Une maman concilante - histoire érotique

Firmin homme de confiance, travaille depuis plusieurs années chez des notables, Charlène et Horace. Ce couple d'un certain âge a un enfant Leopold de 25 ans, ils l'ont eu tard. Très chouchouté, il est malpoli se croit tout permit. Toujours la tête dans des revues porno, il effectue discrètement, ce qu'il appelle des satisfactions digitales. Ses parents savent qu'il de masturbe très souvent, la femme de chambres ramasse souvent ses slips affreusement tachés de sperme.


Très fortuné le couple cède aux mille caprices de leur fils. Ils organisent pour lui des réceptions, avec des personnes choisies sur le volet, ces personnes moyennant finance, acceptent d'avoir des rapports sexuels avec le dépravé Leopold, qui est très porté sur le sexe. Ses parents pendant ses ébats le laisse seul avec ses proies et ne participent pas aux orgies, de leur enfant. C'est très tard qu'il monte se coucher, après avoir assouvi ses délires.

Lorsqu'il n'obtient pas ce qu'il désire, il est incontrôlable et pique des colères affreuses comme un enfant trop gâté. Mais un jour le gredin dépasse les bornes, son anniversaire approche, il dit en toisant sa maman :

-Maman tu dis que tu m'aimes, alors, c'est le moment de le prouver !

La maman regarde son fils et lui répond avec tendresse :

-Mais bien sur que je t'aime mon chéri, et que dois-je faire pour te le prouver mon chéri !

- Comme cadeau, pour mon anniversaire, je veux que tu te fasses prendre par Firmin, rien que d'y penser, cela m'excite, je sûr que tu es une bonne salope, avoue que tu aimes la bite !

En disant ses paroles , il se frotte la verge au travers son pantalon, il serre les dents et se branle rageusement au travers du tissu. Une bosse énorme déforme son pantalon. Charlène reste sans voix, Horace n'en croit pas ses oreilles et ses yeux. Il se cabre et dit :

-Léopold, tu es fou cesse immédiatement, en voila des manières, et je te demande d'avoir plus de respect pour ta maman !

Leopold hausse les épaules. Sa maman le regarde yeux écarquillé, elle dit en béguant sans se soucier que le gredin se branle :

-Mais Léopold tu te rends compte ce que tu me demandes, faire l'amour avec Firmin, mais c'est impensable !

Comme un enfant gâté, Leopold boude, regarde sa maman de travers, et lui dit :

-Je te hais, tu es vieille salope mal baisée !

Puis monte dans sa chambre en marmonnant. Charlène regarde son mari et lui dit :

-Tu te rends compte ce qu'il me demande, et comment il me parle !

Horace en secouant la tête répond :

-C'est normale tu lui cèdes tout, il sait qu'à chaque fois il a gain de cause, donc il en profite !

Charlène baisse honteusement la tête, elle culpabilise, elle sait que son mari a raison. Elle se lève et monte à l'étage. Elle frappe à la porte de sa chambre de son fils, il ne répond pas, elle ouvre et entre dans la Piece. Leopold est allongé sur son lit. Avec un regard méprisant, il regarde sa maman et lui dit :

-Qu'est-ce que tu viens foutre dans MA chambre, dégage, je ne veux plus te voir, les putes n'ont rien à faire là !

Complétement désarçonnée par les paroles outrancieres de son fils, elle pousse un gros soupir et s'assied sur le bord du lit. Elle remarque que la bosse qui se trouve sur son bas-ventre est toujours présente. Leopold le remarque et lui dit d'un air méprisant :

Elle te plait ma queue hein, papa n'en a pas une aussi grosse, avoues que tu aimerai l'avoir dans ta chatte de salope !

La maman outrée, ose lui répondre :

-Mais qu'est-ce que tu crois, avoir entre les jambes, de l'or. Je te signale que ton papa a un membre qui me donne beaucoup de plaisir, tiens-toi le pour dit vaurien de fils !

Le fils un peu vexé, sort rapidement sa bite de son pantalon et l'agite en disant :

-Elle est aussi belle que celle-là, regarde salope !

Charlène regarde en écarquillant les yeux, l'engin lui semble monstrueux, elle ravale sa salive et dit :

-Veux-tu ranger ça, cochon, je suis ta maman et pas une de tes putes !

D'un geste brusque, il lui saisit la main et la pose sur son sexe. Sa maman sursaute, elle a un geste de recule, mais le bougre lui tient fermement la main appuyée sur sa verge. Il lui ordonne presque :

-Branle-moi, je sais que tu en as envie, aller, vas-y, elle ne mord pas !

Charlène, après un long moment d'excitation, enserre la verge avec ses doigts. Elle la presse plusieurs fois, puis inconsciemment l'agite. A chaque descente de son poignet, elle décalotte le gland. La boule de chair la trouble, elle ravale sa salive en se disant. Oh la vache quel cèpe. Elle scrute longuement le gland marbré, avant de reprendre le branlage. Léopold en soupirant fortement dit :

-Oui branle bien, fait gicler mon mât maman salope !

Avec dextérité, Charlène agite le manche de son fils, qui ne cesse de geindre. Soudain il se cabre et envoie dans les airs plusieurs giclées de semence, qui retombent sur les doigts de la branleuse, qui surprise par la puissance des jets, lâche le membre. Charlène réalise qu'elle vient de faire une grosse bêtise. Elle se lève, sort son mouchoir et essuie le sperme qui englue ses doigts. Elle lui dit :

-Tu es un monstre !

En souriant, Leopold réplique :

-N'oublie pas ce que je t'ai demandé salope, je veux te voir baiser par Firmin !

La maman claque la porte et descend rejoindre son mari, elle se jette sur le canapé à ses côtes. Elle le regarde en tremblant, elle dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :

-Horace, je suis une mère indigne, je viens de branler mon propre fils, oh comme j'ai honte !

Il se penche sur elle et l'enlace. Il la serre très fort dans ses bras, et dit sans élever la voix :

-Je suis sûr qu'il t'a encore embobiner le salaud, et te connaissant, tu as succombée à ses exigences de dépravé, un jour, il te baisera le salaud !

Sa respiration est saccadée, elle dit en baissant la tête :

-Mais le pire Horace, c'est que j'ai trouvé du plaisir à le faire, il a une verge monstrueuse le gredin !

Son mari lui donne plusieurs baisers sur le visage, et pour constater les dégâts, passe sa main sous la robe de sa femme. Il la plaque contre la chatte et en poussant un gros soupir dit :

-Oh la vache ta culotte est trempée ma chérie, il te fait tant d'effet que ça le vaurien, et comme ton clito est gonflé, il va éclater !

Elle répond :

-Oh le salaud, oui il m'a fait mouiller, il insiste pour que je me fasse baiser par Firmin, je deviens folle !

Horace la regarde, et répond :

-Te connaissant, comme il te le demande, tu vas comme à chaque fois, céder à ses délires, tu le couves trop, il en profite le salaud !

Elle se blottit contre lui et dit :

-C'est notre fils unique, je l'aime trop, je ne veux pas lui faire de peine et pour cela je suis, prête à tout !

Horace en fronçant les sourcils répond :

-Et pour cela tu es prête à faire la pute, eh bien chapeau, là tu m'étonnes !

Il lui donne un gras baiser sur les lèvres et lui dit :

-Soit, je ne veux pas que tu sois malheureuse, j'accepte !

Charlène le regarde et lui dit :

-Mon chéri, tu es le meilleur des hommes, oui pour une fois je vais être une pute comme tu dis !

Il éclate de rire et ajoute :

-Oui mais, sois-en une bonne de pute au moins !

La maman remonte dans la chambre de son fils, le bougre se branle en regardant un film porno. Elle s'assied à côté de lui, et lui annonce la nouvelle. Fou de joie, il la bascule sur le lit, s'allonge sur elle, l'embrasse férocement sur les lèvres. Il les pénètre avec sa langue, et la noue à la sienne. La maman surprise ne repousse pas son fils. Il lui inonde la bouche d'un flot de salive. En rougissant, elle avale en plusieurs fois la subtence salée que lui offre de son fils.

Il se frotte contre elle. La bite, glisse sur le ventre, qui n'est que protégé par la robe et la culotte. Charlène sent coulisser le membre, elle défaille, tente de se débattre. le coquin, d'une main, lui retrousse la robe et lui déchire la culotte. Il reprend place sur elle, et fait glisser sa verge sur le ventre dénudé de la maman qui a beaucoup de mal à se contenir. Le coquin sait que sa maman ne va pas résister longtemps, et qu'il va la défoncer en la faisant gémir de plaisir.


Le gland imposant, racle la peau qui se met à frissonner. Charlène se tend comme un arc, elle marmonne, ses yeux s'emplissent de larmes. Elle ne sait plus si elle doit cédé ou non, la bite qui coulisse contre son ventre la fait frémir. Inconsciemment, elle voudrai l'avoir dans son ventre. Elle veut hurler mais aucun son ne sort de sa bouche.

En se tortillant Léopold réussi à s'enserrer entre les cuisses de sa maman, elle s'agrippe à lui, ses mains tremblent. Elle sent le gland large et épais, appuyer sur sa fente. Elle s'agite sans trop de convictions, pour échapper à son agresseur de fils. Elle crie pour avoir bonne conscience :

-Non, non, Leopold pas ça je t'en prie, non, non !

Sans l'écouter, il pousse. Les grandes lèvres s'ouvrent et le monstre s'engage dans le conduit qu'il dilate. Charlène s'accroche a son fils, elle gémit pendant la pénétration. Elle le serre très fort dans ses bras. la verge s'enfonce sans faire une pose. la maman croit que sa chatte va se déchirer, tellement le membre et imposant.
En tirant sur les hanches de sa maman Leopold dit :

-Dit que tu veux ma bite, salope, allez dis-le !

Charlène en grognant comme un fauve blessé répond :

-OUI, OUI, JE VEUX TA BITE, OUI, OUI, OH TU ES UN MONSTRE, JE TE DETESTE !

En riant Leopold défonce a grands coups de reins, le corps fébrile de sa maman qui geint terriblement. Elle grimace, pousse des grognements, en marmonnant des mots inaudibles. Le gland qui racle les parois garnies de muqueuses sensibles, fait gémir la maman comme une damnée :

-Oui, oui, mon chéri, oh mon Dieu comme tu m'ouvres, c'est merveilleux !

En la toison, il dit sûr de lui :

-Tu aimes la bite de ton fils qui te fouraille le ventre, hein salope dis-le, que tu es une grosse pute, et que Firmin va bien t'éclater !

Charlène hors sol, répond entre deux souffles :

-Oui, oui, je l'aime ta bite mon chéri, oh mon Dieu ce qu'elle est grosse, oui, oui, je suis tous ce que tu veux, une grosse pute, une grosse salope. Ouiiii Firmin va bien, m'éclater défonce-moi, défonce-moi !

Le fiston autoritaire, démonte à grands coups de pilons sa maman qui ne cesse de geindre de plaisir. Soudain la voix d'Horace se fait entendre :

-Oh putain, elle se fait défoncer par son fils la salope !

Mais cela ne semble pas le traumatiser, il dit :

-J'en était sûr, qu'elle se faisait sauter la cochonne. Vas-y Leopold déglingues ta maman, elle prend un pied d'enfer, oh putain comme tu lui laboures bien le ventre à cette pute, vas-y, vas-y elle va jouir, oh la vache, j'ai déchargé dans mon pantalon !

Charlène pousse un hurlement, elle se cabre et explose de jouissance. Le fils infatigable continue de la défoncer. Sa bite voyage dans la gaine brulante en faisant couiner la maman au bord de la syncope. Soudain, il se raidit, se bloque et en grognant comme une bête, remplit le ventre de sa maman avec sa semence épaisse.