Une nouvelle lopette au Château – (suite de l’épisode N°1113)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une nouvelle lopette au Château – (suite de l’épisode N°1113)
Une nouvelle lopette au Château – (suite de l’épisode N°1113) –
Une nouvelle lopette allait peut-être rejoindre le Cheptel de Monsieur le Marquis…
- Monsieur le Marquis, je crois que nous avons devant nous une bonne lopette à soumettre… Il fera un bon soumis, je suis certain, sans aucun doute, qu’il a le profil docile et obéissant pour être un bon chien… Son cul est peut-être vierge ? s’exclama le Majordome … - Dis-moi, petite pute à bites, tu es vierge du cul ? demanda le Châtelain à Patrick vaincu- Oui Monsieur le Marquis, je… je suis vierge en effet, répondit Patrick baissant la tête et d’une voix faible- Je m’en doutais, son cul sera un délice à prendre, répliqua Walter d’une voix triomphante- Chien, je vais te donner un nom pour que tu rejoignes dès ce soir Mon Cheptel, mais avant tu vas te mettre nu devant moi, enlève tes vêtements et prends ta condition de chien soumis, ordonna Monsieur le Marquis- Mais ? … Mais, je ne peux pas … ma moto est sur le bord de la route et …, essaya de résister Patrick
La paire de gifles que lui asséna le Noble l’interrompit :
- Espèce de chien sans cervelle, tu ne comprends pas l’honneur que je te fais avec ma proposition. Pour ta moto, si c’est cela est ton tracas, Walter ira la récupérer tout à l’heure, je connais un excellent mécanicien qui viendra la réparer ici. Pour l’instant à poil, je vois la bosse dans ton pantalon, c’est que tu bandes, salope … Alors montre-moi ta nouille de clébard en chaleurs.
Patrick trahi par sa propre excitation ne pouvait nier qu’il était très excité par la situation de devenir soumis. Il était vaincu, alors il commença à se dévêtir et quand il fut arrivé à ses sous-vêtements, Monsieur le Marquis remarqua de nouveau la bosse qui déformait son slip. Patrick bandait de plus belle, il bandait pour le Noble. Le Majordome s’approcha et demanda au Châtelain :
- Regardez comme qu’il bande, ce chien ! Il est comme tous les autres mâles soumis de Votre Cheptel … Quel nom doit-on lui donner ?
Le Châtelain réfléchit :
- Prépare un collier de cuir, tu graveras dessus l’inscription : ‘chien perdu avec collier’ puisque nous l’avons récupéré au bord de la route. Et je le baptise du nom de ‘Chiennasse’. Nous lui mettrons ce collier demain quand la gravure sera terminée. Pour l’instant, met le à l’écart, je ne veux pas qu’un mâle dominant lui prenne le cul avant moi.
Patrick se mit à rougir en entendant cela. Monsieur le Marquis lui avait pris la bouche tout à l’heure et il comprenait que le majestueux sexe dont il avait pu sentir l’épaisseur et la longueur allait le prendre. Walter saisit Patrick par le bras et le tira littéralement hors de la pièce, Monsieur le Marquis se reboutonna satisfait, il sentait que Chiennasse serais un bon élément, de plus il savait qu’il allait pouvoir jouir dans son cul bien serré, même s’il savait que les culs des chiens soumis prenaient rapidement de la souplesse en étant travaillé régulièrement. Le Châtelain invitait régulièrement et nombres de ses amis Maîtres et Maîtresses de la région lyonnaise et stéphanoise qui aimaient abuser de Son Cheptel. Il y avait en son sein un mâle chien soumis qui régulièrement acceptait en son fondement des godemichés de très fort calibre, ce chien prenait beaucoup de plaisir à être traiter comme cela et peut-être que Chiennasse serait comme cela, seul l’avenir et l’expérience du Noble le dirait. Pour l’instant Patrick, ou Chiennasse, quitta la pièce. Walter l’amena dans une chambre et lui dit :
- Comme tu n’as pas le collier, tu n’as pas le droit d’aller au Chenil rejoindre tes congénères. Marie va venir tout à l’heure t’apporter à manger, ne t’inquiètes pas pour ta moto, je vais aller la chercher de suite. Penses à ce qui vient de se passer, tu vas donner demain beaucoup de plaisir à Monsieur le Marquis, il te fait l’honneur de porter un collier à ton nom de baptême dans le Château. Tu vas surement bander comme un cerf quand tu vas sentir son sexe prendre possession de tes entrailles de lopette. Tu verras cela va être un moment très spécial. Une fois que tu auras été sodomisé par le Maître des Lieux, ton cul pourra être sollicité par les membres Dominants du Château, ainsi sache que je te prendrai moi aussi bien au fond, tu ne mérites que cela maintenant et pour toi ce sera toujours une véritable récompense de te faire enculer...
Patrick se mit à penser à sa nouvelle condition, sa vie amoureuse n’était pas satisfaisante, les femmes avaient tendance à le repousser, il était d’un caractère insignifiant, son manque de charisme faisait qu’il était plutôt suiveur que suivi, les femmes sentaient cela et il souffrait de cette situation. Ce soir, il avait pris du plaisir à être traité comme un animal, il ne pouvait pas le nier à la vue de ses érections. Il avait mouillé pendant que le Châtelain lui avait pris la bouche, son sexe n’avait pas débandé et il se posa la question s’il n’avait pas aussi joui. Mais pour l’instant il entendit la porte de sa chambre s’ouvrir et la sévère gouvernante du Château fit son apparition. Marie la fameuse cuisinière perverse se présenta :
- Salut le chien, Walter m’a dit que tu allais recevoir ton collier de chien soumis demain. Sache que Monsieur le Marquis exige que ton fondement soit propre, donc je vais te faire un lavement. Suis-moi dans la salle de bain et surtout pas de raisonnement idiot.
Marie s’était saisie d’un broc à eau et d’un appareil à lavement, elle lui dit :
- Allez chien en position prosternée, cul bien relevé, bras sur le devant et tête baissé à même le sol. Montre-moi ton cul et avec tes mains, tu vas écarter tes deux fesses de lope, je veux voir ton petit trou bien serré, on m’a dit que tu es vierge du cul… Aller, exécution …
Patrick obéit en tout point et Marie put constater en mettant la canule que son trou de balle était bien serré. Patrick n’avait jamais été sodomisé, Monsieur le Marquis allait se régaler. Le cul de Patrick devait être aussi propre qu’un sou neuf. Marie une fois la canule bien en place fit rentrer dans le fondement du soumis une solution permettant une expulsion complète des intestins de Patrick. Demain le Châtelain pourrait officier sans crainte de souiller son Noble Sexe. Patrick commença à gesticuler, il sentait la solution remplir son colon, son ventre était de plus en plus gonflé et une envie pressante se fit sentir, Marie lui ordonna alors :
- Espèce de porc, tu dois garder en toi cette solution c’est uniquement à mon signal que tu pourras expulser tout cela dans le broc que j’ai disposé au sol sous ton cul, salope !
Patrick sentait son estomac et son colon gargouiller, des crampes le prenaient il respirait bruyamment, il avait envie de pousser afin de se libérer mais Marie avait été claire, seule elle pouvait le libérer de ce tourment. Patrick se mit à penser au Châtelain, il faisait tout cela pour Lui et cette pensée lui permit de faire l’effort d’attendre le feu vert de Marie. Celle-ci prit son temps, elle s’amusait de constater que Patrick tortillait littéralement du cul, il souffla comme un bœuf et ses mains se crispaient sur le plancher. Marie ne voulait pas que le luxueux parquet soit sali au cas où ce chien se vidait d’un coup, donc elle donna le signal.
- Chien tu peux pousser maintenant.
Patrick ne se fit pas prier et un jet puissant sorti de son cul, Patrick expulsa la totalité du contenu de son colon, Demain il serait bien propre pour Monsieur le Marquis. Marie satisfaite du résultat, laissa Patrick à son sort, elle lui dit simplement :
- Tu vas manger un potage ce soir et après au lit, profite bien de ta nuit car demain soir, si Monsieur le Marquis est satisfait tu dormiras au Chenil avec les chiens mâles. Tu verras que certains sont bien membrés et ils apprécient de marquer leur territoire en prenant possession physiquement des nouveaux arrivants… Je te referai un autre lavement juste avant que Monsieur le Marquis daigne s’occuper de toi, demain…
Patrick se demanda s’il ne rêvait pas debout mais il avait l’impression d’avoir encore dans sa bouche le gout du Noble Sperme du Châtelain et c’est sur cette pensée qu’il alla se coucher… Le réveil fut brutal, le Majordome rentra dans la chambre en poussant la porte avec fracas :
- Debout salope !
Patrick sursauta et faillit tomber du lit, il se demanda ou il était et c’est au bout d’un petit moment qu’il prit conscience que tout ceci était bien réel. Le collier de chien qu’il apercevait dans les mains de Walter reflétait son nouveau statut de soumis au service du Maître des Lieux, il remarqua aussi que son nom de chien était gravé sur une plaque de cuivre ‘‘Chiennasse’’ avec en plus l’inscription : ‘chien perdu avec collier’. Walter lui dit :
- Viens le chien, présente-moi ton cou, on va ajuster ce jolie collier don de Monsieur le Marquis d’Evans et sois en toujours digne de ce véritable honneur.
Patrick sentit le collier se refermer sur lui, une fois fait, Walter le poussa à terre :
- A quatre pattes maintenant, ce collier montre que tu es bien un chien soumis donc comme tout chien, tu vas te déplacer à quatre pattes et tu vois cette laisse, eh bien elle sert à te promener … C’est ainsi que tu seras amené auprès de Monsieur le Marquis, tout à l’heure…
Walter tira sur la laisse afin que Patrick se retrouve dans le bureau du Châtelain. Une fois tous deux arrivés, le Majordome dit d’une voix forte :
- Monsieur le Marquis je vous amené ce chien soumis, il porte aussi un bracelet en cuir avec gravé dessus son nom de lopette bonne à prendre ‘Chiennasse’.
Le Noble leva la tête et regarda l’esclave ‘Chiennasse’ dans les yeux :
- Bien, dit-il, tu es dans la tenue qui va si bien aux membres de Mon Cheptel, nu, les organes génitaux à l’air, tu portes aussi un bracelet de chien soumis à ton nom. Cette tenue, tu as pu le remarquer et celle des chiennes et chiens qui constituent Mon Cheptel. Ils sont ici de leur propre volonté après avoir bien compris ce que j’attendais d’eux : obéissance absolue à Moi-même et aux membres du Château, mais aussi à tous ceux que j’inviterai à prendre possession de ton corps qui ne t’appartient plus… Car désormais il est à Moi…
(A suivre …)
Une nouvelle lopette allait peut-être rejoindre le Cheptel de Monsieur le Marquis…
- Monsieur le Marquis, je crois que nous avons devant nous une bonne lopette à soumettre… Il fera un bon soumis, je suis certain, sans aucun doute, qu’il a le profil docile et obéissant pour être un bon chien… Son cul est peut-être vierge ? s’exclama le Majordome … - Dis-moi, petite pute à bites, tu es vierge du cul ? demanda le Châtelain à Patrick vaincu- Oui Monsieur le Marquis, je… je suis vierge en effet, répondit Patrick baissant la tête et d’une voix faible- Je m’en doutais, son cul sera un délice à prendre, répliqua Walter d’une voix triomphante- Chien, je vais te donner un nom pour que tu rejoignes dès ce soir Mon Cheptel, mais avant tu vas te mettre nu devant moi, enlève tes vêtements et prends ta condition de chien soumis, ordonna Monsieur le Marquis- Mais ? … Mais, je ne peux pas … ma moto est sur le bord de la route et …, essaya de résister Patrick
La paire de gifles que lui asséna le Noble l’interrompit :
- Espèce de chien sans cervelle, tu ne comprends pas l’honneur que je te fais avec ma proposition. Pour ta moto, si c’est cela est ton tracas, Walter ira la récupérer tout à l’heure, je connais un excellent mécanicien qui viendra la réparer ici. Pour l’instant à poil, je vois la bosse dans ton pantalon, c’est que tu bandes, salope … Alors montre-moi ta nouille de clébard en chaleurs.
Patrick trahi par sa propre excitation ne pouvait nier qu’il était très excité par la situation de devenir soumis. Il était vaincu, alors il commença à se dévêtir et quand il fut arrivé à ses sous-vêtements, Monsieur le Marquis remarqua de nouveau la bosse qui déformait son slip. Patrick bandait de plus belle, il bandait pour le Noble. Le Majordome s’approcha et demanda au Châtelain :
- Regardez comme qu’il bande, ce chien ! Il est comme tous les autres mâles soumis de Votre Cheptel … Quel nom doit-on lui donner ?
Le Châtelain réfléchit :
- Prépare un collier de cuir, tu graveras dessus l’inscription : ‘chien perdu avec collier’ puisque nous l’avons récupéré au bord de la route. Et je le baptise du nom de ‘Chiennasse’. Nous lui mettrons ce collier demain quand la gravure sera terminée. Pour l’instant, met le à l’écart, je ne veux pas qu’un mâle dominant lui prenne le cul avant moi.
Patrick se mit à rougir en entendant cela. Monsieur le Marquis lui avait pris la bouche tout à l’heure et il comprenait que le majestueux sexe dont il avait pu sentir l’épaisseur et la longueur allait le prendre. Walter saisit Patrick par le bras et le tira littéralement hors de la pièce, Monsieur le Marquis se reboutonna satisfait, il sentait que Chiennasse serais un bon élément, de plus il savait qu’il allait pouvoir jouir dans son cul bien serré, même s’il savait que les culs des chiens soumis prenaient rapidement de la souplesse en étant travaillé régulièrement. Le Châtelain invitait régulièrement et nombres de ses amis Maîtres et Maîtresses de la région lyonnaise et stéphanoise qui aimaient abuser de Son Cheptel. Il y avait en son sein un mâle chien soumis qui régulièrement acceptait en son fondement des godemichés de très fort calibre, ce chien prenait beaucoup de plaisir à être traiter comme cela et peut-être que Chiennasse serait comme cela, seul l’avenir et l’expérience du Noble le dirait. Pour l’instant Patrick, ou Chiennasse, quitta la pièce. Walter l’amena dans une chambre et lui dit :
- Comme tu n’as pas le collier, tu n’as pas le droit d’aller au Chenil rejoindre tes congénères. Marie va venir tout à l’heure t’apporter à manger, ne t’inquiètes pas pour ta moto, je vais aller la chercher de suite. Penses à ce qui vient de se passer, tu vas donner demain beaucoup de plaisir à Monsieur le Marquis, il te fait l’honneur de porter un collier à ton nom de baptême dans le Château. Tu vas surement bander comme un cerf quand tu vas sentir son sexe prendre possession de tes entrailles de lopette. Tu verras cela va être un moment très spécial. Une fois que tu auras été sodomisé par le Maître des Lieux, ton cul pourra être sollicité par les membres Dominants du Château, ainsi sache que je te prendrai moi aussi bien au fond, tu ne mérites que cela maintenant et pour toi ce sera toujours une véritable récompense de te faire enculer...
Patrick se mit à penser à sa nouvelle condition, sa vie amoureuse n’était pas satisfaisante, les femmes avaient tendance à le repousser, il était d’un caractère insignifiant, son manque de charisme faisait qu’il était plutôt suiveur que suivi, les femmes sentaient cela et il souffrait de cette situation. Ce soir, il avait pris du plaisir à être traité comme un animal, il ne pouvait pas le nier à la vue de ses érections. Il avait mouillé pendant que le Châtelain lui avait pris la bouche, son sexe n’avait pas débandé et il se posa la question s’il n’avait pas aussi joui. Mais pour l’instant il entendit la porte de sa chambre s’ouvrir et la sévère gouvernante du Château fit son apparition. Marie la fameuse cuisinière perverse se présenta :
- Salut le chien, Walter m’a dit que tu allais recevoir ton collier de chien soumis demain. Sache que Monsieur le Marquis exige que ton fondement soit propre, donc je vais te faire un lavement. Suis-moi dans la salle de bain et surtout pas de raisonnement idiot.
Marie s’était saisie d’un broc à eau et d’un appareil à lavement, elle lui dit :
- Allez chien en position prosternée, cul bien relevé, bras sur le devant et tête baissé à même le sol. Montre-moi ton cul et avec tes mains, tu vas écarter tes deux fesses de lope, je veux voir ton petit trou bien serré, on m’a dit que tu es vierge du cul… Aller, exécution …
Patrick obéit en tout point et Marie put constater en mettant la canule que son trou de balle était bien serré. Patrick n’avait jamais été sodomisé, Monsieur le Marquis allait se régaler. Le cul de Patrick devait être aussi propre qu’un sou neuf. Marie une fois la canule bien en place fit rentrer dans le fondement du soumis une solution permettant une expulsion complète des intestins de Patrick. Demain le Châtelain pourrait officier sans crainte de souiller son Noble Sexe. Patrick commença à gesticuler, il sentait la solution remplir son colon, son ventre était de plus en plus gonflé et une envie pressante se fit sentir, Marie lui ordonna alors :
- Espèce de porc, tu dois garder en toi cette solution c’est uniquement à mon signal que tu pourras expulser tout cela dans le broc que j’ai disposé au sol sous ton cul, salope !
Patrick sentait son estomac et son colon gargouiller, des crampes le prenaient il respirait bruyamment, il avait envie de pousser afin de se libérer mais Marie avait été claire, seule elle pouvait le libérer de ce tourment. Patrick se mit à penser au Châtelain, il faisait tout cela pour Lui et cette pensée lui permit de faire l’effort d’attendre le feu vert de Marie. Celle-ci prit son temps, elle s’amusait de constater que Patrick tortillait littéralement du cul, il souffla comme un bœuf et ses mains se crispaient sur le plancher. Marie ne voulait pas que le luxueux parquet soit sali au cas où ce chien se vidait d’un coup, donc elle donna le signal.
- Chien tu peux pousser maintenant.
Patrick ne se fit pas prier et un jet puissant sorti de son cul, Patrick expulsa la totalité du contenu de son colon, Demain il serait bien propre pour Monsieur le Marquis. Marie satisfaite du résultat, laissa Patrick à son sort, elle lui dit simplement :
- Tu vas manger un potage ce soir et après au lit, profite bien de ta nuit car demain soir, si Monsieur le Marquis est satisfait tu dormiras au Chenil avec les chiens mâles. Tu verras que certains sont bien membrés et ils apprécient de marquer leur territoire en prenant possession physiquement des nouveaux arrivants… Je te referai un autre lavement juste avant que Monsieur le Marquis daigne s’occuper de toi, demain…
Patrick se demanda s’il ne rêvait pas debout mais il avait l’impression d’avoir encore dans sa bouche le gout du Noble Sperme du Châtelain et c’est sur cette pensée qu’il alla se coucher… Le réveil fut brutal, le Majordome rentra dans la chambre en poussant la porte avec fracas :
- Debout salope !
Patrick sursauta et faillit tomber du lit, il se demanda ou il était et c’est au bout d’un petit moment qu’il prit conscience que tout ceci était bien réel. Le collier de chien qu’il apercevait dans les mains de Walter reflétait son nouveau statut de soumis au service du Maître des Lieux, il remarqua aussi que son nom de chien était gravé sur une plaque de cuivre ‘‘Chiennasse’’ avec en plus l’inscription : ‘chien perdu avec collier’. Walter lui dit :
- Viens le chien, présente-moi ton cou, on va ajuster ce jolie collier don de Monsieur le Marquis d’Evans et sois en toujours digne de ce véritable honneur.
Patrick sentit le collier se refermer sur lui, une fois fait, Walter le poussa à terre :
- A quatre pattes maintenant, ce collier montre que tu es bien un chien soumis donc comme tout chien, tu vas te déplacer à quatre pattes et tu vois cette laisse, eh bien elle sert à te promener … C’est ainsi que tu seras amené auprès de Monsieur le Marquis, tout à l’heure…
Walter tira sur la laisse afin que Patrick se retrouve dans le bureau du Châtelain. Une fois tous deux arrivés, le Majordome dit d’une voix forte :
- Monsieur le Marquis je vous amené ce chien soumis, il porte aussi un bracelet en cuir avec gravé dessus son nom de lopette bonne à prendre ‘Chiennasse’.
Le Noble leva la tête et regarda l’esclave ‘Chiennasse’ dans les yeux :
- Bien, dit-il, tu es dans la tenue qui va si bien aux membres de Mon Cheptel, nu, les organes génitaux à l’air, tu portes aussi un bracelet de chien soumis à ton nom. Cette tenue, tu as pu le remarquer et celle des chiennes et chiens qui constituent Mon Cheptel. Ils sont ici de leur propre volonté après avoir bien compris ce que j’attendais d’eux : obéissance absolue à Moi-même et aux membres du Château, mais aussi à tous ceux que j’inviterai à prendre possession de ton corps qui ne t’appartient plus… Car désormais il est à Moi…
(A suivre …)
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