Une nouvelle halte sur la route de la jouissance. - histoire érotique

Après avoir emmené la sœur Jeanne la veille avec l’histoire que vous connaissez, j’ai le plaisir d’aller de nouveau à la gare chercher cette fois-ci, la sœur. Laure de son prénom. Une jeune fille avec une petite mine pâle, mais aussi une grosse bouche sensuelle. De longs cheveux lisses blonds, qui encadrent ses yeux très bleus. Elle faisait penser à une poupée fragile. Cependant, elle est pourvue d’une belle poitrine et de fesses bien renflée toujours sous une jupe. Qui agrippe mon regard à chacune de nos rencontres.
Pour ne pas déroger à la règle, elle est encore aujourd’hui en jupe. Tout en menant la jeune fille, je me pose la question de savoir quel genre de sous-vêtement elle doit porter là-dessous. Un string ? Une culotte sexy, ou simplement une culotte quelconque ? Ou alors rien…
J’ôte pour le dernier choix. Cela a pour automatisme de me faire bander. M’imaginant très bien vu son âge, à peine la vingtaine, qu’elle est pourvue d’une belle vulve, un clitoris tout boursouflé et généralement lisse.
Tout en conduisant, je me laisse aller à la contemplation de ses chevilles. Dont elles sont, par ailleurs bien charpentée. Elles sont emmaillotées par les lanières d’une paire d’escarpins de couleur rouge, qui laissent à nu le bout de ses ongles de pied peint en rouge.
Tout en regardant le paysage par la vitre passager, elle se laisse aller à croiser les jambes. Va même les secondes suivantes, jusqu’à ramener sa jupe bien haut sur ses cuisses. Offrant ainsi à ma vue ses cuisses gainées de nylon. Mon coup d’œil a été très bref à cause de la circulation, mais assez pour retenir des images précises.
Je crois déceler pourtant une lueur inhabituelle au regard de Laure. Et très vite, sans se départir de son calme distant, la voilà qui retrousse très haut l’ourlet de sa jupe, donnant une réponse à ma question plus tôt à savoir son choix de culotte. Elle est en nylon jaune.
Je suis dans mon élément, là ! Mais que dire quand l’instant d’après, la coquine insinue en toute innocence, un doigt entre ses grandes lèvres sous l’étoffe jaune. Et va jusqu’à l’appuyer, là où doit se situer son clitoris. Et tout ça en levant le menton d’un air de défi. Son audace m’abasourdit. Elle me provoque ! Elle ne réagit même pas lorsque je prends l’initiative de poser ma main sur la sienne. Je prends même la crispation de son visage pour un encouragement à poursuivre.
-Je crois deviner que tu as une petite discussion avec ta sœur. Je me trompe ?
-J’ai bien eu une discussion avec ma sœur… oui !
-Et je peux savoir si j’étais à l’origine de cette discussion ?
-Tu étais effectivement le pilier de notre débat !
-Et alors ?
-Et alors quoi ? À ton avis, je suis là pour quoi ?
-Je ne sais pas, éclaire-moi ! !
-Pour tout bonnement contrôler si Jeanne ne m’a pas dupé !
Coutumier des lieux, je sais où trouver un sentier. Un endroit passible pour le genre de chose que je projette d’effectuer.
Sitôt le moteur coupé, j’exige de Laure qu’elle se tourne sur son siège pour m’offrir son dos.
-Tu tiens vraiment à vérifier les dires de ta chère sœur ? Fais-je, en prenant l’initiative de retrousser sa jupe.
Elle se laisse manœuvrer. Je me trouve en face de son derrière. Il me semble de l’entendre respirer fort. J’abats sans prévenir une claque retentissante sur ses fesses. Sans oser se redresser, elle pousse un cri d’effroi. Séparant les fesses, j’éprouve l’élasticité de son anus. Cependant, elle se prête inlassablement à mes investigations.
Doucement j’insinue dans l’anus un doigt bien salivé, que je fais coulisser d’un mouvement régulier. Elle halète en soulevant son derrière. Mon index va et vient dans ce gouffre chaud et humide. Un volcan m’envahit aussitôt tandis que j’exploite la saveur de son cul. J’ai la sensation que la jeune fille m’accompagne en bougeant subtilement des hanches. Ses reins se cambrent vers l’arrière tandis que sa main affiche une certaine crispation, en appui sur le cuir de la banquette. Il est temps pour moi de reprendre mon doigt. Mais cette action est loin de contenter la jolie Laure, et elle me le fait savoir.
-Et c’est tout ? Me fait-elle.
-Tu t'attendais à quoi ? Fais-je, en mettant le contact.
-Au même traitement que ma sœur !
-Alors… elle t’a vraiment tout confessé ?
-Vraiment tout ! Répond-t-elle en se séparant de sa jupe.
Puis c’est au tour de ses pieds de se faire déchaussé. Se soulage de son collant et de son slip jaune dans le même élan. Elle exhibe alors à mes yeux, une grosse touffe, en bas de son ventre plat. Docilement, tout en défiant du regard, elle descend lentement mais surement le dossier de son siège. Une fois allongée, tout en se tortillant, elle avance les fesses, juste au bord du siège et pose les pieds aux ongles rouges sur le tableau de bord. Je contemple l’épaisse langue rose saumon qui émerge des poils fournis, entre deux bourrelets qui s’évasent en haut sur un médaillon de lamelles roses et luisantes et en bas sur l’entrée rouge du vagin qui bâille. Sous mon regard intéressé elle fait tourner deux doigts dans l’orifice.
Elle mouille déjà beaucoup. J’œuvre avec mes doigts, ainsi, de longues minutes, à la caresser. Mes doigts jouent dans la fourrure et font saillir le petit bouton. Je tourne autour, appuie dessus, l’écrase entre mes doigts, avec volupté.
Elle a du mal à respirer. Elle halète comme un soufflet de forge.
-Bon, assez regarder maintenant… bouffe-moi la chatte. Comme tu la fais à ma sœur !
- Tu ne sais pas mais j’adore les chattes.
-J’ai cru le deviner aux dires de ma sœur !
-Il émane de la tienne un parfum puissant, musqué.
-Et tu aimes ?
- Oui…
-Alors, ne te retiens pas, au boulot. Je compte sur toi pour me mener à l’extase.
Ses lèvres sont enflées d’excitation et luisantes de mouille. À genoux sur le plancher, je faufile ma langue jusqu’à ses grandes lèvres. En commençant par le bas et en remontant vers le haut. Mais en m'arrêtant juste avant son clito. J’utilise mes pouces pour séparer les lèvres de sa chatte, pour enterrer ma langue plus profondément et ainsi boire le jus qui s’y coule.
Je me mets en devoir de la sucer, tout en faisant des bruits humides. Je l’entends geindre de plus belle. Laure secoue la tête, tout en creusant les reins, pour mieux s’offrir à mon exploration buccale. J’écarte la tête quelques instants pour reprendre mon souffle. Contemplant une fois encore, le con détrempé, aux lèvres rougies, au clitoris saillant. Ainsi ramassée sur son siège, elle m’expose pour la seconde fois son trou du cul. Son anus est plissé, entrouvert. Sans aucune ambigüité, je plonge mon visage vers son rectum odorant et luisant de salive. Excité par l’odeur des plus musquées qui s‘en dégage. Elle me lance un de ces sourires carnassiers dont seules les folles du cul, dans son genre, ont le secret.
Avec l’aide de ma langue, je me mets à fouiller l’anus. Elle soupire d’aise. Je la déguste et re-déguste, me savourant de son trou amer. Son corps ne lui appartient plus, et elle entame une ondulation au rythme de mes coups de langue. Allant jusqu’à enserrer cette fois ma tête de ses mains.
Elle déborde de plaisir, la jeune fille. Alors, je décide d’accroître son plaisir en incluant un, puis deux doigts dans son sexe. Sa réaction se fait immédiate. Et son plaisir se décuple. Comme souvent dans ces instants, je suis pris d’une divagation. Celle de présenter mon gland à son trou. Alors que de mon autre main je malaxe sa poitrine. Va jusqu’à pincer le téton à travers l’étoffe de son chemisier. Ma verge s’emboite de mieux en mieux dans son cul. Elle cahote ses fesses pour me déloger, mais cela ne fait qu’accroître la poussée contre son anus.
- Je ne crois pas avoir entendu ma sœur parler de cela ! S’enquit-elle à me préciser.
-Elle n’a peut-être pas osé aborder le sujet, de honte !
Déjà ma verge s’infiltre dans l’anus de moitié. J’assure tant bien que mal ma prise et m’enfonce entièrement dans son rectum. Dans une position pas des plus confortable. Je m’agrippe alors à ses hanches et entame un lent mouvement de va-et-vient. Par pur agrément, je sors ma verge de quelques centimètres, très doucement, puis d’un coup de reins rageur, je m’enfouis à nouveau dans son cul. Là je me mets à la pistonner avec vigueur. De plus en plus vite. Pour en terminer le plus vite possible, tant la position est piteuse.
Elle subit ma fougue, le corps soumis. Je m’excite d’exclamations obscènes, et cela jusqu’à la jouissance. Une fois cette dernière consommée, je suis comme souvent confus. Mais pas moins heureux. Sur le trajet, elle me presse de questions. Essayant de savoir si Jeanne a elle-aussi subi une enculade.
-Tu verras avec elle !