

Stella se lève et se tient debout au-dessus de Lola et moi. Je vois son corps nu dans toute sa splendeur. Elle se caresse les seins, plonge sa main entre ses cuisses pour se branler. Ses doigts disparaissent entre ses cuisses. Elle les ressort quelques secondes plus tard pour me les montrer et les porter à ma bouche. Je les suce, les lèche pour boire son jus intime.

- Tu aimes ma mouille ? demande-t-elle.

Je réponds oui de la tête.

- Alors peut-être que tu vas aimer ça aussi.

Stella pose ses mains entre ses cuisses. Elle tire sur la chair pour me montrer sa fente gonflée et juteuse. Soudain, un liquide coule sur ses cuisses en petit filet d'abord avant de devenir plus gros et puissant.

- Bois mon urine maintenant, dit-elle en avançant son bassin contre mon visage.

Le liquide doré éclabousse mon visage, remplit ma bouche et coule sur Lola en-dessous de moi.

- Regarde-moi cette salope, dit Jean qui continue de me défoncer le cul avec sa bite.

Lola gémit encore plus fort. Ses cris m'excitent, comme la bite qui coulisse en moi. Quand le liquide s'arrête je suis trempé. Stella s'approche encore, attrape ma tête qu'elle coince entre ses cuisses sur sa chatte. Cette odeur de mouille et urine mélangée m'excite et je n'arrive pas à me retenir plus longtemps.

Comme Lola qui contracte ses muscles sur ma bite. Nous jouissons ensembles. Jean aussi quand mon anus comprime sa bite. Il explose au fond de mon cul en donnant de violents coups de reins chaque fois que ses couilles se contractent et expulsent son jus.

Quand Jean se retire de mon cul, pour sortir à mon tour de Lola, je sens du sperme couler entre mes fesses. Je m'assois sur les galets encore chauds. Lola se caresse les seins, puis entre les cuisses.

Elle récupère de son jus mélangé à mon sperme sur les doigts qu'elle porte à sa bouche pour les lécher. Stella s'assoit à côté d'elle, se penche et embrasse son amie.

Après un baiser langoureux entre les deux femmes, Jean plonge dans la rivière. Nous le suivons quelques minutes plus tard.

- Si vous n'avez rien à faire, dis-je à mes trois amis, je vous invite à la maison pour manger et passer une soirée ensembles.

- Invitation acceptée, répond Lola.