une maso exceptionelle 3
Récit érotique écrit par costec [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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une maso exceptionelle 3
J’avais à ma disposition la plus salope des salopes que j’ai pu rencontrer, maso comme la dernière des putes que j’ai pu connaitre, appréciant et pratiquant un langage cru et avilissant pour elle, recherchant les coups les crachats et l’humiliation la plus forte, intéressée et pratiquant surement le sexe crade et les relations zoophiles.
Elle était vautrée en levrette sur le lit le cul très offert, les mamelles écrasées sur les draps et me regardant avec des yeux mouillés de désir. Les fesses écartées par ses deux mains exposaient un trou du cul boursouflé et ouvert en une ligne foncée large et suintant. La chatte dégoulinait sur ses cuisses, les deux petites lèvres longues et charnues, pendaient d’une façon obscène.
Tous ces détails de son anatomie démontraient un usage très fort et fréquent de ses attributs sexuels. Ils avaient été travaillés et depuis longtemps, prouvant si besoin en était le degré de salope de Béatrice.
Je pris une fine cravache dans la mallette noire et la promenait sur sa raie culière…
- Je vais vous cravacher le con et le trou cul Béatrice, lui dis-je
- Vous allez me faire souffrir Monsieur ?
- Oui beaucoup, c’est un premier test de vos limites, vous êtes me semble-t-il tellement maso que je vais y prendre beaucoup de plaisir, est ce que les pinces de vos tétons sont bien en place ? frottez-vous sur les draps que je puisse vérifier …
Elle se souleva un peu et frotta avec vigueur ses nichons sur les draps, les pinces bien en place devait la faire souffrir, elle gueula pour la forme et dit
- Ouii elles sont bien plantées dans mes tétons Monsieur, et font très mal, voulez-vous que je les frotte encore plus fort ?
- Bien sur une truie doit gueuler lorsqu’elle est travaillée non ?
- Oui Monsieur, et elle frotta encore plus fort les pinces de ses tétons sur le drap.
Elle vibrait et gémissait en même temps, ses gros seins bien serrés dans les deux colliers de serrage en plastique faisait ressortir l’obscénité de ces nichons gonflés déjà bleuissant.
- C’est bien une grosse truie qui se fait plaisir en souffrant avec ses mamelles lui dis-je, mais je crois que je vais d’abord profiter de ta belle croupe de jument, je vais te fouetter avec le fouet laisse, est ce que tu marques facilement ?
- Non Monsieur pas beaucoup, allez-y faites-moi gueuler.
Je posai la cravache et empoignais le fouet laisse, long d’un mètre environ avec une lanière épaisse près du manche mais très fine à son extrémité. Il permettait de fouetter avec précision les zones recherchées, de dessiner sur la peau des traces parallèles ou croisées, mais surtout la lanière faisait un bruit sec et puissant lorsqu’elle s’abattait sur la croupe ou le dos de l’esclave fouettée. Ce bruit avait le pouvoir de m’exciter au plus haut point surtout si celui-ci était accompagné des soupirs ou des cris de ma partenaire.
Et je commençais de la fouetter, assez fort de suite les coups secs et rapide dessinait sur son cul des marques rouges parallèles, je visais le haut de la croupe près du bas du dos et descendais rapidement sur le gras des cuisses à la lisière de la chatte et du trou du cul, elle soupirais à chaque coup, me provoquant effrontément en remuant son imposante croupe et quelques coups fouettèrent les lèvres de sa chatte ce qui provoqua des cris rauques et profonds la bouche ouverte, mais la langue sortie en se pourléchant les lèvres,
- Putain que c’est fort, que c’est bon dit-elle, vous fouettez divinement Monsieur, encore s’il vous plait ne vous retenez pas, je suis excitée comme une truie me permettez-vous de me branler je vais jouir comme une bête si vous me l’accordez ?
- Oui Béatrice branle toi, je vais fouetter ta chatte et viser le trou de ton cul salope.
Et je visais la chatte, les grosses lèvres pendantes et le trou du cul, je les atteints à chaque coup, elle se mis à se branler le clito et de suite elle gueula son plaisir avec une voix rauque, elle jouit en tremblant de tout son corps avec une force démesurée, cela dura une bonne minute en gueulant son plaisir puis elle s’affala sur le lit.
Je lui pris les cheveux dans la main et tirai vers le haut pour exposer sa gueule et la fixai droit dans les yeux et lui crachait au visage deux gros mollards bien baveux,
- Est-ce que la truie aime les mollards sur sa gueule ? est-ce que cette grosse merde de salope qui est sur le lit en voudrait encore ?
- Ho Monsieur encore oui insultez-moi si vous saviez comme j’aime.
- Tu en jouis non ?
- Oui j’en ai besoin mais pas uniquement, la douleur les insultes et l’humiliation me font grimper aux rideaux, et s’il y a du public c’est encore mieux, dit-elle en me fixant avec un regard suppliant de désir.
- Tu es très exhibitionniste je l’ai remarqué au restaurant, je crois que je vais pouvoir te faire ce plaisir, je connais quelques endroits qui vont te plaire, mais pour le moment c’est la cravache sur le con et le trou du cul, mets-toi en position et écarte bien les cuisses sale truie.
Elle se mis sur le dos et ouvrit largement les cuisses et relevant les jambes très haut exposant la chatte et le cul, je lui posai un oreiller sous les fesses, le spectacle était surréaliste une belle truie avec les énormes nibards violets couronnés de colliers de serrage et de grosses pinces aux tétons, une grosse chatte obscène et largement ouverte avec les deux lèvres charnues et luisance de mouille de chaque côté. Ce spectacle me faisait bander à mort, je me promis de l’enculer juste après.
Elle entoura ses genoux de ses deux mains et les abaissa sur ses seins exposant largement sa chatte et son trou cul, son serre taille et ses bas toujours sur ses cuisses et elle avait gardé ses escarpins, une vraie pute de bordel.
Je commençais de la cravacher, visant le gros clitoris bandé et les lèvres du con puis le trou du cul, je ne comptais pas les coups je cravachais durement cette grosse merde maso qui en redemandais et râlai d’une voix rauque le plaisir qu’elle vivait, mais je voyais que la douleur était excessive par rapport au plaisir que je voulais lui donner.
- Le safe word est YES, lui dis-je à voix basse, utilise-le quand tu en as besoin, je veux te donner du plaisir dans la souffrance mais pas te faire souffrir pour rien.
- Merci Monsieur, vous avez raison, je souffre beaucoup mais si vous me branlez un peu pour me faire jouir ce sera une explosion. Vos doigts seront magiques j’en suis sûre.
J’attrapais son gros clito et le serrai un peu entre mes ongles, puis le tournais à gauche puis à droite, elle explosa littéralement et ma main fut recouverte de son foutre abondant tandis qu’elle hurlait son plaisir. Laissant le clito j’attrapais les mamelles et tirais violement sur les tétons, elle se cabra en jouissant de plus belle. Quel plaisir de faire jouir cette grosse pute maso, je bandais comme un âne, je me mis à l’aise en me déshabillant et approchais ma bite de son trou cul.
- Je vais t’enculer Béatrice, lui dis-je en posant ma bite sur ce trou du cul béant.
- Défoncez moi Monsieur s’il vous plait,
En une seconde je la pénétrais, comme dans du beurre tellement elle était ouverte, mais un trou du cul souple et entourant ma bite avec douceur, tirant sur les mamelles, les tétons toujours annelés par les pinces qui devaient la faire souffrir, je la faisais approcher de mon visage, elle m’embrassa avec fureur, sa langue profondément enfoncée dans ma bouche. Je répondis à ce baiser en lui mordant les lèvres et la langue, elle se laissait faire en gémissant.
Elle jouit encore une fois sous le baiser et les tétons martyrisés, j’explosais dans son cul une bonne dose de foutre. Ma bite profondément enfoncée dans son cul ressorti couverte en partie de merde, une odeur caractéristique se répandit aussitôt dans la chambre. Tout de suite elle s’en aperçu et me dit :
- Laissez-moi vous nettoyer Monsieur avec la langue et la bouche bien sûr, humm cette odeur je sais que vous aimez aussi vous me l’avez dit lorsque vous jouiez avec « à avilir » sur le réseau, mais cette fois c’est du réel vous allez voir que je suis vraiment cette grosse merde de pute vous pourriez me chier dans la gueule si vous vouliez.
Elle se précipita à genou et pris ma queue goulument en bouche, je profitais pour lui baffer la gueule et les grosses mamelles, et elle emboucha voracement la bite merdeuse. Elle me suça si bien que je lui envoyais une nouvelle dose de foutre au fond de la gorge, elle avala avec le reste dans un grand sourire puis elle ouvrit la bouche pour me montrer qu’elle avait tout avalé, puis nous nous allongeâmes pour un peu de repos.
- Dis-moi Béatrice, d’où te viens cette grande expérience du cul et ton gout pour le crade et pour le reste ? j’avoue que tu m’épates avec un grand plaisir bien sur mais je n’ai jamais rencontré une femme comme toi.
- C’est une longue histoire Monsieur, je vous la raconterais avec plaisir mais dites moi ce que vous voulez faire de moi ?
- Ce que je veux faire de toi ? explique-toi nous venons juste de nous rencontrer…
- Oui c’est vrai, pardonnez mon insolence mais je vous suis sur le réseau depuis quelques temps et vous m’avez aujourd’hui confirmé ce que je pensais de vous, vous êtes le Maitre que je recherche et je souhaiterais aller plus loin avec vous, mais je ne sais pas si vous avez le même avis que moi ? êtes-vous disponible êtes-vous marié ? vous devez me trouver effrontée pour vous demander cela, une soumise qui pose des questions c’est très incongru mais tellement important pour moi.
- He bien en effet je n’ai pas souvent l’occasion d’entendre ce que tu viens de me demander, mais je dois dire que si tu m’étonne tu m’intéresse aussi beaucoup, je suis divorcé libre mais avec quelques aventures, je suis très souvent absent pour mon travail et je voyage dans tout le sud de la France et l’idée que je puisse t’avoir à disposition dans mes bagages me séduit assez, dis-je avec un sourire.
- J’ai moi aussi quelques amants qui m’utilisent selon leurs bon vouloir, souvent pour mon cul et pour me fouetter, mais rien qui ne me transcende et m’incite à continuer comme avec vous.
- Tu me fais bander salope, regarde ma bite, que vas-tu en faire ?
- Vous sucer Maitre, et vous donner mon cul, il est encore assez souple et pas trop ouvert vous pourrez le défoncer en me tirant les tétons avec les pinces pour faire très mal et me faire jouir.
- Et quelques baffes dans ta gueule de pute ?
- Oui Maitre baffez là cette grosse merde, comme vous m’insultez bien
Et je baffais cette grosse merde en l’enculant et tirant ses nichons par les pinces plantées dans les gros tétons, elle était tétanisée et jouis en quelques secondes me fixant dans les yeux en me criant son plaisir d’être utilisée comme une truie.
Nous envisageâmes ensuite le futur de cette relation très hard et chaude, cela fera l’objet des prochains chapitres de cette histoire.
Elle est réelle cette histoire, Béatrice existe bien, mais je m’aperçois que je romance un peu les évènements en lui faisant dire et faire un peu plus qu’elle ne fit en réalité, cependant elle aurait largement pu faire et dire ce que j’écris à son sujet.
Elle était vautrée en levrette sur le lit le cul très offert, les mamelles écrasées sur les draps et me regardant avec des yeux mouillés de désir. Les fesses écartées par ses deux mains exposaient un trou du cul boursouflé et ouvert en une ligne foncée large et suintant. La chatte dégoulinait sur ses cuisses, les deux petites lèvres longues et charnues, pendaient d’une façon obscène.
Tous ces détails de son anatomie démontraient un usage très fort et fréquent de ses attributs sexuels. Ils avaient été travaillés et depuis longtemps, prouvant si besoin en était le degré de salope de Béatrice.
Je pris une fine cravache dans la mallette noire et la promenait sur sa raie culière…
- Je vais vous cravacher le con et le trou cul Béatrice, lui dis-je
- Vous allez me faire souffrir Monsieur ?
- Oui beaucoup, c’est un premier test de vos limites, vous êtes me semble-t-il tellement maso que je vais y prendre beaucoup de plaisir, est ce que les pinces de vos tétons sont bien en place ? frottez-vous sur les draps que je puisse vérifier …
Elle se souleva un peu et frotta avec vigueur ses nichons sur les draps, les pinces bien en place devait la faire souffrir, elle gueula pour la forme et dit
- Ouii elles sont bien plantées dans mes tétons Monsieur, et font très mal, voulez-vous que je les frotte encore plus fort ?
- Bien sur une truie doit gueuler lorsqu’elle est travaillée non ?
- Oui Monsieur, et elle frotta encore plus fort les pinces de ses tétons sur le drap.
Elle vibrait et gémissait en même temps, ses gros seins bien serrés dans les deux colliers de serrage en plastique faisait ressortir l’obscénité de ces nichons gonflés déjà bleuissant.
- C’est bien une grosse truie qui se fait plaisir en souffrant avec ses mamelles lui dis-je, mais je crois que je vais d’abord profiter de ta belle croupe de jument, je vais te fouetter avec le fouet laisse, est ce que tu marques facilement ?
- Non Monsieur pas beaucoup, allez-y faites-moi gueuler.
Je posai la cravache et empoignais le fouet laisse, long d’un mètre environ avec une lanière épaisse près du manche mais très fine à son extrémité. Il permettait de fouetter avec précision les zones recherchées, de dessiner sur la peau des traces parallèles ou croisées, mais surtout la lanière faisait un bruit sec et puissant lorsqu’elle s’abattait sur la croupe ou le dos de l’esclave fouettée. Ce bruit avait le pouvoir de m’exciter au plus haut point surtout si celui-ci était accompagné des soupirs ou des cris de ma partenaire.
Et je commençais de la fouetter, assez fort de suite les coups secs et rapide dessinait sur son cul des marques rouges parallèles, je visais le haut de la croupe près du bas du dos et descendais rapidement sur le gras des cuisses à la lisière de la chatte et du trou du cul, elle soupirais à chaque coup, me provoquant effrontément en remuant son imposante croupe et quelques coups fouettèrent les lèvres de sa chatte ce qui provoqua des cris rauques et profonds la bouche ouverte, mais la langue sortie en se pourléchant les lèvres,
- Putain que c’est fort, que c’est bon dit-elle, vous fouettez divinement Monsieur, encore s’il vous plait ne vous retenez pas, je suis excitée comme une truie me permettez-vous de me branler je vais jouir comme une bête si vous me l’accordez ?
- Oui Béatrice branle toi, je vais fouetter ta chatte et viser le trou de ton cul salope.
Et je visais la chatte, les grosses lèvres pendantes et le trou du cul, je les atteints à chaque coup, elle se mis à se branler le clito et de suite elle gueula son plaisir avec une voix rauque, elle jouit en tremblant de tout son corps avec une force démesurée, cela dura une bonne minute en gueulant son plaisir puis elle s’affala sur le lit.
Je lui pris les cheveux dans la main et tirai vers le haut pour exposer sa gueule et la fixai droit dans les yeux et lui crachait au visage deux gros mollards bien baveux,
- Est-ce que la truie aime les mollards sur sa gueule ? est-ce que cette grosse merde de salope qui est sur le lit en voudrait encore ?
- Ho Monsieur encore oui insultez-moi si vous saviez comme j’aime.
- Tu en jouis non ?
- Oui j’en ai besoin mais pas uniquement, la douleur les insultes et l’humiliation me font grimper aux rideaux, et s’il y a du public c’est encore mieux, dit-elle en me fixant avec un regard suppliant de désir.
- Tu es très exhibitionniste je l’ai remarqué au restaurant, je crois que je vais pouvoir te faire ce plaisir, je connais quelques endroits qui vont te plaire, mais pour le moment c’est la cravache sur le con et le trou du cul, mets-toi en position et écarte bien les cuisses sale truie.
Elle se mis sur le dos et ouvrit largement les cuisses et relevant les jambes très haut exposant la chatte et le cul, je lui posai un oreiller sous les fesses, le spectacle était surréaliste une belle truie avec les énormes nibards violets couronnés de colliers de serrage et de grosses pinces aux tétons, une grosse chatte obscène et largement ouverte avec les deux lèvres charnues et luisance de mouille de chaque côté. Ce spectacle me faisait bander à mort, je me promis de l’enculer juste après.
Elle entoura ses genoux de ses deux mains et les abaissa sur ses seins exposant largement sa chatte et son trou cul, son serre taille et ses bas toujours sur ses cuisses et elle avait gardé ses escarpins, une vraie pute de bordel.
Je commençais de la cravacher, visant le gros clitoris bandé et les lèvres du con puis le trou du cul, je ne comptais pas les coups je cravachais durement cette grosse merde maso qui en redemandais et râlai d’une voix rauque le plaisir qu’elle vivait, mais je voyais que la douleur était excessive par rapport au plaisir que je voulais lui donner.
- Le safe word est YES, lui dis-je à voix basse, utilise-le quand tu en as besoin, je veux te donner du plaisir dans la souffrance mais pas te faire souffrir pour rien.
- Merci Monsieur, vous avez raison, je souffre beaucoup mais si vous me branlez un peu pour me faire jouir ce sera une explosion. Vos doigts seront magiques j’en suis sûre.
J’attrapais son gros clito et le serrai un peu entre mes ongles, puis le tournais à gauche puis à droite, elle explosa littéralement et ma main fut recouverte de son foutre abondant tandis qu’elle hurlait son plaisir. Laissant le clito j’attrapais les mamelles et tirais violement sur les tétons, elle se cabra en jouissant de plus belle. Quel plaisir de faire jouir cette grosse pute maso, je bandais comme un âne, je me mis à l’aise en me déshabillant et approchais ma bite de son trou cul.
- Je vais t’enculer Béatrice, lui dis-je en posant ma bite sur ce trou du cul béant.
- Défoncez moi Monsieur s’il vous plait,
En une seconde je la pénétrais, comme dans du beurre tellement elle était ouverte, mais un trou du cul souple et entourant ma bite avec douceur, tirant sur les mamelles, les tétons toujours annelés par les pinces qui devaient la faire souffrir, je la faisais approcher de mon visage, elle m’embrassa avec fureur, sa langue profondément enfoncée dans ma bouche. Je répondis à ce baiser en lui mordant les lèvres et la langue, elle se laissait faire en gémissant.
Elle jouit encore une fois sous le baiser et les tétons martyrisés, j’explosais dans son cul une bonne dose de foutre. Ma bite profondément enfoncée dans son cul ressorti couverte en partie de merde, une odeur caractéristique se répandit aussitôt dans la chambre. Tout de suite elle s’en aperçu et me dit :
- Laissez-moi vous nettoyer Monsieur avec la langue et la bouche bien sûr, humm cette odeur je sais que vous aimez aussi vous me l’avez dit lorsque vous jouiez avec « à avilir » sur le réseau, mais cette fois c’est du réel vous allez voir que je suis vraiment cette grosse merde de pute vous pourriez me chier dans la gueule si vous vouliez.
Elle se précipita à genou et pris ma queue goulument en bouche, je profitais pour lui baffer la gueule et les grosses mamelles, et elle emboucha voracement la bite merdeuse. Elle me suça si bien que je lui envoyais une nouvelle dose de foutre au fond de la gorge, elle avala avec le reste dans un grand sourire puis elle ouvrit la bouche pour me montrer qu’elle avait tout avalé, puis nous nous allongeâmes pour un peu de repos.
- Dis-moi Béatrice, d’où te viens cette grande expérience du cul et ton gout pour le crade et pour le reste ? j’avoue que tu m’épates avec un grand plaisir bien sur mais je n’ai jamais rencontré une femme comme toi.
- C’est une longue histoire Monsieur, je vous la raconterais avec plaisir mais dites moi ce que vous voulez faire de moi ?
- Ce que je veux faire de toi ? explique-toi nous venons juste de nous rencontrer…
- Oui c’est vrai, pardonnez mon insolence mais je vous suis sur le réseau depuis quelques temps et vous m’avez aujourd’hui confirmé ce que je pensais de vous, vous êtes le Maitre que je recherche et je souhaiterais aller plus loin avec vous, mais je ne sais pas si vous avez le même avis que moi ? êtes-vous disponible êtes-vous marié ? vous devez me trouver effrontée pour vous demander cela, une soumise qui pose des questions c’est très incongru mais tellement important pour moi.
- He bien en effet je n’ai pas souvent l’occasion d’entendre ce que tu viens de me demander, mais je dois dire que si tu m’étonne tu m’intéresse aussi beaucoup, je suis divorcé libre mais avec quelques aventures, je suis très souvent absent pour mon travail et je voyage dans tout le sud de la France et l’idée que je puisse t’avoir à disposition dans mes bagages me séduit assez, dis-je avec un sourire.
- J’ai moi aussi quelques amants qui m’utilisent selon leurs bon vouloir, souvent pour mon cul et pour me fouetter, mais rien qui ne me transcende et m’incite à continuer comme avec vous.
- Tu me fais bander salope, regarde ma bite, que vas-tu en faire ?
- Vous sucer Maitre, et vous donner mon cul, il est encore assez souple et pas trop ouvert vous pourrez le défoncer en me tirant les tétons avec les pinces pour faire très mal et me faire jouir.
- Et quelques baffes dans ta gueule de pute ?
- Oui Maitre baffez là cette grosse merde, comme vous m’insultez bien
Et je baffais cette grosse merde en l’enculant et tirant ses nichons par les pinces plantées dans les gros tétons, elle était tétanisée et jouis en quelques secondes me fixant dans les yeux en me criant son plaisir d’être utilisée comme une truie.
Nous envisageâmes ensuite le futur de cette relation très hard et chaude, cela fera l’objet des prochains chapitres de cette histoire.
Elle est réelle cette histoire, Béatrice existe bien, mais je m’aperçois que je romance un peu les évènements en lui faisant dire et faire un peu plus qu’elle ne fit en réalité, cependant elle aurait largement pu faire et dire ce que j’écris à son sujet.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour Charlotte merci de votre commentaire, je comprends votre avis mais Beatrice était extrêmement maso, la baise douce ne la faisait pas jouir moi non plus d'ailleurs.
L'auteur costec
L'auteur costec
Certaines femmes aiment être traitées en objet durant l'acte, quand a la douleur, bon, cela reste à l'appréciation de chacun, une fessée ne me dérange pas, des gifles sur les seins non plus, mais pas à chaque rapport, comme je l'ai dit, le sexe sauvage, ou a la hussarde, c'est bien quelques fois, mais je ne demanderai pas cela à chaque fois non plus.
Beueueurrkkk...