Une journée d'accouchement remplie d'orgasmes
Récit érotique écrit par Smilee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2024 dans la catégorie Plus on est
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Une journée d'accouchement remplie d'orgasmes
Nina est enceinte de notre premier enfant. C’est un garçon. Nous n’avons pas encore réussi à lui trouver un prénom. Nous nous disons que nous saurons en le voyant. Le début de la grossesse a été très difficile. Beaucoup de fatigue et de nausées. Petit à petit ça a été mieux. Mais bizarrement et surtout de façon regrettable nous n’avons pas beaucoup profité de cet état de grâce, sexuellement parlant. C’est arrivé proche de la fin, que les hormones de Nina se sont réveillées. De mon côté je la trouve plus belle que jamais. J’aime son ventre rebondi. J’aime ses seins qui ont pris du volume. J’aime son visage radieux de femme qui s’apprête à donner la vie. J’aime ses fesses qui se retrouvent comprimées dans ses sous-vêtements même si en ce moment elle préfère porter des culottes confortables plutôt que des strings. Bref je l’aime elle toute entière.
Nous arrivons au terme de la grossesse. En ce dimanche matin je me réveille auprès de ma belle. Elle est confortablement installée contre son coussin de grossesse. Elle l’emmène partout. J’en suis presque jaloux surtout quand elle le serre fort entre ses cuisses comme en ce moment. Après je ne peux pas trop râler. Cela fait maintenant un peu plus d’un mois que j’ai du mal à la pénétrer. J’ai toujours autant de plaisir à l’embrasser, la caresser, la lécher et même la doigter. Mais j’ai ce blocage qu’ont certains hommes quand la fin de la grossesse approche. Je crains de faire mal au bébé en lui faisant l’amour. Je sais que c’est physiquement impossible mais le blocage est psychologique. Pourtant c’est maintenant qu’elle en meure d’envie. Nous l’avons bien fait quelques fois mais je crains toujours de faire mal, que ce soit à elle ou au bébé, donc je ne finis pas. Pourtant en la regardant se réveiller, nue contre son coussin, je bande dur. Je caresse tendrement son corps. Elle ouvre les yeux et me sourit. Je l’embrasse. Elle sent la protubérance contre sa cuisse et passe sa main dessus. Je lui demande si elle veut que je lui prépare son petit déjeuner. Elle me dicte sa commande : myrtilles, tartine de confiture et jus d’orange frais pressé. Je descends lui préparer ce qu’elle veut. Tiens si je lui cueillais une fleur du jardin pour agrémenter son plateau. Je sors en tenue d’Adam dans le jardin pour lui cueillir une rose. Le soleil du matin inonde mon corps nu de sa chaleur. A nouveau je bande de ce moment de bien-être. Je rentre toutefois rapidement avant qu’une de mes voisines me voit.
Je monte le plateau. Nina est surprise de me voir toujours en érection. Cela l’émoustille. Elle se redresse contre le mur et pose le plateau en équilibre sur son énorme ventre. Elle mange ses tartines alors que je la regarde avec envie. Sa position me fait apercevoir son abricot au milieu de sa toison très fournie, vu qu’avec la sensibilité de sa grossesse, l’épilation n’est pas possible pour elle. Mais cela ne me dérange pas trop en fait. J’ai même envie d’y plonger ma langue. Nina le voit dans mes yeux. Elle écarte un peu plus les cuisses. Je prends ça comme une invitation. Je me glisse entre ses jambes et commence à embrasser son intimité. Je caresse du bout de la langue ses lèvres plutôt sèches. Mais je vais tâcher de les humidifier. Je glisse ma langue alors que Nina mange ses myrtilles. Je titille son clitoris puis ajoute un doigt à mes caresses. La cyprine commence à couler le long de ses lèvres. Je me délecte à faire ce plaisir de fin de grossesse à la femme de ma vie, à celle qui porte mon enfant. Je m’efforce de lui procurer le maximum de plaisir par ma langue et par mes doigts. Nina semble apprécier son traitement. Elle pose le plateau pour s’installer plus confortablement. Je continue mon cunnilingus jusqu’à ce qu’elle explose. Elle reste là à reprendre ses esprits. Je regarde mon ange avec tendresse et amour….
Après ces tendres moments j’aide Nina à se lever puis attrape un caleçon. Nina me demande si je peux rester nu pour le plaisir de ses yeux. Comment refuser cela à celle qui dans quelques heures ou jours accouchera du fruit de notre amour. Je m’affaire à préparer tout pour notre départ puis notre retour sous les yeux coquins de Nina. Dès que je passe près d’elle, elle en profite pour poser ses mains sur mes fesses ou mes cuisses ce qui ne manque pas de réveiller mon érection à chaque fois. Cela l'amuse beaucoup. Et moi cela m’excite pas mal, je dois bien le dire.
Puis dans la matinée Nina ressent les premières contractions. Celles-ci deviennent de plus en plus fortes. Elle me demande de la conduire à la maternité. J’appelle sa copine Sandra qui doit s’occuper de nos animaux le temps de notre absence. Je charge la valise dans la voiture et nous partons. Vingt minutes plus tard nous arrivons à la maternité. Nous allons voir les sages femmes qui examinent Nina. Ce sont les premières contractions mais la dilatation n’est pas suffisante. Elles nous renvoient donc à la maison. De retour à la maison Sandra est là.
Sandra est une belle femme plutôt grande, type méditerranéenne, avec beaucoup de charme. Toutefois elle a un défaut rédhibitoire pour moi : elle est mince comme un clou. Juste un peu de poitrine comme seul relief. Aujourd’hui elle porte une robe noire plutôt courte qui ne lui arrive même pas à mi cuisses. Pendant que je prépare à manger, Sandra prépare de la pâte à gaufres pour le dessert. Nina est montée se changer. Elle revient seulement vêtue d’un poncho. Celui-ci est très ouvert sur les côtés, et avec son gros ventre, ses ouvertures montrent énormément son corps notamment ses cuisses. J’ai une érection rien qu’en la regardant marcher. Nina s’excuse de sa tenue légère auprès de Sandra mais lui dit que c’était soit ça, soit toute nue. Sandra ne semble pas perturbée par la situation et continue sa préparation. Nina vient se coller à moi et passe ses mains sous mon t-shirt. Mon short est au bord de l’explosion. Nina pose sa main sur la bosse, satisfaite de son effet. Je finis de cuisiner et nous nous préparons à passer à table. Nina se penche pour attraper le sel mais alors que je m’apprête à l’engueuler de ce mouvement inopportun, elle décide de remonter le bas de son poncho sur son dos dévoilant ses grosses fesses. Cela me stoppe immédiatement. Elle repasse à côté de moi en passant sa main sur mon sexe toujours dressé. Elle me chauffe….
Le repas se passe bien, même si Nina profite de moments où Sandra n’est pas là, ou ne regarde pas, pour me dévoiler un sein ou autres visions excitantes. A la fin du repas, Nina monte se reposer sur le lit. Je range la cuisine alors que Sandra attaque les gaufres. Une fois les premières gaufres sorties, je monte demander à Nina comment elle souhaite sa gaufre. Elle est allongée sur le lit, toujours en poncho. Elle me répond qu’elle veut du chocolat, de la chantilly… et un orgasme tout en écartant les cuisses me dévoilant son antre de plaisir. J’avale difficilement ma salive et descends donner la commande à Sandra. J’arrive dans la cuisine et là j’ai une vision extraordinaire. Sandra mange sa gaufre de façon très… particulière. Elle est sur la pointe des pieds et penchée en avant au-dessus du meuble. Cela remonte sa robe laissant apparaître le bas de son fessier. Par la nudité de ses lobes je comprends qu’elle porte un string. Ou rien peut-être. Elle croque dans sa gaufre au Nutella avec entrain. Elle en a partout sur le visage. Décidément elles se sont passées le mot pour m’allumer. Autant je n’ai jamais été attiré par Sandra, autant là je n’ai qu’une envie, c’est de lui écarter son string et de la prendre là, par derrière…. Elle se tourne vers moi, la bouche pleine de gaufre, les lèvres pleines de chocolat et même de la chantilly sur le nez. Mais à ce moment c’est un autre type de crème que je voudrais lui mettre sur le visage…. Sandra s’excuse de manger comme une gloutonne. Je ne réponds pas pour ne pas faire de sous-entendus mal placés et lui donne la commande de Nina. Elle la prépare alors que j’essaie de contrôler mon érection. Elle finit de la préparer. Je lui dis que je la monte à Nina et que je vais rester un peu avec elle le temps qu’elle la mange.
Je monte l’escalier et arrive dans la chambre. Nina a enlevé son poncho et attend, cuisses ouvertes, son double dessert. Je lui donne l’assiette et vais pour m’installer entre ses jambes. Elle m’interrompt et me demande de me déshabiller avant. Je m’exécute et prends contact avec son intimité. Les effluves qui s’y échappent sont plutôt fortes. Je m’attelle tout de même à lécher son abricot avec amour. Tout d’abord je fais le tour de ses lèvres de ma langue agile. Puis le bout de ma langue entre en contact avec ses muqueuses légèrement humides. Je remonte sur son clitoris que j’embrasse amoureusement. Nina savoure ce savoureux moment qu’il soit gustatif ou sensoriel. La stimulation de son clitoris l’excite. La cyprine commence à perler doucement. Je descends m’abreuver de ce délicieux nectar avant de retourner à ma fellation clitoridienne. Je la lèche avec un amour débordant. Cette femme qui s’apprête à donner la vie est un ange venu du ciel. Un premier doigt pénètre délicatement ses lèvres gonflées. Il récupère un peu de ses sécrétions pour humidifier le reste de sa caverne aux plaisirs. Puis, tout en continuant d’exercer une pression avec ma langue sur son clitoris, mon doigt explore cette grotte. Elle est déjà humide à souhait. Un deuxième doigt rejoint bientôt le premier, élargissant avec tendresse son vagin. Je relève la tête vers Nina. Elle mange sa gaufre et me regarde avec un regard tendre mais coquin aussi. Elle semble apprécier le moment.
Je repars dans mes explorations buccales et tactiles. Je tâche de percevoir les réactions de Nina, malgré sa bouche pleine, pour lui procurer un maximum de plaisir. Cela semble être le cas vu l’abondante cyprine qui entoure mes doigts. Dommage que son magnifique, mais énorme ventre, m’empêche de la regarder tout en l’embrassant. J’aime voir ses expressions de visage pendant que je lui procure du plaisir. Je me concentre alors sur sa respiration pour saisir ses émotions. Je crochète mes doigts à la recherche de son point G. Ah, vu sa réaction je pense que je m’en approche. J’insiste dans cette zone érogène avec un peu plus de rythme et de vigueur. Nina lâche enfin un premier gémissement non contrôlé. Je suis enfin arrivé à percer sa barrière. Nina pose sa gaufre. Je continue ma pénétration orgasmique d’une main et de l’autre attrape sa main. Nina gémit de plus en plus fort. Je lui exerce une pression sur la main pour lui faire comprendre que nous ne sommes pas tous seuls. Mais cela ne change rien. Je retire mes lèvres alors pour lui dire chut. J’ai droit à un « bouffe moi » très autoritaire comme seule réponse. J’obéis et retourne à mes palpations linguales et digitales. La respiration de Nina s’accélère. Ses sécrétions aussi. Mais cela ne me freine pas. J’aime la sentir monter en pression sous mon effet. Et elle monte bien à en croire ses cris de plus en plus forts. Je suis quelque peu gêné d’imposer cela à Sandra mais je dois combler les pulsions d’une femme enceinte. Je redouble d’efforts et arrive à déclencher un nouvel orgasme en Nina. Je finis de la caresser en douceur et remonte à sa hauteur. Mon sexe me fait mal, tellement il est gorgé et j’espère bien avoir un coup de main ou de langue pour me soulager. Mais à la place j’ai droit à un tournage de dos me signifiant de la laisser tranquille.
Je me rhabille comme je peux et passe dans la salle de bain pour m’essuyer le visage. Je descends retrouver Sandra qui me regarde avec un sourire un peu gêné. J’engage la conversation :
- Désolé d’avoir dû t’imposer ça. Pulsion de femme enceinte
- Ne t’inquiète pas ce n’est pas grave
- Je suis quand même un peu gêné pour toi
- Ça va. C’est plus…
J’attends la suite de la phrase qui tarde à arriver. Sandra semble troublée. Elle finit par lâcher :
- C’est que ça fait plusieurs mois que je suis seule alors entendre ce genre de bruits réveille certains sens
- Je comprends. Cela fait moi-même plusieurs semaines donc je suis aussi en manque, dis-je alors que mon sexe est toujours au garde à vous
- Ah bon Nina ne veut plus le faire ?
- Non c’est moi qui ai du mal. Pourtant je la trouve plus belle que jamais mais j’ai un blocage. Alors je me dévoue pour son plaisir
- Elle en a de la chance, dit Sandra en croisant les jambes
Ce mouvement laisse apparaître un bout de tissu noir sur son entrejambe. Elle porte donc un string. Dans cette position j’ai la vue sur toute la longueur de ses menues cuisses. Sa morphologie ne m’attire vraiment pas mais dans l’état d’excitation dans lequel je suis, mon sexe réagit tout de même à cette vision. D’ailleurs je vois les yeux de Sandra bloqués sur la protubérance qui déforme mon short. Je crois que j’aurais dû mettre un caleçon. Sandra se mord les lèvres en me regardant. A ce moment-là je rêve qu’elle ouvre son immense bouche et m’engouffre en entier. Il faut que je me ressaisisse….
Je pars dans la cuisine pour faire redescendre un peu la tension. Je range un peu mais Sandra me rejoint. Elle pose son pied en équerre sur le meuble derrière elle. Cela remonte un peu plus sa robe déjà courte. Maintenant elle s’arrête juste en haut des cuisses. Inexorablement mes yeux se posent sur ces cuisses bronzées et réenclenche mon érection. J’ai l’impression que ça l’amuse. J’essaie de rester concentré sur mes taches. Puis Sandra me demande :
- Je peux utiliser la piscine pendant votre absence
- Oui bien sûr
- Est-ce que j’ai quelque chose de spécial à faire ?
- Non elle est prête je me suis encore baigné hier. Tu peux y aller dès maintenant si tu veux
- Je ne dis pas non
- Tu as besoin d’une serviette ?
- Je veux bien je n’ai rien pris en partant. Ça ne vous dérange pas si je me baigne nue ?
- Non quand je suis seul je ne mets jamais de maillot. Tâche juste d’être discrète si les voisins sont sur leur terrasse. Je ne voudrais pas que leurs enfants soient choqués
- Ça marche
- Je vais te chercher la serviette
Je pars dans la buanderie et prends une serviette de plage. Je lui donne puis retourne à mes occupations. Je regarde par la porte fenêtre et vois Sandra au bord de la piscine. Elle regarde sur la terrasse des voisins pour s’assurer qu’ils ne sont pas là et attrape sa robe par le bas. Elle l’enlève par la tête. Elle me tourne le dos et je peux donc voir ses fesses habillées d’un string noir. Cette vision confirme bien ce que je pensais : je ne suis vraiment pas attiré par les femmes minces. Le string qu’elle porte est comme posée sur une table. Pourtant je trouve que l’invention du string est une bénédiction des dieux. Il permet de mettre en valeurs les formes divines des femmes. J’aime les voir entrer entre de beaux globes rebondis accentuant les magnifiques courbes des fessiers. C’est le meilleur moyen de me faire perdre la tête. Mais là, c’est plat, sans relief, sans intérêt. Sandra enlève ce petit bout de tissu dévoilant un fessier pas plus intéressant. Elle se retourne pour prendre la douche avant de rentrer dans la piscine. Je peux étudier son corps nu. Sa poitrine est un peu plus grosse que ce que j’aurais pensé même si c’est très loin des beaux seins de Nina. Elle a de tous petits mamelons où trônent des tétons bien pointus. Mais la plus grande surprise est qu’elle n’a pas un poil sur le maillot. Bref ce n’est vraiment pas une femme pour moi. Elle plonge dans la piscine et je décide de remonter retrouver Nina.
Malgré mon degré d’excitation particulièrement élevé aujourd’hui, la vision de Sandra en string puis nue ne m’a pas émoustillé. En revanche à peine je rentre dans la chambre mon short explose de nouveau. Nina est allongée sur le lit, entièrement nue. Ses grosses fesses sont absolument fabuleuses. Des montagnes qui appellent au plaisir. Je me déshabille et m’allonge contre elle. Mon sexe dressé prend parfaitement position entre ses fesses. Je la prends dans mes bras avec tendresse. Mais ma tête pense à cette journée et l’excitation reprend de plus belle. Je frotte mon bassin contre celui de Nina ce qui branle discrètement mon pénis. La sensation est douce. Mon gland s’humidifie rapidement. Mon prépuce commence à coulisser lentement. J’ai envie de jouir contre ses monts voluptueux. Nina doit le sentir car elle se réveille et pose sa main dessus. Elle se retrouve les doigts pleins de liquide pré-séminal. Elle se retourne et s’essuie sur ma cuisse en me disant :
- Qu’est ce qui te met dans cet état ?
- Toi. Ton superbe corps.
- Avec mon gros ventre
- Oh que oui. Ton ventre, tes fesses, tes mains, tes seins, ta bouche, tout…
- Surtout si elles te caressent me dit-elle en posant sa main sur la base de mon sexe
- Je rêve de ça
- Tant que ça ? me demande t’elle en continuant une douce masturbation
- Tu n’imagines même pas à quel point
- En tout cas elle est bien dure sous mes doigts ajoute-t-elle en continuant de me caresser
Je ferme les yeux pour profiter de ce contact tant espéré aujourd’hui. Ma main se pose sur sa peau. D’abord son ventre. Puis inexorablement ma main descend sur son vagin. Il est humide sans même mon intervention. Je caresse son clitoris déjà sensible. Nina soupire puis me dit :
- J'aime tes mains…
- Elles sont à ton service
- Et j’aime ce qu’elles me font
- Tant mieux car elles pourraient faire ça jusqu’à la nuit des temps
- Pénètre moi…
- Avec plaisir lui dis-je en entrant deux doigts en elle
- Pas avec tes doigts, je veux sentir ton sexe en moi
Je ne peux décemment pas lui refuser. Je me relève alors pour me préparer à lui faire l’amour. Je respire un bon coup. Nina sent que je tergiverse et pour m’aider, attrape mon sexe et l’engouffre dans sa bouche. Elle aussi fournit un effort car cela fait quelque temps qu’elle ne voulait plus faire de fellation. Elle prend mon gland en entier dans sa bouche. Quelle douceur. Puis elle décalotte mon gland avec sa bouche puis lèche mon gland turgescent. Que c’est bon…. J’apprécie ce moment puis me retire avant de jouir dans sa bouche. Je me place entre ses jambes et dirige mon sexe vers le sien. Je me positionne devant. Je suis crispé comme si c’était la première fois. Pourtant c’est une action que nous avons reproduit des milliers de fois. Mais aujourd’hui, avec ce ventre énorme, prêt à donner la vie, la sensation est différente. Je me plonge dans les yeux de Nina, implorant une pénétration libératrice…
Je prends ma respiration et entre en elle. Mon pénis est comme aspiré par ce puit d’amour et se retrouve rapidement au fond. J’exécute de petits mouvements de peur de lui faire mal. Mais Nina me somme de la prendre plus fort. J’accélère donc mes coups de rein. Je vois son corps valser notamment ses seins. Je suis quand même dans la retenue. Mais Nina m’invective de ne pas la ménager. Elle veut me sentir dans toute ma virilité. Je saisis ses hanches et lui tape dedans avec vigueur. Elle crie sans ménagement. Heureusement que Sandra est dehors. Puis Nina me dit qu’elle va bientôt jouir. Ça tombe bien moi aussi. Mais elle me demande de ne pas jouir en elle. Dommage. Je me concentre alors pour lui faire atteindre l’orgasme. Ce qui suit rapidement dans un cri roque. Puis je reprends mes mouvements pour me finir moi, sachant que je suis au bord de l’explosion tant attendue depuis plusieurs semaines maintenant. Nina crie toujours. Mais ce ne sont plus les mêmes cris. Je lui demande :
- Ça va mon cœur
- L’orgasme a été puissant mais je continue à ressentir des contractions
- Des contractions dues à l’orgasme ou à la grossesse ?
- La grossesse j’ai l’impression. Ah encore une
- Tu veux que nous allions à la maternité ?
- Et toi tu n’as pas fini !
- Tant pis pour moi. Le plus important c’est toi aujourd’hui
Je l’aide à se lever et enfiler sa culotte et sa robe. Puis je m’habille malgré mon érection toujours à son paroxysme. Nous descendons l’escalier et je sors dire à Sandra que nous partons de nouveau à l’hôpital. Elle nage toujours nue dans la piscine. Je suis tellement dans le speed du départ que je m’approche d’elle sans me préoccuper de sa nudité. Je lui signale que nous partons et retourne avec Nina. Arrivés à la maternité une sage-femme examine Nina.
- Votre col est plus dilaté que ce matin mais pas encore suffisamment. Toutefois vous pouvez vous installer dans une pièce de préparation.
- Celle avec la baignoire est disponible ?
- Oui mais dans ce cas-là ce n’est pas moi qui vous accompagnerais mais ma collègue Nelly
- Pas de problème j’aimerais finir la préparation dans l’eau dit Nina
Nous allons donc dans la salle de préparation. Je sors les compilations de musique que j’ai préparé pour Nina. Je lance la première puis je l’aide à s’installer sur le lit. Je sors aussi les classeurs avec les massages à faire pour soulager la douleur ainsi que tout son attirail. La sage-femme arrive. Il s’agit d’une femme d’une quarantaine d’années, particulièrement repoussante. Elle a des boutons et grains de beauté partout sur le visage. Son corps n’est pas du tout harmonieux. On dirait une sorcière en blouse blanche. Elle semble avoir des seins en gants de toilette. Je n’imagine même pas son vagin. Bref je ne risque pas de fantasmer sur elle. Elle prend le dossier de Nina et dit :
- Bonjour. Je m’appelle Nelly. C’est moi qui vais vous accompagner pendant cet accouchement. Je vois que vous êtes déjà venue deux fois aujourd’hui. Comment étaient vos contractions ?
- Mes contractions faisaient suite… Nina marque un temps d’arrêt
- Vous devez tout me dire si vous voulez que je vous aide du mieux possible
- Les contractions faisaient suite à un orgasme en fait
- Les deux fois ? demande Nelly
- Oui.
- Avec pénétration ?
- Non le premier c’était sans. Le deuxième était pendant un rapport… mais faisait suite à un autre orgasme un peu plus tôt sans pénétration
- Vous avez eu combien d’orgasmes aujourd’hui ?
- Trois. J’ai lu que cela aidait
- C’est vrai que ça peut aider
- Et j’ai la chance d’avoir un mari dévoué… et doué
- Ça c’est sûr, vous avez de la chance, lâche Nelly avec dépit.
Cela doit faire un moment qu’elle n’a pas eu de tendresse donc encore moins de plaisir corporel. Nelly nous explique comment va se dérouler la préparation. Elle détaille les étapes et ce que chacun doit faire. Elle est très professionnelle. Elle reprend :
- Je vois que vous avez choisi d’accoucher sans péridurale. Êtes-vous bien sûre ? C’est le moment de changer d’avis. Après ce sera trop tard
- Je suis sûre de moi. Je ne veux pas être embuée pour faire la rencontre de mon fils
- Très bien je vous laisse vous installer
- Une dernière chose, dit Nina. Qui doit rentrer dans la salle de préparation ?
- Normalement que moi. Et s’il y a des complications le gynécologue. Pourquoi ?
- Cela vous dérange si je fais la préparation nue ?
- Non, je vous verrai nue quoiqu’il arrive
- Merci
- Je vous laisse. A tout à l’heure
Nelly quitte la salle. Je continue de mettre en place la pièce selon les désirs de Nina. Puis je l’aide à se déshabiller. Je prends l’amour de ma vie dans mes bras. Nina me demande :
- J’aimerais faire un peau à peau.
- Bien sûr dis-je en enlevant mon t-shirt pour coller mon corps au sien
- C’est ton corps tout entier que je veux sentir contre le mien
- Et si Nelly revient ?
- Nous lui avons demandé non ?
- Pour toi oui. Pas pour moi
- Ce n’est pas grave. En plus il y a de grandes chances que cela l’excite
- Ça c’est possible
- Allez mon chéri. Tu as promis qu’aujourd’hui tu ferais tout pour me satisfaire
- C’est vrai…
Je pose alors mon pantalon et mon caleçon et me colle à elle. Ce simple contact réveille mon érection. Nina le sent et pose tendrement sa main dessus. Puis je lui prodigue les soins et massages que nous avons révisés ensemble pour l’aider à vivre cet accouchement. A un moment Nina est assise et je suis assis derrière elle, en train de manipuler son dos. La porte s’ouvre. Je colle mon corps immédiatement contre celui de Nina. Ce simple contact réveille mon sexe de nouveau. C’est Nelly qui vient voir si tout va bien. Elle est un peu surprise de me voir nu mais ne dit rien. Nina souhaite lui montrer quelque chose et se lève. Mon pénis se trouve donc à découvert sous le regard ébahi de Nelly. Je suis gêné mais ce regard amplifie mon érection. Je soupçonne Nina de l’avoir fait exprès. Nina obtient ses explications et Nelly sort. Nous reprenons nos câlins et mouvements préparatoires.
Les heures défilent et le travail continue lentement mais sûrement. Nelly revient régulièrement nous voir. Un peu beaucoup même, je trouve. Je soupçonne que ce soit notre nudité qui l’attire autant. Au fur et à mesure je suis de plus en plus à l’aise avec sa présence et me ballade maintenant sans complexes. Puis Nelly nous dit que le travail a bien avancé et que Nina va maintenant pouvoir continuer le travail dans la baignoire. Je fais couler l’eau à la bonne température et Nina entre dedans. La vision de ce corps que j’aime tant relève encore mon sexe. Nina s’en amuse du regard puis s’approche de moi :
- Merci mon amour pour tout ce que tu fais pour moi
- Merci à toi de vivre cet instant, beau mais difficile, pour donner la vie à notre enfant
- Je t’aime
- Moi aussi mon cœur
- En revanche tu vas risquer la phlébite à force, dit-elle en regardant mon entrejambe
- Ce n’est pas grave. Mais c’est vrai que je crois que je n’aurais jamais autant bandé sans finir
- Viens là mon ange me, dit-elle en attrapant mon sexe
Nina porte mon pénis à sa bouche et l’embrasse tendrement. Sa langue le parcourt lentement. Tout mal se retrouve soigné. Nina engouffre mon sexe maintenant et commence de lents va et vient. Quelle douceur. Quel bonheur. Mais d’un coup je sens une pression sur mon sexe puis Nina le relâche et lâche un cri. C’est une contraction qui arrive. Heureusement que Nina n’a pas mis les dents lors de son serrage de mâchoires sinon j’aurais dérouillé aussi. C’est à ce moment que Nelly entre dans la pièce. Elle comprend tout de suite ce que nous faisions en voyant mon sexe dressé et plein de bave :
- Qu’est-ce que vous faites. Mais vous êtes inconscients ou quoi
- Je voulais soulager Lucas. Il est dans cet état depuis ce matin
- Ce n’est pas un jeu vous savez. Vous devez rester concentrée pour que tout se passe bien. Surtout sans péridurale
- Avouez quand même que c’est tentant quand un sexe vous regarde dans cet état là
- Je dois avouer que oui. Surtout que dans mon cas cela faisait longtemps que je n’en avais pas vu un
- Écoutez ce que nous pouvons faire c’est que vous deveniez ma bouche et que vous vous occupiez de mon mari
- Pardon ? répond Nelly un peu outrée
- Profitez-en ce n’est pas tous les jours qu’on vous offrira une belle queue comme celle-là sur un plateau.
Je reste un peu interloquée de la conversation. Autant Nelly ne m’attire pas du tout, autant je commence à avoir mal à force d’être dur en permanence. Nelly regarde mon sexe avec hésitation. Nina l’attrape d’une main et le branle lentement comme pour appâter Nelly. Et cela fonctionne. Nelly se met à genoux, prend mon sexe dans sa main puis descend sa bouche dessus. Elle embrasse mon pénis. Je sens son manque d’habitude dans ses gestes. La fellation est loin d’être douce. Nelly donne beaucoup d’à-coups. Elle me fait limite mal. Elle n’est pas très douée pour cet art. Surtout comparée à Nina qui est une déesse de la fellation. Nina a juste glissé sa main sur son vagin et se caresse lentement. Cette situation semble l’exciter. Je décide donc de la vivre pleinement pour elle.
Je fais lever Nelly. Je m’apprêtais à l’embrasser mais la laideur de son visage me repousse. Je la retourne alors et lui déboutonne sa blouse. Je lui enlève son t-shirt et son pantalon. La voici maintenant en sous-vêtements. Ils sont raccords avec le reste : une vieille culotte blanche de grand-mère et un soutien-gorge quelconque. Je lui dégrafe le soutien-gorge dévoilant une poitrine assez imposante mais qui ne tient pas du tout. Décidément cette femme n’a rien pour elle. Je lui enlève sa culotte qui présente plusieurs tâches plus ou moins sèches signe que la situation l’excite depuis un moment déjà. Seules ses fesses- un peu rebondies- trouvent un peu d’intérêt et mes yeux. Je me colle à ce corps en manque de câlins et passe mes mains à l’aveugle sur ses seins. Je garde mes yeux sur Nina pour ne pas me dégoûter. Ma main atteint son vagin. Il est perdu dans une forêt de poils mais je trouve quand même l’entrée. Je m’introduis sans difficultés. En tout cas son abstinence forcée n'a pas coupé sa fontaine interne. Je rentre deux doigts et la masturbe un peu. Elle gémit doucement puis un peu plus fort. Je décide alors de la prendre ainsi debout. Je glisse mon sexe à son niveau et la pénètre d’un coup lui faisant lâcher un cri de surprise. Nina sourit tout en continuant de se masturber. Je ne sais pas si c’est le plaisir visuel, ou seulement son côté empathique qui rend un service, qui la fait sourire. Mais elle semble bien. J’attrape les hanches de Nelly et commence mes mouvements. Rapidement elle gémit lourdement. Je lui mets la main sur la bouche pour pas que quelqu’un nous entende mais elle me mord. La salope. Je la défonce alors sans ménagement. Elle crie de plus en plus jusqu’à atteindre rapidement l’orgasme. J’ai une sensation bizarre autour de mon sexe. Je le ressors et le découvre mon pénis recouvert d’un liquide blanchâtre un peu gluant. Sa cyprine est très odorante et gênante. Décidément cette situation est spéciale. Limite dégoûtante.
Toutefois ne voulant pas en rester là, mais ne pouvant plus entrer dans son vagin après cette vision, je nettoie mon sexe de toute cette cyprine sur l’anus de Nelly et la pénètre sans ménagement. Elle cri de nouveau. Son anus est extrêmement serré. Je pense que je visite une contrée vierge. Mais comme de réputation, les femmes laides ne refusent pas grand-chose. Je l’encule avec vigueur devant le sourire radieux de Nina. Je suis proche de la libération quand Nina lâche un cri lourd. Mais ce n’est pas un cri de plaisir. Elle sent un plop s’échapper d’elle. Elle vient de perdre les eaux. Nelly s’extrait de mon sexe et se rhabille rapidement pour s’occuper de Nina. Je reste avec mon pénis toujours aussi gorgé et même souillé des sécrétions de Nelly. Je passe en urgence sous la douche pour nettoyer mon sexe et me rhabille aussi avant d’accompagner Nina en salle d’accouchement. Quelques minutes plus tard Nina donnera naissance à notre enfant. Nous décidons alors de l’appeler Alexandre.
Le lendemain de l’accouchement nous prenons nos premiers cours de jeunes parents : changer une couche, donner un bain, …. Le bonheur et le bien-être sont omniprésents. Seule une douleur dans mes testicules me gêne un peu. Rien de surprenant après l’excitation de la veille et les deux fois où j’étais prêt à jouir sans jamais finir. Nina est splendide malgré son teint fatigué. Le soir venu je dis à Nina que je vais rentrer à la maison pour prendre une douche vraiment nécessaire. Mais Nina ne veut pas rester seule avec le petit. Elle me demande si je ne peux pas la prendre là. Logiquement je n’ai pas le droit. En plus je n’ai pas de vêtements de rechange. Mais ne voulant pas brusquer l’amour de ma vie je me plie à sa requête. J’espère juste que personne ne va entrer dans la chambre à ce moment-là.
Je me déshabille et me prépare à rentrer dans la douche. Nina me demande si je peux laisser la porte ouverte. En effet de son lit elle a la vision directe sur la douche. Je commence à me savonner. Je vois Nina qui me regarde avec tendresse. Son regard posé amoureusement sur moi fait réagir mon corps. Cela se traduit inexorablement par un début d’érection. Son regard devient un peu plus joueur et fixe cette zone de mon anatomie en souriant. Elle a gagné, je bande de nouveau. Elle rigole de l’effet qu’elle a sur moi rien que par le regard. Pour me venger je fais quelques mouvements dessus pour le faire prendre sa taille maximale. Puis je finis ma douche et me sèche. L’exhibition est finie. Enfin, pas tout à fait…
J’attrape mon caleçon et fais la moue. Je n’aime pas remettre des vêtements sales mais aujourd’hui je n’ai pas trop le choix. Voyant ma mine dépitée Nina m’invite à la rejoindre. Je regarde vers la porte d’entrée de la chambre et vais près d’elle. Elle attrape délicatement mon sexe de ses deux mains en me disant :
- Mon pauvre chéri tu n’as même pas pu finir hier malgré toutes ces sollicitations
- Ce n’est pas grave
- Ça ne va pas te faire mal ?
- Quand je rentrerais à la maison je ferais ce qu'il faut pour pas que ça me fasse mal
- Tu veux que j’appelle Nelly pour que vous finissiez ce que vous avez commencé ?
- Non. Il est hors de question que la première femme avec qui je couche après ton accouchement soit une autre que toi
- C’est mignon. Sinon elle peut peut-être te finir avec la bouche ?
- C’est pareil. Et en plus elle n’est vraiment pas douée pour ça
- Pourtant elles sont pleines, dit Nina en descendant une main sur mes testicules
- Oui mais ne t’inquiètes pas pour moi je me débrouillerai seul
- Cela risque d’être quelque chose, ajoute-t-elle en continuant de me caresse le sexe et les testicules
- C’est possible que ce soit explosif
- J’aimerais bien voir ça. Tu ne veux pas m’attendre pour te faire ce petit plaisir que je profite du spectacle ?
Je m’apprête à répondre quand j’entends la porte de la chambre qui s’ouvre. Je m’extirpe des mains de Nina et saute dans la salle de bain. Je ferme la porte derrière moi. Ouf. J’y suis entré avant qu’on me voie. En revanche mes affaires sont restées avec Nina donc je ne peux même pas m’habiller. J’attends patiemment. J’entends Nina qui parle à une voix féminine. Puis Nina m’appelle pour me dire que je peux sortir. J’ouvre la porte et découvre Nelly à genoux par terre, la blouse ouverte, sans aucun autre vêtement et les mains derrière le dos. Je regarde Nina avec interrogation. Elle me dit alors :
- Nelly était déçue de ne pas avoir pu voir une jouissance masculine. Je lui ai donc proposé de la voir de près
Je reste interloqué de la situation. De plus la laideur de cette femme ne me motive pas. Mon sexe s’en ressent d’ailleurs et perd de sa vigueur. Nina le voit bien et m’attire à elle. Elle baisse sa chemise d’hôpital dévoilant sa belle poitrine et attrape mon sexe. En 2/3 mouvements elle lui redonne une taille honorable. Je ne suis pas tout à fait à l’aise avec cette situation. Nelly ramène une de ses mains sur le devant et la glisse entre ses jambes. Cela n’enlève rien à sa laideur mais toujours trouvé beau une femme qui se masturbe. Je me laisse alors aller et me détends. Je vois la belle poitrine de Nina qui rebondit avec ses coups de poignée. Je tends la main pour la caresser mais je reçois une fin de non-recevoir. C’est malheureusement maintenant la chasse gardée de mon fils. Je remplace la main de Nina pour atteindre plus rapidement des sensations jouissives. Je me penche vers ses douces lèvres. Notre connexion buccale est un des meilleurs moyens de me faire monter vite. J’aime sentir sa langue humide se mélanger à la mienne en toute sensualité. Je sens que cela commence à monter. J’accélère le mouvement tout en continuant de l’embrasser. Je me relève car le dos me tire un peu. Nelly est toujours affairée à se doigter. Mais là aussi je sens une main qui manque d’expérience. Décidément je n’envie pas sa vie. Elle me regarde et devant le mouvement de retrait que j’ai naturellement elle me dit :
- Déchargez-vous sur moi. Je veux sentir votre foutre chaud sur mon visage
Cela me redonne de l’élan pour finir. Je pose mon pied sur la chaise à côté et accélère. Nina comprend que c’est bientôt la fin. Elle pose alors une main sur mon sexe pour me masturber, et l’autre sur mon fessier. Ses doigts glissent dans le sillon de mes fesses et viennent en contact avec ma rondelle. C’est vraiment une sensation que j’apprécie de plus en plus. Je me redresse avant de faire signe à Nina qu’elle peut me donner le coup de grâce. Elle le comprend et donne de précis coups de poignets qui me font chavirer. Mes testicules se contractent et se préparent à expulser tout le sperme stocké depuis quelques temps et bien mis sous pression des excitations de ces dernières 24 heures. Le premier jet sort tel un geyser. J’ai l’impression de pisser tellement c’est long et volumineux. Il atterrit sur le crâne de Nelly. Je prends la main sur mon sexe pour diriger les autres à ma convenance. Je dirige le second et le troisième sur son visage. Nelly a un mouvement de recul tellement la pression et la quantité sont importantes. Je continue de m’astiquer et jouis maintenant sur son buste et ses seins. Enfin je finis de nouveau sur son visage. Visage que je distingue à peine sous cette couche gluante et massive de sperme. J’avais parfois vu des vidéos que ce qu’on appelle un « cumblast ». J’ai toujours cru que c’étaient des fakes ou que les acteurs prenaient des produits pour éjaculer autant et si puissamment. Pour la première fois de ma vie je viens de reproduire cette situation. Nelly a le visage entièrement recouvert de mon liquide. C’en est écœurant. Mais qu’est-ce que c’est bon de se vider les couilles…. Nina me sourit. Je l’embrasse puis file dans la salle de bain me rhabiller. Nelly y passe après moi pour se nettoyer. Ce qui prend un bon moment. Puis elle se rhabille également et sort. En peu de temps je pense que nous lui avons fait vivre plus de sensations que sur de nombreuses années. Nous sommes des bons samaritains….
Nous arrivons au terme de la grossesse. En ce dimanche matin je me réveille auprès de ma belle. Elle est confortablement installée contre son coussin de grossesse. Elle l’emmène partout. J’en suis presque jaloux surtout quand elle le serre fort entre ses cuisses comme en ce moment. Après je ne peux pas trop râler. Cela fait maintenant un peu plus d’un mois que j’ai du mal à la pénétrer. J’ai toujours autant de plaisir à l’embrasser, la caresser, la lécher et même la doigter. Mais j’ai ce blocage qu’ont certains hommes quand la fin de la grossesse approche. Je crains de faire mal au bébé en lui faisant l’amour. Je sais que c’est physiquement impossible mais le blocage est psychologique. Pourtant c’est maintenant qu’elle en meure d’envie. Nous l’avons bien fait quelques fois mais je crains toujours de faire mal, que ce soit à elle ou au bébé, donc je ne finis pas. Pourtant en la regardant se réveiller, nue contre son coussin, je bande dur. Je caresse tendrement son corps. Elle ouvre les yeux et me sourit. Je l’embrasse. Elle sent la protubérance contre sa cuisse et passe sa main dessus. Je lui demande si elle veut que je lui prépare son petit déjeuner. Elle me dicte sa commande : myrtilles, tartine de confiture et jus d’orange frais pressé. Je descends lui préparer ce qu’elle veut. Tiens si je lui cueillais une fleur du jardin pour agrémenter son plateau. Je sors en tenue d’Adam dans le jardin pour lui cueillir une rose. Le soleil du matin inonde mon corps nu de sa chaleur. A nouveau je bande de ce moment de bien-être. Je rentre toutefois rapidement avant qu’une de mes voisines me voit.
Je monte le plateau. Nina est surprise de me voir toujours en érection. Cela l’émoustille. Elle se redresse contre le mur et pose le plateau en équilibre sur son énorme ventre. Elle mange ses tartines alors que je la regarde avec envie. Sa position me fait apercevoir son abricot au milieu de sa toison très fournie, vu qu’avec la sensibilité de sa grossesse, l’épilation n’est pas possible pour elle. Mais cela ne me dérange pas trop en fait. J’ai même envie d’y plonger ma langue. Nina le voit dans mes yeux. Elle écarte un peu plus les cuisses. Je prends ça comme une invitation. Je me glisse entre ses jambes et commence à embrasser son intimité. Je caresse du bout de la langue ses lèvres plutôt sèches. Mais je vais tâcher de les humidifier. Je glisse ma langue alors que Nina mange ses myrtilles. Je titille son clitoris puis ajoute un doigt à mes caresses. La cyprine commence à couler le long de ses lèvres. Je me délecte à faire ce plaisir de fin de grossesse à la femme de ma vie, à celle qui porte mon enfant. Je m’efforce de lui procurer le maximum de plaisir par ma langue et par mes doigts. Nina semble apprécier son traitement. Elle pose le plateau pour s’installer plus confortablement. Je continue mon cunnilingus jusqu’à ce qu’elle explose. Elle reste là à reprendre ses esprits. Je regarde mon ange avec tendresse et amour….
Après ces tendres moments j’aide Nina à se lever puis attrape un caleçon. Nina me demande si je peux rester nu pour le plaisir de ses yeux. Comment refuser cela à celle qui dans quelques heures ou jours accouchera du fruit de notre amour. Je m’affaire à préparer tout pour notre départ puis notre retour sous les yeux coquins de Nina. Dès que je passe près d’elle, elle en profite pour poser ses mains sur mes fesses ou mes cuisses ce qui ne manque pas de réveiller mon érection à chaque fois. Cela l'amuse beaucoup. Et moi cela m’excite pas mal, je dois bien le dire.
Puis dans la matinée Nina ressent les premières contractions. Celles-ci deviennent de plus en plus fortes. Elle me demande de la conduire à la maternité. J’appelle sa copine Sandra qui doit s’occuper de nos animaux le temps de notre absence. Je charge la valise dans la voiture et nous partons. Vingt minutes plus tard nous arrivons à la maternité. Nous allons voir les sages femmes qui examinent Nina. Ce sont les premières contractions mais la dilatation n’est pas suffisante. Elles nous renvoient donc à la maison. De retour à la maison Sandra est là.
Sandra est une belle femme plutôt grande, type méditerranéenne, avec beaucoup de charme. Toutefois elle a un défaut rédhibitoire pour moi : elle est mince comme un clou. Juste un peu de poitrine comme seul relief. Aujourd’hui elle porte une robe noire plutôt courte qui ne lui arrive même pas à mi cuisses. Pendant que je prépare à manger, Sandra prépare de la pâte à gaufres pour le dessert. Nina est montée se changer. Elle revient seulement vêtue d’un poncho. Celui-ci est très ouvert sur les côtés, et avec son gros ventre, ses ouvertures montrent énormément son corps notamment ses cuisses. J’ai une érection rien qu’en la regardant marcher. Nina s’excuse de sa tenue légère auprès de Sandra mais lui dit que c’était soit ça, soit toute nue. Sandra ne semble pas perturbée par la situation et continue sa préparation. Nina vient se coller à moi et passe ses mains sous mon t-shirt. Mon short est au bord de l’explosion. Nina pose sa main sur la bosse, satisfaite de son effet. Je finis de cuisiner et nous nous préparons à passer à table. Nina se penche pour attraper le sel mais alors que je m’apprête à l’engueuler de ce mouvement inopportun, elle décide de remonter le bas de son poncho sur son dos dévoilant ses grosses fesses. Cela me stoppe immédiatement. Elle repasse à côté de moi en passant sa main sur mon sexe toujours dressé. Elle me chauffe….
Le repas se passe bien, même si Nina profite de moments où Sandra n’est pas là, ou ne regarde pas, pour me dévoiler un sein ou autres visions excitantes. A la fin du repas, Nina monte se reposer sur le lit. Je range la cuisine alors que Sandra attaque les gaufres. Une fois les premières gaufres sorties, je monte demander à Nina comment elle souhaite sa gaufre. Elle est allongée sur le lit, toujours en poncho. Elle me répond qu’elle veut du chocolat, de la chantilly… et un orgasme tout en écartant les cuisses me dévoilant son antre de plaisir. J’avale difficilement ma salive et descends donner la commande à Sandra. J’arrive dans la cuisine et là j’ai une vision extraordinaire. Sandra mange sa gaufre de façon très… particulière. Elle est sur la pointe des pieds et penchée en avant au-dessus du meuble. Cela remonte sa robe laissant apparaître le bas de son fessier. Par la nudité de ses lobes je comprends qu’elle porte un string. Ou rien peut-être. Elle croque dans sa gaufre au Nutella avec entrain. Elle en a partout sur le visage. Décidément elles se sont passées le mot pour m’allumer. Autant je n’ai jamais été attiré par Sandra, autant là je n’ai qu’une envie, c’est de lui écarter son string et de la prendre là, par derrière…. Elle se tourne vers moi, la bouche pleine de gaufre, les lèvres pleines de chocolat et même de la chantilly sur le nez. Mais à ce moment c’est un autre type de crème que je voudrais lui mettre sur le visage…. Sandra s’excuse de manger comme une gloutonne. Je ne réponds pas pour ne pas faire de sous-entendus mal placés et lui donne la commande de Nina. Elle la prépare alors que j’essaie de contrôler mon érection. Elle finit de la préparer. Je lui dis que je la monte à Nina et que je vais rester un peu avec elle le temps qu’elle la mange.
Je monte l’escalier et arrive dans la chambre. Nina a enlevé son poncho et attend, cuisses ouvertes, son double dessert. Je lui donne l’assiette et vais pour m’installer entre ses jambes. Elle m’interrompt et me demande de me déshabiller avant. Je m’exécute et prends contact avec son intimité. Les effluves qui s’y échappent sont plutôt fortes. Je m’attelle tout de même à lécher son abricot avec amour. Tout d’abord je fais le tour de ses lèvres de ma langue agile. Puis le bout de ma langue entre en contact avec ses muqueuses légèrement humides. Je remonte sur son clitoris que j’embrasse amoureusement. Nina savoure ce savoureux moment qu’il soit gustatif ou sensoriel. La stimulation de son clitoris l’excite. La cyprine commence à perler doucement. Je descends m’abreuver de ce délicieux nectar avant de retourner à ma fellation clitoridienne. Je la lèche avec un amour débordant. Cette femme qui s’apprête à donner la vie est un ange venu du ciel. Un premier doigt pénètre délicatement ses lèvres gonflées. Il récupère un peu de ses sécrétions pour humidifier le reste de sa caverne aux plaisirs. Puis, tout en continuant d’exercer une pression avec ma langue sur son clitoris, mon doigt explore cette grotte. Elle est déjà humide à souhait. Un deuxième doigt rejoint bientôt le premier, élargissant avec tendresse son vagin. Je relève la tête vers Nina. Elle mange sa gaufre et me regarde avec un regard tendre mais coquin aussi. Elle semble apprécier le moment.
Je repars dans mes explorations buccales et tactiles. Je tâche de percevoir les réactions de Nina, malgré sa bouche pleine, pour lui procurer un maximum de plaisir. Cela semble être le cas vu l’abondante cyprine qui entoure mes doigts. Dommage que son magnifique, mais énorme ventre, m’empêche de la regarder tout en l’embrassant. J’aime voir ses expressions de visage pendant que je lui procure du plaisir. Je me concentre alors sur sa respiration pour saisir ses émotions. Je crochète mes doigts à la recherche de son point G. Ah, vu sa réaction je pense que je m’en approche. J’insiste dans cette zone érogène avec un peu plus de rythme et de vigueur. Nina lâche enfin un premier gémissement non contrôlé. Je suis enfin arrivé à percer sa barrière. Nina pose sa gaufre. Je continue ma pénétration orgasmique d’une main et de l’autre attrape sa main. Nina gémit de plus en plus fort. Je lui exerce une pression sur la main pour lui faire comprendre que nous ne sommes pas tous seuls. Mais cela ne change rien. Je retire mes lèvres alors pour lui dire chut. J’ai droit à un « bouffe moi » très autoritaire comme seule réponse. J’obéis et retourne à mes palpations linguales et digitales. La respiration de Nina s’accélère. Ses sécrétions aussi. Mais cela ne me freine pas. J’aime la sentir monter en pression sous mon effet. Et elle monte bien à en croire ses cris de plus en plus forts. Je suis quelque peu gêné d’imposer cela à Sandra mais je dois combler les pulsions d’une femme enceinte. Je redouble d’efforts et arrive à déclencher un nouvel orgasme en Nina. Je finis de la caresser en douceur et remonte à sa hauteur. Mon sexe me fait mal, tellement il est gorgé et j’espère bien avoir un coup de main ou de langue pour me soulager. Mais à la place j’ai droit à un tournage de dos me signifiant de la laisser tranquille.
Je me rhabille comme je peux et passe dans la salle de bain pour m’essuyer le visage. Je descends retrouver Sandra qui me regarde avec un sourire un peu gêné. J’engage la conversation :
- Désolé d’avoir dû t’imposer ça. Pulsion de femme enceinte
- Ne t’inquiète pas ce n’est pas grave
- Je suis quand même un peu gêné pour toi
- Ça va. C’est plus…
J’attends la suite de la phrase qui tarde à arriver. Sandra semble troublée. Elle finit par lâcher :
- C’est que ça fait plusieurs mois que je suis seule alors entendre ce genre de bruits réveille certains sens
- Je comprends. Cela fait moi-même plusieurs semaines donc je suis aussi en manque, dis-je alors que mon sexe est toujours au garde à vous
- Ah bon Nina ne veut plus le faire ?
- Non c’est moi qui ai du mal. Pourtant je la trouve plus belle que jamais mais j’ai un blocage. Alors je me dévoue pour son plaisir
- Elle en a de la chance, dit Sandra en croisant les jambes
Ce mouvement laisse apparaître un bout de tissu noir sur son entrejambe. Elle porte donc un string. Dans cette position j’ai la vue sur toute la longueur de ses menues cuisses. Sa morphologie ne m’attire vraiment pas mais dans l’état d’excitation dans lequel je suis, mon sexe réagit tout de même à cette vision. D’ailleurs je vois les yeux de Sandra bloqués sur la protubérance qui déforme mon short. Je crois que j’aurais dû mettre un caleçon. Sandra se mord les lèvres en me regardant. A ce moment-là je rêve qu’elle ouvre son immense bouche et m’engouffre en entier. Il faut que je me ressaisisse….
Je pars dans la cuisine pour faire redescendre un peu la tension. Je range un peu mais Sandra me rejoint. Elle pose son pied en équerre sur le meuble derrière elle. Cela remonte un peu plus sa robe déjà courte. Maintenant elle s’arrête juste en haut des cuisses. Inexorablement mes yeux se posent sur ces cuisses bronzées et réenclenche mon érection. J’ai l’impression que ça l’amuse. J’essaie de rester concentré sur mes taches. Puis Sandra me demande :
- Je peux utiliser la piscine pendant votre absence
- Oui bien sûr
- Est-ce que j’ai quelque chose de spécial à faire ?
- Non elle est prête je me suis encore baigné hier. Tu peux y aller dès maintenant si tu veux
- Je ne dis pas non
- Tu as besoin d’une serviette ?
- Je veux bien je n’ai rien pris en partant. Ça ne vous dérange pas si je me baigne nue ?
- Non quand je suis seul je ne mets jamais de maillot. Tâche juste d’être discrète si les voisins sont sur leur terrasse. Je ne voudrais pas que leurs enfants soient choqués
- Ça marche
- Je vais te chercher la serviette
Je pars dans la buanderie et prends une serviette de plage. Je lui donne puis retourne à mes occupations. Je regarde par la porte fenêtre et vois Sandra au bord de la piscine. Elle regarde sur la terrasse des voisins pour s’assurer qu’ils ne sont pas là et attrape sa robe par le bas. Elle l’enlève par la tête. Elle me tourne le dos et je peux donc voir ses fesses habillées d’un string noir. Cette vision confirme bien ce que je pensais : je ne suis vraiment pas attiré par les femmes minces. Le string qu’elle porte est comme posée sur une table. Pourtant je trouve que l’invention du string est une bénédiction des dieux. Il permet de mettre en valeurs les formes divines des femmes. J’aime les voir entrer entre de beaux globes rebondis accentuant les magnifiques courbes des fessiers. C’est le meilleur moyen de me faire perdre la tête. Mais là, c’est plat, sans relief, sans intérêt. Sandra enlève ce petit bout de tissu dévoilant un fessier pas plus intéressant. Elle se retourne pour prendre la douche avant de rentrer dans la piscine. Je peux étudier son corps nu. Sa poitrine est un peu plus grosse que ce que j’aurais pensé même si c’est très loin des beaux seins de Nina. Elle a de tous petits mamelons où trônent des tétons bien pointus. Mais la plus grande surprise est qu’elle n’a pas un poil sur le maillot. Bref ce n’est vraiment pas une femme pour moi. Elle plonge dans la piscine et je décide de remonter retrouver Nina.
Malgré mon degré d’excitation particulièrement élevé aujourd’hui, la vision de Sandra en string puis nue ne m’a pas émoustillé. En revanche à peine je rentre dans la chambre mon short explose de nouveau. Nina est allongée sur le lit, entièrement nue. Ses grosses fesses sont absolument fabuleuses. Des montagnes qui appellent au plaisir. Je me déshabille et m’allonge contre elle. Mon sexe dressé prend parfaitement position entre ses fesses. Je la prends dans mes bras avec tendresse. Mais ma tête pense à cette journée et l’excitation reprend de plus belle. Je frotte mon bassin contre celui de Nina ce qui branle discrètement mon pénis. La sensation est douce. Mon gland s’humidifie rapidement. Mon prépuce commence à coulisser lentement. J’ai envie de jouir contre ses monts voluptueux. Nina doit le sentir car elle se réveille et pose sa main dessus. Elle se retrouve les doigts pleins de liquide pré-séminal. Elle se retourne et s’essuie sur ma cuisse en me disant :
- Qu’est ce qui te met dans cet état ?
- Toi. Ton superbe corps.
- Avec mon gros ventre
- Oh que oui. Ton ventre, tes fesses, tes mains, tes seins, ta bouche, tout…
- Surtout si elles te caressent me dit-elle en posant sa main sur la base de mon sexe
- Je rêve de ça
- Tant que ça ? me demande t’elle en continuant une douce masturbation
- Tu n’imagines même pas à quel point
- En tout cas elle est bien dure sous mes doigts ajoute-t-elle en continuant de me caresser
Je ferme les yeux pour profiter de ce contact tant espéré aujourd’hui. Ma main se pose sur sa peau. D’abord son ventre. Puis inexorablement ma main descend sur son vagin. Il est humide sans même mon intervention. Je caresse son clitoris déjà sensible. Nina soupire puis me dit :
- J'aime tes mains…
- Elles sont à ton service
- Et j’aime ce qu’elles me font
- Tant mieux car elles pourraient faire ça jusqu’à la nuit des temps
- Pénètre moi…
- Avec plaisir lui dis-je en entrant deux doigts en elle
- Pas avec tes doigts, je veux sentir ton sexe en moi
Je ne peux décemment pas lui refuser. Je me relève alors pour me préparer à lui faire l’amour. Je respire un bon coup. Nina sent que je tergiverse et pour m’aider, attrape mon sexe et l’engouffre dans sa bouche. Elle aussi fournit un effort car cela fait quelque temps qu’elle ne voulait plus faire de fellation. Elle prend mon gland en entier dans sa bouche. Quelle douceur. Puis elle décalotte mon gland avec sa bouche puis lèche mon gland turgescent. Que c’est bon…. J’apprécie ce moment puis me retire avant de jouir dans sa bouche. Je me place entre ses jambes et dirige mon sexe vers le sien. Je me positionne devant. Je suis crispé comme si c’était la première fois. Pourtant c’est une action que nous avons reproduit des milliers de fois. Mais aujourd’hui, avec ce ventre énorme, prêt à donner la vie, la sensation est différente. Je me plonge dans les yeux de Nina, implorant une pénétration libératrice…
Je prends ma respiration et entre en elle. Mon pénis est comme aspiré par ce puit d’amour et se retrouve rapidement au fond. J’exécute de petits mouvements de peur de lui faire mal. Mais Nina me somme de la prendre plus fort. J’accélère donc mes coups de rein. Je vois son corps valser notamment ses seins. Je suis quand même dans la retenue. Mais Nina m’invective de ne pas la ménager. Elle veut me sentir dans toute ma virilité. Je saisis ses hanches et lui tape dedans avec vigueur. Elle crie sans ménagement. Heureusement que Sandra est dehors. Puis Nina me dit qu’elle va bientôt jouir. Ça tombe bien moi aussi. Mais elle me demande de ne pas jouir en elle. Dommage. Je me concentre alors pour lui faire atteindre l’orgasme. Ce qui suit rapidement dans un cri roque. Puis je reprends mes mouvements pour me finir moi, sachant que je suis au bord de l’explosion tant attendue depuis plusieurs semaines maintenant. Nina crie toujours. Mais ce ne sont plus les mêmes cris. Je lui demande :
- Ça va mon cœur
- L’orgasme a été puissant mais je continue à ressentir des contractions
- Des contractions dues à l’orgasme ou à la grossesse ?
- La grossesse j’ai l’impression. Ah encore une
- Tu veux que nous allions à la maternité ?
- Et toi tu n’as pas fini !
- Tant pis pour moi. Le plus important c’est toi aujourd’hui
Je l’aide à se lever et enfiler sa culotte et sa robe. Puis je m’habille malgré mon érection toujours à son paroxysme. Nous descendons l’escalier et je sors dire à Sandra que nous partons de nouveau à l’hôpital. Elle nage toujours nue dans la piscine. Je suis tellement dans le speed du départ que je m’approche d’elle sans me préoccuper de sa nudité. Je lui signale que nous partons et retourne avec Nina. Arrivés à la maternité une sage-femme examine Nina.
- Votre col est plus dilaté que ce matin mais pas encore suffisamment. Toutefois vous pouvez vous installer dans une pièce de préparation.
- Celle avec la baignoire est disponible ?
- Oui mais dans ce cas-là ce n’est pas moi qui vous accompagnerais mais ma collègue Nelly
- Pas de problème j’aimerais finir la préparation dans l’eau dit Nina
Nous allons donc dans la salle de préparation. Je sors les compilations de musique que j’ai préparé pour Nina. Je lance la première puis je l’aide à s’installer sur le lit. Je sors aussi les classeurs avec les massages à faire pour soulager la douleur ainsi que tout son attirail. La sage-femme arrive. Il s’agit d’une femme d’une quarantaine d’années, particulièrement repoussante. Elle a des boutons et grains de beauté partout sur le visage. Son corps n’est pas du tout harmonieux. On dirait une sorcière en blouse blanche. Elle semble avoir des seins en gants de toilette. Je n’imagine même pas son vagin. Bref je ne risque pas de fantasmer sur elle. Elle prend le dossier de Nina et dit :
- Bonjour. Je m’appelle Nelly. C’est moi qui vais vous accompagner pendant cet accouchement. Je vois que vous êtes déjà venue deux fois aujourd’hui. Comment étaient vos contractions ?
- Mes contractions faisaient suite… Nina marque un temps d’arrêt
- Vous devez tout me dire si vous voulez que je vous aide du mieux possible
- Les contractions faisaient suite à un orgasme en fait
- Les deux fois ? demande Nelly
- Oui.
- Avec pénétration ?
- Non le premier c’était sans. Le deuxième était pendant un rapport… mais faisait suite à un autre orgasme un peu plus tôt sans pénétration
- Vous avez eu combien d’orgasmes aujourd’hui ?
- Trois. J’ai lu que cela aidait
- C’est vrai que ça peut aider
- Et j’ai la chance d’avoir un mari dévoué… et doué
- Ça c’est sûr, vous avez de la chance, lâche Nelly avec dépit.
Cela doit faire un moment qu’elle n’a pas eu de tendresse donc encore moins de plaisir corporel. Nelly nous explique comment va se dérouler la préparation. Elle détaille les étapes et ce que chacun doit faire. Elle est très professionnelle. Elle reprend :
- Je vois que vous avez choisi d’accoucher sans péridurale. Êtes-vous bien sûre ? C’est le moment de changer d’avis. Après ce sera trop tard
- Je suis sûre de moi. Je ne veux pas être embuée pour faire la rencontre de mon fils
- Très bien je vous laisse vous installer
- Une dernière chose, dit Nina. Qui doit rentrer dans la salle de préparation ?
- Normalement que moi. Et s’il y a des complications le gynécologue. Pourquoi ?
- Cela vous dérange si je fais la préparation nue ?
- Non, je vous verrai nue quoiqu’il arrive
- Merci
- Je vous laisse. A tout à l’heure
Nelly quitte la salle. Je continue de mettre en place la pièce selon les désirs de Nina. Puis je l’aide à se déshabiller. Je prends l’amour de ma vie dans mes bras. Nina me demande :
- J’aimerais faire un peau à peau.
- Bien sûr dis-je en enlevant mon t-shirt pour coller mon corps au sien
- C’est ton corps tout entier que je veux sentir contre le mien
- Et si Nelly revient ?
- Nous lui avons demandé non ?
- Pour toi oui. Pas pour moi
- Ce n’est pas grave. En plus il y a de grandes chances que cela l’excite
- Ça c’est possible
- Allez mon chéri. Tu as promis qu’aujourd’hui tu ferais tout pour me satisfaire
- C’est vrai…
Je pose alors mon pantalon et mon caleçon et me colle à elle. Ce simple contact réveille mon érection. Nina le sent et pose tendrement sa main dessus. Puis je lui prodigue les soins et massages que nous avons révisés ensemble pour l’aider à vivre cet accouchement. A un moment Nina est assise et je suis assis derrière elle, en train de manipuler son dos. La porte s’ouvre. Je colle mon corps immédiatement contre celui de Nina. Ce simple contact réveille mon sexe de nouveau. C’est Nelly qui vient voir si tout va bien. Elle est un peu surprise de me voir nu mais ne dit rien. Nina souhaite lui montrer quelque chose et se lève. Mon pénis se trouve donc à découvert sous le regard ébahi de Nelly. Je suis gêné mais ce regard amplifie mon érection. Je soupçonne Nina de l’avoir fait exprès. Nina obtient ses explications et Nelly sort. Nous reprenons nos câlins et mouvements préparatoires.
Les heures défilent et le travail continue lentement mais sûrement. Nelly revient régulièrement nous voir. Un peu beaucoup même, je trouve. Je soupçonne que ce soit notre nudité qui l’attire autant. Au fur et à mesure je suis de plus en plus à l’aise avec sa présence et me ballade maintenant sans complexes. Puis Nelly nous dit que le travail a bien avancé et que Nina va maintenant pouvoir continuer le travail dans la baignoire. Je fais couler l’eau à la bonne température et Nina entre dedans. La vision de ce corps que j’aime tant relève encore mon sexe. Nina s’en amuse du regard puis s’approche de moi :
- Merci mon amour pour tout ce que tu fais pour moi
- Merci à toi de vivre cet instant, beau mais difficile, pour donner la vie à notre enfant
- Je t’aime
- Moi aussi mon cœur
- En revanche tu vas risquer la phlébite à force, dit-elle en regardant mon entrejambe
- Ce n’est pas grave. Mais c’est vrai que je crois que je n’aurais jamais autant bandé sans finir
- Viens là mon ange me, dit-elle en attrapant mon sexe
Nina porte mon pénis à sa bouche et l’embrasse tendrement. Sa langue le parcourt lentement. Tout mal se retrouve soigné. Nina engouffre mon sexe maintenant et commence de lents va et vient. Quelle douceur. Quel bonheur. Mais d’un coup je sens une pression sur mon sexe puis Nina le relâche et lâche un cri. C’est une contraction qui arrive. Heureusement que Nina n’a pas mis les dents lors de son serrage de mâchoires sinon j’aurais dérouillé aussi. C’est à ce moment que Nelly entre dans la pièce. Elle comprend tout de suite ce que nous faisions en voyant mon sexe dressé et plein de bave :
- Qu’est-ce que vous faites. Mais vous êtes inconscients ou quoi
- Je voulais soulager Lucas. Il est dans cet état depuis ce matin
- Ce n’est pas un jeu vous savez. Vous devez rester concentrée pour que tout se passe bien. Surtout sans péridurale
- Avouez quand même que c’est tentant quand un sexe vous regarde dans cet état là
- Je dois avouer que oui. Surtout que dans mon cas cela faisait longtemps que je n’en avais pas vu un
- Écoutez ce que nous pouvons faire c’est que vous deveniez ma bouche et que vous vous occupiez de mon mari
- Pardon ? répond Nelly un peu outrée
- Profitez-en ce n’est pas tous les jours qu’on vous offrira une belle queue comme celle-là sur un plateau.
Je reste un peu interloquée de la conversation. Autant Nelly ne m’attire pas du tout, autant je commence à avoir mal à force d’être dur en permanence. Nelly regarde mon sexe avec hésitation. Nina l’attrape d’une main et le branle lentement comme pour appâter Nelly. Et cela fonctionne. Nelly se met à genoux, prend mon sexe dans sa main puis descend sa bouche dessus. Elle embrasse mon pénis. Je sens son manque d’habitude dans ses gestes. La fellation est loin d’être douce. Nelly donne beaucoup d’à-coups. Elle me fait limite mal. Elle n’est pas très douée pour cet art. Surtout comparée à Nina qui est une déesse de la fellation. Nina a juste glissé sa main sur son vagin et se caresse lentement. Cette situation semble l’exciter. Je décide donc de la vivre pleinement pour elle.
Je fais lever Nelly. Je m’apprêtais à l’embrasser mais la laideur de son visage me repousse. Je la retourne alors et lui déboutonne sa blouse. Je lui enlève son t-shirt et son pantalon. La voici maintenant en sous-vêtements. Ils sont raccords avec le reste : une vieille culotte blanche de grand-mère et un soutien-gorge quelconque. Je lui dégrafe le soutien-gorge dévoilant une poitrine assez imposante mais qui ne tient pas du tout. Décidément cette femme n’a rien pour elle. Je lui enlève sa culotte qui présente plusieurs tâches plus ou moins sèches signe que la situation l’excite depuis un moment déjà. Seules ses fesses- un peu rebondies- trouvent un peu d’intérêt et mes yeux. Je me colle à ce corps en manque de câlins et passe mes mains à l’aveugle sur ses seins. Je garde mes yeux sur Nina pour ne pas me dégoûter. Ma main atteint son vagin. Il est perdu dans une forêt de poils mais je trouve quand même l’entrée. Je m’introduis sans difficultés. En tout cas son abstinence forcée n'a pas coupé sa fontaine interne. Je rentre deux doigts et la masturbe un peu. Elle gémit doucement puis un peu plus fort. Je décide alors de la prendre ainsi debout. Je glisse mon sexe à son niveau et la pénètre d’un coup lui faisant lâcher un cri de surprise. Nina sourit tout en continuant de se masturber. Je ne sais pas si c’est le plaisir visuel, ou seulement son côté empathique qui rend un service, qui la fait sourire. Mais elle semble bien. J’attrape les hanches de Nelly et commence mes mouvements. Rapidement elle gémit lourdement. Je lui mets la main sur la bouche pour pas que quelqu’un nous entende mais elle me mord. La salope. Je la défonce alors sans ménagement. Elle crie de plus en plus jusqu’à atteindre rapidement l’orgasme. J’ai une sensation bizarre autour de mon sexe. Je le ressors et le découvre mon pénis recouvert d’un liquide blanchâtre un peu gluant. Sa cyprine est très odorante et gênante. Décidément cette situation est spéciale. Limite dégoûtante.
Toutefois ne voulant pas en rester là, mais ne pouvant plus entrer dans son vagin après cette vision, je nettoie mon sexe de toute cette cyprine sur l’anus de Nelly et la pénètre sans ménagement. Elle cri de nouveau. Son anus est extrêmement serré. Je pense que je visite une contrée vierge. Mais comme de réputation, les femmes laides ne refusent pas grand-chose. Je l’encule avec vigueur devant le sourire radieux de Nina. Je suis proche de la libération quand Nina lâche un cri lourd. Mais ce n’est pas un cri de plaisir. Elle sent un plop s’échapper d’elle. Elle vient de perdre les eaux. Nelly s’extrait de mon sexe et se rhabille rapidement pour s’occuper de Nina. Je reste avec mon pénis toujours aussi gorgé et même souillé des sécrétions de Nelly. Je passe en urgence sous la douche pour nettoyer mon sexe et me rhabille aussi avant d’accompagner Nina en salle d’accouchement. Quelques minutes plus tard Nina donnera naissance à notre enfant. Nous décidons alors de l’appeler Alexandre.
Le lendemain de l’accouchement nous prenons nos premiers cours de jeunes parents : changer une couche, donner un bain, …. Le bonheur et le bien-être sont omniprésents. Seule une douleur dans mes testicules me gêne un peu. Rien de surprenant après l’excitation de la veille et les deux fois où j’étais prêt à jouir sans jamais finir. Nina est splendide malgré son teint fatigué. Le soir venu je dis à Nina que je vais rentrer à la maison pour prendre une douche vraiment nécessaire. Mais Nina ne veut pas rester seule avec le petit. Elle me demande si je ne peux pas la prendre là. Logiquement je n’ai pas le droit. En plus je n’ai pas de vêtements de rechange. Mais ne voulant pas brusquer l’amour de ma vie je me plie à sa requête. J’espère juste que personne ne va entrer dans la chambre à ce moment-là.
Je me déshabille et me prépare à rentrer dans la douche. Nina me demande si je peux laisser la porte ouverte. En effet de son lit elle a la vision directe sur la douche. Je commence à me savonner. Je vois Nina qui me regarde avec tendresse. Son regard posé amoureusement sur moi fait réagir mon corps. Cela se traduit inexorablement par un début d’érection. Son regard devient un peu plus joueur et fixe cette zone de mon anatomie en souriant. Elle a gagné, je bande de nouveau. Elle rigole de l’effet qu’elle a sur moi rien que par le regard. Pour me venger je fais quelques mouvements dessus pour le faire prendre sa taille maximale. Puis je finis ma douche et me sèche. L’exhibition est finie. Enfin, pas tout à fait…
J’attrape mon caleçon et fais la moue. Je n’aime pas remettre des vêtements sales mais aujourd’hui je n’ai pas trop le choix. Voyant ma mine dépitée Nina m’invite à la rejoindre. Je regarde vers la porte d’entrée de la chambre et vais près d’elle. Elle attrape délicatement mon sexe de ses deux mains en me disant :
- Mon pauvre chéri tu n’as même pas pu finir hier malgré toutes ces sollicitations
- Ce n’est pas grave
- Ça ne va pas te faire mal ?
- Quand je rentrerais à la maison je ferais ce qu'il faut pour pas que ça me fasse mal
- Tu veux que j’appelle Nelly pour que vous finissiez ce que vous avez commencé ?
- Non. Il est hors de question que la première femme avec qui je couche après ton accouchement soit une autre que toi
- C’est mignon. Sinon elle peut peut-être te finir avec la bouche ?
- C’est pareil. Et en plus elle n’est vraiment pas douée pour ça
- Pourtant elles sont pleines, dit Nina en descendant une main sur mes testicules
- Oui mais ne t’inquiètes pas pour moi je me débrouillerai seul
- Cela risque d’être quelque chose, ajoute-t-elle en continuant de me caresse le sexe et les testicules
- C’est possible que ce soit explosif
- J’aimerais bien voir ça. Tu ne veux pas m’attendre pour te faire ce petit plaisir que je profite du spectacle ?
Je m’apprête à répondre quand j’entends la porte de la chambre qui s’ouvre. Je m’extirpe des mains de Nina et saute dans la salle de bain. Je ferme la porte derrière moi. Ouf. J’y suis entré avant qu’on me voie. En revanche mes affaires sont restées avec Nina donc je ne peux même pas m’habiller. J’attends patiemment. J’entends Nina qui parle à une voix féminine. Puis Nina m’appelle pour me dire que je peux sortir. J’ouvre la porte et découvre Nelly à genoux par terre, la blouse ouverte, sans aucun autre vêtement et les mains derrière le dos. Je regarde Nina avec interrogation. Elle me dit alors :
- Nelly était déçue de ne pas avoir pu voir une jouissance masculine. Je lui ai donc proposé de la voir de près
Je reste interloqué de la situation. De plus la laideur de cette femme ne me motive pas. Mon sexe s’en ressent d’ailleurs et perd de sa vigueur. Nina le voit bien et m’attire à elle. Elle baisse sa chemise d’hôpital dévoilant sa belle poitrine et attrape mon sexe. En 2/3 mouvements elle lui redonne une taille honorable. Je ne suis pas tout à fait à l’aise avec cette situation. Nelly ramène une de ses mains sur le devant et la glisse entre ses jambes. Cela n’enlève rien à sa laideur mais toujours trouvé beau une femme qui se masturbe. Je me laisse alors aller et me détends. Je vois la belle poitrine de Nina qui rebondit avec ses coups de poignée. Je tends la main pour la caresser mais je reçois une fin de non-recevoir. C’est malheureusement maintenant la chasse gardée de mon fils. Je remplace la main de Nina pour atteindre plus rapidement des sensations jouissives. Je me penche vers ses douces lèvres. Notre connexion buccale est un des meilleurs moyens de me faire monter vite. J’aime sentir sa langue humide se mélanger à la mienne en toute sensualité. Je sens que cela commence à monter. J’accélère le mouvement tout en continuant de l’embrasser. Je me relève car le dos me tire un peu. Nelly est toujours affairée à se doigter. Mais là aussi je sens une main qui manque d’expérience. Décidément je n’envie pas sa vie. Elle me regarde et devant le mouvement de retrait que j’ai naturellement elle me dit :
- Déchargez-vous sur moi. Je veux sentir votre foutre chaud sur mon visage
Cela me redonne de l’élan pour finir. Je pose mon pied sur la chaise à côté et accélère. Nina comprend que c’est bientôt la fin. Elle pose alors une main sur mon sexe pour me masturber, et l’autre sur mon fessier. Ses doigts glissent dans le sillon de mes fesses et viennent en contact avec ma rondelle. C’est vraiment une sensation que j’apprécie de plus en plus. Je me redresse avant de faire signe à Nina qu’elle peut me donner le coup de grâce. Elle le comprend et donne de précis coups de poignets qui me font chavirer. Mes testicules se contractent et se préparent à expulser tout le sperme stocké depuis quelques temps et bien mis sous pression des excitations de ces dernières 24 heures. Le premier jet sort tel un geyser. J’ai l’impression de pisser tellement c’est long et volumineux. Il atterrit sur le crâne de Nelly. Je prends la main sur mon sexe pour diriger les autres à ma convenance. Je dirige le second et le troisième sur son visage. Nelly a un mouvement de recul tellement la pression et la quantité sont importantes. Je continue de m’astiquer et jouis maintenant sur son buste et ses seins. Enfin je finis de nouveau sur son visage. Visage que je distingue à peine sous cette couche gluante et massive de sperme. J’avais parfois vu des vidéos que ce qu’on appelle un « cumblast ». J’ai toujours cru que c’étaient des fakes ou que les acteurs prenaient des produits pour éjaculer autant et si puissamment. Pour la première fois de ma vie je viens de reproduire cette situation. Nelly a le visage entièrement recouvert de mon liquide. C’en est écœurant. Mais qu’est-ce que c’est bon de se vider les couilles…. Nina me sourit. Je l’embrasse puis file dans la salle de bain me rhabiller. Nelly y passe après moi pour se nettoyer. Ce qui prend un bon moment. Puis elle se rhabille également et sort. En peu de temps je pense que nous lui avons fait vivre plus de sensations que sur de nombreuses années. Nous sommes des bons samaritains….
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