Une nièce se lâche 1
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une nièce se lâche 1
Marion, comme chaque année, passe les vacances chez sa tante Lucie et son oncle Paul, elle sort de l'adolescence, et entre dans l'âge adulte. C'est l'âge ingrat, ses sautes d'humeur exécrables, exaspèrent sa tante.
Son oncle tente de mettre le halte-là, mais depuis quelque temps, elle exagère. Elle s'accroche souvent avec sa tante, pour un oui, pour un non, sans raison valable. Lucie est la douceur même, jamais un mot plus haut que l'autre, toujours souriante.
Pendant les prises de bec avec sa nièce, elle tente toujours d'arrondir les angles, et cela n'est pas facile.
Un jour que sa tante prend sa douche. On ne sait pour quelle raison, Marion entre dans la salle de bain, regarde sa tante se laver. Lucie croise le regard de sa nièce, et reste un moment figée. Marion, sans aucune gêne, retire ses vêtements et entre dans la douche déjà occupée par sa tante. Elle verse du gel douche sur ses mains et sans dire un mot, en enduit le corps de sa tante, qui en reste baba.
Les mains douces de la jeune coquine, glissent sur la peau laiteuse de la tante, qui ne comprend toujours pas ce que cherche sa nièce. La coquine lui savonne le dos, ses mains passent sur les fesses, glissent dans la raie en frôlant l'anus. Elles passent entre les jambes pour atteindre la vulve, Marion frotte avec douceur la chatte, ses doigts s'insèrent entre les grandes lèvres, voyagent un instant dans le sillon, et tournent sur le clito un long moment.
Lucie est comme tétanisée, elle ne réagit pas. Les mains délaissent la vulve, Marion fait gicler du gel sur ses mains, et les passent sur le torse, elle s'empare des lobes mammaires, et les malaxe doucement. La tante pousse de gros soupirs, les doigts agiles de sa nièce, s'enfoncent dans la chair tendre de ses seins.
Les mamelons comme par miracle ont doublé de volume. Habilement, Marion les roule entre ses doigts, les étire, pour enfin les presser fortement.
Lucie grimace, mais ne dit pas un mot. Mais lorsque les mains redescendent sur sa vulve, elle se cabre légèrement en poussant un gros soupir. Trois doigts s'enfoncent dans son vagin, et se mettent à le ramoner doucement. Lucie commence à trembler, l'eau qui ruisselle sur les corps chauds, ressemble à des perles de rosée. Les doigts cessent de fouiller le conduit vaginal, et s'emparent du clito. Marion, avec douceur, le branle en ne quittant pas sa tante du regard. Les yeux de Lucie sont embués, les images sont troubles, elle défaille.
Marion accélère, le branlage, la tante se tend comme un arc et en poussant un rugissement de bête blessée, jouit fortement. Marion la branle encore un petit moment, avant de sortir de la douche. Elle essuie son corps, remet ses vêtements et disparait. Lucie ne comprend pas ce qui vient de se passer, à part avoir rugi en jouissant, elle n'avait pas ouvert la bouche pendant l'acte.
Elle se rince, sort de la salle de bain, enroulée dans une serviette. Elle monte dans sa chambre, pour s'habiller. Elle passe devant la chambre de sa nièce, la porte est entrouverte, elle la pousse, Marion est étendue sur son lit, rêveuse, elle regarde le plafond. Sa tante s'approche et s'assied sur le bord du lit, les deux femmes échangent un long regard, avant que Lucie demande :
-Pourquoi tu as fait ça Marion ?
La jeune fille regarde sa tante et répond :
-J'ai été méchante avec toi, j'ai voulu me faire pardonner !
La tante se redresse en fronçant les sourcils, et ajoute :
-Mais pour se faire pardonner, il y a d'autres moyens !
En souriant, la nièce réplique :
-Tu es si belle, que c'est cette façon que j'ai choisie !
Lucie en haussant les épaules répond :
-Belle, belle, tu exagères, je me trouve un peu grosse !
En disant cela, elle fait tomber sa serviette et tourne sur elle-même pour montrer à Marion ses petits bourrelets qu'elle trouve disgracieux. Marion la regarde se trémousser et dit :
-Tu as un corps de rêve, comme beaucoup de femmes voudraient, crois-moi !
Lucie, hausse les épaules, ramasse sa serviette, et dans la foulée dépose un gros baiser sur le front de sa nièce, puis sort de la chambre.
Pendant le repas, il n'y a plus la tension qu'il y avait les jours précédents. Paul est très étonné que l'ambiance soit bonne, il ne dit rien, pour ne pas rallumer les hostilités.
Lucie et sa nièce ne cessent de se sourire, Paul soupçonne quelque chose, il reste dubitatif tout épiant faits et gestes des deux femmes. Toute la soirée, les deux ne se sont pas quittées, souvent en riant pendant qu'elles faisaient la vaisselle, les deux complices s'enlaçaient, riaient. Paul ne trouve pas cela normal, il se pose beaucoup de questions.
Une fois au lit, il questionne sa femme :
-Je sens qu'il s'est passé quelque chose entre toi et Marion, je veux que tu m'expliques pourquoi ce revirement soudain de Marion !
Lucie sourit est dit :
-Si je t'explique, tu ne me croiras pas !
Paul se pince les lèvres et ajoute :
-Dis toujours ma chérie !
Lucie raconte tout, sans omettre un détail. Paul est stupéfait, il regarde sa femme, ses yeux pétillent. Il demande tendrement :
-Tu as aimé, ma chérie, de te faire branler par ta nièce ?
Lucie reste un moment muette, avant de répondre :
-J'avoue, cela a été très agréable, ma jouissance a été très forte !
Paul en se blottissant contre sa femme lui demande :
-Tu serais prêt à recommencer avec elle ?
Lucie se redresse dans son lit et en regardant son mari répond :
-Mais pourquoi tu me demandes ça mon chéri ?
Paul en se raclant la gorge réplique :
-J'aimerais voir ça, rien que d'y penser, je bande, regarde !
Lucie repousse les draps, en effet son mari bande fortement, elle le dévisage et dit :
-Ne me dis pas que tu voudrais baiser Marion, vieux cochon, ou alors, tu deviens voyeur !
En lui passant la main entre les jambes, le coquin répond :
-Pourquoi pas les deux, toi, tu as trouvé du plaisir avec elle, et pourquoi que je m'en priverai, si elle dit oui, je ne dis pas non. Elle a ce qu'il faut là où il faut !
Lucie secoue la tête en disant :
-Mais tu es incorrigible Paul !
Paul, lui, fait l'amour comme une bête, ce n'est plus sa femme qu'il a dans les bras, mais sa nièce. Il la fait jouir plusieurs fois, comme jamais, elle ne l'a fait, c'est enlacé étroitement, qu'ils s'endorment.
Le lendemain matin, c'est Paul qui est levé le premier. Il prépare le petit déjeuner, et attend que les deux femmes fassent leur apparition. C'est Lucie qui descend la première, elle a sur le dos une blouse mal boutonnée, on devine qu'elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle prend place à table et entame son petit déjeuner
Des pas se font entendre, Marion apparait, vêtue de sa nuisette transparente. Elle lui arrive à mi-cuisses. La jeunette s'étire comme un chat, en étirant ses bras, sa nuisette remonte sur le haut de ses cuisses. Paul ne quitte pas des yeux le corps quasi parfait de sa nièce. Il voit au travers du fin tissu, le triangle de poils soyeux. Et le mamelons qui appuient fortement sur la nuisette comme pour la percer. Il salive fortement, et déglutit bruyamment.
Marion descend une à une les marches de l'escalier, en balançant son bassin, sa démarche de félin, fait bouillonner le sang de son oncle. Depuis qu'il a apprit ce la coquine, a fait à sa femme, il regarde sa nièce d'un autre œil. Elle embrasse son oncle et se penche sur sa tante, elle dépose un baiser bruyant, à la commissure de ses lèvres. Lucie est surprise, mais c'est en souriant qu'elle la regarde prendre place à table. Pendant le petit déjeuner, Paul fait quelques allusions, il parle, avec des sous entendus de la salle de bain.
Marion le regarde en souriant, elle tourne la tête vers sa tante et lui fait un gros clin d'œil. Paul se penche sur sa nièce et lui murmure à l'oreille :
-Alors comme ça en branle sa tante, et le tonton reste sur sa faim, lui n'a pas droit au petit branlage !
Marion éclate de rire et dit :
-Mais, il faut le mériter le branlage, petit tonton cochon !
Paul sursaute et en riant prend à bras le corps sa nièce et la bascule sur ses jambes, il dit :
-Ah je suis un tonton cochon, je vais t'apprendre la politesse moi !
Il retrousse la nuisette sur les reins de Marion, il caresse les fesses nues avant de commencer de les frapper. Marion grimace, elle peste contre son oncle qui lui fait rougir les fesses. Le bougre n'y va pas mollo, ses doigts marquent la peau sensible, en faisant rugir Marion. La punition cesse, Paul constat qui n'y a pas était de mains mortes. Il caresse les fesses pour atténuer le feu qui les brule.
Ses doigts glissent dans la raie, passent plusieurs fois sur l'anus avant de passer entre les jambes. Il passe sa main dans la fine toison duveteuse, et sursaute en disant fortement :
-Oh la vache elle mouille, tu aimes la fessée petite coquine hein !
Marion baisse la tête sans répondre, ses yeux sont pleins de larmes elle dit en reniflant :
-Tonton tu es méchant, je te hais !
Paul pour se faire pardonner donne quelques baisers sur les fesses meurtries. Il redresse sa nièce et la porte jusqu'au canapé. Il pose deux doigts sur son menton et lui relève la tête. Il donne un gros baiser bruyant sur les lèvres et en la regardant dit :
-Je te demande pardon, je ne voulais pas te faire du mal ma chérie !
Marion redit :
-Tu es un méchant, laisse-moi tranquille !
En poussant de gros soupirs, Paul prend place dans un autre fauteuil. Lucie s'assoit près de Marion, celle-ci se blottit contre sa tante en reniflant fortement. Elle regarde méchant son oncle et comme pour le provoquer, passe sa main sous la blousse de sa tante, elle lui caresse avec douceur un bon moment la cuisse.
Lucie fond de bonheur, inconsciemment, elle ouvre légèrement les jambes . Sa nièce profite de cette occasion, pour plaquer sa main sur la foufoune bien soyeuse.
Les doigts montent et descendent sur les lèvres épaisses, en faisant frissonner la tante, qui sans savoir pourquoi, ne repousse pas la main.
Marion regarde son oncle, retire sa main de sous la blouse, et la déboutonne. Elle ouvre les pans sans quitter des yeux le tonton. Le bougre ravale sa salive, lorsque la main de sa nièce reprend place sur la vulve de sa femme. Lucie pousse de gros soupirs, sa chatte commence à suinter. Lucie semble hors sol, elle se laisse toucher, sans protester.
La scène qui c'est passée dans la douche, reste encore gravée dans sa mémoire, ses yeux s'embuent, sa respiration s'accélère. Les doigts agiles de la nièce sortent de son écrin la perle précieuse, la presse de nombreuses fois avant de l'agiter doucement. Paul serre les poings, il voit le clito grossir de plus en plus.
Soudain, Marion prend la main de sa tante et la place sur la chatte qu'elle vient de délaisse. Automatiquement, Lucie saisit sa boule de chair, et reprend le branlage que sa nièce à abandonnée. Paul écarquille les yeux, Marion pousse la provocation encore plus loin, elle retrousse sa nuisette, ouvre largement les cuisses, et se caresse la chatte duveteuse.
Paul regarde les fines lèvres qui ne retiennent pas le filet de cyprine qui s'échappe de la vulve. Toujours en regardant son oncle, elle attrape son clito et commence un branlage qui devient de plus en plus intense. Paul bande comme un cheval, il extirpe de son pantalon sa queue qui est tendue comme un arc prêt à lancer sa flèche.
Marion regarde le mât de chair que son oncle agite d'une main. Sa chatte mouille de plus en plus. Lucie elle, grince les dents, le branlage qu'elle s'impose est violent. Sa vulve, ne peut retenir, l'abondante cyprine qui n'a pas d'autre choix que de s'échapper. Paul se lève, il approche de Marion, il lui place sous son nez sa verge raide, et la frotte doucement sur ses lèvres. Lucie regarde, son mari, sa nièce qui reste imperturbable, elle se pince les lèvres.
Lucie, accélère le branlage ses grognements son bruyants, la jouissance approche à grands pas. Paul constate que sa nièce n'est pas disposée à lui faire une fellation. Il approche sa queue vers la chatte ruisselante de Marion, la frotte contre les grandes lèvres vaginales enduites de cyprine. Il pousse doucement, les lèvres s'écartent. Marion continue de s'agiter le clito, elle se cabre lorsque le gland s'engage dans sa gaine étroite. Elle serre les dents, et accélère le branlage.
Paul s'accroche aux hanches de sa nièce, et continue de pousser. Sa queue s'enfonce de plus en plus dans le vagin très étroit. Marion cesse de se branler, saisit les fesses de son oncle et tire violemment dessus. La queue de son oncle, s'enfonce totalement en elle. C'est en soufflant comme une bête que Marion agite fortement son bassin. Elle donne des coups de reins violents, pour recevoir la queue du tonton profondément dans son ventre.
Lucie explose, son corps se met à trembler, des spasmes lui secouent les entrailles, en la faisant geindre. Marion regarde son oncle, c'est en grimaçant qu'elle dit :
-Tonton, tonton, oh comme tu es gros, n'es pas peur de me déchirer, vas-y, vas-y défonce-moi fort !
Paul encouragé par sa nièce donne des coups de reins brutaux, il ressort plusieurs fois sa queue du ventre juvénile, pour la replonger violement le plus profondément possible. Pour Marion c'est le bonheur total, ses gémissements le prouvent.
Elle se cabre en poussant un hurlement terrible, sa jouissance est extraordinaire. Paul la déboite comme un forcené, sa queue gorgée de sang voyage avec violence dans le ventre de la jouisseuse.
Il maintient la cadence, Marion jouit une seconde fois, elle est au bord du coma. Paul enfin en grognant comme un animal, lui remplit le ventre de son sperme épais.
Son oncle tente de mettre le halte-là, mais depuis quelque temps, elle exagère. Elle s'accroche souvent avec sa tante, pour un oui, pour un non, sans raison valable. Lucie est la douceur même, jamais un mot plus haut que l'autre, toujours souriante.
Pendant les prises de bec avec sa nièce, elle tente toujours d'arrondir les angles, et cela n'est pas facile.
Un jour que sa tante prend sa douche. On ne sait pour quelle raison, Marion entre dans la salle de bain, regarde sa tante se laver. Lucie croise le regard de sa nièce, et reste un moment figée. Marion, sans aucune gêne, retire ses vêtements et entre dans la douche déjà occupée par sa tante. Elle verse du gel douche sur ses mains et sans dire un mot, en enduit le corps de sa tante, qui en reste baba.
Les mains douces de la jeune coquine, glissent sur la peau laiteuse de la tante, qui ne comprend toujours pas ce que cherche sa nièce. La coquine lui savonne le dos, ses mains passent sur les fesses, glissent dans la raie en frôlant l'anus. Elles passent entre les jambes pour atteindre la vulve, Marion frotte avec douceur la chatte, ses doigts s'insèrent entre les grandes lèvres, voyagent un instant dans le sillon, et tournent sur le clito un long moment.
Lucie est comme tétanisée, elle ne réagit pas. Les mains délaissent la vulve, Marion fait gicler du gel sur ses mains, et les passent sur le torse, elle s'empare des lobes mammaires, et les malaxe doucement. La tante pousse de gros soupirs, les doigts agiles de sa nièce, s'enfoncent dans la chair tendre de ses seins.
Les mamelons comme par miracle ont doublé de volume. Habilement, Marion les roule entre ses doigts, les étire, pour enfin les presser fortement.
Lucie grimace, mais ne dit pas un mot. Mais lorsque les mains redescendent sur sa vulve, elle se cabre légèrement en poussant un gros soupir. Trois doigts s'enfoncent dans son vagin, et se mettent à le ramoner doucement. Lucie commence à trembler, l'eau qui ruisselle sur les corps chauds, ressemble à des perles de rosée. Les doigts cessent de fouiller le conduit vaginal, et s'emparent du clito. Marion, avec douceur, le branle en ne quittant pas sa tante du regard. Les yeux de Lucie sont embués, les images sont troubles, elle défaille.
Marion accélère, le branlage, la tante se tend comme un arc et en poussant un rugissement de bête blessée, jouit fortement. Marion la branle encore un petit moment, avant de sortir de la douche. Elle essuie son corps, remet ses vêtements et disparait. Lucie ne comprend pas ce qui vient de se passer, à part avoir rugi en jouissant, elle n'avait pas ouvert la bouche pendant l'acte.
Elle se rince, sort de la salle de bain, enroulée dans une serviette. Elle monte dans sa chambre, pour s'habiller. Elle passe devant la chambre de sa nièce, la porte est entrouverte, elle la pousse, Marion est étendue sur son lit, rêveuse, elle regarde le plafond. Sa tante s'approche et s'assied sur le bord du lit, les deux femmes échangent un long regard, avant que Lucie demande :
-Pourquoi tu as fait ça Marion ?
La jeune fille regarde sa tante et répond :
-J'ai été méchante avec toi, j'ai voulu me faire pardonner !
La tante se redresse en fronçant les sourcils, et ajoute :
-Mais pour se faire pardonner, il y a d'autres moyens !
En souriant, la nièce réplique :
-Tu es si belle, que c'est cette façon que j'ai choisie !
Lucie en haussant les épaules répond :
-Belle, belle, tu exagères, je me trouve un peu grosse !
En disant cela, elle fait tomber sa serviette et tourne sur elle-même pour montrer à Marion ses petits bourrelets qu'elle trouve disgracieux. Marion la regarde se trémousser et dit :
-Tu as un corps de rêve, comme beaucoup de femmes voudraient, crois-moi !
Lucie, hausse les épaules, ramasse sa serviette, et dans la foulée dépose un gros baiser sur le front de sa nièce, puis sort de la chambre.
Pendant le repas, il n'y a plus la tension qu'il y avait les jours précédents. Paul est très étonné que l'ambiance soit bonne, il ne dit rien, pour ne pas rallumer les hostilités.
Lucie et sa nièce ne cessent de se sourire, Paul soupçonne quelque chose, il reste dubitatif tout épiant faits et gestes des deux femmes. Toute la soirée, les deux ne se sont pas quittées, souvent en riant pendant qu'elles faisaient la vaisselle, les deux complices s'enlaçaient, riaient. Paul ne trouve pas cela normal, il se pose beaucoup de questions.
Une fois au lit, il questionne sa femme :
-Je sens qu'il s'est passé quelque chose entre toi et Marion, je veux que tu m'expliques pourquoi ce revirement soudain de Marion !
Lucie sourit est dit :
-Si je t'explique, tu ne me croiras pas !
Paul se pince les lèvres et ajoute :
-Dis toujours ma chérie !
Lucie raconte tout, sans omettre un détail. Paul est stupéfait, il regarde sa femme, ses yeux pétillent. Il demande tendrement :
-Tu as aimé, ma chérie, de te faire branler par ta nièce ?
Lucie reste un moment muette, avant de répondre :
-J'avoue, cela a été très agréable, ma jouissance a été très forte !
Paul en se blottissant contre sa femme lui demande :
-Tu serais prêt à recommencer avec elle ?
Lucie se redresse dans son lit et en regardant son mari répond :
-Mais pourquoi tu me demandes ça mon chéri ?
Paul en se raclant la gorge réplique :
-J'aimerais voir ça, rien que d'y penser, je bande, regarde !
Lucie repousse les draps, en effet son mari bande fortement, elle le dévisage et dit :
-Ne me dis pas que tu voudrais baiser Marion, vieux cochon, ou alors, tu deviens voyeur !
En lui passant la main entre les jambes, le coquin répond :
-Pourquoi pas les deux, toi, tu as trouvé du plaisir avec elle, et pourquoi que je m'en priverai, si elle dit oui, je ne dis pas non. Elle a ce qu'il faut là où il faut !
Lucie secoue la tête en disant :
-Mais tu es incorrigible Paul !
Paul, lui, fait l'amour comme une bête, ce n'est plus sa femme qu'il a dans les bras, mais sa nièce. Il la fait jouir plusieurs fois, comme jamais, elle ne l'a fait, c'est enlacé étroitement, qu'ils s'endorment.
Le lendemain matin, c'est Paul qui est levé le premier. Il prépare le petit déjeuner, et attend que les deux femmes fassent leur apparition. C'est Lucie qui descend la première, elle a sur le dos une blouse mal boutonnée, on devine qu'elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle prend place à table et entame son petit déjeuner
Des pas se font entendre, Marion apparait, vêtue de sa nuisette transparente. Elle lui arrive à mi-cuisses. La jeunette s'étire comme un chat, en étirant ses bras, sa nuisette remonte sur le haut de ses cuisses. Paul ne quitte pas des yeux le corps quasi parfait de sa nièce. Il voit au travers du fin tissu, le triangle de poils soyeux. Et le mamelons qui appuient fortement sur la nuisette comme pour la percer. Il salive fortement, et déglutit bruyamment.
Marion descend une à une les marches de l'escalier, en balançant son bassin, sa démarche de félin, fait bouillonner le sang de son oncle. Depuis qu'il a apprit ce la coquine, a fait à sa femme, il regarde sa nièce d'un autre œil. Elle embrasse son oncle et se penche sur sa tante, elle dépose un baiser bruyant, à la commissure de ses lèvres. Lucie est surprise, mais c'est en souriant qu'elle la regarde prendre place à table. Pendant le petit déjeuner, Paul fait quelques allusions, il parle, avec des sous entendus de la salle de bain.
Marion le regarde en souriant, elle tourne la tête vers sa tante et lui fait un gros clin d'œil. Paul se penche sur sa nièce et lui murmure à l'oreille :
-Alors comme ça en branle sa tante, et le tonton reste sur sa faim, lui n'a pas droit au petit branlage !
Marion éclate de rire et dit :
-Mais, il faut le mériter le branlage, petit tonton cochon !
Paul sursaute et en riant prend à bras le corps sa nièce et la bascule sur ses jambes, il dit :
-Ah je suis un tonton cochon, je vais t'apprendre la politesse moi !
Il retrousse la nuisette sur les reins de Marion, il caresse les fesses nues avant de commencer de les frapper. Marion grimace, elle peste contre son oncle qui lui fait rougir les fesses. Le bougre n'y va pas mollo, ses doigts marquent la peau sensible, en faisant rugir Marion. La punition cesse, Paul constat qui n'y a pas était de mains mortes. Il caresse les fesses pour atténuer le feu qui les brule.
Ses doigts glissent dans la raie, passent plusieurs fois sur l'anus avant de passer entre les jambes. Il passe sa main dans la fine toison duveteuse, et sursaute en disant fortement :
-Oh la vache elle mouille, tu aimes la fessée petite coquine hein !
Marion baisse la tête sans répondre, ses yeux sont pleins de larmes elle dit en reniflant :
-Tonton tu es méchant, je te hais !
Paul pour se faire pardonner donne quelques baisers sur les fesses meurtries. Il redresse sa nièce et la porte jusqu'au canapé. Il pose deux doigts sur son menton et lui relève la tête. Il donne un gros baiser bruyant sur les lèvres et en la regardant dit :
-Je te demande pardon, je ne voulais pas te faire du mal ma chérie !
Marion redit :
-Tu es un méchant, laisse-moi tranquille !
En poussant de gros soupirs, Paul prend place dans un autre fauteuil. Lucie s'assoit près de Marion, celle-ci se blottit contre sa tante en reniflant fortement. Elle regarde méchant son oncle et comme pour le provoquer, passe sa main sous la blousse de sa tante, elle lui caresse avec douceur un bon moment la cuisse.
Lucie fond de bonheur, inconsciemment, elle ouvre légèrement les jambes . Sa nièce profite de cette occasion, pour plaquer sa main sur la foufoune bien soyeuse.
Les doigts montent et descendent sur les lèvres épaisses, en faisant frissonner la tante, qui sans savoir pourquoi, ne repousse pas la main.
Marion regarde son oncle, retire sa main de sous la blouse, et la déboutonne. Elle ouvre les pans sans quitter des yeux le tonton. Le bougre ravale sa salive, lorsque la main de sa nièce reprend place sur la vulve de sa femme. Lucie pousse de gros soupirs, sa chatte commence à suinter. Lucie semble hors sol, elle se laisse toucher, sans protester.
La scène qui c'est passée dans la douche, reste encore gravée dans sa mémoire, ses yeux s'embuent, sa respiration s'accélère. Les doigts agiles de la nièce sortent de son écrin la perle précieuse, la presse de nombreuses fois avant de l'agiter doucement. Paul serre les poings, il voit le clito grossir de plus en plus.
Soudain, Marion prend la main de sa tante et la place sur la chatte qu'elle vient de délaisse. Automatiquement, Lucie saisit sa boule de chair, et reprend le branlage que sa nièce à abandonnée. Paul écarquille les yeux, Marion pousse la provocation encore plus loin, elle retrousse sa nuisette, ouvre largement les cuisses, et se caresse la chatte duveteuse.
Paul regarde les fines lèvres qui ne retiennent pas le filet de cyprine qui s'échappe de la vulve. Toujours en regardant son oncle, elle attrape son clito et commence un branlage qui devient de plus en plus intense. Paul bande comme un cheval, il extirpe de son pantalon sa queue qui est tendue comme un arc prêt à lancer sa flèche.
Marion regarde le mât de chair que son oncle agite d'une main. Sa chatte mouille de plus en plus. Lucie elle, grince les dents, le branlage qu'elle s'impose est violent. Sa vulve, ne peut retenir, l'abondante cyprine qui n'a pas d'autre choix que de s'échapper. Paul se lève, il approche de Marion, il lui place sous son nez sa verge raide, et la frotte doucement sur ses lèvres. Lucie regarde, son mari, sa nièce qui reste imperturbable, elle se pince les lèvres.
Lucie, accélère le branlage ses grognements son bruyants, la jouissance approche à grands pas. Paul constate que sa nièce n'est pas disposée à lui faire une fellation. Il approche sa queue vers la chatte ruisselante de Marion, la frotte contre les grandes lèvres vaginales enduites de cyprine. Il pousse doucement, les lèvres s'écartent. Marion continue de s'agiter le clito, elle se cabre lorsque le gland s'engage dans sa gaine étroite. Elle serre les dents, et accélère le branlage.
Paul s'accroche aux hanches de sa nièce, et continue de pousser. Sa queue s'enfonce de plus en plus dans le vagin très étroit. Marion cesse de se branler, saisit les fesses de son oncle et tire violemment dessus. La queue de son oncle, s'enfonce totalement en elle. C'est en soufflant comme une bête que Marion agite fortement son bassin. Elle donne des coups de reins violents, pour recevoir la queue du tonton profondément dans son ventre.
Lucie explose, son corps se met à trembler, des spasmes lui secouent les entrailles, en la faisant geindre. Marion regarde son oncle, c'est en grimaçant qu'elle dit :
-Tonton, tonton, oh comme tu es gros, n'es pas peur de me déchirer, vas-y, vas-y défonce-moi fort !
Paul encouragé par sa nièce donne des coups de reins brutaux, il ressort plusieurs fois sa queue du ventre juvénile, pour la replonger violement le plus profondément possible. Pour Marion c'est le bonheur total, ses gémissements le prouvent.
Elle se cabre en poussant un hurlement terrible, sa jouissance est extraordinaire. Paul la déboite comme un forcené, sa queue gorgée de sang voyage avec violence dans le ventre de la jouisseuse.
Il maintient la cadence, Marion jouit une seconde fois, elle est au bord du coma. Paul enfin en grognant comme un animal, lui remplit le ventre de son sperme épais.
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Comme toujours récit complet bien écrit nous invite au spectacle