Une journée au sauna
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une journée au sauna
Bonjour,
Une petite précision à faire... J’ai toujours gardé pour moi, mes expériences que nous avons vécu, ma femme et moi, tout au fond de ma bulle (mon carnet intime), ou du moins je ne les ai pas exposé au grand jour, mais avec les années qui passent et surtout avec ou grâce à l’autorisation de la principale actrice de nos jeux, qui n'est autre que ma femme, je mets noir sur blanc quelques unes de nos histoires de sexe.
Au début je voulais vous exposer nos aventures par ordre chronologique, car ou parce que j'avais déjà noté nos aventures sur mon/mes journal(aux) intime et avec cette envie de vous exposer mes-nos aventures vécues, j'ai commencé à les romancer. J'en commence à rédiger une de nos histoires vécues et avant de finir je commence à romancer une autre histoire, que je redécouvre en feuilletant négligement mes carnets, et qui me paraît alors interessante à vous faire lire mais qui a eu lieu plus tard dans le temps. Une fois que je fini d'écrire pour une raison ou une autre que je ne publie pas, voulant respecter la chronologie des aventures, et donc je perds les pédales et l'histoire que j'avais commencé à écrire je n'arrive plus à la finir ou bien je la bâcle... Et je tarde alors à publier!
Bref,
Jusqu'à maintenant j'ai respecter la chronologie de nos histoires vécues et là, j'ai résolu que je vais à partir d'ici ne plus trop suivre la chronologie de mes aventures mais qu'à partir du 01.01.2025 je vais écrire mon journal intime (coquin) sur ce site... Vous serez alors aux premières loges, si je puis dire !
Voilà une première précision !
La deuxième toute aussi importante est :
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
Protégez vous car c'est trop stupide de courir un risque rien que pour satisfaire un plaisir !
Maintenant voici l'histoire :
Ma femme et moi fréquentons un sauna libertin depuis un bon bout de temps. J'ai appris peu de temps avant cette histoire, que cet établissement organisait des journées 100% masculin.
Depuis que j’ai découvert le plaisir anal, je me gode assez souvent chez moi, que je sois seul ou non. La masturbation n’est pas du tout taboue dans notre famille. Un soir, alors que nous regardions un film dans le salon, Caline m'a parlé du sauna et qu’ils ont décidé d’organiser des journées réservées aux hommes.
- Tu n'as pas envie d'y aller ? Qu’elle me demande.
Je ne m'attendais pas à cette question, j'ai mis un peu de temps à répondre. Même si mes sextoys me procurent du plaisir, ce n’est en rien comparable à la sensation d'un vrai sexe en soi. Je lui demande :
— Cela ne te dérange pas que j'y aille seul ?
Je m’imagine déjà sucer de belles queues dressées avant de m’empaler dessus. J’avais hâte d’y aller, d’autant plus que j’avais le feu vert de ma femme. Je n’ai pensé qu’à cela durant tout le reste du film. Le soir même, j'ai regardé l'agenda du sauna pour voir quel jour y aller.
Jeudi 10.05.2018
Alors que je n'ai pas de boulot pour cette après-midi là, je me décide à aller au sauna. Seul chez moi, je suis déjà bien excité. Après m’être préparé, je suis parti vers 14 heures.
Quand je suis arrivé, j’ai eu une certaine appréhension au moment d’entrer. Je me suis dirigé vers les vestiaires, où j’étais seul. Je me suis diriger vers les douches, portant ma serviette à l'épaule. Après m'être lavé rapidement, j'ai mis ma serviette autour de la taille et j'ai fait un tour rapide. Il n'y avait pas grand monde, peut-être 7 ou 8 personnes, de tout âge. Comme j'avais un peu soif, je suis allé boire un verre dans la partie bar. Un homme dans la cinquantaine, les cheveux grisonnants et avec un léger ventre, s'est assis à côté de moi. Son genou était contre le mien quand il s'est adressé à moi :
— C'est la première fois que tu viens ?
— Seul, oui c'est la première fois. D'habitude je viens avec ma femme.
— Ah, tu es bi?
— Oui.
— Elle sait que tu es là ?
— Oui, c’est même elle qui m’a proposé, suggéré de venir !
— C’est vrai ? C’est original ça ! La plupart des hommes mariés font ça dans le dos de leur femme.
Nous avons discuté quelques minutes. À un moment, il a posé sa main sur ma cuisse. Je me suis laissé faire et je l’ai même imité. Je commence à sentir cette excitation montée en flèche. Sans réfléchir, j’ai remonté ma main pour toucher sa queue à demi-bandée. En saisissant la main, il me propose d’aller dans un endroit plus tranquille, ce que j’ai évidemment accepté.
Une fois en bas, dans une petite cabine, je lui ai immédiatement enlevé sa serviette (et la mienne au mettre passage) pour me mettre à genoux et le sucer. Sa queue, en forme de batte de baseball, commence à devenir de plus en plus dure dans ma bouche. Je prends un plaisir immense, je prends conscience que cela m'empli de joie, quand un membre vient se loger enrtre mes lèvres. Je joue beaucoup avec ma langue autour de son gland, sur son frein et parfois sur ses couilles. Le mec me complimentait, me disant que je le suce vraiment bien, ce qui renforce mon excitation.
Après un moment, il m’arrête et a veut me sucer à son tour, mais j'ai décliné. Il me dit alors de me mettre à quatre pattes, ce que je fais sans réfléchir. Il met du lubrifiant sur mon anus et me doigte. Immédiatement, j'ai eu envie de plus, envie de sentir sa queue en moi. Je lui dis, le supplie presque :
— Vas-y, prends-moi !
Hélas, la capote l’a fait débander. J’ai essayé de le remettre en forme, mais cela n’a rien donné. Je lui ai proposé de le sucer pour ne pas rester sur cette petite déconvenue. Dès qu’il a enlevé le préservatif, sa bite est redevenue dure comme du bois. Cette fois, je l’ai sucé avec l’intention de le faire jouir. C’est ce qu’il s’est passé deux minutes plus tard, j’ai reçu quelques jets de sperme sur mon torse. Un peu décevant comme début, mais je compte bien me rattraper par la suite. J’ai salué le mec et je suis sorti de la pièce sans prendre le temps de m’essuyer.
En allant vers les douches, j’ai croisé deux hommes qui m’ont souri après avoir vu que j’avais du sperme sur moi. J’ai d’ailleurs beaucoup aimé voir leur regard, j’imaginais ce que ma femme pouvait ressentir quand elle fait la même chose (même si, pour elle, les regards sont bien plus pervers !).
Une fois tout propre, j’ai décidé de refaire un petit tour. Dans les couloirs, un homme un peu plus vieux que moi m’a frôlé lorsque l’on s’est croisés. Je l’ai à nouveau croisé quelques instants plus tard, alors que je poursuivais mon tour en bas. Cette fois, il s’est approché et m’a caressé les fesses en glissant sa main sous ma serviette. Il était un peu rond et assez poilu, pas forcément très attirant, mais l’excitation de la situation l’emportait. Je l’ai laissé faire puis j’ai glissé ma main sous sa serviette pour toucher sa queue. Elle était encore molle mais me semblait déjà bien épaisse. Il m’a proposé d’aller dans une cabine, ce que j’ai immédiatement accepté.
Nous nous sommes mis nus et je l’ai sucé. Sa bite, une fois dure, était d’une longueur normale mais était plus grosse que la moyenne. Assez vite, il me dit :
— Mets-toi à quatre pattes, je vais te préparer.
Il m’a doigté avec l’aide d’un peu de lubrifiant. Constatant que ses doigts entrent facilement, il a mis une capote et pose son gland contre mon anus. Il me pénétré très lentement, son gland a un peu de mal à entrer. Après quelques essais infructueux, c’est comme si mon cul l’avait gobé d’un coup, ce qui m’a fait pousser un petit cri de surprise et de bonheur. Je n’avais pas mal, bien au contraire. C’était presque un soulagement de sentir cette queue entrer en moi. Celui qui m’encule, et dont je ne connais même pas le nom, entame un lent va-et-vient. Je me laisse aller, gémissant sans retenue. Le mec me dit :
— Tu aimes la bite toi ! T’es une bonne salope !
Ces mots m’ont excité encore plus. Il continue à me dire ce genre de choses tout le long. Plusieurs fois, il me donne de grands coups de reins pour me faire crier. Je lâchais des « hmm putain », ce qui semble l’encourager à recommencer. À un moment, alors qu’il venait de me mettre plusieurs coups de reins puissants, faisant entrer son sexe d’un trait en moi, il me dit :
— Cela te plait ça !
— Oui, encore ! Continue !
— Tiens !
— Putain, c’est bon !
Je perds le contrôle, je me laisse totalement aller. Une seule chose comptait à ce moment-là : MON plaisir.
Il me sodomise, pendant un bon moment, au moins un quart d’heure, sans s’arrêter. Quand je le sens me tenir plus fermement par les hanches, je comprends qu’il va jouir. Il éjacule, tout en restant en moi. Je sens sa queue se contracter, sensation que j’apprécie beaucoup. Quand il retire son sexe, je me suis senti terriblement frustré, j’aurais voulu que cela continue ! Il a quitté la pièce en laissant la porte grande ouverte.
Alors que je suis toujours à quatre pattes, je me touche l’anus pour voir à quel point il est ouvert, je croise le regard d’un homme. Il s’approche sans rien dire et se met à genoux devant moi pour que je puisse le sucer. Sa queue est plus longue mais moins épaisse que celle de mon précédent amant. Surtout, elle est courbée vers le haut. J’ai pris beaucoup de plaisir à la sucer. Après quelques minutes, il m’arrête. Met une capote et m’enfile directement. Il entre facilement et rapidement dans les profondeurs de mon corps. Je change de position pour me mettre sur le dos, les jambes relevées. Dès qu’il me ssodomie dans cette position, je (re)découve un plaisir immense. Je sens encore mieux sa queue coulisser en moi. Je gémis, surtout quand son gland presse ma prostate. C’est vraiment bon, il comprends bien vite ce que j’aime.
À un moment, je tourne la tête et je vois qu’un jeune homme nous admire en se caressant par-dessus sa serviette. Sans réfléchir et sans demander à celui qui est en train de me baiser, je lui fais signe d’approcher. Il avance lentement et enlève sa serviette. Il se branle en nous regardant. Je tends la main pour qu’il s’approche encore. Je lui empoigne la queue déjà raide et je me mets à la branler lentement. Il me crache son nectar dessus à peine 20 secondes plus tard, j’en ai partout : sur le ventre, le torse et même le visage. Il est parti juste après sans mot dire. Celui qui m'encule me demande, le sourire aux lèvres :
— Tu veux t'essuyer?
— Non, continue!
Je me sentais de plus en plus proche de l'orgasme, pourtant je ne bande pas. Le fait d'être là, couvert de sperme accentu encore davantage mon excitation. Il appuie sur ma prostate et alterne entre pénétration lente et profonde et rythme plus soutenu.
Au bout de quelques minutes, l'homme qui m'encule si bien et si fort se crispe et décharge son lait en restant accroché à moi. Une fois vidé, il ressort sa queue, me frustrant totalement. J’en ai encore envie !
Deux spectateurs, sur le pas de la porte de cette cabine, nous regardent, mais aucun ne s’approchent pas. Nous échangeons quelques mots, puis ils continuent leur chemin. Je me suis levé après quelques secondes, direction la douche. Cette fois, j'ai essuyé le sperme que j'avais sur moi avant d'y aller.
A nouveau tout propre et encore bien excité, je décide de me balader nu.
Je vais au bar car j’ai un peu soif. Il y a un homme de mon âge qui me regardait. Je me dis que je suis là pour profiter, alors je fini rapidement mon verre et je me pose près de lui. Je n’ai qu'une idée en tête : le sucer.
Sans même échanger un mot, je dénoue sa serviette pour toucher sa queue. À peine dix secondes plus tard, je me penche pour la prendre entre mes lèvres. Il me dit :
— Tu ne perds pas de temps toi!
Il se lève alors que je me suis accroupi devant lui. Un homme dans la cinquantaine entre et s'approche, visiblement attiré par le spectacle. Instinctivement, je passe ma main sous sa serviette pour évaluer la marchandise. Elle est déjà très dure. J'alterne entre les deux sexes, je prends un plaisir fou.
Assez vite, celui de mon âge jouit. Je lui ai demandé de me prévenir pour ne pas jouir dans ma bouche. Il a éjaculé par terre et il est parti. Je continue à m'occuper du plus vieux quand il me propose d'aller en bas. Naturellement, j'accepte. J’ai envie de sentir son sexe en moi.
Nous sommes allés dans une petite cabine qu’il a fermée. Dans les couloirs, nous sommes resté, aussi bien lui que moi tout nu. Les quelques hommes qui nous ont croisé sur le chemin ne doivent guère avoir de doute sur ce que nous allions faire. J’ai repris ma fellation. Il me demande s’il pouvait me sucer lui aussi, mais je décline sa demande. Je veux rester excité au maximum. Sa queue est de taille normale, avec un assez gros gland. Après quelques instants (je ne saurais dire combien de temps), il me dit :
— Tu veux que je te prenne ?
— Oui !
— Je n’attends que ça !
Il m’a demandé dans quelle position je veux qu’on se mette. Je lui dis de s’allonger. Je lui ai mis une capote, un peu de gel sur sa queue et sur mon anus. Je me suis accroupie sur le sexe toujours dure. Son gros gland a eu un peu de lal à passer, le reste beaucoup moins. Je me suis empalé totalement sur sa queue, contrôlant le rythme de la pénétration. Je commence de lentes mais profondes pénétrations qui m’ont tout de suite fait beaucoup de bien. J’accéléré petit à petit, mais toujours dans le but de la sentir entièrement en moi.
Alors que mon partenaire me regarde silencieusement avec une mine satisfaite, Je me laisse aller, ne retenant pas mes gémissements. Mon plaisir grandit, mon gland est bien humide. D’ailleurs, un filet de sécrétion relie mon gland au ventre de celui qui m’encule.
À un moment, sans prévenir, j’ai vu son visage se crisper, puis je sens qu’il éjacule en moi. Je suis resté un peu sur lui et, à ma grande surprise, il ne débande pas. Je refait quelques va-et-vient sur sa queue. Il me demande :
— Tu as encore envie ?
— Oui !
Cela le fait rire. Il me dit de me relever pour changer son préservatif et de me mettre en levrette. Il me pénétre d’un trait, m’arrachant un petit cri. Il a dû croire que j’avais mal puisqu’il me dit :
— Ça va ?
— Oui, continue !
Il me sodomise d’abord lentement avant d’accélérer progressivement. Il me fait beaucoup de bien, je gémis et lâche des « ahh c’est bon ». Je l’encourage même par des « plus fort » ou des « là, comme ça » lorsqu’il sort son sexe pour me le remettre d’un coup entièrement. Il m’encule vraiment très fort, le bruit de son ventre qui claque contre mes fesses raisonne dans la pièce. Je perds petit à petit le contrôle, ne me concentrant que sur les sensations de cette queue qui coulisse en moi.
Après quelques minutes, une vague de plaisir m’envahit. Je me souviens avoir eu un peu de mal à supporter la pénétration l’espace de quelques secondes. Je mets un peu de temps à retrouver mes esprits, mais pendant ce temps, je continu de me faire sodomiser intensément. Dès que la légère douleur est passée, le plaisir était encore plus fort. J’ai les yeux fermés, je gémis presque en continu. Il aurait pu se passer n’importe quoi autour de moi, je n’y aurais pas prêté attention. Je suis à la merci de cet homme dont je ne sais rien et qui me tient fermement par les hanches pour me donner de grands coups de reins.
Une deuxième vague de plaisir me traverse, encore plus explosive que la première. Je mets bien plus de temps à m’en remettre. Cette fois, la sensation désagréable de la pénétration n’est pas passée. J’ai un peu mal, alors j’ai dit à mon partenaire d’arrêter. Il me répond :
— Attends, ça vient !
Il continu à me prendre, la douleur est soutenable bien qu’assez forte. Et puis, d’un coup, il se plante au fond de moi pour jouir. J’ai adoré cette sensation ne n’être qu’un objet sexuel à sa disposition.
Quand il a sorti son sexe de mon cul, je me sens soulagé. Je ne peux plus en supporter davantage. Je me suis écroulé sur le matelas. L’homme et moi parlons un peu. Il m’avoue avoir pris quelque chose pour bander plus longtemps (il m’a sodomisé pendant près d’une heure en tout). Il veut me sucer, mais j’ai à nouveau refusé. Déçu, il part juste après. Je resté un petit moment allongé, j’ai l’impression de ne plus avoir d’énergie.
J’ai finalement décidé d’aller d’abord sous la douche. Je suis resté nu dans les couloirs. Après avoir bu un verre d’eau dans la partie bar, j’ai eu envie d’aller dans le sauna, simplement pour profiter des installations. Je suis seul pendant quelques minutes, jusqu’à ce qu’un homme un peu plus vieux que moi entre. Il me salue et s’assoit en face de moi. Je n’ai pas pu m’empêcher de regarder son corps et son sexe. D’ailleurs, il commence à se branler très lentement en me regardant. Il décalotte son sexe au maximum, ce qui met en valeur son gland bien dessiné. Je suis hypnotisé par cette belle queue. Le mec a rompu le silence en disant :
— Elle te plait ?
— Euh… Oui… Très…
Je ne m’attends pas à ce qu’il me demande ça, j’ai un peu l’esprit dans le vague. Je me suis ressaisi et je suis allé m’asseoir à côté de lui. Je pose ma main autour de sa belle bite. Elle est chaude, dure et douce à la fois. Instinctivement, je me suis accroupi pour la mettre dans ma bouche. Je suce cet inconnu pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Assez vite (un peu trop à mon goût), il me prévient de sa jouissance. Il éjacule sur mon torse. Un ou deux jets ont fini sur mon visage. Aussitôt après, il se lève et part.
Je me lave une dernière fois rapidement, puis je décide de partir. Sur la route, je suis encore excité, je n’ai pas encore « jouis ». Je repense à cette longue et intense sodomie. En rentrant chez moi, je suis seul. Je suis allé dans la chambre pour me changer. Quand j’ai vu le gode posé sur ma table de chevet, j’ai eu comme une pulsion. Je me suis déshabillé avant de m’installer confortablement sur le lit. Je fais entrer très facilement le sextoy en moi. Même si ça me fait du bien, ce n’est en rien comparable à la sensation d’une vraie queue en soi. J’ai donc vite arrêté.
Un peu plus tard, quand ma miss est rentrée, je lui raconte tout. Elle est heureuse pour moi et ça se voit.
Caline et moi sommes honnêtes l’un envers l’autre. Ni elle ni moi ne pourrions faire quelque chose dans le dos de l’autre. Nous sommes heureux ensemble, heureux de nous être trouvé et de pouvoir tout partager. J’ai conscience d’être privilégié d’avoir une femme qui m’accepte comme je suis et qui me permet de m’épanouir totalement.
Rendez vous à une prochaine histoire de notre vécu.
Une petite précision à faire... J’ai toujours gardé pour moi, mes expériences que nous avons vécu, ma femme et moi, tout au fond de ma bulle (mon carnet intime), ou du moins je ne les ai pas exposé au grand jour, mais avec les années qui passent et surtout avec ou grâce à l’autorisation de la principale actrice de nos jeux, qui n'est autre que ma femme, je mets noir sur blanc quelques unes de nos histoires de sexe.
Au début je voulais vous exposer nos aventures par ordre chronologique, car ou parce que j'avais déjà noté nos aventures sur mon/mes journal(aux) intime et avec cette envie de vous exposer mes-nos aventures vécues, j'ai commencé à les romancer. J'en commence à rédiger une de nos histoires vécues et avant de finir je commence à romancer une autre histoire, que je redécouvre en feuilletant négligement mes carnets, et qui me paraît alors interessante à vous faire lire mais qui a eu lieu plus tard dans le temps. Une fois que je fini d'écrire pour une raison ou une autre que je ne publie pas, voulant respecter la chronologie des aventures, et donc je perds les pédales et l'histoire que j'avais commencé à écrire je n'arrive plus à la finir ou bien je la bâcle... Et je tarde alors à publier!
Bref,
Jusqu'à maintenant j'ai respecter la chronologie de nos histoires vécues et là, j'ai résolu que je vais à partir d'ici ne plus trop suivre la chronologie de mes aventures mais qu'à partir du 01.01.2025 je vais écrire mon journal intime (coquin) sur ce site... Vous serez alors aux premières loges, si je puis dire !
Voilà une première précision !
La deuxième toute aussi importante est :
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
Protégez vous car c'est trop stupide de courir un risque rien que pour satisfaire un plaisir !
Maintenant voici l'histoire :
Ma femme et moi fréquentons un sauna libertin depuis un bon bout de temps. J'ai appris peu de temps avant cette histoire, que cet établissement organisait des journées 100% masculin.
Depuis que j’ai découvert le plaisir anal, je me gode assez souvent chez moi, que je sois seul ou non. La masturbation n’est pas du tout taboue dans notre famille. Un soir, alors que nous regardions un film dans le salon, Caline m'a parlé du sauna et qu’ils ont décidé d’organiser des journées réservées aux hommes.
- Tu n'as pas envie d'y aller ? Qu’elle me demande.
Je ne m'attendais pas à cette question, j'ai mis un peu de temps à répondre. Même si mes sextoys me procurent du plaisir, ce n’est en rien comparable à la sensation d'un vrai sexe en soi. Je lui demande :
— Cela ne te dérange pas que j'y aille seul ?
Je m’imagine déjà sucer de belles queues dressées avant de m’empaler dessus. J’avais hâte d’y aller, d’autant plus que j’avais le feu vert de ma femme. Je n’ai pensé qu’à cela durant tout le reste du film. Le soir même, j'ai regardé l'agenda du sauna pour voir quel jour y aller.
Jeudi 10.05.2018
Alors que je n'ai pas de boulot pour cette après-midi là, je me décide à aller au sauna. Seul chez moi, je suis déjà bien excité. Après m’être préparé, je suis parti vers 14 heures.
Quand je suis arrivé, j’ai eu une certaine appréhension au moment d’entrer. Je me suis dirigé vers les vestiaires, où j’étais seul. Je me suis diriger vers les douches, portant ma serviette à l'épaule. Après m'être lavé rapidement, j'ai mis ma serviette autour de la taille et j'ai fait un tour rapide. Il n'y avait pas grand monde, peut-être 7 ou 8 personnes, de tout âge. Comme j'avais un peu soif, je suis allé boire un verre dans la partie bar. Un homme dans la cinquantaine, les cheveux grisonnants et avec un léger ventre, s'est assis à côté de moi. Son genou était contre le mien quand il s'est adressé à moi :
— C'est la première fois que tu viens ?
— Seul, oui c'est la première fois. D'habitude je viens avec ma femme.
— Ah, tu es bi?
— Oui.
— Elle sait que tu es là ?
— Oui, c’est même elle qui m’a proposé, suggéré de venir !
— C’est vrai ? C’est original ça ! La plupart des hommes mariés font ça dans le dos de leur femme.
Nous avons discuté quelques minutes. À un moment, il a posé sa main sur ma cuisse. Je me suis laissé faire et je l’ai même imité. Je commence à sentir cette excitation montée en flèche. Sans réfléchir, j’ai remonté ma main pour toucher sa queue à demi-bandée. En saisissant la main, il me propose d’aller dans un endroit plus tranquille, ce que j’ai évidemment accepté.
Une fois en bas, dans une petite cabine, je lui ai immédiatement enlevé sa serviette (et la mienne au mettre passage) pour me mettre à genoux et le sucer. Sa queue, en forme de batte de baseball, commence à devenir de plus en plus dure dans ma bouche. Je prends un plaisir immense, je prends conscience que cela m'empli de joie, quand un membre vient se loger enrtre mes lèvres. Je joue beaucoup avec ma langue autour de son gland, sur son frein et parfois sur ses couilles. Le mec me complimentait, me disant que je le suce vraiment bien, ce qui renforce mon excitation.
Après un moment, il m’arrête et a veut me sucer à son tour, mais j'ai décliné. Il me dit alors de me mettre à quatre pattes, ce que je fais sans réfléchir. Il met du lubrifiant sur mon anus et me doigte. Immédiatement, j'ai eu envie de plus, envie de sentir sa queue en moi. Je lui dis, le supplie presque :
— Vas-y, prends-moi !
Hélas, la capote l’a fait débander. J’ai essayé de le remettre en forme, mais cela n’a rien donné. Je lui ai proposé de le sucer pour ne pas rester sur cette petite déconvenue. Dès qu’il a enlevé le préservatif, sa bite est redevenue dure comme du bois. Cette fois, je l’ai sucé avec l’intention de le faire jouir. C’est ce qu’il s’est passé deux minutes plus tard, j’ai reçu quelques jets de sperme sur mon torse. Un peu décevant comme début, mais je compte bien me rattraper par la suite. J’ai salué le mec et je suis sorti de la pièce sans prendre le temps de m’essuyer.
En allant vers les douches, j’ai croisé deux hommes qui m’ont souri après avoir vu que j’avais du sperme sur moi. J’ai d’ailleurs beaucoup aimé voir leur regard, j’imaginais ce que ma femme pouvait ressentir quand elle fait la même chose (même si, pour elle, les regards sont bien plus pervers !).
Une fois tout propre, j’ai décidé de refaire un petit tour. Dans les couloirs, un homme un peu plus vieux que moi m’a frôlé lorsque l’on s’est croisés. Je l’ai à nouveau croisé quelques instants plus tard, alors que je poursuivais mon tour en bas. Cette fois, il s’est approché et m’a caressé les fesses en glissant sa main sous ma serviette. Il était un peu rond et assez poilu, pas forcément très attirant, mais l’excitation de la situation l’emportait. Je l’ai laissé faire puis j’ai glissé ma main sous sa serviette pour toucher sa queue. Elle était encore molle mais me semblait déjà bien épaisse. Il m’a proposé d’aller dans une cabine, ce que j’ai immédiatement accepté.
Nous nous sommes mis nus et je l’ai sucé. Sa bite, une fois dure, était d’une longueur normale mais était plus grosse que la moyenne. Assez vite, il me dit :
— Mets-toi à quatre pattes, je vais te préparer.
Il m’a doigté avec l’aide d’un peu de lubrifiant. Constatant que ses doigts entrent facilement, il a mis une capote et pose son gland contre mon anus. Il me pénétré très lentement, son gland a un peu de mal à entrer. Après quelques essais infructueux, c’est comme si mon cul l’avait gobé d’un coup, ce qui m’a fait pousser un petit cri de surprise et de bonheur. Je n’avais pas mal, bien au contraire. C’était presque un soulagement de sentir cette queue entrer en moi. Celui qui m’encule, et dont je ne connais même pas le nom, entame un lent va-et-vient. Je me laisse aller, gémissant sans retenue. Le mec me dit :
— Tu aimes la bite toi ! T’es une bonne salope !
Ces mots m’ont excité encore plus. Il continue à me dire ce genre de choses tout le long. Plusieurs fois, il me donne de grands coups de reins pour me faire crier. Je lâchais des « hmm putain », ce qui semble l’encourager à recommencer. À un moment, alors qu’il venait de me mettre plusieurs coups de reins puissants, faisant entrer son sexe d’un trait en moi, il me dit :
— Cela te plait ça !
— Oui, encore ! Continue !
— Tiens !
— Putain, c’est bon !
Je perds le contrôle, je me laisse totalement aller. Une seule chose comptait à ce moment-là : MON plaisir.
Il me sodomise, pendant un bon moment, au moins un quart d’heure, sans s’arrêter. Quand je le sens me tenir plus fermement par les hanches, je comprends qu’il va jouir. Il éjacule, tout en restant en moi. Je sens sa queue se contracter, sensation que j’apprécie beaucoup. Quand il retire son sexe, je me suis senti terriblement frustré, j’aurais voulu que cela continue ! Il a quitté la pièce en laissant la porte grande ouverte.
Alors que je suis toujours à quatre pattes, je me touche l’anus pour voir à quel point il est ouvert, je croise le regard d’un homme. Il s’approche sans rien dire et se met à genoux devant moi pour que je puisse le sucer. Sa queue est plus longue mais moins épaisse que celle de mon précédent amant. Surtout, elle est courbée vers le haut. J’ai pris beaucoup de plaisir à la sucer. Après quelques minutes, il m’arrête. Met une capote et m’enfile directement. Il entre facilement et rapidement dans les profondeurs de mon corps. Je change de position pour me mettre sur le dos, les jambes relevées. Dès qu’il me ssodomie dans cette position, je (re)découve un plaisir immense. Je sens encore mieux sa queue coulisser en moi. Je gémis, surtout quand son gland presse ma prostate. C’est vraiment bon, il comprends bien vite ce que j’aime.
À un moment, je tourne la tête et je vois qu’un jeune homme nous admire en se caressant par-dessus sa serviette. Sans réfléchir et sans demander à celui qui est en train de me baiser, je lui fais signe d’approcher. Il avance lentement et enlève sa serviette. Il se branle en nous regardant. Je tends la main pour qu’il s’approche encore. Je lui empoigne la queue déjà raide et je me mets à la branler lentement. Il me crache son nectar dessus à peine 20 secondes plus tard, j’en ai partout : sur le ventre, le torse et même le visage. Il est parti juste après sans mot dire. Celui qui m'encule me demande, le sourire aux lèvres :
— Tu veux t'essuyer?
— Non, continue!
Je me sentais de plus en plus proche de l'orgasme, pourtant je ne bande pas. Le fait d'être là, couvert de sperme accentu encore davantage mon excitation. Il appuie sur ma prostate et alterne entre pénétration lente et profonde et rythme plus soutenu.
Au bout de quelques minutes, l'homme qui m'encule si bien et si fort se crispe et décharge son lait en restant accroché à moi. Une fois vidé, il ressort sa queue, me frustrant totalement. J’en ai encore envie !
Deux spectateurs, sur le pas de la porte de cette cabine, nous regardent, mais aucun ne s’approchent pas. Nous échangeons quelques mots, puis ils continuent leur chemin. Je me suis levé après quelques secondes, direction la douche. Cette fois, j'ai essuyé le sperme que j'avais sur moi avant d'y aller.
A nouveau tout propre et encore bien excité, je décide de me balader nu.
Je vais au bar car j’ai un peu soif. Il y a un homme de mon âge qui me regardait. Je me dis que je suis là pour profiter, alors je fini rapidement mon verre et je me pose près de lui. Je n’ai qu'une idée en tête : le sucer.
Sans même échanger un mot, je dénoue sa serviette pour toucher sa queue. À peine dix secondes plus tard, je me penche pour la prendre entre mes lèvres. Il me dit :
— Tu ne perds pas de temps toi!
Il se lève alors que je me suis accroupi devant lui. Un homme dans la cinquantaine entre et s'approche, visiblement attiré par le spectacle. Instinctivement, je passe ma main sous sa serviette pour évaluer la marchandise. Elle est déjà très dure. J'alterne entre les deux sexes, je prends un plaisir fou.
Assez vite, celui de mon âge jouit. Je lui ai demandé de me prévenir pour ne pas jouir dans ma bouche. Il a éjaculé par terre et il est parti. Je continue à m'occuper du plus vieux quand il me propose d'aller en bas. Naturellement, j'accepte. J’ai envie de sentir son sexe en moi.
Nous sommes allés dans une petite cabine qu’il a fermée. Dans les couloirs, nous sommes resté, aussi bien lui que moi tout nu. Les quelques hommes qui nous ont croisé sur le chemin ne doivent guère avoir de doute sur ce que nous allions faire. J’ai repris ma fellation. Il me demande s’il pouvait me sucer lui aussi, mais je décline sa demande. Je veux rester excité au maximum. Sa queue est de taille normale, avec un assez gros gland. Après quelques instants (je ne saurais dire combien de temps), il me dit :
— Tu veux que je te prenne ?
— Oui !
— Je n’attends que ça !
Il m’a demandé dans quelle position je veux qu’on se mette. Je lui dis de s’allonger. Je lui ai mis une capote, un peu de gel sur sa queue et sur mon anus. Je me suis accroupie sur le sexe toujours dure. Son gros gland a eu un peu de lal à passer, le reste beaucoup moins. Je me suis empalé totalement sur sa queue, contrôlant le rythme de la pénétration. Je commence de lentes mais profondes pénétrations qui m’ont tout de suite fait beaucoup de bien. J’accéléré petit à petit, mais toujours dans le but de la sentir entièrement en moi.
Alors que mon partenaire me regarde silencieusement avec une mine satisfaite, Je me laisse aller, ne retenant pas mes gémissements. Mon plaisir grandit, mon gland est bien humide. D’ailleurs, un filet de sécrétion relie mon gland au ventre de celui qui m’encule.
À un moment, sans prévenir, j’ai vu son visage se crisper, puis je sens qu’il éjacule en moi. Je suis resté un peu sur lui et, à ma grande surprise, il ne débande pas. Je refait quelques va-et-vient sur sa queue. Il me demande :
— Tu as encore envie ?
— Oui !
Cela le fait rire. Il me dit de me relever pour changer son préservatif et de me mettre en levrette. Il me pénétre d’un trait, m’arrachant un petit cri. Il a dû croire que j’avais mal puisqu’il me dit :
— Ça va ?
— Oui, continue !
Il me sodomise d’abord lentement avant d’accélérer progressivement. Il me fait beaucoup de bien, je gémis et lâche des « ahh c’est bon ». Je l’encourage même par des « plus fort » ou des « là, comme ça » lorsqu’il sort son sexe pour me le remettre d’un coup entièrement. Il m’encule vraiment très fort, le bruit de son ventre qui claque contre mes fesses raisonne dans la pièce. Je perds petit à petit le contrôle, ne me concentrant que sur les sensations de cette queue qui coulisse en moi.
Après quelques minutes, une vague de plaisir m’envahit. Je me souviens avoir eu un peu de mal à supporter la pénétration l’espace de quelques secondes. Je mets un peu de temps à retrouver mes esprits, mais pendant ce temps, je continu de me faire sodomiser intensément. Dès que la légère douleur est passée, le plaisir était encore plus fort. J’ai les yeux fermés, je gémis presque en continu. Il aurait pu se passer n’importe quoi autour de moi, je n’y aurais pas prêté attention. Je suis à la merci de cet homme dont je ne sais rien et qui me tient fermement par les hanches pour me donner de grands coups de reins.
Une deuxième vague de plaisir me traverse, encore plus explosive que la première. Je mets bien plus de temps à m’en remettre. Cette fois, la sensation désagréable de la pénétration n’est pas passée. J’ai un peu mal, alors j’ai dit à mon partenaire d’arrêter. Il me répond :
— Attends, ça vient !
Il continu à me prendre, la douleur est soutenable bien qu’assez forte. Et puis, d’un coup, il se plante au fond de moi pour jouir. J’ai adoré cette sensation ne n’être qu’un objet sexuel à sa disposition.
Quand il a sorti son sexe de mon cul, je me sens soulagé. Je ne peux plus en supporter davantage. Je me suis écroulé sur le matelas. L’homme et moi parlons un peu. Il m’avoue avoir pris quelque chose pour bander plus longtemps (il m’a sodomisé pendant près d’une heure en tout). Il veut me sucer, mais j’ai à nouveau refusé. Déçu, il part juste après. Je resté un petit moment allongé, j’ai l’impression de ne plus avoir d’énergie.
J’ai finalement décidé d’aller d’abord sous la douche. Je suis resté nu dans les couloirs. Après avoir bu un verre d’eau dans la partie bar, j’ai eu envie d’aller dans le sauna, simplement pour profiter des installations. Je suis seul pendant quelques minutes, jusqu’à ce qu’un homme un peu plus vieux que moi entre. Il me salue et s’assoit en face de moi. Je n’ai pas pu m’empêcher de regarder son corps et son sexe. D’ailleurs, il commence à se branler très lentement en me regardant. Il décalotte son sexe au maximum, ce qui met en valeur son gland bien dessiné. Je suis hypnotisé par cette belle queue. Le mec a rompu le silence en disant :
— Elle te plait ?
— Euh… Oui… Très…
Je ne m’attends pas à ce qu’il me demande ça, j’ai un peu l’esprit dans le vague. Je me suis ressaisi et je suis allé m’asseoir à côté de lui. Je pose ma main autour de sa belle bite. Elle est chaude, dure et douce à la fois. Instinctivement, je me suis accroupi pour la mettre dans ma bouche. Je suce cet inconnu pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Assez vite (un peu trop à mon goût), il me prévient de sa jouissance. Il éjacule sur mon torse. Un ou deux jets ont fini sur mon visage. Aussitôt après, il se lève et part.
Je me lave une dernière fois rapidement, puis je décide de partir. Sur la route, je suis encore excité, je n’ai pas encore « jouis ». Je repense à cette longue et intense sodomie. En rentrant chez moi, je suis seul. Je suis allé dans la chambre pour me changer. Quand j’ai vu le gode posé sur ma table de chevet, j’ai eu comme une pulsion. Je me suis déshabillé avant de m’installer confortablement sur le lit. Je fais entrer très facilement le sextoy en moi. Même si ça me fait du bien, ce n’est en rien comparable à la sensation d’une vraie queue en soi. J’ai donc vite arrêté.
Un peu plus tard, quand ma miss est rentrée, je lui raconte tout. Elle est heureuse pour moi et ça se voit.
Caline et moi sommes honnêtes l’un envers l’autre. Ni elle ni moi ne pourrions faire quelque chose dans le dos de l’autre. Nous sommes heureux ensemble, heureux de nous être trouvé et de pouvoir tout partager. J’ai conscience d’être privilégié d’avoir une femme qui m’accepte comme je suis et qui me permet de m’épanouir totalement.
Rendez vous à une prochaine histoire de notre vécu.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci cher Cyrille
Très belle histoire, intéressante sur ce côté bi qui m'attire...
Je suis heureux pour toi et ta Caline pour cette merveilleuse complicité...
Cyrille
Je suis heureux pour toi et ta Caline pour cette merveilleuse complicité...
Cyrille