Une journée particuliere
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Une journée particuliere
Je suis en retard. Foutu réveil matin !
Ce n’est pourtant pas le jour. J’ai rendez vous dans moins d’une heure avec mon nouveau patron. Sa secrétaire m’a appelé hier après midi.
- Bonjour madame. Vous avez postulé pour un poste de secrétaire comptable. Si vous êtes toujours intéressée, présentez-vous à huit heures trente à notre siège social.
Intéressée, je le suis, bien évidement. Il serait dommage de ne pas décrocher le job à cause d’un retard stupide.
Bien décidée à mettre tout mes atouts à mon avantage, j’ai choisi ma tenue avec soin…un beau tailleur blanc.
Je ne porte que la veste. Elle me fait un beau décolleté et pour l’agrémenter, j’ai choisi un magnifique soutien gorge à balconnet, orné de dentelle fine.
C’est un ensemble et je porte également son porte jarretelles, lui aussi garni de la même dentelle.
J’habille mes jambes de bas de soie et passe de beaux escarpins vernis.
Un beau chignon, sobre, une goute de parfum, mes plus belles lunettes et me voici.
Line en mode secrétaire.
Je saute dans ma voiture et fébrile, je roule vers mon destin.
Je me gare face une tour de verre. Je pénètre dans un hall immense et me dirige vers l’accueil.
- Bonjour ! J’ai rendez vous pour la place de secrétaire comptable. Société Transnicol
- Votre nom, s’il vous plait ?
- Bonchair ! Madame Line Bonchair.
- Une seconde, je me renseigne.
C’est une jeune fille de vingt ans. Magnifique brune aux cheveux longs et yeux verts. Elle a un physique de rêve. Son sourire est radieux et sa façon de me regarder me trouble au plus haut point.
Elle me sort hélas de ma rêverie.
- Veuillez vous rendre au quatrième étage. Vous y êtes attendue. Les ascenseurs se trouvent ici, juste à votre droite.
- Merci, charmante Jessica !
Je lui décoche un petit clin d’œil discret, en tapotant son badge, accroché à sa poitrine. Elle me sourit et reprend son travail.
Mais lorsque j’arrive à l’ascenseur et que je me retourne machinalement, je la surprends à me regarder encore. Gênée, elle détourne la tête rapidement. Ca m’amuse.
Je monte et appuis sur le bouton de l’étage. Sans doute pour calmer mon léger stresse, je frotte la petite plaque argentée, marquée « Schindler ».
La porte s’ouvre et je débouche directement sur un grand comptoir ou est indiqué, une fois de plus « ACCUEIL ».
Une femme à l’allure austère, vient vers moi.
Elle doit avoir une quarantaine. Chignon serré, tailleur noir, strict, démarche saccadée comme si elle avait un bâton dans le cul. Pas très belle et pas très engageante cette femme.
- Madame Bonchoir ? Suivez-moi, mademoiselle Barella va vous recevoir.
- Heu non ! Madame Bonchair, pas Bonchoir ! Bonchair ! Heuu, dites moi ? Le PDG est une… PDGère ?
- Oui ! Quelle importance, je vous le demande ?
Houu ! Ce ne sera pas ma copine celle là. Quelle conne !
Barella. Ca me fait penser à ce vieux film de science fiction, Barbarella. Jane Fonda y était sublimement sexy. Ma patronne le sera-t-elle autant ?
J’aperçois une porte au fond d’un couloir. Sans doute son bureau. Mon cœur s’emballe un peu.
Madame `Ducon` me demande de patienter et entre dans le bureau.
Mince, je n’ai rien pu voir.
Elle en ressort deux minutes plus tard.
- Asseyez-vous, mademoiselle Barella va vous recevoir dans un instant !
Je prends une revue qui traine là. Je tombe sur une page de lingerie féminine.
Hummm ! Il y a de bien belles choses, j’arracherais bien la page, moi !
- Madame Bonchoir ?
- Ho !
Plongée dans mes rêveries, je ne l’ai pas vu sortir de son bureau. Je sursaute et en fait tomber la revue. Putain ! Celle-ci reste ouverte sur ma page. Je dois être rouge coquelicot
Je panique.
- Houlà ! Je suis désolée ! Je…. Je suis confuse !
Et comme par hasard, la revue glisse deux fois de la pile de magasines, et retombe à terre.
- Ce n’est pas grave, laissez ! Je vous en prie madame Bonchoir, entrez ! Entrez !
Jusque là accroupie, je n’ai vu d’elle, que ses chaussures talons aiguilles. Je me redresse, remontant son corps tel un alpiniste une montagne, un ascenseur un immeuble.
Elle porte des bas à coutures. Jupe plissée dix centimètres au dessus des genoux, pull mohair à grosses mailles, laissant entrevoir un soutien gorge noir, bien rempli.
- Bonchair, madame ! C’est Bonchair !
Sa beauté m’explose au visage. Dieu qu’elle est belle.
Cheveux auburn, longs et bouclés, de grands yeux très bleus en amande et savamment maquillés, un petit nez très légèrement retroussé, qui lui donne un air polisson et une magnifique bouche, ornée de lèvres couleur fraise, que je dévorerais bien.
Son parfum est enivrant sans être entêtant. Je suis sur qu’elle le porte entre les seins. Hummmm !
Allons bon ! Voilà que je fantasme sur ma future patronne.
Elle semble avoir remarqué mon trouble et me fait un petit sourire en coin.
- Très bien madame Bonchair ! Je vous en prie, entrez et installez vous.
Sa voix est douce, chaude, sensuelle. De celle qui apaise, qui calme.
Sauf moi. Je suis tendue comme la corde d’un arc.
Je m’assois sur le bord de l’assise d’un grand fauteuil en cuir qui trône devant son bureau.
Elle ferme la porte et me rejoint
- Désolée d’avoir écorché votre nom. Madame Depetasse a du mal noter, sans doute.
Je la regarde, interloquée.
- Oui, oui ! C’est son nom ! Vous pouvez rire, vous verrez, ensuite on s’y fait. Hihi ! En attendant c’est une excellente collaboratrice. Vous verrez !
- Je ne me permettrais pas de me moquer !
- Bien ! Passons aux choses sérieuses. Vous avez apporté votre CV ?
Je me penche en avant pour ramasser ma pochette en cuir, ou j’ai rangé soigneusement tout les documents qui peuvent m’être utile.
Je me rends immédiatement compte que ma veste de tailleur baille tout ce qu’elle peut, offrant à mademoiselle Barella une vue plongeante sur ma lingerie et le haut de ma poitrine.
Instinctivement, je plaque une main sur ma veste, pour la coller à moi.
Sylviane, c’est son prénom, du moins celui qu’indique sa jolie gourmette, s’amuse beaucoup de ma gêne.
- Pas bien grave, tout ca ! Nous sommes entre nous ! Entre femmes ! Ne vous en faites pas.
Je me redresse encore rouge de honte et je lui tends le CV.
Elle lit le document en tournant dans la pièce, me laissant tout le loisir de la contempler.
Elle doit frôler la cinquantaine, mais c’est une très belle plante, que le temps semble avoir épargné.
Elle revient face à moi et s’assoit à moitié sur son bureau.
- Humm ! C’est un bon CV. Je vois que vous êtes célibataire ?
- Heu oui, enfin…non ! Divorcée, mais je vis avec quelqu'un.
- Un homme, je suppose ?
- Je vous demande pardon ?
- Non, rien ! Ca n’a aucune espèce d’intérêt. Tenez, vous pouvez ranger ca.
Elle me redonne mon document et je me penche de nouveau. Sans la voir, je sens son regard dans le décolleté de ma veste.
Lorsque je me redresse, elle est complètement assise sur son bureau. Elle croise les jambes. Placée juste devant elle, je peux voir sa cuisse blanche, au dessus du bas, sous la jupe plissée.
- Je pense que vous pourriez faire l’affaire, mais…
- Oui ?
- Et bien, j’exige de mes collaboratrices, un peu plus que du travail. J’entretiens une relation plus…proche et particulière, avec certaines d’entre elles. Mais je pense que vous comprenez et que cela ne vous dérange en rien. Je le sens. N’est ce pas, Line ?
- Heuu ! Je suis désolée, mais j’ai peur de ne pas comprendre.
D’un coup, son regard s’assombrit. Elle semble agacée.
Elle se penche un peu et appuit sur le bouton d’un interphone.
- Guislaine ? Veuillez venir dans mon bureau, s’il vous plait !
A peine cinq secondes plus tard, madame Desalope, ou je ne sais quoi, entre dans le bureau. Elle porte dans ses bras tout un tas de dossier.
- Posez ca là, Guislaine et approchez !
Elle pose sa pile de dossiers sur une autre pile de dossiers, et s’approche de sa patronne.
- En position, salope !
J’entends l’ordre comme un claquement de fouet. Je suis abasourdie, sidérée.
Guislaine, semble savoir exactement ce qu’on lui demande et comme un ballet bien orchestré, retire quatre barrettes de ses cheveux. Une lourde chevelure brune s’écroule sur ses épaules. Très artistiquement elle secoue la tête pour leurs permettent de s’étaler de façon régulière. Puis, elle déboutonne sa veste, sort le bas de son chemisier de sa jupe et l’ouvre à son tour.
Vêtements ouverts, laissant apparaitre une poitrine opulente de toute beauté, elle remonte à présent sa jupe moulante jusqu’à la taille. Un porte jarretelles noire encadre un minou touffu mais bien taillé, libre de tout sous vêtement.
Enfin, elle retire ses lunettes. Je dois reconnaitre que ce n’est plus la même femme. Elle est… magnifique.
Quasiment nue, ou du moins offerte à nos regards, elle fait un pas de plus et se met à quatre pattes aux pieds de sa patronne.
Je me lève d’un bond.
- Désolée ! Je ne pense pas pouvoir faire l’affaire !
De sa jambe croisée, elle monte son pied rapidement et vient le placer entre mes jambes. La pointe de son escarpin a disparu sous ma jupe en la relevant un tout petit peu.
Elle se penche très légèrement en arrière, s’appuyant sur la paume de ses mains.
- Laissez-moi en juger, Line. Laissez-moi une chance de vous prouver que mon intuition est bonne. Ensuite, libre à vous de partir. Qu’en pensez-vous ?
Tandis qu’elle parle, elle frotte doucement les bords de son escarpin sur l’intérieur de mes cuisses. Le cuir crisse sur le nylon de mes bas, m’électrisant toute entière.
Je suis comme paralysée.
Son regard est empreint de gentillesse et de douceur. Son sourire est ravageur et coquin.
Cela n’empêche en rien, mes jambes de trembler.
Son pied remonte lentement le long de ma cuisse, soulevant de plus en plus ma jupe.
- Vous tremblez, Line. Vous avez peur ?
Aucun son ne sort de ma bouche. Ma respiration s’accélère et je sens mon intimité qui…
Ho mon dieu ! Dans ma précipitation, je n’ai pas passé mon string qui avait fini de sécher dans la salle de bain.
Trop tard ! Le bout de sa chaussure effleure ma vulve.
Etrangement, elle n’insiste pas. Elle retire son pied et se lève de son bureau.
- Vous voyez bien, Line ! Nous jouons dans la même cour.
- Ho ! Je ne sais pas si…
Elle prend mon visage entre ses mains et dépose un baiser sur mes lèvres. Dieu qu’elle est douce. Son parfum m’enivre. Je me sens perdre pied.
- Et bien ? Vous ne savez pas quoi ?
Je suis perdue, comme hypnotisée.
- Hoo ! Embrassez-moi, Sylviane ! Embrassez-moi !
- C’est moi qui donne les ordres ici, trésor ! Remonte ta jupe et assis toi dans le fauteuil.
Le tutoiement soudain me glace, tout autant que sa réponse. Mais je pense avoir été trop loin pour me sauver maintenant.
Je remonte ma jupe sur ma taille, et pose mes fesses sur le bord du cuir glacé.
Elle me pousse et je m’écroule dans le fauteuil.
Elle claque des doigts et Guislaine, toujours à quatre pattes, se place devant moi et plonge son visage entre mes cuisses.
- Oui, brave chienne ! Lèche la, bien comme il faut ! Bouffe la chatte de cette salope, pendant qu’elle s’occupe de moi !
Je n’aime pas trop ce qui se passe, mais je n’ose pas intervenir. J’ai un peu peur, je me l’avoue.
Sylviane vient près de moi et soulève sa jupe plissée.
- Tu vois Line, nous sommes trois à vivre notre intimité, libre et naturelle.
Comment lui dire qu’en ce qui me concerne, c’est un impardonnable oubli.
Elle se caresse regardant sa secrétaire me faire monter en pression. Elle s’avère être très douée et je ne suis pas longue à ne plus pouvoir cacher des signes de plaisirs.
Sylviane lève une jambe et pose son pied sur l’accoudoir opposé.
Sa vulve rasée de près se retrouve à dix centimètres de mon visage. Elle est belle et accueillante, même si les grandes lèvres se détendent un peu. Son clito est énorme et tentant.
- Fais moi jouir petite salope et le poste est à toi !
Les effluves féminines parviennent à mes narines et complète l’état d’excitation que me procure Guislaine.
Lorsque je croque le fruit mûr et juteux, je suis prise d’un magnifique orgasme.
Elle est délicieuse et juteuse à souhait. Je prends un réel plaisir à la sucer. Je titille sont bouton, jusqu’à lui faire pousser un cri de plaisir.
Un cri, j’en pousse un aussi, lorsque Guislaine entreprend de me branler le cul.
J’adore ca.
Sylviane jouit. Elle jouit et parle.
- Hummmm ! Viens travailler avec moiii ! Hoooo ouiiii ! Nous baiserons autant que tu le veux ! Ouiiii ! Tu me plaiiiiis ! Salopeeee ! Haaaaa ! Guislaine nous fera jouir, toute les deuuuuuuux ! Hooooo !
L’écouter m’excite beaucoup, et je jouis une nouvelle fois, très fort, inondant le visage de la pauvre secrétaire.
Mais soudain, le téléphone sonne et tout s’arrête. Le travail reprend le dessus. Hélas !
Sylviane redevient une femme d’affaire en moins de cinq secondes.
Guislaine se rhabille, refait son chignon et disparait.
Je me lève et après m’être redonnée une allure normale, j’attends que l’appel de Sylviane se termine.
Tout en téléphonant, elle me regarde, me détaille. Je suis mal à l’aise et je dois rougir de nouveau.
Elle raccroche enfin.
- Alors, Line ! Le poste vous intéresse ? Moi, vous me convenez, parfaitement.
- Heuuu ! Je peux vous téléphoner demain ? J’ai besoin de réfléchir. Tout ca est si nouveau pour moi.
- Et bien, ne réfléchissez pas trop longtemps, les candidates sont nombreuses. Au revoir madame Bonchoir.
- Bonchair ! Madame Bonchair ! Au revoir madame Barbarella. Heuuuu ! Barella ! Excusez-moi ! Je suis désolée ! Hihi !
Je ne peux m’empêcher de rigoler. Sans doute les nerfs qui se relâchent.
Je sors de la tour et m’arrête à la porte pour prendre une grande bouffée d’air frais.
- Madame Bonchair ?
Je cherche qui m’appelle. C’est la charmante hôtesse d’accueil qui se grille une cigarette.
- Jessica ? C’est la pause ?
- Ho, juste le temps d’une clope. Faut déjà que j’y retourne.
- Alors, bon courage Jessica.
- Merci, madame Bonchair.
- Line ! Mon prénom c’est Line.
- Oui, je sais !
Elle me fait un sourire attendrissant et s’éloigne en sautillant.
A y regarder de plus près, elle a dix huit ans, plutôt que vingt. Je suis certaine que c’est son premier emploi.
C’est une petite poupée, qui semble douce et fragile.
Je m’apprête à me laisser happer de nouveau par la ville, quand…
- Lineee ! Lineee !
- Jessica ? Qu’est ce qui ce passe ?
- Je me disais… Je finis à midi. J’aimerai vous inviter à manger chez moi. Je suis toute seule et je m’ennuie beaucoup. Ca vous tente ? Vous êtes libre ?
- Heuuu ! C’est imprévu, mais pourquoi pas, Jessica ! C’est très gentil en tout cas. Je serais là à midi, promis !
J’ai trompé le temps en faisant du lèche-vitrine.
Midi sonne et Jessica me rejoint. Elle a troqué son uniforme d’hôtesse pour une jolie robe, fraiche et sexy.
- J’habite à deux pas ! On y va à pied ? Ok ?
Effectivement, ce n’est pas très loin. Elle me conduit jusqu’à son petit studio. Il lui ressemble. Tout dans les tons pastel. Couleurs douces et tendres comme elle.
Nous dévorons des tagliatelles à la carbonara. Un thé plus tard, nous sommes assises dans son petit canapé.
Si petit, que pour gagner de la place, je passe un bras autour de ses épaules.
Nous discutons de choses et d’autre. Elle vient effectivement d’avoir dix huit ans et elle a eu la chance de trouver ce job, tout de suite.
Elle est adorable.
Tout en parlant et bien machinalement, je lui caresse les cheveux. Jusqu’au moment où je m’en aperçois.
- Oups ! Excuse moi, je ne me suis même pas rendu compte. Hihi !
Elle reprend ma main aussitôt et la pose sur sa joue.
- Non, Line ! Continuez, s’il vous plait ! Continuez !
Elle embrasse la paume de ma main et la pose sur sa poitrine.
- Je vous choque ?
Ce geste a du lui demander un courage extraordinaire, car elle semble gênée comme personne.
- Non, mais es tu sur de ce que tu veux ?
Elle se vexe et se lève brusquement. Elle se dirige vers la porte d’entrée et l’ouvre en grand.
- Et madame Barella ! Vous lui avez demandé si elle était sur ?Vous savez, tout se sait !
Je quitte le canapé et je me dirige vers la porte.
Je regarde la petite qui est très en colère. Elle a une main sur la porte et l’autre, le poing fermé sur la hanche. Elle fait la moue.
Je claque la porte et je la colle contre le mur pour l’embrasser passionnément.
Elle se débat un moment, puis elle se détend et passe ses bras autour de mon cou.
Je sens son petit corps ferme contre le mien.
- Je suis désolée, Line. Je n’avais pas le droit de vous parlez comme ca.
- N’en parlons plus. J’ai très envie de t’aimer, Jessica.
Elle rougie et cache son visage en baissant la tête.
- C’est bien ce que tu désires, non ?
- Mais… Je ne l’ai jamais fait avec une fille. Je ne sais pas pourquoi, j’ai été comme envoutée par vous.
- C’est plutôt flatteur ma toute douce. Il n’est pas trop tard. Tu peux encore faire machine arrière, tu sais.
- Non, restez ! Vous m’aiderez, dites ?
Elle est touchante. Je la sens tremblante et embarrassée.
- Tu sais, je crois que nous nous aiderons mutuellement . Hihi !
- Un thé ?
Elle file dans son petit coin cuisine pour faire chauffer de l’eau. Face à l’évier, elle remplit la bouilloire.
Je me glisse derrière elle et la ceinture en posant mes deux mains sur son ventre. Je dépose un baiser dans son cou. Elle penche sa tête en arrière pour l’appuyer sur mon épaule.
Elle reste bras ballant, sans doute hésitante encore à donner en échange.
Mes mains se promènent sur sa robe, sur son petit corps.
Tandis que l’une d’elles empoigne un de ses fantastiques petits seins, menus et fermes, l’autre se glisse sur son antre jambe.
Elle serre les cuisses comme si elle avait envie de faire pipi, avec une cuisse légèrement reportée sur l’autre.
- Hihi ! Tu n’aime pas ma caresse ?
- Ho si, bien sur ! Mais ca me fait tout drôle. J’avoue que je suis un peu intimidée.
- Il ne faut pas mon trésor ! Viens là !
Elle se retourne et je la prends dans mes bras. Nous nous enlaçons et nous nous embrassons longuement, très tendrement.
- Je vais te retirer ta robe. Tu veux ?
Je vais doucement, sans geste brusque, tout en douceur pour ne pas l’effaroucher. Un à un, lentement, je fais sauter les boutons de sa robe.
Elle n’ose pas me regarder et baisse les yeux.
- Tu regarde mes seins ?
- Ho non ! Je suis…
- Ouvre ma veste Jessica. N’ais pas peur.
Ses petites mains tremblent délicieusement.
Je fais glisser sa robe sur ses épaules et la laisse tomber dans son dos.
Ses seins sont si menus qu’elle n’a pas besoin de soutien gorge. Elle ne porte qu’un mignon petit string rose. Elle est frêle mais pas maigre. Sa peau est très belle, soyeuse et douce.
Je laisse mes mains sur ses épaules afin de ne pas la gêner à extirper les boutons de ma veste de leurs œillères.
Elle ouvre ma veste et laisse glisser ses doigts jusque sur mon ventre. La délicatesse de son geste me donne un long et agréable frisson.
Je retire ma veste et pour mon plus grand plaisir, elle passe ses bras autour de moi pour dégrafer mon soutien gorge. Je sens ses pointes dures frotter sur la dentelle et je les vois grossir.
Le soutien gorge tombe au sol. Tout doucement, je m’écrase contre elle.
Je laisse le temps, à nos peaux, de faire connaissance.
La petite Jessica ferme les yeux et sa bouche s’entrouvre pour laisser échapper un souffle de contentement. J’y glisse ma langue, qu’elle suce avec délectation et finesse.
Mes mains glissent sur le flanc de son corps et passent sous les ficelles du petit string rose.
Doucement, je dévoile son joli minou.
De son coté, elle entreprend de descendre la fermeture éclair de ma jupe, qui ne tarde pas à retrouver mon soutien gorge, au sol.
Sans doute du au trouble qu’elle ressent, elle ne fait aucune remarque sur le fait que je ne porte rien. Mais l’a-t-elle seulement remarqué ?
Je sens sa fourrure douce et lisse frotter la mienne.
Je n’en peux plus. Je la veux.
Je l’invite à s’assoir sur le plan de travail de sa cuisine. Ce qu’elle fait de bonne grâce.
Je finis de lui ôter son string en le faisant glisser lentement le long de ses mollets.
Puis, j’écarte ses genoux.
Son entre cuisse m’appelle, m‘attire. Je m’approche de sa grotte. Comprenant ce que je m’apprête à faire, elle lève une jambe et pose son pied sur le plan de travail.
Je vois son abricot s’ouvrir délicatement.
Ma bouche est presque au contact. Je tire ma langue, formant une pointe en son bout et je viens titiller un magnifique petit clito, aussi beau que discret.
La petite démarre au quart de tour.
- Ho ! Ho ! Line ! Houu là ! C’est bon ! Ho ! Ho ! Ouii ! Ouii !
La petite salope mouille déjà, abondement.
Sa liqueur est suave, douce comme du miel.
J’introduis maintenant mon organe et la pénètre un peu.
Elle se cambre, se soulève à l’aide de ses mains et pousse son minou contre ma bouche.
Elle en veut plus. Beaucoup plus. Alors je m’enfonce autant que je le peux, tout en faisant frétiller ma langue en elle.
- Hooo Line ! Line ! Ouiii ! Bouffe-moi bien ! Ho ouiii ! Mamannnn ! Hooo ! C’est trop bonnnn !
Je la dévore maintenant sans complaisance. Je veux qu’elle retire de cette expérience, bien plus que du plaisir. Je veux la rendre accro au genre féminin.
En fait, cette petite me plait tant, que je ne veux pas la voir partir au bras d’un beau jeune homme musclé et bronzé.
Non !
Je la veux, pour moi !
Je la fais jouir de ma bouche, deux fois, trois, dix fois.
Son vagin coule comme une fontaine naissante et je m’y désaltère avec passion.
J’introduis un doigt, puis deux. Je la ramone doucement, tout en m’occupant de son bouton rose avec ma langue et un pouce.
Ses cuisses se mettent à trembler, comme prises de convulsions.
- Shiiiiiiiii ! Shiiiiiiiii ! Hoooo ! Lineeee ! Mouiiii ! Rghaaaaaaaa ! Hummmm !
J’ai gagné. Elle lâche tout, comme un barrage qui cède. Elle se libère de tout liquide et inonde mon visage.
Puis, elle se recroqueville sur elle-même. Elle prend ma tête dans ses bras et la serre contre son ventre. Je crois bien qu’elle pleure.
- Ho Line ! C’était si bon ! Si… ! Ho merci ! Merci mille fois !
Nous nous reposons dans son canapé. Nous restons nues pour discuter et nous découvrir.
Puis, c’est elle qui me donnera du plaisir, avec la maladresse de la débutante. Maladresse si attendrissante et touchante.
Je n’oublierais jamais l’étincelle de fierté qui illuminait son regard, après m’avoir fait jouir.
En fin d’après midi, je suis repartie retrouver mon homme et mes enfants, avec dans le cœur le souvenir d’une journée toute particulière.
Pour Line. Mon ange
Ce n’est pourtant pas le jour. J’ai rendez vous dans moins d’une heure avec mon nouveau patron. Sa secrétaire m’a appelé hier après midi.
- Bonjour madame. Vous avez postulé pour un poste de secrétaire comptable. Si vous êtes toujours intéressée, présentez-vous à huit heures trente à notre siège social.
Intéressée, je le suis, bien évidement. Il serait dommage de ne pas décrocher le job à cause d’un retard stupide.
Bien décidée à mettre tout mes atouts à mon avantage, j’ai choisi ma tenue avec soin…un beau tailleur blanc.
Je ne porte que la veste. Elle me fait un beau décolleté et pour l’agrémenter, j’ai choisi un magnifique soutien gorge à balconnet, orné de dentelle fine.
C’est un ensemble et je porte également son porte jarretelles, lui aussi garni de la même dentelle.
J’habille mes jambes de bas de soie et passe de beaux escarpins vernis.
Un beau chignon, sobre, une goute de parfum, mes plus belles lunettes et me voici.
Line en mode secrétaire.
Je saute dans ma voiture et fébrile, je roule vers mon destin.
Je me gare face une tour de verre. Je pénètre dans un hall immense et me dirige vers l’accueil.
- Bonjour ! J’ai rendez vous pour la place de secrétaire comptable. Société Transnicol
- Votre nom, s’il vous plait ?
- Bonchair ! Madame Line Bonchair.
- Une seconde, je me renseigne.
C’est une jeune fille de vingt ans. Magnifique brune aux cheveux longs et yeux verts. Elle a un physique de rêve. Son sourire est radieux et sa façon de me regarder me trouble au plus haut point.
Elle me sort hélas de ma rêverie.
- Veuillez vous rendre au quatrième étage. Vous y êtes attendue. Les ascenseurs se trouvent ici, juste à votre droite.
- Merci, charmante Jessica !
Je lui décoche un petit clin d’œil discret, en tapotant son badge, accroché à sa poitrine. Elle me sourit et reprend son travail.
Mais lorsque j’arrive à l’ascenseur et que je me retourne machinalement, je la surprends à me regarder encore. Gênée, elle détourne la tête rapidement. Ca m’amuse.
Je monte et appuis sur le bouton de l’étage. Sans doute pour calmer mon léger stresse, je frotte la petite plaque argentée, marquée « Schindler ».
La porte s’ouvre et je débouche directement sur un grand comptoir ou est indiqué, une fois de plus « ACCUEIL ».
Une femme à l’allure austère, vient vers moi.
Elle doit avoir une quarantaine. Chignon serré, tailleur noir, strict, démarche saccadée comme si elle avait un bâton dans le cul. Pas très belle et pas très engageante cette femme.
- Madame Bonchoir ? Suivez-moi, mademoiselle Barella va vous recevoir.
- Heu non ! Madame Bonchair, pas Bonchoir ! Bonchair ! Heuu, dites moi ? Le PDG est une… PDGère ?
- Oui ! Quelle importance, je vous le demande ?
Houu ! Ce ne sera pas ma copine celle là. Quelle conne !
Barella. Ca me fait penser à ce vieux film de science fiction, Barbarella. Jane Fonda y était sublimement sexy. Ma patronne le sera-t-elle autant ?
J’aperçois une porte au fond d’un couloir. Sans doute son bureau. Mon cœur s’emballe un peu.
Madame `Ducon` me demande de patienter et entre dans le bureau.
Mince, je n’ai rien pu voir.
Elle en ressort deux minutes plus tard.
- Asseyez-vous, mademoiselle Barella va vous recevoir dans un instant !
Je prends une revue qui traine là. Je tombe sur une page de lingerie féminine.
Hummm ! Il y a de bien belles choses, j’arracherais bien la page, moi !
- Madame Bonchoir ?
- Ho !
Plongée dans mes rêveries, je ne l’ai pas vu sortir de son bureau. Je sursaute et en fait tomber la revue. Putain ! Celle-ci reste ouverte sur ma page. Je dois être rouge coquelicot
Je panique.
- Houlà ! Je suis désolée ! Je…. Je suis confuse !
Et comme par hasard, la revue glisse deux fois de la pile de magasines, et retombe à terre.
- Ce n’est pas grave, laissez ! Je vous en prie madame Bonchoir, entrez ! Entrez !
Jusque là accroupie, je n’ai vu d’elle, que ses chaussures talons aiguilles. Je me redresse, remontant son corps tel un alpiniste une montagne, un ascenseur un immeuble.
Elle porte des bas à coutures. Jupe plissée dix centimètres au dessus des genoux, pull mohair à grosses mailles, laissant entrevoir un soutien gorge noir, bien rempli.
- Bonchair, madame ! C’est Bonchair !
Sa beauté m’explose au visage. Dieu qu’elle est belle.
Cheveux auburn, longs et bouclés, de grands yeux très bleus en amande et savamment maquillés, un petit nez très légèrement retroussé, qui lui donne un air polisson et une magnifique bouche, ornée de lèvres couleur fraise, que je dévorerais bien.
Son parfum est enivrant sans être entêtant. Je suis sur qu’elle le porte entre les seins. Hummmm !
Allons bon ! Voilà que je fantasme sur ma future patronne.
Elle semble avoir remarqué mon trouble et me fait un petit sourire en coin.
- Très bien madame Bonchair ! Je vous en prie, entrez et installez vous.
Sa voix est douce, chaude, sensuelle. De celle qui apaise, qui calme.
Sauf moi. Je suis tendue comme la corde d’un arc.
Je m’assois sur le bord de l’assise d’un grand fauteuil en cuir qui trône devant son bureau.
Elle ferme la porte et me rejoint
- Désolée d’avoir écorché votre nom. Madame Depetasse a du mal noter, sans doute.
Je la regarde, interloquée.
- Oui, oui ! C’est son nom ! Vous pouvez rire, vous verrez, ensuite on s’y fait. Hihi ! En attendant c’est une excellente collaboratrice. Vous verrez !
- Je ne me permettrais pas de me moquer !
- Bien ! Passons aux choses sérieuses. Vous avez apporté votre CV ?
Je me penche en avant pour ramasser ma pochette en cuir, ou j’ai rangé soigneusement tout les documents qui peuvent m’être utile.
Je me rends immédiatement compte que ma veste de tailleur baille tout ce qu’elle peut, offrant à mademoiselle Barella une vue plongeante sur ma lingerie et le haut de ma poitrine.
Instinctivement, je plaque une main sur ma veste, pour la coller à moi.
Sylviane, c’est son prénom, du moins celui qu’indique sa jolie gourmette, s’amuse beaucoup de ma gêne.
- Pas bien grave, tout ca ! Nous sommes entre nous ! Entre femmes ! Ne vous en faites pas.
Je me redresse encore rouge de honte et je lui tends le CV.
Elle lit le document en tournant dans la pièce, me laissant tout le loisir de la contempler.
Elle doit frôler la cinquantaine, mais c’est une très belle plante, que le temps semble avoir épargné.
Elle revient face à moi et s’assoit à moitié sur son bureau.
- Humm ! C’est un bon CV. Je vois que vous êtes célibataire ?
- Heu oui, enfin…non ! Divorcée, mais je vis avec quelqu'un.
- Un homme, je suppose ?
- Je vous demande pardon ?
- Non, rien ! Ca n’a aucune espèce d’intérêt. Tenez, vous pouvez ranger ca.
Elle me redonne mon document et je me penche de nouveau. Sans la voir, je sens son regard dans le décolleté de ma veste.
Lorsque je me redresse, elle est complètement assise sur son bureau. Elle croise les jambes. Placée juste devant elle, je peux voir sa cuisse blanche, au dessus du bas, sous la jupe plissée.
- Je pense que vous pourriez faire l’affaire, mais…
- Oui ?
- Et bien, j’exige de mes collaboratrices, un peu plus que du travail. J’entretiens une relation plus…proche et particulière, avec certaines d’entre elles. Mais je pense que vous comprenez et que cela ne vous dérange en rien. Je le sens. N’est ce pas, Line ?
- Heuu ! Je suis désolée, mais j’ai peur de ne pas comprendre.
D’un coup, son regard s’assombrit. Elle semble agacée.
Elle se penche un peu et appuit sur le bouton d’un interphone.
- Guislaine ? Veuillez venir dans mon bureau, s’il vous plait !
A peine cinq secondes plus tard, madame Desalope, ou je ne sais quoi, entre dans le bureau. Elle porte dans ses bras tout un tas de dossier.
- Posez ca là, Guislaine et approchez !
Elle pose sa pile de dossiers sur une autre pile de dossiers, et s’approche de sa patronne.
- En position, salope !
J’entends l’ordre comme un claquement de fouet. Je suis abasourdie, sidérée.
Guislaine, semble savoir exactement ce qu’on lui demande et comme un ballet bien orchestré, retire quatre barrettes de ses cheveux. Une lourde chevelure brune s’écroule sur ses épaules. Très artistiquement elle secoue la tête pour leurs permettent de s’étaler de façon régulière. Puis, elle déboutonne sa veste, sort le bas de son chemisier de sa jupe et l’ouvre à son tour.
Vêtements ouverts, laissant apparaitre une poitrine opulente de toute beauté, elle remonte à présent sa jupe moulante jusqu’à la taille. Un porte jarretelles noire encadre un minou touffu mais bien taillé, libre de tout sous vêtement.
Enfin, elle retire ses lunettes. Je dois reconnaitre que ce n’est plus la même femme. Elle est… magnifique.
Quasiment nue, ou du moins offerte à nos regards, elle fait un pas de plus et se met à quatre pattes aux pieds de sa patronne.
Je me lève d’un bond.
- Désolée ! Je ne pense pas pouvoir faire l’affaire !
De sa jambe croisée, elle monte son pied rapidement et vient le placer entre mes jambes. La pointe de son escarpin a disparu sous ma jupe en la relevant un tout petit peu.
Elle se penche très légèrement en arrière, s’appuyant sur la paume de ses mains.
- Laissez-moi en juger, Line. Laissez-moi une chance de vous prouver que mon intuition est bonne. Ensuite, libre à vous de partir. Qu’en pensez-vous ?
Tandis qu’elle parle, elle frotte doucement les bords de son escarpin sur l’intérieur de mes cuisses. Le cuir crisse sur le nylon de mes bas, m’électrisant toute entière.
Je suis comme paralysée.
Son regard est empreint de gentillesse et de douceur. Son sourire est ravageur et coquin.
Cela n’empêche en rien, mes jambes de trembler.
Son pied remonte lentement le long de ma cuisse, soulevant de plus en plus ma jupe.
- Vous tremblez, Line. Vous avez peur ?
Aucun son ne sort de ma bouche. Ma respiration s’accélère et je sens mon intimité qui…
Ho mon dieu ! Dans ma précipitation, je n’ai pas passé mon string qui avait fini de sécher dans la salle de bain.
Trop tard ! Le bout de sa chaussure effleure ma vulve.
Etrangement, elle n’insiste pas. Elle retire son pied et se lève de son bureau.
- Vous voyez bien, Line ! Nous jouons dans la même cour.
- Ho ! Je ne sais pas si…
Elle prend mon visage entre ses mains et dépose un baiser sur mes lèvres. Dieu qu’elle est douce. Son parfum m’enivre. Je me sens perdre pied.
- Et bien ? Vous ne savez pas quoi ?
Je suis perdue, comme hypnotisée.
- Hoo ! Embrassez-moi, Sylviane ! Embrassez-moi !
- C’est moi qui donne les ordres ici, trésor ! Remonte ta jupe et assis toi dans le fauteuil.
Le tutoiement soudain me glace, tout autant que sa réponse. Mais je pense avoir été trop loin pour me sauver maintenant.
Je remonte ma jupe sur ma taille, et pose mes fesses sur le bord du cuir glacé.
Elle me pousse et je m’écroule dans le fauteuil.
Elle claque des doigts et Guislaine, toujours à quatre pattes, se place devant moi et plonge son visage entre mes cuisses.
- Oui, brave chienne ! Lèche la, bien comme il faut ! Bouffe la chatte de cette salope, pendant qu’elle s’occupe de moi !
Je n’aime pas trop ce qui se passe, mais je n’ose pas intervenir. J’ai un peu peur, je me l’avoue.
Sylviane vient près de moi et soulève sa jupe plissée.
- Tu vois Line, nous sommes trois à vivre notre intimité, libre et naturelle.
Comment lui dire qu’en ce qui me concerne, c’est un impardonnable oubli.
Elle se caresse regardant sa secrétaire me faire monter en pression. Elle s’avère être très douée et je ne suis pas longue à ne plus pouvoir cacher des signes de plaisirs.
Sylviane lève une jambe et pose son pied sur l’accoudoir opposé.
Sa vulve rasée de près se retrouve à dix centimètres de mon visage. Elle est belle et accueillante, même si les grandes lèvres se détendent un peu. Son clito est énorme et tentant.
- Fais moi jouir petite salope et le poste est à toi !
Les effluves féminines parviennent à mes narines et complète l’état d’excitation que me procure Guislaine.
Lorsque je croque le fruit mûr et juteux, je suis prise d’un magnifique orgasme.
Elle est délicieuse et juteuse à souhait. Je prends un réel plaisir à la sucer. Je titille sont bouton, jusqu’à lui faire pousser un cri de plaisir.
Un cri, j’en pousse un aussi, lorsque Guislaine entreprend de me branler le cul.
J’adore ca.
Sylviane jouit. Elle jouit et parle.
- Hummmm ! Viens travailler avec moiii ! Hoooo ouiiii ! Nous baiserons autant que tu le veux ! Ouiiii ! Tu me plaiiiiis ! Salopeeee ! Haaaaa ! Guislaine nous fera jouir, toute les deuuuuuuux ! Hooooo !
L’écouter m’excite beaucoup, et je jouis une nouvelle fois, très fort, inondant le visage de la pauvre secrétaire.
Mais soudain, le téléphone sonne et tout s’arrête. Le travail reprend le dessus. Hélas !
Sylviane redevient une femme d’affaire en moins de cinq secondes.
Guislaine se rhabille, refait son chignon et disparait.
Je me lève et après m’être redonnée une allure normale, j’attends que l’appel de Sylviane se termine.
Tout en téléphonant, elle me regarde, me détaille. Je suis mal à l’aise et je dois rougir de nouveau.
Elle raccroche enfin.
- Alors, Line ! Le poste vous intéresse ? Moi, vous me convenez, parfaitement.
- Heuuu ! Je peux vous téléphoner demain ? J’ai besoin de réfléchir. Tout ca est si nouveau pour moi.
- Et bien, ne réfléchissez pas trop longtemps, les candidates sont nombreuses. Au revoir madame Bonchoir.
- Bonchair ! Madame Bonchair ! Au revoir madame Barbarella. Heuuuu ! Barella ! Excusez-moi ! Je suis désolée ! Hihi !
Je ne peux m’empêcher de rigoler. Sans doute les nerfs qui se relâchent.
Je sors de la tour et m’arrête à la porte pour prendre une grande bouffée d’air frais.
- Madame Bonchair ?
Je cherche qui m’appelle. C’est la charmante hôtesse d’accueil qui se grille une cigarette.
- Jessica ? C’est la pause ?
- Ho, juste le temps d’une clope. Faut déjà que j’y retourne.
- Alors, bon courage Jessica.
- Merci, madame Bonchair.
- Line ! Mon prénom c’est Line.
- Oui, je sais !
Elle me fait un sourire attendrissant et s’éloigne en sautillant.
A y regarder de plus près, elle a dix huit ans, plutôt que vingt. Je suis certaine que c’est son premier emploi.
C’est une petite poupée, qui semble douce et fragile.
Je m’apprête à me laisser happer de nouveau par la ville, quand…
- Lineee ! Lineee !
- Jessica ? Qu’est ce qui ce passe ?
- Je me disais… Je finis à midi. J’aimerai vous inviter à manger chez moi. Je suis toute seule et je m’ennuie beaucoup. Ca vous tente ? Vous êtes libre ?
- Heuuu ! C’est imprévu, mais pourquoi pas, Jessica ! C’est très gentil en tout cas. Je serais là à midi, promis !
J’ai trompé le temps en faisant du lèche-vitrine.
Midi sonne et Jessica me rejoint. Elle a troqué son uniforme d’hôtesse pour une jolie robe, fraiche et sexy.
- J’habite à deux pas ! On y va à pied ? Ok ?
Effectivement, ce n’est pas très loin. Elle me conduit jusqu’à son petit studio. Il lui ressemble. Tout dans les tons pastel. Couleurs douces et tendres comme elle.
Nous dévorons des tagliatelles à la carbonara. Un thé plus tard, nous sommes assises dans son petit canapé.
Si petit, que pour gagner de la place, je passe un bras autour de ses épaules.
Nous discutons de choses et d’autre. Elle vient effectivement d’avoir dix huit ans et elle a eu la chance de trouver ce job, tout de suite.
Elle est adorable.
Tout en parlant et bien machinalement, je lui caresse les cheveux. Jusqu’au moment où je m’en aperçois.
- Oups ! Excuse moi, je ne me suis même pas rendu compte. Hihi !
Elle reprend ma main aussitôt et la pose sur sa joue.
- Non, Line ! Continuez, s’il vous plait ! Continuez !
Elle embrasse la paume de ma main et la pose sur sa poitrine.
- Je vous choque ?
Ce geste a du lui demander un courage extraordinaire, car elle semble gênée comme personne.
- Non, mais es tu sur de ce que tu veux ?
Elle se vexe et se lève brusquement. Elle se dirige vers la porte d’entrée et l’ouvre en grand.
- Et madame Barella ! Vous lui avez demandé si elle était sur ?Vous savez, tout se sait !
Je quitte le canapé et je me dirige vers la porte.
Je regarde la petite qui est très en colère. Elle a une main sur la porte et l’autre, le poing fermé sur la hanche. Elle fait la moue.
Je claque la porte et je la colle contre le mur pour l’embrasser passionnément.
Elle se débat un moment, puis elle se détend et passe ses bras autour de mon cou.
Je sens son petit corps ferme contre le mien.
- Je suis désolée, Line. Je n’avais pas le droit de vous parlez comme ca.
- N’en parlons plus. J’ai très envie de t’aimer, Jessica.
Elle rougie et cache son visage en baissant la tête.
- C’est bien ce que tu désires, non ?
- Mais… Je ne l’ai jamais fait avec une fille. Je ne sais pas pourquoi, j’ai été comme envoutée par vous.
- C’est plutôt flatteur ma toute douce. Il n’est pas trop tard. Tu peux encore faire machine arrière, tu sais.
- Non, restez ! Vous m’aiderez, dites ?
Elle est touchante. Je la sens tremblante et embarrassée.
- Tu sais, je crois que nous nous aiderons mutuellement . Hihi !
- Un thé ?
Elle file dans son petit coin cuisine pour faire chauffer de l’eau. Face à l’évier, elle remplit la bouilloire.
Je me glisse derrière elle et la ceinture en posant mes deux mains sur son ventre. Je dépose un baiser dans son cou. Elle penche sa tête en arrière pour l’appuyer sur mon épaule.
Elle reste bras ballant, sans doute hésitante encore à donner en échange.
Mes mains se promènent sur sa robe, sur son petit corps.
Tandis que l’une d’elles empoigne un de ses fantastiques petits seins, menus et fermes, l’autre se glisse sur son antre jambe.
Elle serre les cuisses comme si elle avait envie de faire pipi, avec une cuisse légèrement reportée sur l’autre.
- Hihi ! Tu n’aime pas ma caresse ?
- Ho si, bien sur ! Mais ca me fait tout drôle. J’avoue que je suis un peu intimidée.
- Il ne faut pas mon trésor ! Viens là !
Elle se retourne et je la prends dans mes bras. Nous nous enlaçons et nous nous embrassons longuement, très tendrement.
- Je vais te retirer ta robe. Tu veux ?
Je vais doucement, sans geste brusque, tout en douceur pour ne pas l’effaroucher. Un à un, lentement, je fais sauter les boutons de sa robe.
Elle n’ose pas me regarder et baisse les yeux.
- Tu regarde mes seins ?
- Ho non ! Je suis…
- Ouvre ma veste Jessica. N’ais pas peur.
Ses petites mains tremblent délicieusement.
Je fais glisser sa robe sur ses épaules et la laisse tomber dans son dos.
Ses seins sont si menus qu’elle n’a pas besoin de soutien gorge. Elle ne porte qu’un mignon petit string rose. Elle est frêle mais pas maigre. Sa peau est très belle, soyeuse et douce.
Je laisse mes mains sur ses épaules afin de ne pas la gêner à extirper les boutons de ma veste de leurs œillères.
Elle ouvre ma veste et laisse glisser ses doigts jusque sur mon ventre. La délicatesse de son geste me donne un long et agréable frisson.
Je retire ma veste et pour mon plus grand plaisir, elle passe ses bras autour de moi pour dégrafer mon soutien gorge. Je sens ses pointes dures frotter sur la dentelle et je les vois grossir.
Le soutien gorge tombe au sol. Tout doucement, je m’écrase contre elle.
Je laisse le temps, à nos peaux, de faire connaissance.
La petite Jessica ferme les yeux et sa bouche s’entrouvre pour laisser échapper un souffle de contentement. J’y glisse ma langue, qu’elle suce avec délectation et finesse.
Mes mains glissent sur le flanc de son corps et passent sous les ficelles du petit string rose.
Doucement, je dévoile son joli minou.
De son coté, elle entreprend de descendre la fermeture éclair de ma jupe, qui ne tarde pas à retrouver mon soutien gorge, au sol.
Sans doute du au trouble qu’elle ressent, elle ne fait aucune remarque sur le fait que je ne porte rien. Mais l’a-t-elle seulement remarqué ?
Je sens sa fourrure douce et lisse frotter la mienne.
Je n’en peux plus. Je la veux.
Je l’invite à s’assoir sur le plan de travail de sa cuisine. Ce qu’elle fait de bonne grâce.
Je finis de lui ôter son string en le faisant glisser lentement le long de ses mollets.
Puis, j’écarte ses genoux.
Son entre cuisse m’appelle, m‘attire. Je m’approche de sa grotte. Comprenant ce que je m’apprête à faire, elle lève une jambe et pose son pied sur le plan de travail.
Je vois son abricot s’ouvrir délicatement.
Ma bouche est presque au contact. Je tire ma langue, formant une pointe en son bout et je viens titiller un magnifique petit clito, aussi beau que discret.
La petite démarre au quart de tour.
- Ho ! Ho ! Line ! Houu là ! C’est bon ! Ho ! Ho ! Ouii ! Ouii !
La petite salope mouille déjà, abondement.
Sa liqueur est suave, douce comme du miel.
J’introduis maintenant mon organe et la pénètre un peu.
Elle se cambre, se soulève à l’aide de ses mains et pousse son minou contre ma bouche.
Elle en veut plus. Beaucoup plus. Alors je m’enfonce autant que je le peux, tout en faisant frétiller ma langue en elle.
- Hooo Line ! Line ! Ouiii ! Bouffe-moi bien ! Ho ouiii ! Mamannnn ! Hooo ! C’est trop bonnnn !
Je la dévore maintenant sans complaisance. Je veux qu’elle retire de cette expérience, bien plus que du plaisir. Je veux la rendre accro au genre féminin.
En fait, cette petite me plait tant, que je ne veux pas la voir partir au bras d’un beau jeune homme musclé et bronzé.
Non !
Je la veux, pour moi !
Je la fais jouir de ma bouche, deux fois, trois, dix fois.
Son vagin coule comme une fontaine naissante et je m’y désaltère avec passion.
J’introduis un doigt, puis deux. Je la ramone doucement, tout en m’occupant de son bouton rose avec ma langue et un pouce.
Ses cuisses se mettent à trembler, comme prises de convulsions.
- Shiiiiiiiii ! Shiiiiiiiii ! Hoooo ! Lineeee ! Mouiiii ! Rghaaaaaaaa ! Hummmm !
J’ai gagné. Elle lâche tout, comme un barrage qui cède. Elle se libère de tout liquide et inonde mon visage.
Puis, elle se recroqueville sur elle-même. Elle prend ma tête dans ses bras et la serre contre son ventre. Je crois bien qu’elle pleure.
- Ho Line ! C’était si bon ! Si… ! Ho merci ! Merci mille fois !
Nous nous reposons dans son canapé. Nous restons nues pour discuter et nous découvrir.
Puis, c’est elle qui me donnera du plaisir, avec la maladresse de la débutante. Maladresse si attendrissante et touchante.
Je n’oublierais jamais l’étincelle de fierté qui illuminait son regard, après m’avoir fait jouir.
En fin d’après midi, je suis repartie retrouver mon homme et mes enfants, avec dans le cœur le souvenir d’une journée toute particulière.
Pour Line. Mon ange
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'adore cette histoire j'aimerai qu'il y a une suite
agreable lecture! j'adore c'est sensuel
je mouille
Je ne me lasse jamais de lire les histoires que tu m'écris, mon ourson!
Vivement que tu reprennes la plume pour de nouveaux récits ...
Tendres bisous,
Line
Vivement que tu reprennes la plume pour de nouveaux récits ...
Tendres bisous,
Line
Excellent récit, qui mérite une suite !
Rudy
Rudy
genial a quand la suite avec sa patronne je suis impatient
Oh lalaa1! je mouille deja j'aimerai etre avec toi line j'ai envie de ta langue dans mon
minou
minou