Une mini-jupe dans les embouteillages
Récit érotique écrit par Pourquoi pas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une mini-jupe dans les embouteillages
Il m’est arrivé un truc il y a quelques semaines. Dans tous les restaus routiers les mecs se vantent d’avoir chopé des dizaines de filles, qu’ils ont fait monter dans le camion une auto-stoppeuse chaude comme la braise ou qu’une fille leur a montré sa culotte. Au début j’avais tendance à y croire en partie mais je trouvais bizarre qu’il ne m’arrive jamais rien de tel. Pourtant je me trouvais beaucoup mieux physiquement que ces quelques gars au ventre bien bombé et à l’allure pas toujours très nette.
Je n’ai jamais vu la moindre auto-stoppeuse aguichante au bord de la route. J’avais beau mater dans les voitures pendant les bouchons, je ne voyais rien de bien exceptionnel. Oh il y avait bien quelques décolletés bien fournis et en 4 ans j’ai vu une seule culotte. A ce propos je rassure les filles ; il faut vraiment mettre une jupe très courte si vous voulez qu’un routier voie votre culotte. Il ne faut pas qu’elle descende plus bas que mi-cuisse, en s’asseyant elle remonte un peu et offre une jolie vue. Plus longue on ne voit rien.
Dans les histoires des vantards le chauffeur apercevait une jolie fille, klaxonnait un coup, elle s’arrêtait au premier parking (comme par hasard 200m plus loin) et là la fille lui faisait une pipe d’enfer avant de se laisser chevaucher pendant un long moment dans toutes les positions.
Tu parles, ce n’est que des racontars tout ça ! J’ai bien essayé la technique du klaxon ou des appels de phares. Dans 90% des cas il n’y a aucune réaction et dans les 10% restants j’avais le droit à un doigt d’honneur ou une queue de poisson. Bref, je me retrouve ce matin de septembre sur la Sud 3 (voie rapide qui contourne Rouen), coincé dans les bouchons comme tous les jours vers 8h30. Par désœuvrement je jette un œil dans les voitures qui me doublent à petite vitesse. Un mec, un vieux, une fille en pantalon, 3 jeunes, un mec quoi joue avec son téléphone, encore une fille en pantalon, une fille en jupe mais très longue, une petite blonde avec une poitrine bien dessinée… mais pas la moindre culotte en vue jusqu’à cette voiture grise. J’aperçois ce qui ressemble à un tailleur noir et la jupe remonte haut sur les cuisses. Zut elle s’arrête quelques mètres devant moi sur la file de gauche. La file de droite avance plus vite, je reviens à sa hauteur et je reste à son niveau. C’est confirmé, elle porte un tailleur avec un chemisier tendu par ses seins. Je regarde par le pare-brise mais je ne vois pas son visage et la jupe est trop basse pour voir sa culotte. Allez, je tente le coup de klaxon, de toute façon dans les bouchons un coup de klaxon c’est fréquent. KLAXON ! La fille se penche sur le siège passager et me regarde avec un grand sourire. Elle me fait signe pour savoir si c’est elle qui est visée. Je lui retourne un grand sourire et elle agite l’index en geste de réprimande. Génial, elle ne l’a pas mal pris. Ca à l’air d’être une marrante. En tout cas elle est plutôt jolie, je lui donne une trentaine d’années, les cheveux châtains mi- longs un peu ondulés et un grand sourire sur les lèvres.
Les aléas de la circulation font que sa voiture est quelques mètres devant moi sur la file de gauche. C’est rageant, il s’en faut de pas grand-chose pour que je sois à sa hauteur. Je serre la voiture devant moi mais rien à faire, ma belle automobiliste est hors de portée. Je la rattrape enfin ; KLAXON ! A nouveau elle me fait un grand sourire et à ma grande surprise elle défait un bouton de son chemisier. J’applaudis et je lève le pouce pour lui faire comprendre que j’apprécie.
Maintenant c’est ma file qui avance plus vite, je guette la voiture dans mon rétroviseur en espérant que la circulation me soit favorable. Je ralentis bien pour la laisser revenir à ma hauteur. Et là double surprise, c’est elle qui klaxonne et en plus elle a remonté sa jupe pour que je puisse voir sa culotte. Oulla la ça devient chaud. Je me demande si elle fait ça juste pour m’allumer ou si elle a une idée derrière la tête. Malheureusement c’est bientôt la fin de la Sud3 et nos chemins vont sans doute se séparer. Mais que faire ? Impossible de s’arrêter pour lui demander son numéro de téléphone car le flux de véhicules avance par à-coups. Je repasse devant elle car la file de gauche (direction Rouen centre) est bien bloquée alors que moi je reste à droite pour monter vers Barentin / Yvetot. Je cherche sa voiture mais très vite elle est loin derrière. Je me résigne ; au moins je n’aurais pas vu le temps passer pendant ces embouteillages. Je sors de Rouen et je m’arrête dans une petite zone industrielle pour livrer un client. Je ne connais pas bien la zone alors je m’arrête devant le plan et je descends pour localiser précisément mon client. Je suis devant le panneau quand je vois une (la) voiture grise s’arrêter derrière mon camion et la belle inconnue en descend pour venir me voir.
« Alors comme ça on klaxonne les femmes en voiture ? »
« Euh… oui mais que les jolies femmes. Et si en plus elles jouent le jeu alors là c’est génial. C’est la première fois que quelqu’un m’offre un si beau spectacle.»
« Ravie que ça t’ai plu. Tu me fais monter dans ton camion ? »
Waouh ! Elle n’y va pas par quatre chemins. Je sais ce qui va se passer et j’en ai envie alors je la fais monter.
« Ne dit rien » dit-elle. « Je ne veux pas savoir comment tu t’appelles. »
Je ferme les rideaux et elle s’assoit sur la couchette. Je m’approche de son visage et je l’embrasse. Nos langues tournoient un bon moment et mes mains caressent ses seins à travers son chemisier. Je défais les boutons et je dégrafe son soutien-gorge pour laisser apparaître sa poitrine. Je joue un peu avec ses tétons puis elle appuie sur ma tête pour que je descende entre ses jambes. Elle remonte sa jupe, soulève ses fesses et je lui retire sa culotte. Je plonge ma tête entre ses cuisses et ma langue se promène sur sa chatte aux poils rasés courts. Quelques petits coups sur son clitoris et la voilà qui mouille abondamment. Pendant que je lui fais un cunnilingus je baisse mon pantalon et je descends mon caleçon pour libérer mon sexe en érection. J’attrape comme je peux un préservatif dans un rangement et je le déroule sur mon sexe. Elle me tire derrière la nuque pour m’attirer contre elle. Je remonte le long de son corps et je la pénètre. Elle est très accueillante et ma verge entre en elle sans effort. Quelques minutes de mouvements cadencés et elle se cambre. Elle jouit mais de mon côté j’ai réussi à me retenir. Je descends à nouveau ma langue sur sa chatte complètement trempée par sa jouissance et je titille son clitoris. Son désir revient doucement, elle se retourne pour me présenter ses fesses. Je me relève pour la prendre en levrette. Elle pose une main sur ma cuisse pour me faire comprendre si je dois aller plus ou moins profond et la vitesse qu’elle souhaite. Elle a de superbes fesses et je suis hyper excité de voir mon sexe entrer en elle. Cette fois c’est à mon tour de jouir et je remplis le préservatif avec mon sperme. Je me retire et je lui tends des mouchoirs pour qu’elle puisse s’essuyer. Nous nous rhabillons en silence, je ne sais pas trop quoi penser de ce qui vient de se passer. Elle m’embrasse ; « c’était vraiment très agréable. Mais il n’y aura pas de suite car ce qui m’excite c’est justement la rencontre avec un inconnu. Et si on se revoit tu ne seras plus un inconnu donc mon plaisir ne sera pas le même. Certains mecs disent que je suis une salope car ils le prennent mal. »
« Mais non, ce n’est pas ce que je pense. Je suis un peu déçu car j’aurais bien aimé qu’on se revoit mais je comprends ta démarche. Certains aiment les menottes, le SM ou les clubs libertins ; ton truc à toi c’est les inconnus. Tu n’as pas à te justifier, je garderais de très bons souvenirs de ces quelques minutes. »
« Tu es vraiment mignon… »
Elle descend de mon camion, je la regarde s’installer au volant de sa voiture. Elle fait demi-tour et elle me fait un petit coucou par la fenêtre en passant à ma hauteur. Je la regarde s’éloigner puis disparaître après un rond-point.
S’il n’y avait pas le préservatif usagé j’aurais pu croire que j’avais rêvé tout ça.
Seulement dans tes rêves.
Je n’ai jamais vu la moindre auto-stoppeuse aguichante au bord de la route. J’avais beau mater dans les voitures pendant les bouchons, je ne voyais rien de bien exceptionnel. Oh il y avait bien quelques décolletés bien fournis et en 4 ans j’ai vu une seule culotte. A ce propos je rassure les filles ; il faut vraiment mettre une jupe très courte si vous voulez qu’un routier voie votre culotte. Il ne faut pas qu’elle descende plus bas que mi-cuisse, en s’asseyant elle remonte un peu et offre une jolie vue. Plus longue on ne voit rien.
Dans les histoires des vantards le chauffeur apercevait une jolie fille, klaxonnait un coup, elle s’arrêtait au premier parking (comme par hasard 200m plus loin) et là la fille lui faisait une pipe d’enfer avant de se laisser chevaucher pendant un long moment dans toutes les positions.
Tu parles, ce n’est que des racontars tout ça ! J’ai bien essayé la technique du klaxon ou des appels de phares. Dans 90% des cas il n’y a aucune réaction et dans les 10% restants j’avais le droit à un doigt d’honneur ou une queue de poisson. Bref, je me retrouve ce matin de septembre sur la Sud 3 (voie rapide qui contourne Rouen), coincé dans les bouchons comme tous les jours vers 8h30. Par désœuvrement je jette un œil dans les voitures qui me doublent à petite vitesse. Un mec, un vieux, une fille en pantalon, 3 jeunes, un mec quoi joue avec son téléphone, encore une fille en pantalon, une fille en jupe mais très longue, une petite blonde avec une poitrine bien dessinée… mais pas la moindre culotte en vue jusqu’à cette voiture grise. J’aperçois ce qui ressemble à un tailleur noir et la jupe remonte haut sur les cuisses. Zut elle s’arrête quelques mètres devant moi sur la file de gauche. La file de droite avance plus vite, je reviens à sa hauteur et je reste à son niveau. C’est confirmé, elle porte un tailleur avec un chemisier tendu par ses seins. Je regarde par le pare-brise mais je ne vois pas son visage et la jupe est trop basse pour voir sa culotte. Allez, je tente le coup de klaxon, de toute façon dans les bouchons un coup de klaxon c’est fréquent. KLAXON ! La fille se penche sur le siège passager et me regarde avec un grand sourire. Elle me fait signe pour savoir si c’est elle qui est visée. Je lui retourne un grand sourire et elle agite l’index en geste de réprimande. Génial, elle ne l’a pas mal pris. Ca à l’air d’être une marrante. En tout cas elle est plutôt jolie, je lui donne une trentaine d’années, les cheveux châtains mi- longs un peu ondulés et un grand sourire sur les lèvres.
Les aléas de la circulation font que sa voiture est quelques mètres devant moi sur la file de gauche. C’est rageant, il s’en faut de pas grand-chose pour que je sois à sa hauteur. Je serre la voiture devant moi mais rien à faire, ma belle automobiliste est hors de portée. Je la rattrape enfin ; KLAXON ! A nouveau elle me fait un grand sourire et à ma grande surprise elle défait un bouton de son chemisier. J’applaudis et je lève le pouce pour lui faire comprendre que j’apprécie.
Maintenant c’est ma file qui avance plus vite, je guette la voiture dans mon rétroviseur en espérant que la circulation me soit favorable. Je ralentis bien pour la laisser revenir à ma hauteur. Et là double surprise, c’est elle qui klaxonne et en plus elle a remonté sa jupe pour que je puisse voir sa culotte. Oulla la ça devient chaud. Je me demande si elle fait ça juste pour m’allumer ou si elle a une idée derrière la tête. Malheureusement c’est bientôt la fin de la Sud3 et nos chemins vont sans doute se séparer. Mais que faire ? Impossible de s’arrêter pour lui demander son numéro de téléphone car le flux de véhicules avance par à-coups. Je repasse devant elle car la file de gauche (direction Rouen centre) est bien bloquée alors que moi je reste à droite pour monter vers Barentin / Yvetot. Je cherche sa voiture mais très vite elle est loin derrière. Je me résigne ; au moins je n’aurais pas vu le temps passer pendant ces embouteillages. Je sors de Rouen et je m’arrête dans une petite zone industrielle pour livrer un client. Je ne connais pas bien la zone alors je m’arrête devant le plan et je descends pour localiser précisément mon client. Je suis devant le panneau quand je vois une (la) voiture grise s’arrêter derrière mon camion et la belle inconnue en descend pour venir me voir.
« Alors comme ça on klaxonne les femmes en voiture ? »
« Euh… oui mais que les jolies femmes. Et si en plus elles jouent le jeu alors là c’est génial. C’est la première fois que quelqu’un m’offre un si beau spectacle.»
« Ravie que ça t’ai plu. Tu me fais monter dans ton camion ? »
Waouh ! Elle n’y va pas par quatre chemins. Je sais ce qui va se passer et j’en ai envie alors je la fais monter.
« Ne dit rien » dit-elle. « Je ne veux pas savoir comment tu t’appelles. »
Je ferme les rideaux et elle s’assoit sur la couchette. Je m’approche de son visage et je l’embrasse. Nos langues tournoient un bon moment et mes mains caressent ses seins à travers son chemisier. Je défais les boutons et je dégrafe son soutien-gorge pour laisser apparaître sa poitrine. Je joue un peu avec ses tétons puis elle appuie sur ma tête pour que je descende entre ses jambes. Elle remonte sa jupe, soulève ses fesses et je lui retire sa culotte. Je plonge ma tête entre ses cuisses et ma langue se promène sur sa chatte aux poils rasés courts. Quelques petits coups sur son clitoris et la voilà qui mouille abondamment. Pendant que je lui fais un cunnilingus je baisse mon pantalon et je descends mon caleçon pour libérer mon sexe en érection. J’attrape comme je peux un préservatif dans un rangement et je le déroule sur mon sexe. Elle me tire derrière la nuque pour m’attirer contre elle. Je remonte le long de son corps et je la pénètre. Elle est très accueillante et ma verge entre en elle sans effort. Quelques minutes de mouvements cadencés et elle se cambre. Elle jouit mais de mon côté j’ai réussi à me retenir. Je descends à nouveau ma langue sur sa chatte complètement trempée par sa jouissance et je titille son clitoris. Son désir revient doucement, elle se retourne pour me présenter ses fesses. Je me relève pour la prendre en levrette. Elle pose une main sur ma cuisse pour me faire comprendre si je dois aller plus ou moins profond et la vitesse qu’elle souhaite. Elle a de superbes fesses et je suis hyper excité de voir mon sexe entrer en elle. Cette fois c’est à mon tour de jouir et je remplis le préservatif avec mon sperme. Je me retire et je lui tends des mouchoirs pour qu’elle puisse s’essuyer. Nous nous rhabillons en silence, je ne sais pas trop quoi penser de ce qui vient de se passer. Elle m’embrasse ; « c’était vraiment très agréable. Mais il n’y aura pas de suite car ce qui m’excite c’est justement la rencontre avec un inconnu. Et si on se revoit tu ne seras plus un inconnu donc mon plaisir ne sera pas le même. Certains mecs disent que je suis une salope car ils le prennent mal. »
« Mais non, ce n’est pas ce que je pense. Je suis un peu déçu car j’aurais bien aimé qu’on se revoit mais je comprends ta démarche. Certains aiment les menottes, le SM ou les clubs libertins ; ton truc à toi c’est les inconnus. Tu n’as pas à te justifier, je garderais de très bons souvenirs de ces quelques minutes. »
« Tu es vraiment mignon… »
Elle descend de mon camion, je la regarde s’installer au volant de sa voiture. Elle fait demi-tour et elle me fait un petit coucou par la fenêtre en passant à ma hauteur. Je la regarde s’éloigner puis disparaître après un rond-point.
S’il n’y avait pas le préservatif usagé j’aurais pu croire que j’avais rêvé tout ça.
Seulement dans tes rêves.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire très sympa, merci