Une nouvelle expérience avec un inconnu. - histoire érotique

Coucou, voici notre histoire à nous deux, Tenessy et Flavio. Le « je » de l’histoire, c’est moi Flavio mais ma copine à côté de moi la raconte également.
Par politesse, je vous la présente d’abord elle. Elle est blonde, petit, mince, 18 ans, belge et je pense très jolie. Elle a eu un joli petit nombre de conquêtes avant moi mais j’ai été le premier à profiter de son corps.
Moi, c’est Flavio, 19 ans, italien, cheveux noirs, taille moyenne et pas trop gros.
Voici deux ans que nous sommes ensemble. Nous faisons tout ensemble, sommes inséparables et nous aimons comme au premier jour.
L’histoire que nous allons vous raconter à assez symbolique puisqu’elle se passe le 19 juin 2005, date de nos « deux ans ».
J’avais invité ma chère amoureuse à un dîner en tête à tête dans la région liégeoise. Venant de Charleroi, la route avait été assez longue mais je voulais m’exiler de tout, être vraiment seule avec elle, sans risque de voir apparaître une connaissance.
Elle était resplendissante : jupe en satin juste au dessus des genoux, bottes en cuir, juste en dessous et jolie blouse noire à boutons. Avec ses cheveux lâchés, elle était belle comme un charme. On ne pouvait même pas parler d’être excitante, je la trouvais surtout énormément belle, saine, pure,…

Le dîner se passe. Nous mangeons et sabrons le champagne. Le tout accompagné de bisous tendres et amoureux. Vers 23h30, nous nous levons.
Nous trouvons quand même bête d’être venu si loin et de quitter la région liégeoise aussi vite.
Nous décidons donc d’aller dans la première discothèque que nous rencontrons. A deux, ça fait un peu bizarre mais juste l’histoire de prendre un verre et danser un peu.

Nous voyons au loin des néons. Nous nous rendons là, payons l’entrée et je décide de ré offrir le champagne à ma belle, à l’étage, en VIP.
Nous sommes assis à deux quand un homme, d’une trentaine d’années vient nous accoster.
- Permettez moi de vous offrir une nouvelle bouteille de champagne.

Nous sommes plutôt intrigués et ne sachant pas quoi répondre, il s’installe dans les divans près de nous. Nous bavardons un peu. Il est plutôt sympathique. C’est un homme d’affaires, assez riche, venu seul ce soir et qui cherchait donc de la compagnie. Nous parlons facilement une demi heure.
Quand le DJ passa des musiques espagnoles, il me demanda très poliment si il pouvait inviter Tenessy à danser. Je n’y vois aucun inconvénient. Il a l’air tellement poli et bien élevé.
Etant au balcon, il l’invite à se mettre contre la barrière et se colle dans son dos. Je n’aime pas fort cette position mais ayant promis à ma chérie de faire des efforts quant à ma jalousie, je me contente de coucher mon nez dans mon verre et ne dis rien.
Je relève ma tête de temps en temps pour le voir toujours aussi proche et lui glisser plein de mots à l’oreille. A chaque fois, elle rigole.

Ils reviennent une vingtaine de minutes après. Tenessy se penche vers moi et me glisse un « je t’aime » qui me rassure tout de suite. Nous recommençons à discuter. C’est vrai qu’il est bien. Il rigole tout le temps, fait rire,…

Il nous propose alors un dernier verre dans une discothèque où il connaît le patron, après avoir été aux toilettes. Nous acceptons, il n’est que 1h 45.
Profitant de ces cinq minutes d’absence, je demande à ma copine si elle a aimé la danse.
- Il était fort collé, je trouve ! dis je.
- Oui, je l’ai senti. Et il avait l’air d’aimer.
- Comment ça ?
- Mais la bosse que je sentais contre moi…

Donc ce con bandait, le sexe appuyé contre les fesses de ma copine. Les nerfs me montent mais je reste calme.
- Et de quoi parliez- vous que vous rigoliez ?
- Oh rien, il se foutait de certains que l’on voyait en bas sur la piste.
- Ah ok ok.

Il revient. J’ai bien envie de lui dire ma façon de penser mais je maîtrise mes nerfs.
Dans l’auto, devant à côté de lui, je ne peux m’empêcher d’imaginer la scène. Lui, debout contre ses deux petites fesses excitantes. Ca me fait bander.
Nous arrivons face à la porte et là, un sentiment d’inquiétude m’envahit. Sur l’enseigne, on peut lire « Discothèque érotique ».
- Hé, c’est pas une boite échangiste ici ?
- Non, c’est juste érotique, c’est- à- dire que les gens se caressent, se pelotent,… en dansant mais il n’y a pas de sexe et surtout, on ne vous importune pas si vous n’y allez pas de vous- mêmes.

Je ne suis qu’à moitié rassuré mais Tenessy avance d’un pas décidé donc je suis.
Il a l’air de connaître tout le monde à l’intérieur et nous présentes des filles extraordinairement belles.
Nous nous installons à trois à table et buvons encore du champagne. J’avoue que ça commence à nous monter un peu beaucoup à la tête.
- Vous ne voulez vraiment essayé aucune activité ? demande notre ami.

C’est vrai que j’ai remarqué dans la boite qu’il y a plusieurs engins. Moi je ne réponds pas mais il insiste.
- Toi, Tenessy ? Pas tentée ?
- Je ne sais pas trop. Il faut voir Flavio et moi je ne veux pas non plus faire des trucs exagérés.

Ils me fixent tous les deux et je donne mon consentement à condition que les limites ne soient pas dépassées.
Il nous invite alors à nous lever, montre à Tenessy un couloir. De l’extérieur, on n’y voit à l’intérieur mais l’inverse n’est pas vrai. Il y a plein de petits trous dedans. La règle est simple, elle doit traverser le couloir mais plein de mains vont tenter de la bloquer. Elle rigole à l’avance et gagne l’entrée du couloir. Cinq secondes plus tard, il y a plein d’hommes autour qui passent leurs mains dans les trous. Elle démarre mais ne va pas bien loin. Toutes les mains s’agitent sur elle. Elle tente de se débattre en rigolant. Je vois tout le monde sur elle. Y a même une main qui pelote à fond un de ses seins et une autre qui remonte sous la jupe, bien que je ne pense pas qu’il remonte assez haut.
Elle arrive malgré tout à s’échapper et vient près de moi m’embrasser en rigolant.
- Quel truc de fou ! Tu aurais pu venir m’aider hein !
- Je te laissais avec tous tes mecs.
- Oh bébé, fais pas ton fâché !

En disant ça, elle me caresse furtivement à hauteur du pénis. Je bande !
- Enfin, tu n’as pas l’air trop fâché.

Elle me sourit en prenant un air coquin et me lèche les lèvres doucement.
- Si je suis fâché ! Répliquais- je en essayant de prendre un air sérieux. Mais je ne peux me retenir et rigole.

L’autre n’avait sans doute rien raté de la scène. Il nous attrape et nous emmène sur la piste.
Un peu inquiet tout de même de la tournure que pourrait prendre les évènements, je me place devant Tenessy et la saisit par les hanches. A côté, plein de personnes se touchent, se pelotent,… en dansant. Notre ami se place derrière ma copine, pose ses mains sur son ventre et se colle à elle, l’embrassant dans le cou. La situation me dérange, je bous à l’intérieur de moi et, pourtant, une fois de plus, je bande.
Une fille arrive derrière moi, me saisit par le col, me retourne et m’embrasse à pleine langue. Je ne sais même pas à quoi elle ressemble mais je me laisse faire. C’est seulement une fois le baiser fini que je distingue son visage. Sans être exceptionnellement belle, elle a quelque chose d’excitant. Les autres, dont ma copine, me regarde en rigolant.
- Reste avec elle, je vais m’asseoir moi ! me glisse Tenessy à l’oreille.

Pas le temps de réagir, elle s’en va, main dans la main, avec le copain.
Malgré les caresses que me prodiguent ma nouvelle compagne, je ne peux m’empêcher, de loin, de regarder les deux autres s’embrasser à pleine langue.
Il a même sa main sur sa cuisse et remonte méchamment haut sur sous sa jupe.
Je n’en peux plus. Je lâche la fille, retourne à la table, saisit Tenessy par le bras et décide de quitter la boite.
- Attends, peste notre ami. Voici mon numéro de portable, appelez moi SVP.

Il nous tend une carte, nous lui faisons la bise et nous en allons.
- Désolé ! me dit Tenessy dans la voiture.
- Ne sois pas désolé, j’avoue, j’ai eu du plaisir.
- Ca t’excitait vraiment ?
- Oui, j’ai cru que j’allais exploser dans mon pantalon.
- Ah bon ? Elle sourit, place ma main à hauteur de ma braguette et sort mon sexe. Je bande encore. Elle commence à me masturber.
- Raconte moi la dernière caresse où il est monté bien haut.
- C’est simple, il a posé sa main sur ma cuisse, est monté jusqu’à mon string, l’a caressé puis a glissé deux doigts dessous et a voulu sentir si je mouillais.
- Et tu mouillais ?
- Comme une fontaine. Quand il m’a pénétré d’un doigt, ça a glissé comme dans du beurre.
- Oh bébé ! Je suis au bord de la jouissance, je roule à 30 km/h maximum.

Elle s’abaisse, glisse mon sexe entre ses lèvres et commence à me pomper. Ma bitte est dure et le gland, énorme, prêt à exploser.
Tout en le léchant, elle me glisse un discret :
- Et son numéro, on en fait quoi ?
- Envoie lui un message, rendez- vous à 21h00, la semaine prochaine au restaurant. Indique lui le nom.

Tout en me suçant, elle lui écrivit. Elle devait avoir envie de lui.
La suite de la soirée, vous devez déjà vous en douter. Je n’ai plus su résister longtemps. J’ai éjaculé comme un fou et, pour la toute première fois, elle accepta d’avaler mon jus. Elle n’avait jamais voulu, prétextant que ça la dégoûtait. Mais ici elle ne se fit pas prier et me confia même plus, tard que le goût était excitant.

La soirée de la semaine suivante ? Je vais vous la raconter mais dans une prochaine histoire &,61514,



Tenessy et Flavio