Une journée maussade en Vendée

- Par l'auteur HDS Adeux79 -
Récit érotique écrit par Adeux79 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Une journée maussade en Vendée Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2020 dans la catégorie Plus on est
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Une journée maussade en Vendée
Le jour J était arrivé, nous avions rendez-vous à la ville sur la côte Vendéenne pour revoir notre complice de jeux. L’attente avait été longue et très excitante. Une semaine sans pouvoir te faire jouir, que de l’excitation pure sur nos désirs à tous les deux. Des envies partagées par sextos, ou même au creux d’une oreille pour faire monter le désir et l’envie de cette rencontre.
Pour ce samedi, je voulais être la petite souris qui regarde. Te voir avec lui, le regarder prendre possession de tes courbes sous mes yeux de voyeur consentant. Je voulais te voir assouvir ton envie.
Nous roulions pour le rejoindre. La route est un peu longue quand le désir est au maximum. Tu t’es calfeutrée dans ton manteau pour que je ne puisse pas voir ta tenue pour cette occasion. De temps en temps tu me disais que ton sexe était trempé. J’avais averti notre partenaire que je voulais le voir profiter de ma chère et tendre. Il en était ravi et comme d’habitude, toujours à l’écoute de nos attentes du moment. Arrivé à l’hôtel pour déposer nos affaires, nous l’avons appelé pour qu’il passe nous chercher. Il voulait nous faire visiter son parking d’entreprise. Une belle idée qui avait fait son chemin toute la semaine. Nous avons fait quelques pas dans la rue, et nous sommes montés dans sa voiture. Il a roulé doucement, complimentant ma femme. Je voyais ses yeux brillants de désir. Elle le savait, je voulais qu’elle se laisse aller. La voiture s’est engouffrée dans le parking souterrain. Il est allé se stationner au plus loin. Un samedi, un parking d’entreprise est quasiment vide, pour notre plus grand plaisir. Nous sommes descendus, nous avons marché, le bruit de nos pas en résonnance. Nous discutions de tout, nous le suivions avec une excitation certaine. Il nous a fait découvrir un petit passage entre deux murs, débouchant sur un petit couloir à l’abris des voitures de passage. Je l’ai vu se rapprocher de ma femme avec un regard gourmand. Elle a posé son sac à main par terre. Il a ouvert son manteau sous mon regard pétillant. En quelque instant, une vision dès plus érotique et coquine est apparue. Ma femme appuyée le long d’un mur gris, sa guêpière apparente, sa jupe relevée sur ses hanches et notre complice la dévorant de ses mains et de sa bouche. Elle soupirait enfin, libérant la tension de la semaine à attendre cette situation. En bottes noires, jupe relevée, en bas auto fixants, mains sur sa tête pour qu’il lui lèche le clitoris. Un gémissement résonne dans ce parking il n’en fallait pas plus pour me faire durcir et me caresser le sexe devant eux. La scène dura quelques minutes, il lui a arraché des soupirs et quelques cris au moment où son sexe l’a pénétré. Face à face il ondulait du bassin pour faire rentrer son sexe en elle. Ses mains avides de son corps, avaient pris sa poitrine. Sa bouche, elle montait et descendait temps tôt sur ses mamelons érigés, temps tôt dans son cou. Les bras en croix, les jambes écartées, j’ai pu la voir épanouie sous ses assauts torrides.
Il l’a retourné face au mur. Elle a cambré son dos en écartant les jambes. Notre joueur la prise en lui tenant les hanches à deux mains. Ses coups étaient plus forts et saccadés. Elle ne retenait plus ses cris. Ça résonnait, j’avais presque peur que quelqu’un vienne et nous surprenne. Mais rien n’a pu interrompre ce coït magistralement torride. Quelques secondes ont suffi pour que l’excitation trop débordante ne se répande dans son préservatif.
Je me suis enfin approché d’elle, je lui ai caressé le sexe. J’étais heureux de la sentir si excitée. Je me suis introduit en elle quelques secondes après notre partenaire. Je me suis laissé aller en elle. D’une voix douce au creux de mon oreille, elle gémissait et m’interdit de jouir maintenant. Je me suis donc retiré, frustré et au bord de la jouissance. Nous nous sommes réajustés, avant de nous diriger vers la sortie du parking, pour aller boire un verre en ville. Main dans la main nous marchions. Nos regards complices en disaient long sur le reste de la soirée. Mon envie de la voir avec lui et de la faire gémir était encore très présente. Elle m’a murmuré qu’elle avait adoré, et qu’elle comptait bien continuer toute la soirée pour me rendre dingue.
Merci mon amour de cette complicité coquine. Jamais je n’aurai pu imaginer que cela m’arriverait et que j’en serai extrêmement excité au point de continuer ….



Nous nous sommes rendus dans un bar de La Rochelle, nous avions une grande soif ! L’endroit était sympathique. Le serveur nous a installé au fond du bar, sur des petites chaises style école, notre table était un simple touret de chantier. Une fois la commande et nos verres servis nous avons parlé de nos vies, nos projets et même de nos enfants. Ma femme n’arrêtait pas de faire descendre le bas de sa jupe. La position était faite pour que la naissance de ses bas soit juste offert pour notre imagination. Je l’ai même incité à les laisser paraître. Notre complice m’a souri de cette délicate attention que je lui rendais. Poursuivant notre jeux libertin, je surveillais la venue de clients vers notre direction. Le temps d’un moment il en a profité pour caresser ses cuisses. Glissant même la main entre celles-ci. L’instant fût furtif, mais tellement érotique dans un lieu public. L’excitation remontait en chacun d’entre nous. Nous avons convenu qu’il était l’heure de nous réchauffer à l’hôtel. Facture payée, nous avons pris la route ensemble. La pluie et le vent nous a forcé à accélérer le pas. 10min, de marche ont suffi pour être enfin au chaud de l’hôtel. L’hôtel près de la gare, un lieu de passage et surement rempli d’histoire comme la nôtre. Les réceptionnistes n’ont pas du tout relevé notre présence. La chambre était au 2ème étage, et comme à notre habitude nous choisissions les escaliers. Madame devant comme il se doit, nous pouvons regarder son déhanché sensuel et l’ascension de sa jupe à chaque marche montée. Notre coquin en profita pour glisser sa main entre ses jambes la stoppant entre deux étages. Caresses que je suppose très agréable au vu de l’accélération de sa respiration. Mais l’entrée d’un intrus dans la cage d’escalier mis fin à cette scène. Nous avons cherché notre chambre dans le dédale des couloirs. Devant la porte à code, le temps que j’ouvre la porte, notre duo en profita même pour quelques caresses.
Dans la chambre, le temps d’un instant pour nous préparer, je m’installais sur une chaise au coin du lit.
Nu, mon téléphone en mode photo en main, j’observais le moment attendu. Ils se sont caressés, déshabillés. Il l’a installée sur le lit, et sa bouche avide est venue sur son sexe. Elle se laissait aller. Elle profitait. Il lui arracha des gémissements et des râles de plaisir, tandis que je mitraillais leurs corps en ébullitions. Les vêtements tombaient au fur et à mesure. Nus tous les deux, ils se sont donnés du plaisir. Cunnilingus, fellation, caresses intimes, seins embrassés et fesses écartées, temps de passion pour le plaisir et rien que le plaisir. Je me masturbais entre deux photos pour immortaliser notre passion du sexe. Après un 69 exquis pour mes yeux et je pense aussi pour eux, il l’a pénétré en missionnaire. J’ai pu voir son membre la prendre. Son gland plus développé est entré sans difficulté. Les jambes relevées et entourée autour de sa taille, elle l’accueillait. Ses assauts étaient forts et violents par moment. Elle criait de plaisir. Son corps appelait le plaisir encore et encore. Ils changeraient plusieurs fois de positions. Quel plaisir de voir sa femme en action. Je me caressais frénétiquement par moment avec l’envie de jouir devant notre duo. Prise en levrette, je ne pouvais détacher mon regard de ma femme. Tête dans l’oreiller, dos cambré, il la culbutait encore et encore. Ses seins ondulaient anarchiquement sous la pression de son corps sur le sien. La puissance la fît basculer en avant, l’obligeant à poursuivre dans cette position.
Mais cela ne le calma pas pour autant. Il a même accéléré son pilonnage avec le cul de ma femme cambré au maximum pour le recevoir. Dans un dernier effort torride, je l’ai vu jouir en elle et en lui arrachant un dernier râle de plaisir.
Je me suis approché doucement du lit. Son regard interrogateur me demandait si tout allait bien. Mon sourire et mon érection lui suffit pour comprendre. Trop excité par mon côté voyeur, je me suis introduit en elle. Je me suis fait plaisir, égoïstement peut être, j’ai profité de son corps à peine remis de l’étreinte de notre partenaire. Tout son corps m’appelait, je n’ai pas pu résister moi non plus très longtemps à l’envie d’exploser.
La nuit était tombée, nos esprits embrumés de cet abus de sexe, nous nous sommes préparés pour ressortir et nous sustenter afin de mieux recommencer.
Choix du restaurant fait, nous nous sommes installés et comme de vieux amis nous avons profité de la convivialité de chacun, de la richesse de la discussion et bien sûr de nos souvenirs communs de nos anciennes rencontres hôtelières passées. Nous avons pris notre temps, la tension de départ était moins présente. Mais l’envie et le désir de continuer sur cette lancée était d’actualité.
La suite de la nuit s’est passée comme dans nos envies respectives. Nous sommes retournés à l’hôtel. Dans la chambre aux draps encore défaits, nous avons cette fois profité de madame ensemble. Notre trio se connait bien. Nous partageons les mêmes plaisirs. Chacun occupant une partie de son corps offert. Ses seins, ses mamelons sont caressés, pincés et sucés. Son sexe léché, doigté et pénétré. Sa bouche gourmande acceptait volontiers nos sexes. Une danse sexuelle, torride pour le plaisir de tous. Alternant levrette, amazone et j’en oubli, je ne rêvais pas mieux d’avoir une femme si passionnée par le plaisir. Dans nos ébats et entre deux gémissements, elle demanda même à se faire enculer. Des mots si hard sortant de sa bouche me comblèrent dans un tel moment. Elle nous a fait jouir chacun notre tour. Lui en missionnaire, je l’ai vue la prendre frénétiquement, l’encerclant de ses bras, alors qu’elle resserrait son étreinte avec ses jambes croisées dans son dos. Dans un râle étouffé dans son cou, il a déversé son dernier plaisir dans son étui en latex avant de s’écroulé sur le côté. Mon côté voyeur lui avait laissé la place pour se dernier moment. Je me suis installé au-dessus de ma femme, dans la même position. Mon érection palpitante fût accueillie par son sexe humide. Mon étreinte fût courte mais intense. J’ai un plaisir monstre à prendre mon épouse « à la chaine » comme nous aimons nous le dire. Mon sperme coula en elle, au moment où nos lèvres se sont collées et nos langues mélangées, étouffant l’un et l’autre notre plaisir ultime.
La nuit fût courte. Notre partenaire, tel un gentleman nous laissa à deux, à 2 heures du matin, pour le reste de la nuit. Non sans passer à la douche avec ma femme pour une dernière danse de caresses sous l’eau chaude.

Le lendemain, nous avons repris la route avec des images pleins la tête. Nous étions fatigués tous les deux mais le sourire sur nos lèvres et nos regards complices étaient suffisant pour comprendre que ce fût une soirée mémorable et surement une soirée qui risque d’alimenter nos fantasmes pendant de longue semaine lors de nos folles soirées d’amour ou même lors de nos petits moments de masturbation individuel….

Je t’aime ma femme. Merci d’être si coquine pour nous, pour toi, pour moi…

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Texte coquin : Une journée maussade en Vendée
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