Une journée pas ordinaire
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une journée pas ordinaire
Je rangeais mes courses dans le coffre de ma voiture quand j'ai entendu quelqu’un appeler derrière moi :
« Madame ? Madame ? Êtes-vous la femme de Serge Martin ? »
Je me suis retournée pour voir un grand gaillard vêtu d'un polo de sport et d'un jeans délavé s’approcher de moi. Un type solide, bien bâti, dans la quarantaine, brun aux yeux bleus, mais avec l'air un peu fruste, un solide campagnard comme il y en a beaucoup par ici.
« Oui, qui êtes-vous ? » J’ai demandé.
« Je suis un vieux pote à Serge, du club de rugby, quand on était jeune. Je l'ai croisé l'autre jour. On est allé boire une bière ensemble. Il avait cette voiture. J’ai reconnu la plaque d’immatriculation. J’ai pensé que vous pourriez être sa femme. Il m’a parlé de vous. Il m’a dit que vous étiez vraiment très jolie »
J'étais légèrement gênée. Pour me donner une contenance, je lui ai souri : « Ah ! Et ? »
L'homme regardait ses pieds : « Je déteste avoir l’air d’un casse-pieds, et que notre première rencontre soit à cause d’un problème, mais la batterie de ma camionnette est à plat. Pourriez-vous me donner un coup de main ? »
Je lui ai dit que je n'avais pas de câbles ici, mais qu'il y en avait probablement à la maison.
« On peut aller les chercher ensemble, si vous voulez, je vous ramènerai après. Ce n’est pas très loin »
Nous sommes partis à la maison pour chercher ces fameux câbles. Nous habitons à proximité du village, en lisière de la forêt. Il n’y a que quelques minutes de trajet. Comme ce gars était un copain de mon mari, j’ai pensé qu’il n’y avait pas de problème, et que Serge serait d’accord.
Arrivés à la maison, je lui ai ouvert la porte du garage : « Les câbles doivent être quelque part dans ce fouillis » lui ai-je dit, et j'ai commencé à transporter mes courses à l'intérieur.
Dans ma cuisine, je rangeais mes légumes dans le frigo, quand j’ai senti une présence derrière moi. Je me suis retournée, le gars était là avec deux autres sacs.
« Vous êtes si gentille, le moins que je puisse faire, c'est de vous filer un coup de main » il a dit. Mais quand je me suis retournée, il matait mes fesses. Et maintenant, son regard était braqué sur mes seins.
« Merci » ai-je dit sèchement, en lui prenant les sacs.
Il n'a pas bougé pour retourner à l'extérieur, alors j’ai demandé : « Avez-vous trouvé les câbles ? »
« Non »
Il restait là et continuait de me regarder. Selon ma position, pendant que je vidais mes sacs, tantôt mes seins, tantôt mes fesses. Je portais un jean délavé, et une des chemises blanches boutonnées de Serge. Rien de particulièrement sexy, donc, et le regard de ce mec commençait à m’énerver.
« Eh bien, nous allons regarder au garage, ils devraient être là-bas »
Ce type, avec son regard insistant, me mettait mal à l’aise. Je suis redescendue au garage, le type sur mes talons. Je voulais trouver ces putains de câbles et ramener ce mec au supermarché le plus vite possible.
J’ai cherché partout dans le sous-sol, mais je n’ai pas pu les trouver. Il ne m’aidait pas à chercher, il me suivait partout, et n'arrêtait pas de me fixer.
« Serge a dit que tu étais jolie, mais il n'a pas précisé que tu étais si sexy. Vraiment canon ! »
Je ne savais pas quoi répondre, il devenait lourd.
« Montons à l'étage, et j'appellerai une dépanneuse pour vous » J'ai dit pour désamorcer sa tentative.
Je me dirigeais vers les escaliers quand il posa ses mains sur mes épaules.
« Qu'est-ce qui vous prend ? Qu’est-ce que vous faites ? » J’ai crié en essayant de me retourner.
Il a juste serré un peu plus fort ses grosses paluches, et il a chuchoté à mon oreille :
« Serge a dit que tu étais la meilleure pour sucer de bite. Il a ajouté que tu étais vraiment bonne au lit, une super salope, un coup incroyable ! »
J'étais maintenant terrifiée et j'ai essayé de me débattre.
« Ce n'est pas drôle, lâchez-moi, espèce de malade ! » J'ai crié.
La maison n’était pas vraiment isolée, mais les voisins les plus proches, qui habitaient à une centaine de mètres, étaient absents. Je pouvais hurler aussi fort que possible, personne ne pourrait m’entendre. Je ne parvenais pas à m’échapper de sa solide poigne. Plus je me débattais, plus il me faisait mal. Je sentais ses lèvres dans mon cou, sur ma nuque. Il me mordillait l’épaule. Mes soubresauts le faisaient rire.
Je détestais ce qu’il me faisait, d’autant qu'il sentait la sueur et le cambouis, et je me méprisais de ressentir un début d’excitation. Cela m'a rendue encore plus furibarde.
« Arrêtez-ça tout de suite ! » J'ai crié, mais il m'a faite pivoter, et il a mis sa bouche sur la mienne. J'ai essayé de garder mes lèvres fermées, mais la main qui écrasait ma poitrine en tordant mon sein m'a fait ouvrir la bouche.
« Jolis nichons bien ronds » apprécia-t-il. Son autre main a pris possession de mon cul. « Elle a le cul bien rond et les cheveux roux flamboyants, m’avait dit Serge. Mais il n’avait rien dit sur tes seins »
À ce moment-là, j'étais coincée contre la table, et je n'avais nulle part où aller. Quand il a cessé de m'embrasser, il a mis sa main sur ma bouche.
« Tu ne peux pas t'échapper, Serge m’a dit que tu aimes baiser, alors fous-toi à genoux et suce ma bite, ou je serai obligé de te faire mal »
Malgré mes larmes, je me laissais glisser à genoux sur le sol, pendant qu'il appuyait sur ma tête.
« Allez, chérie, on n’a pas toute la journée. Sors ma bite et suce-la, soit une bonne fille »
J'ai baissé sa fermeture éclair, et j’ai écarté son sous-vêtement. Sa bite était presque en érection, et elle a jailli par l’ouverture de son jean. Il sentait fort. J’ai hésité.
« Qu'est-ce que t'attends, petite salope ? SUCE-MOI ! »
J'avais peur de lui, peur qu’il me brutalise, alors j'ai obéi, et j'ai commencé à le sucer du bout des lèvres. Mais cela ne lui convenait pas. Il a mis ses deux mains sur ma nuque pour pousser sa grosse bite dans ma bouche. Je me suis étouffée lorsque le bout est passé dans ma gorge. J’ai eu un réflexe nauséeux. Il m’a relâché pour que je reprenne mon souffle.
Je voulais que ce soit vite fini, alors j'ai pris la décision de faire du bon travail, donc j'ai caressé ses couilles d'une main, pendant que je branlais sa bite de l'autre. Je l'ai léché et sucé partout, en oubliant l’odeur. Je l’ai même pris profondément dans ma gorge.
« Oh ouais, petite salope, ta bouche est douce, c’est un bonheur, bonne fille, continue comme ça, tu vas avoir ta récompense »
J'espérais qu'il allait finir bientôt, alors j'ai accéléré la manœuvre. Sans prévenir, il m'a attrapée par les cheveux, il a retiré sa bite de ma bouche. Toujours en tirant sur mes cheveux, il m’a obligée à me relever, il m'a fait faire un demi-tour, et m’a penchée sur la table. J’ai crié quand il a baissé mon pantalon et ma culotte. Il a collé sa main entre mes fesses pour doigter mon anus.
« NON ! Pas là ! Non » Je l'ai supplié, et sa main a fait le tour, pour masser mon monticule.
« Ferme ta gueule, écarte les jambes ! »
Il m’a menacée. J'ai réalisé que si je résistais, que je ne faisais pas ce qu'il voulait, il pourrait me faire du mal. J'avais honte parce que le frottement de ses doigts dans ma chatte me rendait humide. Il insistait, ses doigts allaient et venaient, massaient mon clitoris, puis revenaient s’enfoncer en moi. Bientôt le clapotis humide de ma chatte, suant doucement ses jus, devint évident. Il a mis plusieurs doigts dans ma chatte, et mon excitation a augmenté.
« Voilà, bébé, c'est de ça qu’il m’a parlé, ton homme, une bonne fille mouillée et excitée qui aime la bite »
Il a pesé sur ma nuque, m'a penchée sur la table, et l’instant suivant, j'ai senti son énorme bite pousser entre les lèvres de ma chatte. J'étais si émoustillée que j'ai instinctivement poussé mon cul contre sa bite. Il est entré en moi sans forcer. C'était tout ce dont il avait besoin. Pas besoin d’encouragements. Il a attrapé mes hanches avec ses grosses paluches, et il m’a baisée. Dès le début, son rythme était vif, et j’ai pensé qu’il n’allait pas durer longtemps.
« Tu es vraiment serrée, une parfaite petite salope, tout comme Serge m’a raconté » grognait-il.
Il gémissait en s'enfonçant plus fort en moi. Je poussais mon cul contre lui pour résister à ses charges, et la boucle de son ceinturon meurtrissait mes fesses. Ses mains ont lâché mes hanches pour empoigner et meurtrir mes nichons. Il mettait du cœur à l’ouvrage et il m'écrasait contre la table à chaque poussée.
L’orgasme m’a traversée comme un ouragan. J’ai eu une faiblesse dans les jambes. J’ai joui si fort que je n’ai pas pu m’empêcher de crier. Dolente, sans forces, il m’a écrasée sur la table pour quelques poussées supplémentaires, avant de crier : « Ça y est, chérie, prends tout » Puis il s’est retiré.
J’ai pensé que c’était fini, qu’il allait partir, mais il m’a retournée pour m’allonger à plat dos sur la table, les jambes pendantes. Il a soulevé mes jambes pour retirer entièrement mon jeans et ma culotte. Puis il a levé mes jambes bien haut en les écartant. Il m’a attrapé par les cuisses, s’est glissé entre elles, et m’a pénétrée.
J'étais sur le dos, les jambes repliées, il me tenait par les cuisses, et il s'enfonçait encore plus profondément en moi qu'avant. Il m'a martelée, défoncée, rudoyée, orgasme après orgasme. J'ai perdu le compte du nombre de fois où j’ai joui, pleurant de joie et de gratitude.
Finalement, il a ralenti, puis s'est retiré. Je restais là, sans bouger, vibrante d’épuisement. Il m’a laissée allongée sur la table, m’a couchée sur le côté, puis s’est déplacé vers ma tête.
« Suce-moi, finis le travail »
J'ai fait ce qu'il voulait pendant qu'il glissait deux doigts dans ma chatte martyrisée. La paume de sa main frottait sur mon clitoris. En peu de temps, je suis venue. Il a retiré sa bite de ma bouche, et ses doigts de ma chatte. Il a mis ses doigts dans ma bouche pour que je suce ma mouille, et s’est branlé. Il a éjaculé partout sur mon visage et sur mes seins.
« Frotte tes jolis seins ! Répand mon sperme de partout sur tes nichons, et tu auras de beaux seins »
Il a ordonné et j'ai obéis, répandant l'épais sperme blanc sur mes mamelons. Je savais, à l'expression de son visage, que je ressemblais à une salope de films X.
« C'était bien, bébé, t’es vraiment bonne. Je suppose que Serge va arrêter ses conneries, maintenant »
« Quoi ? Comment ? Qu’est-ce que tu dis ? »
« Il y a deux jours de ça, je ne connaissais pas Serge. Je l’ai rencontré au café. Il était un peu ivre et se vantait, au milieu d’un groupe de mecs, d’avoir pour femme la plus jolie petite salope du village. Une bouche parfaite pour sucer, une chatte parfaite pour baiser, qu’il disait »
J’étais atterrée, en essayant de retrouver mon calme, j’ai demandé.
« Il a parlé de ça à beaucoup de gars ? »
L'inconnu finissait de se rhabiller. Il m'attira à lui et m'embrassa sur le front.
« Une bonne douzaine, mais il n'a invité que quelques-uns d'entre nous à venir y goûter »
« Joyeux orgasmes, ma chérie »
« Madame ? Madame ? Êtes-vous la femme de Serge Martin ? »
Je me suis retournée pour voir un grand gaillard vêtu d'un polo de sport et d'un jeans délavé s’approcher de moi. Un type solide, bien bâti, dans la quarantaine, brun aux yeux bleus, mais avec l'air un peu fruste, un solide campagnard comme il y en a beaucoup par ici.
« Oui, qui êtes-vous ? » J’ai demandé.
« Je suis un vieux pote à Serge, du club de rugby, quand on était jeune. Je l'ai croisé l'autre jour. On est allé boire une bière ensemble. Il avait cette voiture. J’ai reconnu la plaque d’immatriculation. J’ai pensé que vous pourriez être sa femme. Il m’a parlé de vous. Il m’a dit que vous étiez vraiment très jolie »
J'étais légèrement gênée. Pour me donner une contenance, je lui ai souri : « Ah ! Et ? »
L'homme regardait ses pieds : « Je déteste avoir l’air d’un casse-pieds, et que notre première rencontre soit à cause d’un problème, mais la batterie de ma camionnette est à plat. Pourriez-vous me donner un coup de main ? »
Je lui ai dit que je n'avais pas de câbles ici, mais qu'il y en avait probablement à la maison.
« On peut aller les chercher ensemble, si vous voulez, je vous ramènerai après. Ce n’est pas très loin »
Nous sommes partis à la maison pour chercher ces fameux câbles. Nous habitons à proximité du village, en lisière de la forêt. Il n’y a que quelques minutes de trajet. Comme ce gars était un copain de mon mari, j’ai pensé qu’il n’y avait pas de problème, et que Serge serait d’accord.
Arrivés à la maison, je lui ai ouvert la porte du garage : « Les câbles doivent être quelque part dans ce fouillis » lui ai-je dit, et j'ai commencé à transporter mes courses à l'intérieur.
Dans ma cuisine, je rangeais mes légumes dans le frigo, quand j’ai senti une présence derrière moi. Je me suis retournée, le gars était là avec deux autres sacs.
« Vous êtes si gentille, le moins que je puisse faire, c'est de vous filer un coup de main » il a dit. Mais quand je me suis retournée, il matait mes fesses. Et maintenant, son regard était braqué sur mes seins.
« Merci » ai-je dit sèchement, en lui prenant les sacs.
Il n'a pas bougé pour retourner à l'extérieur, alors j’ai demandé : « Avez-vous trouvé les câbles ? »
« Non »
Il restait là et continuait de me regarder. Selon ma position, pendant que je vidais mes sacs, tantôt mes seins, tantôt mes fesses. Je portais un jean délavé, et une des chemises blanches boutonnées de Serge. Rien de particulièrement sexy, donc, et le regard de ce mec commençait à m’énerver.
« Eh bien, nous allons regarder au garage, ils devraient être là-bas »
Ce type, avec son regard insistant, me mettait mal à l’aise. Je suis redescendue au garage, le type sur mes talons. Je voulais trouver ces putains de câbles et ramener ce mec au supermarché le plus vite possible.
J’ai cherché partout dans le sous-sol, mais je n’ai pas pu les trouver. Il ne m’aidait pas à chercher, il me suivait partout, et n'arrêtait pas de me fixer.
« Serge a dit que tu étais jolie, mais il n'a pas précisé que tu étais si sexy. Vraiment canon ! »
Je ne savais pas quoi répondre, il devenait lourd.
« Montons à l'étage, et j'appellerai une dépanneuse pour vous » J'ai dit pour désamorcer sa tentative.
Je me dirigeais vers les escaliers quand il posa ses mains sur mes épaules.
« Qu'est-ce qui vous prend ? Qu’est-ce que vous faites ? » J’ai crié en essayant de me retourner.
Il a juste serré un peu plus fort ses grosses paluches, et il a chuchoté à mon oreille :
« Serge a dit que tu étais la meilleure pour sucer de bite. Il a ajouté que tu étais vraiment bonne au lit, une super salope, un coup incroyable ! »
J'étais maintenant terrifiée et j'ai essayé de me débattre.
« Ce n'est pas drôle, lâchez-moi, espèce de malade ! » J'ai crié.
La maison n’était pas vraiment isolée, mais les voisins les plus proches, qui habitaient à une centaine de mètres, étaient absents. Je pouvais hurler aussi fort que possible, personne ne pourrait m’entendre. Je ne parvenais pas à m’échapper de sa solide poigne. Plus je me débattais, plus il me faisait mal. Je sentais ses lèvres dans mon cou, sur ma nuque. Il me mordillait l’épaule. Mes soubresauts le faisaient rire.
Je détestais ce qu’il me faisait, d’autant qu'il sentait la sueur et le cambouis, et je me méprisais de ressentir un début d’excitation. Cela m'a rendue encore plus furibarde.
« Arrêtez-ça tout de suite ! » J'ai crié, mais il m'a faite pivoter, et il a mis sa bouche sur la mienne. J'ai essayé de garder mes lèvres fermées, mais la main qui écrasait ma poitrine en tordant mon sein m'a fait ouvrir la bouche.
« Jolis nichons bien ronds » apprécia-t-il. Son autre main a pris possession de mon cul. « Elle a le cul bien rond et les cheveux roux flamboyants, m’avait dit Serge. Mais il n’avait rien dit sur tes seins »
À ce moment-là, j'étais coincée contre la table, et je n'avais nulle part où aller. Quand il a cessé de m'embrasser, il a mis sa main sur ma bouche.
« Tu ne peux pas t'échapper, Serge m’a dit que tu aimes baiser, alors fous-toi à genoux et suce ma bite, ou je serai obligé de te faire mal »
Malgré mes larmes, je me laissais glisser à genoux sur le sol, pendant qu'il appuyait sur ma tête.
« Allez, chérie, on n’a pas toute la journée. Sors ma bite et suce-la, soit une bonne fille »
J'ai baissé sa fermeture éclair, et j’ai écarté son sous-vêtement. Sa bite était presque en érection, et elle a jailli par l’ouverture de son jean. Il sentait fort. J’ai hésité.
« Qu'est-ce que t'attends, petite salope ? SUCE-MOI ! »
J'avais peur de lui, peur qu’il me brutalise, alors j'ai obéi, et j'ai commencé à le sucer du bout des lèvres. Mais cela ne lui convenait pas. Il a mis ses deux mains sur ma nuque pour pousser sa grosse bite dans ma bouche. Je me suis étouffée lorsque le bout est passé dans ma gorge. J’ai eu un réflexe nauséeux. Il m’a relâché pour que je reprenne mon souffle.
Je voulais que ce soit vite fini, alors j'ai pris la décision de faire du bon travail, donc j'ai caressé ses couilles d'une main, pendant que je branlais sa bite de l'autre. Je l'ai léché et sucé partout, en oubliant l’odeur. Je l’ai même pris profondément dans ma gorge.
« Oh ouais, petite salope, ta bouche est douce, c’est un bonheur, bonne fille, continue comme ça, tu vas avoir ta récompense »
J'espérais qu'il allait finir bientôt, alors j'ai accéléré la manœuvre. Sans prévenir, il m'a attrapée par les cheveux, il a retiré sa bite de ma bouche. Toujours en tirant sur mes cheveux, il m’a obligée à me relever, il m'a fait faire un demi-tour, et m’a penchée sur la table. J’ai crié quand il a baissé mon pantalon et ma culotte. Il a collé sa main entre mes fesses pour doigter mon anus.
« NON ! Pas là ! Non » Je l'ai supplié, et sa main a fait le tour, pour masser mon monticule.
« Ferme ta gueule, écarte les jambes ! »
Il m’a menacée. J'ai réalisé que si je résistais, que je ne faisais pas ce qu'il voulait, il pourrait me faire du mal. J'avais honte parce que le frottement de ses doigts dans ma chatte me rendait humide. Il insistait, ses doigts allaient et venaient, massaient mon clitoris, puis revenaient s’enfoncer en moi. Bientôt le clapotis humide de ma chatte, suant doucement ses jus, devint évident. Il a mis plusieurs doigts dans ma chatte, et mon excitation a augmenté.
« Voilà, bébé, c'est de ça qu’il m’a parlé, ton homme, une bonne fille mouillée et excitée qui aime la bite »
Il a pesé sur ma nuque, m'a penchée sur la table, et l’instant suivant, j'ai senti son énorme bite pousser entre les lèvres de ma chatte. J'étais si émoustillée que j'ai instinctivement poussé mon cul contre sa bite. Il est entré en moi sans forcer. C'était tout ce dont il avait besoin. Pas besoin d’encouragements. Il a attrapé mes hanches avec ses grosses paluches, et il m’a baisée. Dès le début, son rythme était vif, et j’ai pensé qu’il n’allait pas durer longtemps.
« Tu es vraiment serrée, une parfaite petite salope, tout comme Serge m’a raconté » grognait-il.
Il gémissait en s'enfonçant plus fort en moi. Je poussais mon cul contre lui pour résister à ses charges, et la boucle de son ceinturon meurtrissait mes fesses. Ses mains ont lâché mes hanches pour empoigner et meurtrir mes nichons. Il mettait du cœur à l’ouvrage et il m'écrasait contre la table à chaque poussée.
L’orgasme m’a traversée comme un ouragan. J’ai eu une faiblesse dans les jambes. J’ai joui si fort que je n’ai pas pu m’empêcher de crier. Dolente, sans forces, il m’a écrasée sur la table pour quelques poussées supplémentaires, avant de crier : « Ça y est, chérie, prends tout » Puis il s’est retiré.
J’ai pensé que c’était fini, qu’il allait partir, mais il m’a retournée pour m’allonger à plat dos sur la table, les jambes pendantes. Il a soulevé mes jambes pour retirer entièrement mon jeans et ma culotte. Puis il a levé mes jambes bien haut en les écartant. Il m’a attrapé par les cuisses, s’est glissé entre elles, et m’a pénétrée.
J'étais sur le dos, les jambes repliées, il me tenait par les cuisses, et il s'enfonçait encore plus profondément en moi qu'avant. Il m'a martelée, défoncée, rudoyée, orgasme après orgasme. J'ai perdu le compte du nombre de fois où j’ai joui, pleurant de joie et de gratitude.
Finalement, il a ralenti, puis s'est retiré. Je restais là, sans bouger, vibrante d’épuisement. Il m’a laissée allongée sur la table, m’a couchée sur le côté, puis s’est déplacé vers ma tête.
« Suce-moi, finis le travail »
J'ai fait ce qu'il voulait pendant qu'il glissait deux doigts dans ma chatte martyrisée. La paume de sa main frottait sur mon clitoris. En peu de temps, je suis venue. Il a retiré sa bite de ma bouche, et ses doigts de ma chatte. Il a mis ses doigts dans ma bouche pour que je suce ma mouille, et s’est branlé. Il a éjaculé partout sur mon visage et sur mes seins.
« Frotte tes jolis seins ! Répand mon sperme de partout sur tes nichons, et tu auras de beaux seins »
Il a ordonné et j'ai obéis, répandant l'épais sperme blanc sur mes mamelons. Je savais, à l'expression de son visage, que je ressemblais à une salope de films X.
« C'était bien, bébé, t’es vraiment bonne. Je suppose que Serge va arrêter ses conneries, maintenant »
« Quoi ? Comment ? Qu’est-ce que tu dis ? »
« Il y a deux jours de ça, je ne connaissais pas Serge. Je l’ai rencontré au café. Il était un peu ivre et se vantait, au milieu d’un groupe de mecs, d’avoir pour femme la plus jolie petite salope du village. Une bouche parfaite pour sucer, une chatte parfaite pour baiser, qu’il disait »
J’étais atterrée, en essayant de retrouver mon calme, j’ai demandé.
« Il a parlé de ça à beaucoup de gars ? »
L'inconnu finissait de se rhabiller. Il m'attira à lui et m'embrassa sur le front.
« Une bonne douzaine, mais il n'a invité que quelques-uns d'entre nous à venir y goûter »
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