Une journée bien remplie
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une journée bien remplie
Je serais bien malhonnête si je n’admettais avoir, ce jour-là, un peu provoqué les événements qui vont suivre. Toutefois, je dois rendre hommage à la part de hasard qui a considérablement joué en ma faveur. Depuis bien des mois je serpente à pied dans la campagne en appelant de mes vœux deux rencontres coquines qui me font circuler peu vêtu. Mon mini short et mon marcel, portés à même la peau, me donnent l’impression de randonner quasi nu et l’air frais qui s’engouffre sous mes vêtements en ce début de printemps ajoutent à cette sensation. Les deux fantasmes qui me hantent sans cesse depuis bien des mois sont ceux de revoir Katy, mon ex stagiaire androgyne et gothique, et cet inconnu maigrelet qui, à la plage naturiste, est venu coller son petit corps nu contre le mien, exhibé et offert, pour un long baiser pénétrant et quelques caresses furtives. Je sais que Katy, qui a un problème avec l’alcool, fréquente assidûment une auberge en limite de forêt, tout près de chez elle. Je décide de sauter le repas de midi et de profiter du bus scolaire du mercredi qui passe à proximité pour m’y rendre. J’arrive sur ce site vers midi trente.
Mon amie vient de se faire servir son premier verre et me semble parfaitement lucide. A mon approche, elle se lève, émue, et balbutie quelques phrases incompréhensibles en venant se lover contre moi. Nous restons ainsi, un long moment, hésitant entre les retrouvailles amicales et quelque chose de plus intime. Elle caresse doucement mon dos d’une main hésitante puis descend progressivement au creux de mes reins. Lorsqu’elle atteint mes fesses, la caresse est de plus en plus sexualisée et je me sens autorisé à caresser les siennes. Je l’embrasse tendrement dans le cou à de multiples reprises et appuie de plus en plus mes lèvres sur sa peau douce. Elle frémit. Je sens ses petits tétons durcis contre les miens. Nos lèvres se rejoignent, son bas ventre se colle à mon sexe déjà raide et sa langue entre en lutte avec la mienne. Lorsque nous reprenons notre souffle, elle propose de « continuer ailleurs ». Nous quittons discrètement l’estaminet, paradoxalement vide à cette heure.
Dès que nous arrivons dans sa voiture, son esprit s’échauffe. Elle ôte sa culotte et son soutien-gorge laissant son corps uniquement couvert d’une très courte robe de cotonnade. Lorsqu’elle me sourit l’œil coquin et m’invite « à faire mieux ». Je me sens obligé de me dénuder à demi. Elle démarre sèchement en faisant crisser les pneus sur le gravier. Ces quelques centaines de mètres, parcourus les fesses à l’air, m’excitent violemment de façon visible. Je suis à la fois heureux de m’exhiber et craintif quant aux conséquences du regard des autres. Elle ne perd pas un instant du spectacle et rit de mon émotion. Nous arrivons rapidement près d’une fermette récemment restaurée et y entrons. Je regarde tout autour de moi si mon indécence intéresse quelque spectateur, mais personne ne semble présent.
Au passage de la porte, Katy fait passer sa robe par-dessus sa tête et jette ses chaussures au loin d’un élégant geste de jambe. La voici nue, totalement nue ! Je détaille son anatomie, ses petits pieds, ses jambes fuselées, ses fesses rebondies, son ventre presque plat, ses petits seins légèrement tombants, ses épaules droites, cheveux courts et bruns, ses yeux sombres surmontant un petit nez aquilin et une bouche étroite. J’adore tout chez cette petite femme aux reliefs élégants et bien proportionnés. Je me rappelle l’avoir vue, il y a quelques années bien plus « enveloppée ». Elle se colle à moi, m’embrasse à nouveau. Mon dieu que sa peau est douce ! Puis elle se tourne, se courbe et prend appui des mains sur le dossier d’un canapé. Tout son entrejambes m’est soudain offert bien écarté. Je glisse une main entre ses cuisses et commence entre ses grandes lèvres et ses fesses une longue caresse intrusive d’une main tandis que l’autre commence à s’agiter sur son clitoris. Son sillon ne cesse de s’ouvrir et son bouton de durcir pour m’encourager. Mon sexe raidit de désir. En quelques instants, je la sens prête au plaisir. J’entre en elle et accélère le mouvement de mes doigts. Son vagin est trempé de mouille et ma modeste queue coulisse avec bonheur, entre et sort en rythme, nous amène à l’extase en silence son corps vibrant comme le mien, juste après que je me sois répandu en elle.
Elle s’affaisse doucement en pliant les bras mais continue à m’offrir son dos et ses fesses. Ne sachant pas vraiment ce qu’elle attend je reprends la caresse dans son intimité souillée. Je sens sa pastille frémir à chaque passage de mes doigts. Ses fesses s’écartent plus qu’avant. Je barde mes doigts de nos liqueurs et en entre un puis deux dans son fondement. Un petit cri lui échappe, ses reins se creusent. Je sens mon sexe durcir à nouveau et je le présente à son trou qui progressivement l’avale. J’y vais doucement, elle non, et nous voici à nouveau pleinement accouplés. Mon vit, profondément enfoncé et délicieusement serré, s’agite fermement en elle. Mes couilles claquent sur sa vulve détrempée. Mes mains serrent frénétiquement ses petits seins au risque de les meurtrir. A chacun de mes coups de reins elle est propulsée en avant et nous ahanons de concert. Je sens qu’elle se branle et le plaisir vient violent, bruyant. Nos corps sont secoués de spasmes pendant plusieurs minutes puis se calment. Nous nous laissons glisser au sol, toujours prisonniers l’un de l’autre (je devrais dire l’un dans l’autre) repus et épuisés.
Je suis honoré de me voir accueilli ainsi, autorisé à pénétrer son intimité de si merveilleuse façon. J’ai aimé son cul serré autour de ma bite, son con trempé de cyprine avant qu’il ne se passe quelque chose. J’ai aimé aussi sa manière directe pour m’inviter à fouiller son intimité, son regard coquin qui m’a fait oser m’exhiber aussi facilement. Nul doute que je ne manquerai pas de me soumettre à d’autres regards lubriques, d’offrir à mes partenaires plus que je ne me croyais capable d’offrir à quiconque. Quelque chose s’est passé pendant ce court instant qui a déverrouillé mes envies de précéder les désirs de l’autre. J’aime à croire que ma nudité discrète peut devenir demain une exhibition publique grivoise et sans limites. Qui sait ?
Lorsque nous reprenons conscience Katy, toujours silencieuse, me prend par la main et m’emmène sous la douche. Elle me guide pour que je pratique sa toilette, y compris ses parties intimes. J’apprécie de voir ce violent jet d’eau chasser mes liqueurs de ses organes dilatés. Je résiste à l’envie d’envahir à nouveau tous ses trous et me contente de la caresser toute entière sans, bien sûr, oublier les endroits les plus tendres. Après un court et nécessaire ménage des reliefs de nos frasques, nous nous installons, nus dans le canapé, collés l’un à l’autre. Son petit corps abandonné contre mon flanc m’émeut. Incapables de parler nous prolongeons nos caresses jusqu’en milieu d’après-midi ou elle finit par s’endormir. Je lui laisse un message pour qu’elle sache comment me contacter et je quitte discrètement sa maison à pied, la tête peuplée d’images hautement érotiques.
Le soleil est encore haut dans le ciel et je suis ravi de trouver sur mon chemin l’ombre de la forêt. Un lièvre regagne bruyamment son terrier à mon approche. Je marche longtemps à l’écoute des mille habituels bruissements de ce lieu. Une biche traverse le chemin au loin. Des oiseaux s’envolent dans un fracas de branches et de feuilles. Après une petite heure, deux hommes d’âge mûr apparaissent au détour du sentier. Ils se tiennent amoureusement par la main. L’un est un athlète de taille moyenne, l’autre un petit homme brun maigre à la peau basanée. Son allure me rappelle quelque chose, mais quoi ? Arrivés à ma portée le gringalet m’apostrophe d’un « on ne reconnait plus les amis ? » et il éclate de rire. C’est mon partenaire de la plage naturiste ! Il s’approche et propose « reprenons où nous en sommes restés ». Une main douce se glisse sous mon marcel et commence à me caresser. Une autre, plus calleuse, entre dans mon short et me fait sursauter. Tiens, j’intéresse aussi monsieur muscle ! En un tour de main ils me dénudent entièrement. L’un m’embrasse et pénètre ma bouche tandis que l’autre me caresse le dos et les fesses d’abord tendrement puis de façon de plus en plus intrusive.
Ils se libèrent de leurs oripeaux et m’exposent leurs agréables anatomies. (Il est vrai que je ne perçois la beauté des humains que dans la nudité !) Je suis à peine rassuré de me trouver ainsi exhibé en si nombreuse compagnie. Je n’avais jamais fantasmé cela avant. Pourtant, tout mon être semble vouloir leur faciliter la tâche. Je me tortille lascif, écarte plus que de raison mes fesses et mes lèvres comme dans une invitation à aller plus loin. Je caresse l’un et l’autre, branle leurs queues, introduis mes doigts dans leurs bouches, entre leurs fesses, excite leurs tétons. Constatant ma grande exaltation, le sportif laisse échapper : « Tu avais raison, c’est une bonne salope qui ne demande qu’à être défoncé. Regarde le se tortiller comme une lope. On va se le goinfrer sévère. » Ce disant, il s’étend sur le sol en me faisant tomber sur lui. Loin de me choquer, son vocabulaire offensant m’excite bien plus qu’il ne me rebute. Instinctivement je me mets en 69 puis avale goulument sa large et courte queue. Il fait de même alors que son compagnon, qui a suivi le mouvement, s’applique, genoux au sol, à me détremper la rosette. Je ne suis pas étonné quand je sens sa langue me pénétrer. Mon cerveau en ébullition annihile toute volonté de ma part. Mon corps se tortille et s’écartèle sans cesse davantage à la moindre stimulation. Tout dans ma posture invite à l’outrage et excite mes partenaires au point de leur suggérer d’abuser plus encore. J’exulte bruyamment lorsque la longue et fine queue du maigrichon tâtonne entre mes fesses puis commence à franchir mon anus et à coulisser doucement dans mes boyaux. C’est là ma plus évidente zone érogène qui fait l’objet de tous mes soins tant le plaisir anal est pour moi important. Ainsi pénétré de toute part je commence à bouger au rythme des coups de boutoir de plus en plus violents. J’ai littéralement « le feu au cul ». Pour la deuxième fois de la journée je me sens comblé. Je me sens important pour ces deux hommes comme je l’ai été pour Katy.
Je donne tellement de moi que je finis par déclencher leur jouissance avec un bonheur aussi visible qu’évident. De longs jets de foutre chaud remontent dans mes intestins. Le sportif explose dans ma bouche d’une liqueur au goût si fort et au jet si puissant que je ne peux l’avaler. Elle se répand gluante sur mon menton, mon cou et son ventre. Lorsque j’éjacule, il se retire et disperse consciencieusement ma semence. Nous ne bougeons plus, longuement inertes, délicieusement obscènes et offerts au regard de quiconque emprunte ce chemin. Des bruits de voix lointains me laissent penser que quelqu’un a profité de la vue. Au bout de quelques moments, je sens la queue du sportif durcir à nouveau. Pourtant il se relève nous incitant ainsi à nous mettre debout. La bite qui sort lentement de mon cul me fait hoqueter de plaisir. Nous voici tous les trois dressés. Le maigrichon me saisit par les épaules et me roule une pelle en reconnaissance de mes exploits. Je sens les mains du sportif me saisir, sans nous interrompre, par les hanches et son gros vit heurter ma raie puis entrer laborieusement en moi. Malgré l’évidente lubrification à la bave et au foutre, il peine à me dilater. Pourtant mon corps réagit positivement, mon anus s’enflamme et comble mon cerveau d’endorphines qui mélangent la sensation de me faire exploser le fondement à celle d’une jouissance intense. Il bouge violemment en grognant. Je me sens empli de lui absolument, complétement, intensément, à la folie... Je ne suis plus qu’un antre béant, un « sac à foutre », un objet sexuel conçu pour combler son désir. Le maigrichon, dont la langue n’a pas quitté ma bouche perçoit mes impulsions involontaires et sent mon trouble. Il me branle brutalement jusqu’à je manifeste encore ma félicité. Son ami continue longuement à me besogner. Jambe à demi pliées, je tends mes fesses vers l’arrière pour lui faciliter la tâche. Chaque mouvement force mon sphincter qui se dilate et se rétracte pour mieux enserrer sa bite. Une éternité passe et rien d’autre ne vient que ces délicieux coups de boutoir qui ne cessent de m’enflammer toujours plus. Le mouvement ralentit peu à peu, il sort de moi sans se soulager et je ressens une vive déception. Finalement, ils me lâchent et je m’effondre au sol, fourbu.
Ils se rhabillent rapidement alors que je reste assis par terre, groggy. Le maigrichon me remet mes chaussures, place mes vêtements dans son sac et me propose : « On t’accompagne jusqu’à la sortie de la forêt ! » Je comprends qu’ils veulent continuer à profiter de moi et m’exhiber. J’ai envie de résister et pourtant j’avance devant eux nu, souillé. Je marche bizarrement comme si j’étais encore empalé, reins à demi creusés, fesses presque ouvertes. Après quelques pas, il me semble que je donne l’impression de gigoter du bassin comme une guenon en rut. Nous croisons un couple de promeneurs dont les regards « en-dessous » laissent penser qu’ils se délectent de ma honte plus qu’ils ne blâment. Mes amis de rencontre sont hilares et ne boudent pas leur plaisir. Munis de badines, ils cinglent tous les endroits de mon corps y compris les plus sensibles. Bien évidemment, cela amplifie l’obscénité de ma démarche. J’écarte les jambes en de subtiles contorsions comme si je voulais qu’ils atteignent mon sexe et mon cul, je tends ma poitrine pour exposer mes tétons. Ce mélange de douleur et de plaisir me confine à l’obscénité puisque ma queue reste demi tendue en permanence et mon bas ventre douloureux. Ils se régalent des mots humiliants qu’ils me destinent « pute, conasse, gouape… » en y ajoutant toute une kyrielle de superlatifs plus insultants les uns que les autres. Et pourtant, je ne veux pas que ça finisse, qu’ils s’en aillent. Je veux être leur chose, longtemps… A l’orée du bois, ils me jettent mes vêtements et s’en retournent sans un mot, sans un geste. L’angoisse me saisit et je me sens soudain vide et douloureux. Je m’habille et découvre, dans la poche de mon short, une petite carte de visite… de quoi retrouver un jour ce plaisir… J’espère !
Je garderai longtemps le souvenir de ces moments d’exception ou j’ai expérimenté la jouissance et la honte mêlés, le désir d’une femme et d’un couple d’homos, le plaisir de l’exhib sans limites…
Mon amie vient de se faire servir son premier verre et me semble parfaitement lucide. A mon approche, elle se lève, émue, et balbutie quelques phrases incompréhensibles en venant se lover contre moi. Nous restons ainsi, un long moment, hésitant entre les retrouvailles amicales et quelque chose de plus intime. Elle caresse doucement mon dos d’une main hésitante puis descend progressivement au creux de mes reins. Lorsqu’elle atteint mes fesses, la caresse est de plus en plus sexualisée et je me sens autorisé à caresser les siennes. Je l’embrasse tendrement dans le cou à de multiples reprises et appuie de plus en plus mes lèvres sur sa peau douce. Elle frémit. Je sens ses petits tétons durcis contre les miens. Nos lèvres se rejoignent, son bas ventre se colle à mon sexe déjà raide et sa langue entre en lutte avec la mienne. Lorsque nous reprenons notre souffle, elle propose de « continuer ailleurs ». Nous quittons discrètement l’estaminet, paradoxalement vide à cette heure.
Dès que nous arrivons dans sa voiture, son esprit s’échauffe. Elle ôte sa culotte et son soutien-gorge laissant son corps uniquement couvert d’une très courte robe de cotonnade. Lorsqu’elle me sourit l’œil coquin et m’invite « à faire mieux ». Je me sens obligé de me dénuder à demi. Elle démarre sèchement en faisant crisser les pneus sur le gravier. Ces quelques centaines de mètres, parcourus les fesses à l’air, m’excitent violemment de façon visible. Je suis à la fois heureux de m’exhiber et craintif quant aux conséquences du regard des autres. Elle ne perd pas un instant du spectacle et rit de mon émotion. Nous arrivons rapidement près d’une fermette récemment restaurée et y entrons. Je regarde tout autour de moi si mon indécence intéresse quelque spectateur, mais personne ne semble présent.
Au passage de la porte, Katy fait passer sa robe par-dessus sa tête et jette ses chaussures au loin d’un élégant geste de jambe. La voici nue, totalement nue ! Je détaille son anatomie, ses petits pieds, ses jambes fuselées, ses fesses rebondies, son ventre presque plat, ses petits seins légèrement tombants, ses épaules droites, cheveux courts et bruns, ses yeux sombres surmontant un petit nez aquilin et une bouche étroite. J’adore tout chez cette petite femme aux reliefs élégants et bien proportionnés. Je me rappelle l’avoir vue, il y a quelques années bien plus « enveloppée ». Elle se colle à moi, m’embrasse à nouveau. Mon dieu que sa peau est douce ! Puis elle se tourne, se courbe et prend appui des mains sur le dossier d’un canapé. Tout son entrejambes m’est soudain offert bien écarté. Je glisse une main entre ses cuisses et commence entre ses grandes lèvres et ses fesses une longue caresse intrusive d’une main tandis que l’autre commence à s’agiter sur son clitoris. Son sillon ne cesse de s’ouvrir et son bouton de durcir pour m’encourager. Mon sexe raidit de désir. En quelques instants, je la sens prête au plaisir. J’entre en elle et accélère le mouvement de mes doigts. Son vagin est trempé de mouille et ma modeste queue coulisse avec bonheur, entre et sort en rythme, nous amène à l’extase en silence son corps vibrant comme le mien, juste après que je me sois répandu en elle.
Elle s’affaisse doucement en pliant les bras mais continue à m’offrir son dos et ses fesses. Ne sachant pas vraiment ce qu’elle attend je reprends la caresse dans son intimité souillée. Je sens sa pastille frémir à chaque passage de mes doigts. Ses fesses s’écartent plus qu’avant. Je barde mes doigts de nos liqueurs et en entre un puis deux dans son fondement. Un petit cri lui échappe, ses reins se creusent. Je sens mon sexe durcir à nouveau et je le présente à son trou qui progressivement l’avale. J’y vais doucement, elle non, et nous voici à nouveau pleinement accouplés. Mon vit, profondément enfoncé et délicieusement serré, s’agite fermement en elle. Mes couilles claquent sur sa vulve détrempée. Mes mains serrent frénétiquement ses petits seins au risque de les meurtrir. A chacun de mes coups de reins elle est propulsée en avant et nous ahanons de concert. Je sens qu’elle se branle et le plaisir vient violent, bruyant. Nos corps sont secoués de spasmes pendant plusieurs minutes puis se calment. Nous nous laissons glisser au sol, toujours prisonniers l’un de l’autre (je devrais dire l’un dans l’autre) repus et épuisés.
Je suis honoré de me voir accueilli ainsi, autorisé à pénétrer son intimité de si merveilleuse façon. J’ai aimé son cul serré autour de ma bite, son con trempé de cyprine avant qu’il ne se passe quelque chose. J’ai aimé aussi sa manière directe pour m’inviter à fouiller son intimité, son regard coquin qui m’a fait oser m’exhiber aussi facilement. Nul doute que je ne manquerai pas de me soumettre à d’autres regards lubriques, d’offrir à mes partenaires plus que je ne me croyais capable d’offrir à quiconque. Quelque chose s’est passé pendant ce court instant qui a déverrouillé mes envies de précéder les désirs de l’autre. J’aime à croire que ma nudité discrète peut devenir demain une exhibition publique grivoise et sans limites. Qui sait ?
Lorsque nous reprenons conscience Katy, toujours silencieuse, me prend par la main et m’emmène sous la douche. Elle me guide pour que je pratique sa toilette, y compris ses parties intimes. J’apprécie de voir ce violent jet d’eau chasser mes liqueurs de ses organes dilatés. Je résiste à l’envie d’envahir à nouveau tous ses trous et me contente de la caresser toute entière sans, bien sûr, oublier les endroits les plus tendres. Après un court et nécessaire ménage des reliefs de nos frasques, nous nous installons, nus dans le canapé, collés l’un à l’autre. Son petit corps abandonné contre mon flanc m’émeut. Incapables de parler nous prolongeons nos caresses jusqu’en milieu d’après-midi ou elle finit par s’endormir. Je lui laisse un message pour qu’elle sache comment me contacter et je quitte discrètement sa maison à pied, la tête peuplée d’images hautement érotiques.
Le soleil est encore haut dans le ciel et je suis ravi de trouver sur mon chemin l’ombre de la forêt. Un lièvre regagne bruyamment son terrier à mon approche. Je marche longtemps à l’écoute des mille habituels bruissements de ce lieu. Une biche traverse le chemin au loin. Des oiseaux s’envolent dans un fracas de branches et de feuilles. Après une petite heure, deux hommes d’âge mûr apparaissent au détour du sentier. Ils se tiennent amoureusement par la main. L’un est un athlète de taille moyenne, l’autre un petit homme brun maigre à la peau basanée. Son allure me rappelle quelque chose, mais quoi ? Arrivés à ma portée le gringalet m’apostrophe d’un « on ne reconnait plus les amis ? » et il éclate de rire. C’est mon partenaire de la plage naturiste ! Il s’approche et propose « reprenons où nous en sommes restés ». Une main douce se glisse sous mon marcel et commence à me caresser. Une autre, plus calleuse, entre dans mon short et me fait sursauter. Tiens, j’intéresse aussi monsieur muscle ! En un tour de main ils me dénudent entièrement. L’un m’embrasse et pénètre ma bouche tandis que l’autre me caresse le dos et les fesses d’abord tendrement puis de façon de plus en plus intrusive.
Ils se libèrent de leurs oripeaux et m’exposent leurs agréables anatomies. (Il est vrai que je ne perçois la beauté des humains que dans la nudité !) Je suis à peine rassuré de me trouver ainsi exhibé en si nombreuse compagnie. Je n’avais jamais fantasmé cela avant. Pourtant, tout mon être semble vouloir leur faciliter la tâche. Je me tortille lascif, écarte plus que de raison mes fesses et mes lèvres comme dans une invitation à aller plus loin. Je caresse l’un et l’autre, branle leurs queues, introduis mes doigts dans leurs bouches, entre leurs fesses, excite leurs tétons. Constatant ma grande exaltation, le sportif laisse échapper : « Tu avais raison, c’est une bonne salope qui ne demande qu’à être défoncé. Regarde le se tortiller comme une lope. On va se le goinfrer sévère. » Ce disant, il s’étend sur le sol en me faisant tomber sur lui. Loin de me choquer, son vocabulaire offensant m’excite bien plus qu’il ne me rebute. Instinctivement je me mets en 69 puis avale goulument sa large et courte queue. Il fait de même alors que son compagnon, qui a suivi le mouvement, s’applique, genoux au sol, à me détremper la rosette. Je ne suis pas étonné quand je sens sa langue me pénétrer. Mon cerveau en ébullition annihile toute volonté de ma part. Mon corps se tortille et s’écartèle sans cesse davantage à la moindre stimulation. Tout dans ma posture invite à l’outrage et excite mes partenaires au point de leur suggérer d’abuser plus encore. J’exulte bruyamment lorsque la longue et fine queue du maigrichon tâtonne entre mes fesses puis commence à franchir mon anus et à coulisser doucement dans mes boyaux. C’est là ma plus évidente zone érogène qui fait l’objet de tous mes soins tant le plaisir anal est pour moi important. Ainsi pénétré de toute part je commence à bouger au rythme des coups de boutoir de plus en plus violents. J’ai littéralement « le feu au cul ». Pour la deuxième fois de la journée je me sens comblé. Je me sens important pour ces deux hommes comme je l’ai été pour Katy.
Je donne tellement de moi que je finis par déclencher leur jouissance avec un bonheur aussi visible qu’évident. De longs jets de foutre chaud remontent dans mes intestins. Le sportif explose dans ma bouche d’une liqueur au goût si fort et au jet si puissant que je ne peux l’avaler. Elle se répand gluante sur mon menton, mon cou et son ventre. Lorsque j’éjacule, il se retire et disperse consciencieusement ma semence. Nous ne bougeons plus, longuement inertes, délicieusement obscènes et offerts au regard de quiconque emprunte ce chemin. Des bruits de voix lointains me laissent penser que quelqu’un a profité de la vue. Au bout de quelques moments, je sens la queue du sportif durcir à nouveau. Pourtant il se relève nous incitant ainsi à nous mettre debout. La bite qui sort lentement de mon cul me fait hoqueter de plaisir. Nous voici tous les trois dressés. Le maigrichon me saisit par les épaules et me roule une pelle en reconnaissance de mes exploits. Je sens les mains du sportif me saisir, sans nous interrompre, par les hanches et son gros vit heurter ma raie puis entrer laborieusement en moi. Malgré l’évidente lubrification à la bave et au foutre, il peine à me dilater. Pourtant mon corps réagit positivement, mon anus s’enflamme et comble mon cerveau d’endorphines qui mélangent la sensation de me faire exploser le fondement à celle d’une jouissance intense. Il bouge violemment en grognant. Je me sens empli de lui absolument, complétement, intensément, à la folie... Je ne suis plus qu’un antre béant, un « sac à foutre », un objet sexuel conçu pour combler son désir. Le maigrichon, dont la langue n’a pas quitté ma bouche perçoit mes impulsions involontaires et sent mon trouble. Il me branle brutalement jusqu’à je manifeste encore ma félicité. Son ami continue longuement à me besogner. Jambe à demi pliées, je tends mes fesses vers l’arrière pour lui faciliter la tâche. Chaque mouvement force mon sphincter qui se dilate et se rétracte pour mieux enserrer sa bite. Une éternité passe et rien d’autre ne vient que ces délicieux coups de boutoir qui ne cessent de m’enflammer toujours plus. Le mouvement ralentit peu à peu, il sort de moi sans se soulager et je ressens une vive déception. Finalement, ils me lâchent et je m’effondre au sol, fourbu.
Ils se rhabillent rapidement alors que je reste assis par terre, groggy. Le maigrichon me remet mes chaussures, place mes vêtements dans son sac et me propose : « On t’accompagne jusqu’à la sortie de la forêt ! » Je comprends qu’ils veulent continuer à profiter de moi et m’exhiber. J’ai envie de résister et pourtant j’avance devant eux nu, souillé. Je marche bizarrement comme si j’étais encore empalé, reins à demi creusés, fesses presque ouvertes. Après quelques pas, il me semble que je donne l’impression de gigoter du bassin comme une guenon en rut. Nous croisons un couple de promeneurs dont les regards « en-dessous » laissent penser qu’ils se délectent de ma honte plus qu’ils ne blâment. Mes amis de rencontre sont hilares et ne boudent pas leur plaisir. Munis de badines, ils cinglent tous les endroits de mon corps y compris les plus sensibles. Bien évidemment, cela amplifie l’obscénité de ma démarche. J’écarte les jambes en de subtiles contorsions comme si je voulais qu’ils atteignent mon sexe et mon cul, je tends ma poitrine pour exposer mes tétons. Ce mélange de douleur et de plaisir me confine à l’obscénité puisque ma queue reste demi tendue en permanence et mon bas ventre douloureux. Ils se régalent des mots humiliants qu’ils me destinent « pute, conasse, gouape… » en y ajoutant toute une kyrielle de superlatifs plus insultants les uns que les autres. Et pourtant, je ne veux pas que ça finisse, qu’ils s’en aillent. Je veux être leur chose, longtemps… A l’orée du bois, ils me jettent mes vêtements et s’en retournent sans un mot, sans un geste. L’angoisse me saisit et je me sens soudain vide et douloureux. Je m’habille et découvre, dans la poche de mon short, une petite carte de visite… de quoi retrouver un jour ce plaisir… J’espère !
Je garderai longtemps le souvenir de ces moments d’exception ou j’ai expérimenté la jouissance et la honte mêlés, le désir d’une femme et d’un couple d’homos, le plaisir de l’exhib sans limites…
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