Une maman et son fils en plein délire
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une maman et son fils en plein délire
Demande de nombreux lecteurs sur ma MP, Je vais encore recevoir une volée de bois vert, mais j'assume.
Gilles délaisse la bouche gourmande de sa maman, et embrasse chaque parcelle de peau en descendant vers le puits d'amour, elle frissonne à chaque petit baiser ou chaque petit coup de langue sur sa peau laiteuse. Il s'attarde sur le ventre, fouille le nombril avec la pointe de sa langue avant de reprendre la descente.
Une fois au-dessus le la vulve, il hume fortement les effluves odorantes qu'elle rejette. Mais dès qu'il pose sa bouche sur le fruit, Karine se cabre en poussant un gémissement qu'elle étouffe en se mordant la main. La langue s'enfonce profondément dans le vagin débordant de cyprine, et le fouille longuement. Karine geint comme une bête blessée, la langue habile de son fils la fait délirer de plaisir. Les remords et les scrupules disparaissent comme par enchantement.
Elle est au bord de la jouissance, mais son fils sait comment retarder l'explosion. Il retire sa langue du puits de l'amour, et ne fait plus aucun mouvement, il attend que la pression retombe, pour ensuite, lui aspirer le clito. L'aspiration brutale fait gémir la maman qui fond de bonheur sous la bouche experte de son fils, jamais, elle n'a connu autant de plaisir.
Gilles suce la boule de chair comme un bonbon, il la mordille un peu pour stimuler encore plus sa maman qui gémit fortement. Pour elle s'en est trop, elle se tend comme un arc, et explose en criant le nom de son fils. Sa jouissance est formidable, elle s'agrippe à son fils et l'embrasse fougueusement un long moment, comme pour le remercier du bonheur qu'il lui donne. Enfin le baiser cesse, les deux amants se regardent un bon moment.
Gilles se redresse, sa verge et dure comme du bois, sa maman écarquille les yeux et tend la main vers le pieu de chair. Elle le saisit, la palpe et dit avec émotion :
-Mon Dieu mon chéri, comme elle est grosse !
Il regarde sa maman en souriant et répond :
-Elle est pour toi maman, suce-la, maman chérie, suce-la !
Karine observe l'engin, ses yeux brillent de mille feux, doucement, elle le décalotte, et avance sa tête vers l'objet de tous les plaisirs. Elle ouvre la bouche et enserre avec ses lèvres le gland violacé. Elle suce au début avec douceur, mais au fur et à mesure, elle s'acharne sur le gland. Gilles geint de plaisir, il ne peut retenir son sperme plus longtemps. Une puissante décharge remplit la gorge de sa maman qui manque d'étouffer, elle repousse son fils en se pinçant les lèvres, ses yeux sont embués.
Elle déglutit plusieurs fois avant d'avaler la totalité de la giclée. Gilles l'enlace et l'embrasse comme un fou. Puis dit :
-Oh maman, tu as avalé mon sperme, oh comme je suis heureux ma chérie de maman !
Karine, sans rien dire, s'essuie d'un revers de la main ses lèvres, puis s'allonge sur le dos, et dit tendrement :
-Viens mon chéri, prend maman, aime-la fort !
Gilles place contre la vulve dégoulinante de désir son membre en forme de sabre et en s'accrochant à ses hanches, pousse. Karine se cabre, lentement la verge puissance s'enfonce dans son ventre. Elle serre les dents en grimaçant, le calibre du membre de son fils et assez important. Elle s'accroche à lui en geignant :
-Oh mon chéri, mon chéri, jamais, je n'ai été prise de cette manière, tu es un démon d'amour, aime-moi, oui, aime-moi mon chéri !
Lentement, Gilles fait coulisser son braquemart dans la gaine qu'il dilate. Karine s'accroche à lui comme un rapace sur sa proie. Le fiston et fier de besogner sa maman, il lui dit :
-Oh maman, comme ta chatte est brûlante, et comme elle enserre bien ma queue, je veux te faire l'amour sans jamais m'arrêter, te donner des jouissances inouïes !
La maman répond en deux gémissements :
-Ne parle pas tant mon chéri, bourre-moi plus fort, oui va à fond mon chéri !
Le jeunot obéissant accélère, sa maman ajoute :
-Oui comme ça, oui, oui, oh, c'est bon mon chéri, encore, encore !
La bite vigoureuse racle les parois garnies de muqueuses sensibles, en prenant de la vitesse, cela a pour effet de faire geindre la maman !
-Oh mon chéri, tu me tues, oui, oui !
La bite voyage dans le ventre de Karine comme un piston dans son cylindre. Gilles donne tout ce qu'il a, il défonce sa maman comme un beau diable, en maronnant :
-Maman, maman, tu es trop bonne, ouah ton jus coule sur mes couilles, c'est merveilleux comme tu mouilles !
Les coups de bélier sont dévastateurs, Karine est au bord de la syncope. La bite lui ramone la chatte, à l'en faire couiner de bonheur. Elle agite son bassin en donnant, elle aussi, de furieux coups de reins. L'empalement est total, surtout brutal. Un hurlement inhumain fait cabrer la maman incestueuse. Sa jouissance est terrible, jamais, elle n'avait joui aussi fort. Gilles donnes encore quelques estocades avant de déverser sa semence brûlante dans le ventre de sa maman.
La douce chaleur du sperme qui coule dans son vagin fait re-jouir la maman, qui croit mourir tellement c'est intense.
Gilles ressort du ventre maternelle sa bite gluante et l'exhibe en souriant sous le nez de sa maman jouisseuse. Elle se jette dessus comme une affamée et lèche la hampe et le gland englués, avant de gober la boule de chair qui ne cesse de rejeter encore quelques perles de semence. La fellation qu'elle fait à son fils est monstrueuse, il ne cesse de répéter :
-Maman, maman, tu es une suceuse hors pair au putain, je vais re-jouir !
Karine ne peut échapper à la puissante décharge de sperme que lui offre si généreusement son fils. Comme la fois précédente, elle avale la totalité sans en gâcher une goutte. Les deux restent emboités l'un dans l'autre jusqu'au petit matin.
Gilles délaisse la bouche gourmande de sa maman, et embrasse chaque parcelle de peau en descendant vers le puits d'amour, elle frissonne à chaque petit baiser ou chaque petit coup de langue sur sa peau laiteuse. Il s'attarde sur le ventre, fouille le nombril avec la pointe de sa langue avant de reprendre la descente.
Une fois au-dessus le la vulve, il hume fortement les effluves odorantes qu'elle rejette. Mais dès qu'il pose sa bouche sur le fruit, Karine se cabre en poussant un gémissement qu'elle étouffe en se mordant la main. La langue s'enfonce profondément dans le vagin débordant de cyprine, et le fouille longuement. Karine geint comme une bête blessée, la langue habile de son fils la fait délirer de plaisir. Les remords et les scrupules disparaissent comme par enchantement.
Elle est au bord de la jouissance, mais son fils sait comment retarder l'explosion. Il retire sa langue du puits de l'amour, et ne fait plus aucun mouvement, il attend que la pression retombe, pour ensuite, lui aspirer le clito. L'aspiration brutale fait gémir la maman qui fond de bonheur sous la bouche experte de son fils, jamais, elle n'a connu autant de plaisir.
Gilles suce la boule de chair comme un bonbon, il la mordille un peu pour stimuler encore plus sa maman qui gémit fortement. Pour elle s'en est trop, elle se tend comme un arc, et explose en criant le nom de son fils. Sa jouissance est formidable, elle s'agrippe à son fils et l'embrasse fougueusement un long moment, comme pour le remercier du bonheur qu'il lui donne. Enfin le baiser cesse, les deux amants se regardent un bon moment.
Gilles se redresse, sa verge et dure comme du bois, sa maman écarquille les yeux et tend la main vers le pieu de chair. Elle le saisit, la palpe et dit avec émotion :
-Mon Dieu mon chéri, comme elle est grosse !
Il regarde sa maman en souriant et répond :
-Elle est pour toi maman, suce-la, maman chérie, suce-la !
Karine observe l'engin, ses yeux brillent de mille feux, doucement, elle le décalotte, et avance sa tête vers l'objet de tous les plaisirs. Elle ouvre la bouche et enserre avec ses lèvres le gland violacé. Elle suce au début avec douceur, mais au fur et à mesure, elle s'acharne sur le gland. Gilles geint de plaisir, il ne peut retenir son sperme plus longtemps. Une puissante décharge remplit la gorge de sa maman qui manque d'étouffer, elle repousse son fils en se pinçant les lèvres, ses yeux sont embués.
Elle déglutit plusieurs fois avant d'avaler la totalité de la giclée. Gilles l'enlace et l'embrasse comme un fou. Puis dit :
-Oh maman, tu as avalé mon sperme, oh comme je suis heureux ma chérie de maman !
Karine, sans rien dire, s'essuie d'un revers de la main ses lèvres, puis s'allonge sur le dos, et dit tendrement :
-Viens mon chéri, prend maman, aime-la fort !
Gilles place contre la vulve dégoulinante de désir son membre en forme de sabre et en s'accrochant à ses hanches, pousse. Karine se cabre, lentement la verge puissance s'enfonce dans son ventre. Elle serre les dents en grimaçant, le calibre du membre de son fils et assez important. Elle s'accroche à lui en geignant :
-Oh mon chéri, mon chéri, jamais, je n'ai été prise de cette manière, tu es un démon d'amour, aime-moi, oui, aime-moi mon chéri !
Lentement, Gilles fait coulisser son braquemart dans la gaine qu'il dilate. Karine s'accroche à lui comme un rapace sur sa proie. Le fiston et fier de besogner sa maman, il lui dit :
-Oh maman, comme ta chatte est brûlante, et comme elle enserre bien ma queue, je veux te faire l'amour sans jamais m'arrêter, te donner des jouissances inouïes !
La maman répond en deux gémissements :
-Ne parle pas tant mon chéri, bourre-moi plus fort, oui va à fond mon chéri !
Le jeunot obéissant accélère, sa maman ajoute :
-Oui comme ça, oui, oui, oh, c'est bon mon chéri, encore, encore !
La bite vigoureuse racle les parois garnies de muqueuses sensibles, en prenant de la vitesse, cela a pour effet de faire geindre la maman !
-Oh mon chéri, tu me tues, oui, oui !
La bite voyage dans le ventre de Karine comme un piston dans son cylindre. Gilles donne tout ce qu'il a, il défonce sa maman comme un beau diable, en maronnant :
-Maman, maman, tu es trop bonne, ouah ton jus coule sur mes couilles, c'est merveilleux comme tu mouilles !
Les coups de bélier sont dévastateurs, Karine est au bord de la syncope. La bite lui ramone la chatte, à l'en faire couiner de bonheur. Elle agite son bassin en donnant, elle aussi, de furieux coups de reins. L'empalement est total, surtout brutal. Un hurlement inhumain fait cabrer la maman incestueuse. Sa jouissance est terrible, jamais, elle n'avait joui aussi fort. Gilles donnes encore quelques estocades avant de déverser sa semence brûlante dans le ventre de sa maman.
La douce chaleur du sperme qui coule dans son vagin fait re-jouir la maman, qui croit mourir tellement c'est intense.
Gilles ressort du ventre maternelle sa bite gluante et l'exhibe en souriant sous le nez de sa maman jouisseuse. Elle se jette dessus comme une affamée et lèche la hampe et le gland englués, avant de gober la boule de chair qui ne cesse de rejeter encore quelques perles de semence. La fellation qu'elle fait à son fils est monstrueuse, il ne cesse de répéter :
-Maman, maman, tu es une suceuse hors pair au putain, je vais re-jouir !
Karine ne peut échapper à la puissante décharge de sperme que lui offre si généreusement son fils. Comme la fois précédente, elle avale la totalité sans en gâcher une goutte. Les deux restent emboités l'un dans l'autre jusqu'au petit matin.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Humm quelle chance il à
Humm, c'est du vécu ??
J'ai beaucoup fantasmé sur ma mère à dix-huit ans... mais rien de plus.
Baiser sa mère comme première femme
Il n'y a pas que moi qui l'ai pensé ??
Merci Linsee
J'ai beaucoup fantasmé sur ma mère à dix-huit ans... mais rien de plus.
Baiser sa mère comme première femme
Il n'y a pas que moi qui l'ai pensé ??
Merci Linsee
C'est du vécu ?
Bien détaillé, ce qui ne manque pas de piquant
Louise de Liège
Louise de Liège
Oh la vache, c'est fort.
Le sexe en famille, c'est très délicat, mais là, c'est bien raconté.
Joëlle
Joëlle
J'adore
wow quelle histoire!