Une journée sportive humide
Récit érotique écrit par Some [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une journée sportive humide
Aujourd’hui il fait beau, ça tombe bien je suis en congés pour quelques jours. En me réveillant, je songe à tout ce que je vais pouvoir faire aujourd’hui ! Je prends mon temps, n’ayant rien de prévu d’autre que mon entraînement de foot cette après-midi.
Je me fais un café, mange un petit déjeuner sur le pouce et décide d’aller courir dans le parc pas loin de chez moi.
Après quelques kilomètres sous le soleil, la soif et le café bu ce matin me forcent à rentrer plus tôt que prévu. Je me dépêche, mais chaque foulée semble alourdir ma vessie. Je sens mon rythme cardiaque s’accélérer, non pas à cause du footing, mais à cause de la peur. Vais-je réussir à rentrer chez moi avec ma vessie gonflée ? Je sens que mon penis commence à s’ériger, de cette demi-érection caractéristique du désespoir. Mon short en Lycra peine à masquer mon état, mais cela serait encore pire si j’avais un accident ; la matière deviendrait luisante, et ce serait une honte insurmontable ! Surtout dans ce parc, avec des familles autour…À bout de souffle, je parviens à rentrer jusqu’à mon immeuble. Évidemment, dans la précipitation, je fais tomber mes clés. En me penchant pour les ramasser, je ne peux retirer un gémissement : je sens que quelques gouttes viennent de m’échapper, au profit de mon boxer en coton. Celui-ci absorbe immédiatement l’humidité, mais le contact contre ma verge déjà un peu tendue me fait paniquer. Je suis un adulte, à bientôt 25 ans, j’ai déjà bu du café des centaines de fois avant d’aller courir, pourquoi maintenant ??
J’ouvre enfin ma porte, une main pinçant frénétiquement mon pénis, ce qui a pour conséquence de transmettre l’humidité du caleçon au short, et me rue vers les toilettes. L’idée d’enfin me soulager fait se détendre mes muscles un peu trop tôt : un premier jet d’urine vient éclabousser mon caleçon, je sors tant bien que mal mon sexe et pisse droit dans les WC pendant un temps qui me paraît interminable. Mon caleçon et mon short sont bons pour un tour à la machine… Honteux, je file sous la douche. Un détail m’intrigue : mon début d’érection provoqué par cette envie de pipi qui m’a semblé insurmontable, ne s’est pas atténué. Pire encore, lorsque j’ai laissé échapper un jet dans mes sous-vêtements, il m’a semblé qu’elle se renforçait…Je décide de ne plus y penser, et profite de ma journée en me reposant et en faisant un peu de ménage. Je prévois de laver mes vêtements de ce matin, ce soir après mon entraînement.
Je prépare mon sac, ma gourde, et boit un verre de jus d’orange avant de partir, pour me donner de l’énergie. Arrivé au stade, je retrouve mes coéquipiers, mais aussi notre kiné, Justin, qui est là une fois par mois pour s’occuper de nos blessures ou petits bobos.
L’entraînement se déroule bien, mais encore perturbé par mon incident de ce matin, je suis un peu ailleurs. Le coach me renvoie sur le banc, et Justin n’ayant personne à ce moment-là me propose de faire un check-up rapide. Installé dans un vestiaire d’arbitre on ne peut plus sommaire, je m’allonge sur la table préparée à l’avance, en ayant ôté mon t-shirt et mes chaussures. Justine m’installe sur le ventre, et s’occupe d’abord de mon dos. Dans cette position, je sens une légère envie de faire pipi, mais rien de bien pressant. Quelques craquements de vertèbres plus tard, je change de sens et m’installe sur le dos. Ma vessie semble se remplir, mais je sais que la séance avec Justine est bientôt finie, car l’entraînement touche à sa fin.
Il me palpe les épaules, le thorax, et vient ensuite appuyer sur mon ventre. Je contracte les abdos pour soulager ma vessie, mais je ressens de nouveau cette peur, comme ce matin. Je commence à paniquer. Concentré dans son examen, Justin continue de descendre, et appuie franchement sur ma vessie. Je ne peux retenir un jet d’urine, qui devient aussi visible sur mon short, l’uniforme de l’équipe étant composé d’un short blanc et d’un t-shirt rouge. Je gémis franchement, devenant aussi rouge que mon maillot, sentant les larmes me monter. Justin s’arrête, stupéfait. Une érection commence à se dessiner sous mon short, la même que ce matin. Le contact de mon caleçon humide, la vision de la tache sur mon short, et ce sentiment de honte juvenile qui m’envahit sont en train de faire gonfler ma verge. Justin me regarde, j’ai les yeux écarquillés et n’ose pas bouger. Il regarde de nouveau mon short. Il me dit d’un ton ferme : « ne bouge pas. ». Il tend le bras vers la porte du vestiaire et la verrouille en un mouvement rapide. Il pose une main sur mon torse pour m’intimer de rester allongé, et pose son autre main sur ma cuisse. Je sens mon sexe gonfler sans rien pouvoir faire, et mon cœur bat en rythme avec les pulsations de ma vessie pleine à rebord. Justin déplace doucement sa main en remontant de ma cuisse jusqu’à ma vessie. Je ne réalise pas ce qu’il se passe. Mon esprit est focalisé sur une seule chose : mon envie de faire pipi. Il appuie délicatement mais fermement sur ma vessie de nouveau. Je gémis en sentant l’urine remonter dans ma verge et venir mouiller mes vêtements, un peu plus que la première fois. Mon érection s’intensifie, je suis pétrifié par la situation, mais ressens une excitation inconnue jusqu’alors monter en moi. L’humiliation et ce sentiment d’être dominé par Justin tendent mon penis, mon érection est maintenant bien franche. Justin appuie de nouveau, je tente de me relever mais il me maintient allongé. Du fait de mon sexe maintenant dur, le jet d’urine vient sur ma cuisse.
Justin décale légèrement sa main, pour venir soulever l’élastique de mon short. Je gémis, mais de plaisir cette fois, je me surprends à avoir envie qu’il tienne ma verge en main. En plus, soulever mon élastique soulage temporairement ma vessie. Justin effleure mon sexe, qui palpite dès le contact. Il le repositionne dans mon caleçon trempé, collé contre mon ventre, et relâche l’élastique de mon short. Si jamais je laisse échapper un autre jet de pipi, c’est directement sur mon bas-ventre qu’il viendra éclabousser… ce qui ne tarde pas à arriver. Je viens de me laisser aller fugacement, deux jets, en regardant Justin droit dans les yeux. Je constate qu’il bande et que son survêtement est tendu au maximum. Je tends la main et commence à le caresser. Je laisse échapper un autre jet, et décide de vider ma vessie, complètement transcendé par la situation. D’un geste impatient, il prend ma main la met dans son jogging, sur son sexe dur et tendu. En quelques mouvements, il éjacule dans son boxer, en gémissant fortement. Il se saisit de mon sexe, sans prêter attention au fait que je suis complètement trempé de pisse, et m’applique de rapides va-et-vient. Je jouis comme je n’ai jamais jouis auparavant, en essayant d’être le plus silencieux possible. J’entends mes coéquipiers rentrer dans le vestiaire adjacent, en rigolant fortement.
Justin me regarde, et me dit de filer sous les douches avec les autres discrètement, qu’il s’occupera de nettoyer. J’arrive à rejoindre le vestiaire collectif en me cachant le short avec mon maillot. Je saute sous la douche, profitant de l’animation ambiante pour me laver rapidement et m’échapper. Complètement sonné par les événements, je rentre chez moi en pilote automatique.
Le soir, allongé dans mon lit, en repensant aux événement de la journée, je ne peux m’empêcher de me masturber lentement. Et si Justin avait également fait pipi sur lui ? Ou s’il avait décidé de pisser sur moi ? Cette idée me faire jouir fortement. Epuisé, je m’endors en songeant qu’il va falloir que j’explore ce nouvel attrait pour l’urine, et que je pourrais profiter de mes congés pour approfondir le pipi dans mon caleçon, voire même ailleurs…
Je me fais un café, mange un petit déjeuner sur le pouce et décide d’aller courir dans le parc pas loin de chez moi.
Après quelques kilomètres sous le soleil, la soif et le café bu ce matin me forcent à rentrer plus tôt que prévu. Je me dépêche, mais chaque foulée semble alourdir ma vessie. Je sens mon rythme cardiaque s’accélérer, non pas à cause du footing, mais à cause de la peur. Vais-je réussir à rentrer chez moi avec ma vessie gonflée ? Je sens que mon penis commence à s’ériger, de cette demi-érection caractéristique du désespoir. Mon short en Lycra peine à masquer mon état, mais cela serait encore pire si j’avais un accident ; la matière deviendrait luisante, et ce serait une honte insurmontable ! Surtout dans ce parc, avec des familles autour…À bout de souffle, je parviens à rentrer jusqu’à mon immeuble. Évidemment, dans la précipitation, je fais tomber mes clés. En me penchant pour les ramasser, je ne peux retirer un gémissement : je sens que quelques gouttes viennent de m’échapper, au profit de mon boxer en coton. Celui-ci absorbe immédiatement l’humidité, mais le contact contre ma verge déjà un peu tendue me fait paniquer. Je suis un adulte, à bientôt 25 ans, j’ai déjà bu du café des centaines de fois avant d’aller courir, pourquoi maintenant ??
J’ouvre enfin ma porte, une main pinçant frénétiquement mon pénis, ce qui a pour conséquence de transmettre l’humidité du caleçon au short, et me rue vers les toilettes. L’idée d’enfin me soulager fait se détendre mes muscles un peu trop tôt : un premier jet d’urine vient éclabousser mon caleçon, je sors tant bien que mal mon sexe et pisse droit dans les WC pendant un temps qui me paraît interminable. Mon caleçon et mon short sont bons pour un tour à la machine… Honteux, je file sous la douche. Un détail m’intrigue : mon début d’érection provoqué par cette envie de pipi qui m’a semblé insurmontable, ne s’est pas atténué. Pire encore, lorsque j’ai laissé échapper un jet dans mes sous-vêtements, il m’a semblé qu’elle se renforçait…Je décide de ne plus y penser, et profite de ma journée en me reposant et en faisant un peu de ménage. Je prévois de laver mes vêtements de ce matin, ce soir après mon entraînement.
Je prépare mon sac, ma gourde, et boit un verre de jus d’orange avant de partir, pour me donner de l’énergie. Arrivé au stade, je retrouve mes coéquipiers, mais aussi notre kiné, Justin, qui est là une fois par mois pour s’occuper de nos blessures ou petits bobos.
L’entraînement se déroule bien, mais encore perturbé par mon incident de ce matin, je suis un peu ailleurs. Le coach me renvoie sur le banc, et Justin n’ayant personne à ce moment-là me propose de faire un check-up rapide. Installé dans un vestiaire d’arbitre on ne peut plus sommaire, je m’allonge sur la table préparée à l’avance, en ayant ôté mon t-shirt et mes chaussures. Justine m’installe sur le ventre, et s’occupe d’abord de mon dos. Dans cette position, je sens une légère envie de faire pipi, mais rien de bien pressant. Quelques craquements de vertèbres plus tard, je change de sens et m’installe sur le dos. Ma vessie semble se remplir, mais je sais que la séance avec Justine est bientôt finie, car l’entraînement touche à sa fin.
Il me palpe les épaules, le thorax, et vient ensuite appuyer sur mon ventre. Je contracte les abdos pour soulager ma vessie, mais je ressens de nouveau cette peur, comme ce matin. Je commence à paniquer. Concentré dans son examen, Justin continue de descendre, et appuie franchement sur ma vessie. Je ne peux retenir un jet d’urine, qui devient aussi visible sur mon short, l’uniforme de l’équipe étant composé d’un short blanc et d’un t-shirt rouge. Je gémis franchement, devenant aussi rouge que mon maillot, sentant les larmes me monter. Justin s’arrête, stupéfait. Une érection commence à se dessiner sous mon short, la même que ce matin. Le contact de mon caleçon humide, la vision de la tache sur mon short, et ce sentiment de honte juvenile qui m’envahit sont en train de faire gonfler ma verge. Justin me regarde, j’ai les yeux écarquillés et n’ose pas bouger. Il regarde de nouveau mon short. Il me dit d’un ton ferme : « ne bouge pas. ». Il tend le bras vers la porte du vestiaire et la verrouille en un mouvement rapide. Il pose une main sur mon torse pour m’intimer de rester allongé, et pose son autre main sur ma cuisse. Je sens mon sexe gonfler sans rien pouvoir faire, et mon cœur bat en rythme avec les pulsations de ma vessie pleine à rebord. Justin déplace doucement sa main en remontant de ma cuisse jusqu’à ma vessie. Je ne réalise pas ce qu’il se passe. Mon esprit est focalisé sur une seule chose : mon envie de faire pipi. Il appuie délicatement mais fermement sur ma vessie de nouveau. Je gémis en sentant l’urine remonter dans ma verge et venir mouiller mes vêtements, un peu plus que la première fois. Mon érection s’intensifie, je suis pétrifié par la situation, mais ressens une excitation inconnue jusqu’alors monter en moi. L’humiliation et ce sentiment d’être dominé par Justin tendent mon penis, mon érection est maintenant bien franche. Justin appuie de nouveau, je tente de me relever mais il me maintient allongé. Du fait de mon sexe maintenant dur, le jet d’urine vient sur ma cuisse.
Justin décale légèrement sa main, pour venir soulever l’élastique de mon short. Je gémis, mais de plaisir cette fois, je me surprends à avoir envie qu’il tienne ma verge en main. En plus, soulever mon élastique soulage temporairement ma vessie. Justin effleure mon sexe, qui palpite dès le contact. Il le repositionne dans mon caleçon trempé, collé contre mon ventre, et relâche l’élastique de mon short. Si jamais je laisse échapper un autre jet de pipi, c’est directement sur mon bas-ventre qu’il viendra éclabousser… ce qui ne tarde pas à arriver. Je viens de me laisser aller fugacement, deux jets, en regardant Justin droit dans les yeux. Je constate qu’il bande et que son survêtement est tendu au maximum. Je tends la main et commence à le caresser. Je laisse échapper un autre jet, et décide de vider ma vessie, complètement transcendé par la situation. D’un geste impatient, il prend ma main la met dans son jogging, sur son sexe dur et tendu. En quelques mouvements, il éjacule dans son boxer, en gémissant fortement. Il se saisit de mon sexe, sans prêter attention au fait que je suis complètement trempé de pisse, et m’applique de rapides va-et-vient. Je jouis comme je n’ai jamais jouis auparavant, en essayant d’être le plus silencieux possible. J’entends mes coéquipiers rentrer dans le vestiaire adjacent, en rigolant fortement.
Justin me regarde, et me dit de filer sous les douches avec les autres discrètement, qu’il s’occupera de nettoyer. J’arrive à rejoindre le vestiaire collectif en me cachant le short avec mon maillot. Je saute sous la douche, profitant de l’animation ambiante pour me laver rapidement et m’échapper. Complètement sonné par les événements, je rentre chez moi en pilote automatique.
Le soir, allongé dans mon lit, en repensant aux événement de la journée, je ne peux m’empêcher de me masturber lentement. Et si Justin avait également fait pipi sur lui ? Ou s’il avait décidé de pisser sur moi ? Cette idée me faire jouir fortement. Epuisé, je m’endors en songeant qu’il va falloir que j’explore ce nouvel attrait pour l’urine, et que je pourrais profiter de mes congés pour approfondir le pipi dans mon caleçon, voire même ailleurs…
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