Une Mort + Une Naissance = Une Découverte
Récit érotique écrit par Olivia lena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une Mort + Une Naissance = Une Découverte
Une Mort + Une Naissance = Une Découverte
Je m'appelle Tom, j'ai 38ans, et je vis avec Diana depuis 6 ans qui elle a 25 ans, et très franchement, j'ai beaucoup de chance de l'avoir trouvée car elle est à mes yeux, ce que la perfection peu offrir de mieux… J'aime éperdument ce que l'ensemble de son être dégage à chaque seconde de vie passée à ses cotés… Elle est brune, avec de long cheveux sombres, un visage dont le sourire et une voix sensuelle illuminent l'ensemble des traits qui le composent, et quel que soit votre angle de vue, le regarder est toujours un plaisir… J'aime le paradoxe de ses yeux bleus et de ses cheveux noirs, il lui donne une malice espiègle et sensuelle qui font des ravages chez tous les hommes qui ont le malheur de croiser cette frimousse aguichante… Le reste de son corps lui va comme un gant de velours, du haut de ses 1m70 pour 65kg répartis dans une indécente perfection qu'elle met en valeur de manière naturelle ce qui ajoute à sa beauté. Ses fesses (qui me font craquer)rebondissent parfaitement en-dessous de hanches joliment cambrées, tandis que son intimité totalement épilé (m'aspire!) je n'ai jamais su résister non plus à ses seins généreux d'un 90d en forme de poire. Grace à elle, je me sens bien, et quand je la vois aussi belle que sexy, attirant forcément le regard des hommes ou des femmes sur sa personne, je la trouve plus désirable encore. Le seul bémol à notre histoire est ma jalousie maladive qui nous a valut pas mal de problèmes notamment avec nos amis et à mainte autres occasions. Je dirais pour conclure cette entrée en matière que j'aime sentir qu'elle me possède autant qu'elle m'appartient.
Evidemment, après 6 ans de vie commune, on n'échappe pas aux crises de couple liées à la routine du temps, et qu'il faut surmonter ensemble…L'une des plus fortes est survenue il y a quelques mois lorsque nous nous sommes rendu compte que depuis 6 ans nous avions perdu pratiquement tous nos amis (par négligence de notre part surtout et aussi en raison de mes problèmes de jalousie), et que du coup, nous restions souvent les deux et tension oblige, il fallait que ça pète une bonne fois, et nous nous sommes décidés à chercher de nouveaux amis.
Avec des efforts partagés (moi j'ai invité un couple dont le mari est un collègue et Diana a invité une collègue célibataire, Patricia, et un ami d'adolescence, Matthieu, qui vit actuellement une rupture difficile), nous avons beaucoup mieux occupé nos week-end.
La soirée dont je vais vous parler devait réunir nos quatre nouveaux amis, mais rien ne s'est passé comme il devait.
Le couple annule pour un décès subit dans leur famille, et Patricia nous appelle deux heures avant, nous disant que son cousin vient de débarquer à l'improviste. Nous voilà partis pour une soirée déjà à moitié ratée.
Matthieu débarque vers 18h et il a le cafard (son ex l'a harcelé au tel). Je me dis ironiquement "super cool" la soirée et décide de nous servir tout de même toutes les bouteilles prévues.
La soirée avance et nous buvons plus que de raison, surtout moi qui n'apprécie pas beaucoup leurs retrouvailles et qui le trouve plutôt chiant. En plus je n'aime pas trop la façon qu'il a de la regarder en même temps qu'il lui dit :
"oh tu te souviens de truc comme il te draguait…" ou "oh tu te souviens du prof de sport sur qui tu flashais…".
Mais je n'aime pas non plus la façon dont Diana lui répond un peu naïvement et crûment:
"Tu m'étonnes, il était bien foutu quand-même, si j'avais osé?!…"
Bref nous sommes au salon, j' me fais chier et picole tout ce que je peux, attendant avec hâte le fameux "bon ben je vais vous laisser" pour me la jouer câlin câlin avec ma petite femme. La situation m'amuse un peu et je ne peux m'empêcher de fredonner dans ma tête la chanson d'Aznavour dont les paroles me reviennent en mémoire :
"Lui, te caresse, du fond des yeux… Toi, tu te laisses, prendre à son jeu… Et moi, dans mon coin, si je ne dis rien, je remarque toutes choses…"
Vers deux heures du matin (alors que je ne tiens déjà plus debout et dors à moitié sur mon fauteuil), mon voeux semble exaucé quand Matthieu se lève et dit :
"Bon il se fait tard… et si on se faisait un petit joint?"
Bien que complètement dans le coltard, mon esprit s'éveille mais sans mon corps qui reste affalé et je me dis…
"merde c'est pas vrai, j'ai jamais supporté cette merde, ça me fait dormir direct, et vu dans quel état j'suis déjà…ohlalalala…". Diana a plutôt l'air de trouver ça cool en lui répondant :
"wouahou…ça fait trop longtemps qu'j'ai pas re-fumé…ça va être drôle".
Et me voilà pris au piège, ne pouvant refuser un truc que ma femme trouve drôle (putain d'égo à la con).
Quoiqu'il en soit, les minutes passent et j'essaye de tirer le moins possible, alors que l'effet semble déjà émoustiller ma Diana qui rit de bon coeur aux blagues de plus en plus ringardes d'un Matthieu triomphant petit à petit de moi.
Et voilà qu'arrive pour moi, et bien plus tôt que je ne l'avais prévu, la phase "scotchage"…(mon corps se crispe dans le fauteuil, mes yeux se sont clôt durement, mes sens m'échappent les uns après les autres, mon esprit finit par ne plus réagir à rien et part je ne sais où
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Alors que mes muscles sont toujours tétanisés et impossibles à bouger, mon ouïe semble retrouver petit à petit de la sensibilité et doucement des sons me parviennent à nouveau, puis des voix)
criip clap grrrrrr uuun
"elll dry touttts llllaa joouurnneé cc'et fffliippaant ett puis elle sas rappeler lee soir et mêmes à minuit".
"Tu devrais pas t'en faire Matt, elle finira par se lasser de t'emmerder et ça ira mieux"
"oui mais en attendant qu'elle prise de tête…et toi ça va avec Tom, enfin vous deux quoi??"
"oui ça va plutôt pas mal je trouve, je l'aime et j'ai vraiment envie que ça marche, même si c'est pas facile tous les jours "
"ouais mais c'est facile pour personne tu sais…"
"c'est sûr...regarde le…bienvenu dans la vie de couple…hihihihihi"
"ahaha tu m'étonnes…il est complètement HS en tout cas"
"c'est clair, il en tient une bonne…"
"c'est vraiment drôle qu'on se soit retrouvés après toutes ces années"
"moi ça me surprend pas, on s'est toujours bien trouvé il me semble…"
"c'est vrai qu'ça a toujours bien collé…j'ai toujours trouvé qu'on se comprenait sans avoir besoin de dire grand chose"
"oui je crois que c'est ça les amis"
"je peux te poser une question qui me trotte dans la tête depuis le lycée ?"
"oui bien sûr vas-y"
"pourquoi on n'est jamais sortis ensemble tous les deux? C'était cool au bahut, on s'marrait bien tous les deux, alors pourquoi?"
"j'en sais rien c'est comme ça"
"tu sais que je te trouvais super canon"
"ben t'aurais du me le dire comme ça à l'époque…et peut être que??"
"A ouais tu crois?"
"va savoir"
"tu sais que j'te trouve encore plus canon aujourd'hui"
"HIHIHIhihihihi…..t'es con toi alors hihihi….."
"Si j'avais essayé de t'embrasser à l'époque t'aurais fais quoi dis moi?"
"tu voudrais bien savoir hein??…et bien fallait tenté…"
"Tu parles, je flippais trop, tu m'impressionnais tu sais…"
"ho pauvre petit Matt que j'impressionnais…hihihi"
"ahahah…te fous pas de moi en plus…petite salope"
"oh je t'en pris"
"quoi, tu sais maintenant tu m'impressionnes plus "
"Ca c'est dommage…hihihihi"
"non, mais sérieux tu sais que depuis qu'on s'est revu j'ai une envie dingue de t'embrasser, et je te parle pas de ce soir…"
"hihihi t'es con…mais t'es surtout en retard de 10 ans…"
"A bon, si j'avais essayé à l'époque tu…tu…"
"j't'impressionne de nouveau hein"
"non mais c'est vrai?"
"que je t'aurais laisser faire…ben oui évidement"
"Et tu me dis ça comme ça toi"
"Comment tu veux que je te le dise autrement"
"Mais c'est horrible…insupportable"
"hey oui t'as raté le coche mon gars"
"oui ben je le raterai pas deux fois tu vois…….."
"ARRETE Matt qu'est-ce tu fous?????"
"quoi je veux pas rater le coche une autre fois"
"T'es con je suis avec Tom maintenant et je te rappelle qu'il est ici…juste là "
"Oh comme t'es, c'est juste un petit baiser de rien pour voir l'effet que ça fait c'est tout"
"NON même pas en rêve…pis quoi encore"
"A parce que en rêve t'as jamais embrassé un autre mec peut-être??"
"ça a rien a voir…enfin…il y a les fantasmes et la réalité"
"oui mais si on réalise des choses, c'est d'abord grâce à nos fantasmes"
"oui…mais on ne réalise jamais tous nos fantasmes, j'ai déjà trompé Tom en rêve, mais je n'ai jamais eus envie de le tromper dans la réalité ."
"oui mais là, ce soir, Tu n'y as pas pensé ??"
"je…que j'y ai pensé ou pas ne change rien…"
"mais t'en as pas un peu envie??"
"je…la question n'est pas là enfin…"
"ben si, il me semble que c'est le coeur du problème justement…si tu en as envie, après tu te demandes si tu passes à l'acte…alors t'as envie ou c'est moi qui fantasme complètement"
"Je dis pas que j'ai pas envie et je dis pas que j'ai envie non plus, je dis juste que c'est pas le bon moment c'est tout"
"Pourquoi, si tu as peur qu'il se réveille c'est dommage car je peux te dire qu'il bougera plus jusqu'à demain midi tu sais"
"Mais non, je voulais dire…pas la bonne époque"
"Ah bon, mais moi je te parle de là tout de suite, hypothèse, si tu n'étais pas avec Tom, est-ce que t'aurais envie ?"
"joker"
"non allez te défile pas"
"joker"
"allez"
"ok…bon OUI ça te va "
"Et ben alors qu'est ce qu'on attend???"
"t'es barge toi, je te signale que dans ton hypothèse c'était si je n'étais pas avec lui"
"ALLEZ ALLEZ ALLEZ juste un petit baiser de rien, ça va pas te tuer…pour savoir quoi??"
"non mais t'es malade, d'abord y'a Tom qui dort là juste en face de moi…ok ensuite, même s' il n'était pas là, j'ai pas envie de le tromper, c'est tout…"
"Mais c'est pas tromper ça, c'est juste en avoir le coeur net…"
"le coeur net de quoi??"
"ben de savoir si ça aurait été électrique entre nous, enfin tu vois quoi??"
"Et tu crois qu'un baiser suffit?"
"Evidemment, tout le monde sait que le premier baiser dit tout à celui qui écoute bien, il révèle toute la suite, écoute bien…1) si tu ne ressens rien, alors prépare ton chagrin, 2) si tu l'aimes bien alors quelques semaines vous serez bien, 3) si tu l'aimes beaucoup, alors ce sera un bon coup, 4) si tu l'aimes à la folie, alors t'en prends pour la vie…tu vois c'est pas compliqué"
"oh c'est trop chou ton truc…dit ça a l'air facile, mais comment tu fais pour différencier les 4?
"Par comparaison bien sûr, tu classes rapidement tous les baiser que tu as échangés et tu vois…"
"T'es con vraiment"
"j'y peux rien Diana…allez quoi juste un petit baiser, c'est rien…"
"non y'a Tom, et il pourrait se réveiller"
"Tu crois ça, je te signale que ça fait plus d'une heure et demi qu'il n'a pas bougé d'un cil, mais bon si tu veux être sûr…TOM…TOOM…TOOOMM…tu vois, un train pourrait dérailler devant son nez qu'il ne broncherait pas…"
"Je…sais pas…je le sens pas…je"
"attends, je vais baisser un peu la lumière"
"Je…attends…attends…pas tout de suite…"
"mais pourquoi??j'en meurs d'envie, pas toi??"
"je…si..un peu…"
"un peu ou beaucoup??"
"euh…si peut-être un peu plus qu'un peu…mais"
"moi j'en crève là…allez laisse moi faire…"
"attends attends Matthieuuu…atteennds..Maaatt..noon…noooooon jeuuuu…"
" hummmm…cloopttt…hummmm…claaapppttt….cloooopppttt…claaapptt…hummmmm……………………………
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……………………………………………………………………"
C'est le moment que je choisis pour entrouvrir un oeil caché par la demi obscurité et une position penchée de ma tête.
Depuis 15 minutes je comprends parfaitement la moindre de leurs syllabes mais une paralysie momentanée m'empêche de bouger et d'aller casser la gueule de ce connard qui ne manque pas d'air, mais juste au moment où ils commencent à s'embrasser, que mon oeil perçoit ma femme qui s'abandonne et que je crois devenir fou de jalousie au point de vouloir les tuer tous les deux, une chose incroyable et totalement improbable se produit :
Une brutale et énorme érection s'empare de mon sexe qui n'est jamais monté à l'action aussi vite et directement que maintenant, à tel point qu'il me fait mal.
Et voilà que la jalousie si forte et présente en moi, disparait en une seconde, laissant la place à une fascination démesurée pour la femme que j'aime et qui s'apprêtait à répondre au baiser volé de ce type. Elle jeta un oeil dans ma direction puis le regarda fixement, posa délicatement une main sur sa nuque et l'autre dans son dos, elle hésita encore une fraction de temps puis avança sa bouche pour trouver la sienne et lui donna le baiser le plus sensuel et le plus suave qu'il m'ait été donné de voir, leur lèvres se choquaient en douceur et leurs langues se chargeaient du transfert de leur goût intime.
Découvrant un baiser bien au-delà de toutes ses espérances, Matthieu activa ses mains sur le corps de Diana,
s'attardant sur ses seins proéminents qu'il avait l'air d'apprécier tout particulièrement, il s'aventura ensuite plus bas, tentant même de glisser une main sous sa jupe fendue…
Elle cessa d'un coup de l'embrasser pour guetter de nouveau dans ma direction et vérifier l'état de mon coma (lequel ne faisait aucun doute).
C'est alors qu'une expression de plaisir envahit son visage et je compris que la main exploratrice avait atteins son but initial, lui arrachant même un gémissement qu'elle tenta maladroitement de dissimuler en se mordant les lèvres.
"Heu'mmheu'mm…"
Devant l'échec de sa morsure elle l'embrassa de nouveau, et plus animale que la première fois……
Leur enlacement dura encore un peu et c'est lui qui cette fois l'interrompit pour carrément se relever du sofa et se placer droit devant elle.
Sans rien dire, il dégrafa son pantalon pour le faire tomber sur ses chevilles et lui offrit une immanquable vue sur sa verge en pleine croissance et pourtant déjà très longue. Que pouvait-il se passer, là, juste là maintenant, dans la tête de Diana ? La réponse ne tarda pas, et la vision qui me vint juste après me déchira le corps, tant j'avais du mal à accepter de prendre autant de plaisir à voir ma femme s'approcher de lui avec un désir non dissimulé en lui disant…
"j'ai très très envie de faire ma salope avec toi...de te sucer… là devant mon mec"
"Ne te gène surtout paaaass….heumm…oh putain oui…quel coup de langue, comment tu fais ça…aaaaaahhahhh".
Elle s'était placé sur le bord du canapé en écartant le plus largement possible ses cuisses, m'offrant une vue parfaite sur la masturbation qu'elle venait d'entreprendre avec une énergie que je ne lui connaissais pas (d'ordinaire très douce et plutôt lente dans ses mouvements), je la voyais s'affoler, déjà au bord de l'orgasme…
Alors que sa façon de lui offrir sa bouche semblait combler ce salaud (qui avait placé ses mains dans son dos), il lui dit :
"Puutainnn…c'est la meilleur pipe…aaaah qu'on m'ai jamais faite…faut que tu ralentisses, aaah…sinon j'vais pas tenir…aaahh"
Elle retira la longue tige de sa bouche sans cesser de le branler légèrement pour autant, et lui répondit :
"Attends encore un peu, je n'ai pas encore fais ma SALOPE…"
"ah bon, et ben merde, et c'est quoi pour toi faire ta salope??"
"Tu veux vraiment??"
"oh ouais c'est quoi??"
"Et bien déjà, c'est un truc que je n'ai jamais fais à Tom, et ça devrait déboucher sur un deuxième truc que je ne lui ai jamais fait non plus".
"oh putain vas-y, fais ta salope…"
"d'accord mais dès que tu sens que tu vas jouir, je veux que tu mettes tout ton sperme dans ma bouche ok…"
"ok tout ce que tu veux petite cochonne…"
Alors qu'à cet instant, ma jalousie ne pouvait plus rivaliser avec le plaisir de la voir jouir et s'épanouir devant moi, elle le guida de ses mains expertes, lui fit effectuer un demi-tour, légèrement écarter ses jambes, et l'inciter à se pencher vers l'avant ; lui s'exécuta docilement.
C'est alors qu'elle plaça ses mains sur les fesses du chanceux pour délicatement les lui écarter. Elle commença par déposer quelques doux baisers sur ses fesses avant de préciser sa direction dans la fente ainsi créée.
Lui réagit instantanément en retirant ses fesses et lui dit:
"c'est pas tout propre tu sais…"
J'étais content de son attention envers ma Diana qui pour toute réponse, l'invita de ses mains à ramener ses fesses dans leur position initiale.
Et je vis de nouveau disparaitre sa bouche exquise entre ses fesses.
Mais cette fois, la réaction de Mathieu fut à l'opposé de la précédente et dans un premier râle, il lui dit :
"aaaaarrrgggghhh…oh putain vas-y lèche moi le cul j'adore ça…ça m'excite"
Et moi je voyais les mouvements de tête de Diana allant de haut en bas qui ne laissait aucun doute sur la nature de ses agissements, de plus elle glissa une main entre ses jambes pour soigneusement branler la queue bienraide de désir.
Sans doute au bord de la jouissance, il avait dut mal à contenir ses cris, et c'est le moment quelle choisit pour changer son mouvement de bas en haut contre un va et vient horizontal.
"AAAaaargg…oouuiii…putain quel pied et quelle LANGUE vas-y baise moi avec ta langue…salope…oooh ça vient…"
Tout en continuant son râle puissant, Mathieu se retourna d'un coup, prit fortement Diana par les cheveux pour lui incliner la tête en arrière et lui dire :
"Huummmaaaarg…Ouvre bien la bouche…10 jours de réserve…tu vas en avoir un max tiens…tiens…tiens…tiens encore…tiens…et c'est pas fini…tiens…tiens…aaaaarggrrr".
Je ne pouvais pas voir son foutre jaillir, mais par contre je voyais très bien la gorge de ma femme déglutir et avaler chaque fois qu'elle semblait pleine (et j'eus l'impression que ça arrivait souvent)…quelques secondes passèrent et
Mathieu conclut :
"Hhhuuummm… comme c'était bon…hummm…"
"miiaammm…je confirme et je dirais même délicieux…"
Ils s'affalèrent sur le sofa sans rien dire si ce n'est quelques soupirs de contentement et y restèrent ainsi un bon quart d'heure, pendant lequel j'essayai de comprendre ce qui m'arrivait à moi, moi si jaloux, si vigilant, qui venais de voir ma femme, ma Diana prendre son pied à deux mètres de moi sans bouger le petit doigt. Pire, c'est ma propre queue qui s'était levée pour saluer le plaisir de ma femme. Mais malgré tout cela, je compris néanmoins que pour une soirée qui s'annonçait ratée, elle m'avait offert une révélation du sens de la vie en trois étapes : 1) La mort de ma jalousie 2) la naissance d'un candaulisme inconnu 3) la découverte "qu'il n'est pas (pour moi) d'amour plus infini que celui que je portais à celle qui, là devant moi, venait de donner le plaisir de l'extase à un autre que moi…"
Une fois cette conclusion apportée, je me sentis soudain emprunt d'une certaine forme de liberté, le genre de liberté naissant avec la mort de madame Jalousie et, tout cela, supporté par une GAULE bien raide et bien dure.
Je n'avais plus qu'à sereinement, attendre le départ de mon allier de circonstance, ce qui se produisit quelques instants plus tard lorsque Matthieu se leva non sans prononcer la sacrosainte phrase "bon ben je vais vous laisser"qui me laissa un rictus complice dont seul vous et moi comprenons le sens.
FIN…
PS : Si vous avez adoré cette l'histoire, inutile de lire l'épilogue…(sauf : pour ma langue de vipère)
EPILOGUE :
Dès que j'entendis la porte d'entrée claquer, je sus que nous étions enfin seuls, mais je ne pouvais me résoudre à partager mes révélations avec Diana, de peur de la choquer d'un bonheur venu de son adultère coupable. Je décidai donc de passer la fin de la nuit sur le fauteuil et d'attendre le lendemain…Mais tandis que je fermai les yeux, pour de bon cette fois, j'entendis les pas de ma belle, d'abord dans l'entrée, puis dans la salle à manger, pour finir par se rapprocher du salon et donc de moi…..tac tac tac tac….je la sentais maintenant très proche (peut-être juste devant moi ), elle marqua une petite pause puis je fus surpris de la sentir me chevaucher au creux du fauteuil, et de tranquillement prendre ma tête dans ses mains pour visiblement guider un baiser futur…et effectivement, à la seconde suivante, ses lèvres chaudes se mêlèrent aux miennes dans une passion sublime… Evidement mon érection toujours présente ne pouvait passer inaperçue…et, à l'inverse, le goût de son baiser renfermait quelques saveurs de sperme tout aussi perceptibles…
Ressentant cette complicité nouvelle, Diana cessa son baiser pour se tendre vers mon oreille et me glisser…
"j'espère que tu as apprécié mon amour. Je t'aime…"et moi de lui répondre:
"autant que toi mon amour. Je t'aime…"
FIN...
Je m'appelle Tom, j'ai 38ans, et je vis avec Diana depuis 6 ans qui elle a 25 ans, et très franchement, j'ai beaucoup de chance de l'avoir trouvée car elle est à mes yeux, ce que la perfection peu offrir de mieux… J'aime éperdument ce que l'ensemble de son être dégage à chaque seconde de vie passée à ses cotés… Elle est brune, avec de long cheveux sombres, un visage dont le sourire et une voix sensuelle illuminent l'ensemble des traits qui le composent, et quel que soit votre angle de vue, le regarder est toujours un plaisir… J'aime le paradoxe de ses yeux bleus et de ses cheveux noirs, il lui donne une malice espiègle et sensuelle qui font des ravages chez tous les hommes qui ont le malheur de croiser cette frimousse aguichante… Le reste de son corps lui va comme un gant de velours, du haut de ses 1m70 pour 65kg répartis dans une indécente perfection qu'elle met en valeur de manière naturelle ce qui ajoute à sa beauté. Ses fesses (qui me font craquer)rebondissent parfaitement en-dessous de hanches joliment cambrées, tandis que son intimité totalement épilé (m'aspire!) je n'ai jamais su résister non plus à ses seins généreux d'un 90d en forme de poire. Grace à elle, je me sens bien, et quand je la vois aussi belle que sexy, attirant forcément le regard des hommes ou des femmes sur sa personne, je la trouve plus désirable encore. Le seul bémol à notre histoire est ma jalousie maladive qui nous a valut pas mal de problèmes notamment avec nos amis et à mainte autres occasions. Je dirais pour conclure cette entrée en matière que j'aime sentir qu'elle me possède autant qu'elle m'appartient.
Evidemment, après 6 ans de vie commune, on n'échappe pas aux crises de couple liées à la routine du temps, et qu'il faut surmonter ensemble…L'une des plus fortes est survenue il y a quelques mois lorsque nous nous sommes rendu compte que depuis 6 ans nous avions perdu pratiquement tous nos amis (par négligence de notre part surtout et aussi en raison de mes problèmes de jalousie), et que du coup, nous restions souvent les deux et tension oblige, il fallait que ça pète une bonne fois, et nous nous sommes décidés à chercher de nouveaux amis.
Avec des efforts partagés (moi j'ai invité un couple dont le mari est un collègue et Diana a invité une collègue célibataire, Patricia, et un ami d'adolescence, Matthieu, qui vit actuellement une rupture difficile), nous avons beaucoup mieux occupé nos week-end.
La soirée dont je vais vous parler devait réunir nos quatre nouveaux amis, mais rien ne s'est passé comme il devait.
Le couple annule pour un décès subit dans leur famille, et Patricia nous appelle deux heures avant, nous disant que son cousin vient de débarquer à l'improviste. Nous voilà partis pour une soirée déjà à moitié ratée.
Matthieu débarque vers 18h et il a le cafard (son ex l'a harcelé au tel). Je me dis ironiquement "super cool" la soirée et décide de nous servir tout de même toutes les bouteilles prévues.
La soirée avance et nous buvons plus que de raison, surtout moi qui n'apprécie pas beaucoup leurs retrouvailles et qui le trouve plutôt chiant. En plus je n'aime pas trop la façon qu'il a de la regarder en même temps qu'il lui dit :
"oh tu te souviens de truc comme il te draguait…" ou "oh tu te souviens du prof de sport sur qui tu flashais…".
Mais je n'aime pas non plus la façon dont Diana lui répond un peu naïvement et crûment:
"Tu m'étonnes, il était bien foutu quand-même, si j'avais osé?!…"
Bref nous sommes au salon, j' me fais chier et picole tout ce que je peux, attendant avec hâte le fameux "bon ben je vais vous laisser" pour me la jouer câlin câlin avec ma petite femme. La situation m'amuse un peu et je ne peux m'empêcher de fredonner dans ma tête la chanson d'Aznavour dont les paroles me reviennent en mémoire :
"Lui, te caresse, du fond des yeux… Toi, tu te laisses, prendre à son jeu… Et moi, dans mon coin, si je ne dis rien, je remarque toutes choses…"
Vers deux heures du matin (alors que je ne tiens déjà plus debout et dors à moitié sur mon fauteuil), mon voeux semble exaucé quand Matthieu se lève et dit :
"Bon il se fait tard… et si on se faisait un petit joint?"
Bien que complètement dans le coltard, mon esprit s'éveille mais sans mon corps qui reste affalé et je me dis…
"merde c'est pas vrai, j'ai jamais supporté cette merde, ça me fait dormir direct, et vu dans quel état j'suis déjà…ohlalalala…". Diana a plutôt l'air de trouver ça cool en lui répondant :
"wouahou…ça fait trop longtemps qu'j'ai pas re-fumé…ça va être drôle".
Et me voilà pris au piège, ne pouvant refuser un truc que ma femme trouve drôle (putain d'égo à la con).
Quoiqu'il en soit, les minutes passent et j'essaye de tirer le moins possible, alors que l'effet semble déjà émoustiller ma Diana qui rit de bon coeur aux blagues de plus en plus ringardes d'un Matthieu triomphant petit à petit de moi.
Et voilà qu'arrive pour moi, et bien plus tôt que je ne l'avais prévu, la phase "scotchage"…(mon corps se crispe dans le fauteuil, mes yeux se sont clôt durement, mes sens m'échappent les uns après les autres, mon esprit finit par ne plus réagir à rien et part je ne sais où
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Alors que mes muscles sont toujours tétanisés et impossibles à bouger, mon ouïe semble retrouver petit à petit de la sensibilité et doucement des sons me parviennent à nouveau, puis des voix)
criip clap grrrrrr uuun
"elll dry touttts llllaa joouurnneé cc'et fffliippaant ett puis elle sas rappeler lee soir et mêmes à minuit".
"Tu devrais pas t'en faire Matt, elle finira par se lasser de t'emmerder et ça ira mieux"
"oui mais en attendant qu'elle prise de tête…et toi ça va avec Tom, enfin vous deux quoi??"
"oui ça va plutôt pas mal je trouve, je l'aime et j'ai vraiment envie que ça marche, même si c'est pas facile tous les jours "
"ouais mais c'est facile pour personne tu sais…"
"c'est sûr...regarde le…bienvenu dans la vie de couple…hihihihihi"
"ahaha tu m'étonnes…il est complètement HS en tout cas"
"c'est clair, il en tient une bonne…"
"c'est vraiment drôle qu'on se soit retrouvés après toutes ces années"
"moi ça me surprend pas, on s'est toujours bien trouvé il me semble…"
"c'est vrai qu'ça a toujours bien collé…j'ai toujours trouvé qu'on se comprenait sans avoir besoin de dire grand chose"
"oui je crois que c'est ça les amis"
"je peux te poser une question qui me trotte dans la tête depuis le lycée ?"
"oui bien sûr vas-y"
"pourquoi on n'est jamais sortis ensemble tous les deux? C'était cool au bahut, on s'marrait bien tous les deux, alors pourquoi?"
"j'en sais rien c'est comme ça"
"tu sais que je te trouvais super canon"
"ben t'aurais du me le dire comme ça à l'époque…et peut être que??"
"A ouais tu crois?"
"va savoir"
"tu sais que j'te trouve encore plus canon aujourd'hui"
"HIHIHIhihihihi…..t'es con toi alors hihihi….."
"Si j'avais essayé de t'embrasser à l'époque t'aurais fais quoi dis moi?"
"tu voudrais bien savoir hein??…et bien fallait tenté…"
"Tu parles, je flippais trop, tu m'impressionnais tu sais…"
"ho pauvre petit Matt que j'impressionnais…hihihi"
"ahahah…te fous pas de moi en plus…petite salope"
"oh je t'en pris"
"quoi, tu sais maintenant tu m'impressionnes plus "
"Ca c'est dommage…hihihihi"
"non, mais sérieux tu sais que depuis qu'on s'est revu j'ai une envie dingue de t'embrasser, et je te parle pas de ce soir…"
"hihihi t'es con…mais t'es surtout en retard de 10 ans…"
"A bon, si j'avais essayé à l'époque tu…tu…"
"j't'impressionne de nouveau hein"
"non mais c'est vrai?"
"que je t'aurais laisser faire…ben oui évidement"
"Et tu me dis ça comme ça toi"
"Comment tu veux que je te le dise autrement"
"Mais c'est horrible…insupportable"
"hey oui t'as raté le coche mon gars"
"oui ben je le raterai pas deux fois tu vois…….."
"ARRETE Matt qu'est-ce tu fous?????"
"quoi je veux pas rater le coche une autre fois"
"T'es con je suis avec Tom maintenant et je te rappelle qu'il est ici…juste là "
"Oh comme t'es, c'est juste un petit baiser de rien pour voir l'effet que ça fait c'est tout"
"NON même pas en rêve…pis quoi encore"
"A parce que en rêve t'as jamais embrassé un autre mec peut-être??"
"ça a rien a voir…enfin…il y a les fantasmes et la réalité"
"oui mais si on réalise des choses, c'est d'abord grâce à nos fantasmes"
"oui…mais on ne réalise jamais tous nos fantasmes, j'ai déjà trompé Tom en rêve, mais je n'ai jamais eus envie de le tromper dans la réalité ."
"oui mais là, ce soir, Tu n'y as pas pensé ??"
"je…que j'y ai pensé ou pas ne change rien…"
"mais t'en as pas un peu envie??"
"je…la question n'est pas là enfin…"
"ben si, il me semble que c'est le coeur du problème justement…si tu en as envie, après tu te demandes si tu passes à l'acte…alors t'as envie ou c'est moi qui fantasme complètement"
"Je dis pas que j'ai pas envie et je dis pas que j'ai envie non plus, je dis juste que c'est pas le bon moment c'est tout"
"Pourquoi, si tu as peur qu'il se réveille c'est dommage car je peux te dire qu'il bougera plus jusqu'à demain midi tu sais"
"Mais non, je voulais dire…pas la bonne époque"
"Ah bon, mais moi je te parle de là tout de suite, hypothèse, si tu n'étais pas avec Tom, est-ce que t'aurais envie ?"
"joker"
"non allez te défile pas"
"joker"
"allez"
"ok…bon OUI ça te va "
"Et ben alors qu'est ce qu'on attend???"
"t'es barge toi, je te signale que dans ton hypothèse c'était si je n'étais pas avec lui"
"ALLEZ ALLEZ ALLEZ juste un petit baiser de rien, ça va pas te tuer…pour savoir quoi??"
"non mais t'es malade, d'abord y'a Tom qui dort là juste en face de moi…ok ensuite, même s' il n'était pas là, j'ai pas envie de le tromper, c'est tout…"
"Mais c'est pas tromper ça, c'est juste en avoir le coeur net…"
"le coeur net de quoi??"
"ben de savoir si ça aurait été électrique entre nous, enfin tu vois quoi??"
"Et tu crois qu'un baiser suffit?"
"Evidemment, tout le monde sait que le premier baiser dit tout à celui qui écoute bien, il révèle toute la suite, écoute bien…1) si tu ne ressens rien, alors prépare ton chagrin, 2) si tu l'aimes bien alors quelques semaines vous serez bien, 3) si tu l'aimes beaucoup, alors ce sera un bon coup, 4) si tu l'aimes à la folie, alors t'en prends pour la vie…tu vois c'est pas compliqué"
"oh c'est trop chou ton truc…dit ça a l'air facile, mais comment tu fais pour différencier les 4?
"Par comparaison bien sûr, tu classes rapidement tous les baiser que tu as échangés et tu vois…"
"T'es con vraiment"
"j'y peux rien Diana…allez quoi juste un petit baiser, c'est rien…"
"non y'a Tom, et il pourrait se réveiller"
"Tu crois ça, je te signale que ça fait plus d'une heure et demi qu'il n'a pas bougé d'un cil, mais bon si tu veux être sûr…TOM…TOOM…TOOOMM…tu vois, un train pourrait dérailler devant son nez qu'il ne broncherait pas…"
"Je…sais pas…je le sens pas…je"
"attends, je vais baisser un peu la lumière"
"Je…attends…attends…pas tout de suite…"
"mais pourquoi??j'en meurs d'envie, pas toi??"
"je…si..un peu…"
"un peu ou beaucoup??"
"euh…si peut-être un peu plus qu'un peu…mais"
"moi j'en crève là…allez laisse moi faire…"
"attends attends Matthieuuu…atteennds..Maaatt..noon…noooooon jeuuuu…"
" hummmm…cloopttt…hummmm…claaapppttt….cloooopppttt…claaapptt…hummmmm……………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………"
C'est le moment que je choisis pour entrouvrir un oeil caché par la demi obscurité et une position penchée de ma tête.
Depuis 15 minutes je comprends parfaitement la moindre de leurs syllabes mais une paralysie momentanée m'empêche de bouger et d'aller casser la gueule de ce connard qui ne manque pas d'air, mais juste au moment où ils commencent à s'embrasser, que mon oeil perçoit ma femme qui s'abandonne et que je crois devenir fou de jalousie au point de vouloir les tuer tous les deux, une chose incroyable et totalement improbable se produit :
Une brutale et énorme érection s'empare de mon sexe qui n'est jamais monté à l'action aussi vite et directement que maintenant, à tel point qu'il me fait mal.
Et voilà que la jalousie si forte et présente en moi, disparait en une seconde, laissant la place à une fascination démesurée pour la femme que j'aime et qui s'apprêtait à répondre au baiser volé de ce type. Elle jeta un oeil dans ma direction puis le regarda fixement, posa délicatement une main sur sa nuque et l'autre dans son dos, elle hésita encore une fraction de temps puis avança sa bouche pour trouver la sienne et lui donna le baiser le plus sensuel et le plus suave qu'il m'ait été donné de voir, leur lèvres se choquaient en douceur et leurs langues se chargeaient du transfert de leur goût intime.
Découvrant un baiser bien au-delà de toutes ses espérances, Matthieu activa ses mains sur le corps de Diana,
s'attardant sur ses seins proéminents qu'il avait l'air d'apprécier tout particulièrement, il s'aventura ensuite plus bas, tentant même de glisser une main sous sa jupe fendue…
Elle cessa d'un coup de l'embrasser pour guetter de nouveau dans ma direction et vérifier l'état de mon coma (lequel ne faisait aucun doute).
C'est alors qu'une expression de plaisir envahit son visage et je compris que la main exploratrice avait atteins son but initial, lui arrachant même un gémissement qu'elle tenta maladroitement de dissimuler en se mordant les lèvres.
"Heu'mmheu'mm…"
Devant l'échec de sa morsure elle l'embrassa de nouveau, et plus animale que la première fois……
Leur enlacement dura encore un peu et c'est lui qui cette fois l'interrompit pour carrément se relever du sofa et se placer droit devant elle.
Sans rien dire, il dégrafa son pantalon pour le faire tomber sur ses chevilles et lui offrit une immanquable vue sur sa verge en pleine croissance et pourtant déjà très longue. Que pouvait-il se passer, là, juste là maintenant, dans la tête de Diana ? La réponse ne tarda pas, et la vision qui me vint juste après me déchira le corps, tant j'avais du mal à accepter de prendre autant de plaisir à voir ma femme s'approcher de lui avec un désir non dissimulé en lui disant…
"j'ai très très envie de faire ma salope avec toi...de te sucer… là devant mon mec"
"Ne te gène surtout paaaass….heumm…oh putain oui…quel coup de langue, comment tu fais ça…aaaaaahhahhh".
Elle s'était placé sur le bord du canapé en écartant le plus largement possible ses cuisses, m'offrant une vue parfaite sur la masturbation qu'elle venait d'entreprendre avec une énergie que je ne lui connaissais pas (d'ordinaire très douce et plutôt lente dans ses mouvements), je la voyais s'affoler, déjà au bord de l'orgasme…
Alors que sa façon de lui offrir sa bouche semblait combler ce salaud (qui avait placé ses mains dans son dos), il lui dit :
"Puutainnn…c'est la meilleur pipe…aaaah qu'on m'ai jamais faite…faut que tu ralentisses, aaah…sinon j'vais pas tenir…aaahh"
Elle retira la longue tige de sa bouche sans cesser de le branler légèrement pour autant, et lui répondit :
"Attends encore un peu, je n'ai pas encore fais ma SALOPE…"
"ah bon, et ben merde, et c'est quoi pour toi faire ta salope??"
"Tu veux vraiment??"
"oh ouais c'est quoi??"
"Et bien déjà, c'est un truc que je n'ai jamais fais à Tom, et ça devrait déboucher sur un deuxième truc que je ne lui ai jamais fait non plus".
"oh putain vas-y, fais ta salope…"
"d'accord mais dès que tu sens que tu vas jouir, je veux que tu mettes tout ton sperme dans ma bouche ok…"
"ok tout ce que tu veux petite cochonne…"
Alors qu'à cet instant, ma jalousie ne pouvait plus rivaliser avec le plaisir de la voir jouir et s'épanouir devant moi, elle le guida de ses mains expertes, lui fit effectuer un demi-tour, légèrement écarter ses jambes, et l'inciter à se pencher vers l'avant ; lui s'exécuta docilement.
C'est alors qu'elle plaça ses mains sur les fesses du chanceux pour délicatement les lui écarter. Elle commença par déposer quelques doux baisers sur ses fesses avant de préciser sa direction dans la fente ainsi créée.
Lui réagit instantanément en retirant ses fesses et lui dit:
"c'est pas tout propre tu sais…"
J'étais content de son attention envers ma Diana qui pour toute réponse, l'invita de ses mains à ramener ses fesses dans leur position initiale.
Et je vis de nouveau disparaitre sa bouche exquise entre ses fesses.
Mais cette fois, la réaction de Mathieu fut à l'opposé de la précédente et dans un premier râle, il lui dit :
"aaaaarrrgggghhh…oh putain vas-y lèche moi le cul j'adore ça…ça m'excite"
Et moi je voyais les mouvements de tête de Diana allant de haut en bas qui ne laissait aucun doute sur la nature de ses agissements, de plus elle glissa une main entre ses jambes pour soigneusement branler la queue bienraide de désir.
Sans doute au bord de la jouissance, il avait dut mal à contenir ses cris, et c'est le moment quelle choisit pour changer son mouvement de bas en haut contre un va et vient horizontal.
"AAAaaargg…oouuiii…putain quel pied et quelle LANGUE vas-y baise moi avec ta langue…salope…oooh ça vient…"
Tout en continuant son râle puissant, Mathieu se retourna d'un coup, prit fortement Diana par les cheveux pour lui incliner la tête en arrière et lui dire :
"Huummmaaaarg…Ouvre bien la bouche…10 jours de réserve…tu vas en avoir un max tiens…tiens…tiens…tiens encore…tiens…et c'est pas fini…tiens…tiens…aaaaarggrrr".
Je ne pouvais pas voir son foutre jaillir, mais par contre je voyais très bien la gorge de ma femme déglutir et avaler chaque fois qu'elle semblait pleine (et j'eus l'impression que ça arrivait souvent)…quelques secondes passèrent et
Mathieu conclut :
"Hhhuuummm… comme c'était bon…hummm…"
"miiaammm…je confirme et je dirais même délicieux…"
Ils s'affalèrent sur le sofa sans rien dire si ce n'est quelques soupirs de contentement et y restèrent ainsi un bon quart d'heure, pendant lequel j'essayai de comprendre ce qui m'arrivait à moi, moi si jaloux, si vigilant, qui venais de voir ma femme, ma Diana prendre son pied à deux mètres de moi sans bouger le petit doigt. Pire, c'est ma propre queue qui s'était levée pour saluer le plaisir de ma femme. Mais malgré tout cela, je compris néanmoins que pour une soirée qui s'annonçait ratée, elle m'avait offert une révélation du sens de la vie en trois étapes : 1) La mort de ma jalousie 2) la naissance d'un candaulisme inconnu 3) la découverte "qu'il n'est pas (pour moi) d'amour plus infini que celui que je portais à celle qui, là devant moi, venait de donner le plaisir de l'extase à un autre que moi…"
Une fois cette conclusion apportée, je me sentis soudain emprunt d'une certaine forme de liberté, le genre de liberté naissant avec la mort de madame Jalousie et, tout cela, supporté par une GAULE bien raide et bien dure.
Je n'avais plus qu'à sereinement, attendre le départ de mon allier de circonstance, ce qui se produisit quelques instants plus tard lorsque Matthieu se leva non sans prononcer la sacrosainte phrase "bon ben je vais vous laisser"qui me laissa un rictus complice dont seul vous et moi comprenons le sens.
FIN…
PS : Si vous avez adoré cette l'histoire, inutile de lire l'épilogue…(sauf : pour ma langue de vipère)
EPILOGUE :
Dès que j'entendis la porte d'entrée claquer, je sus que nous étions enfin seuls, mais je ne pouvais me résoudre à partager mes révélations avec Diana, de peur de la choquer d'un bonheur venu de son adultère coupable. Je décidai donc de passer la fin de la nuit sur le fauteuil et d'attendre le lendemain…Mais tandis que je fermai les yeux, pour de bon cette fois, j'entendis les pas de ma belle, d'abord dans l'entrée, puis dans la salle à manger, pour finir par se rapprocher du salon et donc de moi…..tac tac tac tac….je la sentais maintenant très proche (peut-être juste devant moi ), elle marqua une petite pause puis je fus surpris de la sentir me chevaucher au creux du fauteuil, et de tranquillement prendre ma tête dans ses mains pour visiblement guider un baiser futur…et effectivement, à la seconde suivante, ses lèvres chaudes se mêlèrent aux miennes dans une passion sublime… Evidement mon érection toujours présente ne pouvait passer inaperçue…et, à l'inverse, le goût de son baiser renfermait quelques saveurs de sperme tout aussi perceptibles…
Ressentant cette complicité nouvelle, Diana cessa son baiser pour se tendre vers mon oreille et me glisser…
"j'espère que tu as apprécié mon amour. Je t'aime…"et moi de lui répondre:
"autant que toi mon amour. Je t'aime…"
FIN...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
auteur dont les histoires tournent irrémédiablement autour de story trash, de femme salope et de cocus content … affligeant de poncifs usés !
Récit contradictoire il est jaloux est c est tout à fait normal une femme ça ne se partage pas .on prête une perceuse un escabot à un ami mais pas sa femme à moins d être une lopette ou bien un idiot.Si il lui faut voir sa femme faire la salope devant lui pour pouvoir bander c est bien triste encore un cocu qui n à pas fini de voir ses cornes pousser.