Une nuit avec Arkadis - Fin
Récit érotique écrit par Gay30a18 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une nuit avec Arkadis - Fin
Ma bouche continue d’avaler la verge de Guillaume centimètre par centimètres et
l’opération prend une bonne minute. Soudain, sans que je m’en rende compte, son sexe
est au fond de ma gorge et je reste quelques secondes dans cette position pour mieux
le savourer. Lorsque j’estime que cette pratique a assez duré, je me retire lentement
pour ne pas m’étouffer dès que son gland aura franchi ma glotte pour la seconde fois.
Dès que son chibre est à l’air libre et brille sous l’effet de ma salive, je regarde
ce membre impressionnant tout en hésitant. Dois-je renouveler l’opération ou m’en
passer ?
A force de la répéter, j’ai un peu peur de casser l’ambiance qui s’est instaurée entre
nous deux et je ne tiens pas à lui laisser une mauvaise expérience. Tranquillement, je
reprends ma fellation lorsque je me rends compte que mon anus est un peu humide. Le
garçon avec qui je m’amuse m’excite fortement et cette partie de mon corps souhaite
avoir sa dose d’attention à son tour. Cela ne me pose aucun souci et je sais par
avance que Guillaume pourra y introduire sa vierge dans son intégralité. Si
l’expérience avec ma bouche lui a été guère convaincante, je sais que de ce côté, tout
ira très bien.
Pour la énième fois de la soirée, je laisse son sexe tomber le long de son ventre et
lève les yeux vers son visage afin que mon regard puisse croiser le sien. Dans un
sourire, je lui demande s’il veut tenter de me prendre et c’est sans la moindre
complexité qu’il me répond par l’affirmatif. Là encore, nouvelle interrogation de ma
part lorsque je lui propose de choisir la position qui lui conviendrait le mieux.
Plusieurs secondes passent suite à cette question et même en lui laissant un peu de
répit pour lui permettre de réfléchir, le garçon est dans l’incapacité de me donner
une option claire et précise. Visiblement, je vais devoir choisir à sa place et cette
solution ne me dérange que très peu.
Pendant ce temps, j’ouvre le tiroir de ma table de nuit et sors une boîte de
préservatif que je tends à mon camarade. Celui-ci s’en empare et même s’il a eu
jusqu’à présent, très peu de rapport, je tiens tout de même à ce qu’on se protège un
maximum. Toutefois, si je lui ai remis la boîte, c’est parce que j’ai eu
l’intelligence d’en acheter pour des tailles vraiment impressionnantes. Reste à savoir
si ces préservatifs seront assez larges pour se glisser le long de son alien. Alors
que Guillaume s’affaire à sortir un sachet de la boîte, je le regarde faire et attends
de voir si mes précautions sont adéquates.
Une fois le bout de plastique sorti de son sachet, mon partenaire le dépose sur son
gland et commence à le dérouler. Toutefois, malgré la taille inscrite sur la boîte, le
préservatif pose des soucis à Guillaume qui semble bien embarrassé. Comprenant
rapidement que la protection ne lui servira à rien, je l’invite à me sodomiser
naturellement et à se retirer lorsque l’éjaculation se manifestera. Il accepte bien
volontiers et s’excuse d’avoir un organe si avantageux. Le jeune homme balance la
boîte et la capote sortie au loin tandis que je me mets en mouvement.
Du coup, je m’allonge à plat ventre en prenant soin de déposer ma tête sur un coussin.
Confortablement installé de cette façon, j’invite mon bel amant à venir s’introduire
en moi en y allant doucement. Même si j’ai l’expérience des verges à dimensions plus
qu’honorable, je préfère que les pénétrations se fassent lentement pour être sûr de
pouvoir les accueillir convenablement. C’est alors que j’écarte légèrement mes jambes
et que je sens Guillaume s’allonger sur moi. Sentir le contact de sa peau contre la
mienne m’émoustille beaucoup et là encore, je sens mon anus se mouiller que davantage.
Aussitôt, mon partenaire se saisit de sa verge par sa base et frotte son gland contre
l’entrée de mon orifice. Ces frottements me font beaucoup d’effet puisque je suis très
sensible à cet endroit et à ce moment, je commence à émettre des gémissements mais pas
trop fort pour éviter que les voisins soient alertés de ce que nous faisons. Alors que
ces caresses bienfaitrices s’éternisent, Guillaume me prévient gentiment qu’il va
commencer et c’est silencieusement que j’attends ce moment. Tendrement, le garçon
place son gland contre mes plis rosés et l’extrémité de sa verge ne tarde pas à y
disparaître. Pour l’heure, aucun souci de ma part et j’ai hâte de sentir davantage de
longueur en moi.
Les premiers centimètres entrent sans trop de difficulté et la grosseur de son chibre
m’écarte les chairs sans me causer la moindre douleur. Dans un sens, c’est rassurant
car même si j’avais hâte de m’amuser avec lui, je nourrissais des doutes concernant
mes propres capacités. Toujours aussi doucement qu’au tout début, Guillaume continue
de me pénétrer et au bout d’un moment, je sens son gland me caresser la prostate. Au
même moment, le jeune homme m’indique qu’il a pu mettre sa verge dans son intégralité
et cette nouvelle me fait grandement plaisir. Finalement, mon ami a la preuve que son
engin peut se glisser quelque part et entièrement.
Maintenant, reste à transformer cette intromission lente en une véritable sodomie avec
de bons coups de reins et un rythme beaucoup plus rapide et soutenu. Afin d’offrir
davantage de tendresse à ce moment intime, Guillaume place son visage sur ma gauche et
m’arrache plusieurs baisers langoureux. Ces gestes m’excitent et bien sûr, cela joue
sur l’ouverture de mon fondement. Dès que nos lèvres s’éloignent les unes des autres,
je lui implore de se mettre au boulot et c’est en se montrant docile que le garçon
accepte volontiers. Il place alors son visage sur mon épaule et commence à bouger du
bassin.
Au tout début, je reste très concentré sur mon fessier car j’ai l’appréhension de
sentir une douleur d’un moment à un autre. De son côté, Guillaume y va doucement et
cette attention venant de sa part me touche beaucoup. Même s’il est encore novice en
la matière, mon partenaire est très intentionné et se montrer doux est quelque chose
qui l’honore vraiment. J’adore ce mec et je n’hésite pas à lui montrer mon affectueux
à chaque fois que j’en ai l’occasion. J’aurais aimé l’avoir comme un petit ami mais
notre amitié me convient tout autant.
Je sens ses couilles se poser contre les miennes et ces caresses m’offrent de
délicieux frissons. Très vite, j’ouvre la bouche pour m’adapter à ma respiration qui
commence à s’accélérer et par moment, des râles s’en échappent. J’aime sentir les
centimètres de son sexe me masser l’intérieur de l’intestin et le rythme doux qu’il a
adopté me convient parfaitement. Ainsi, je peux savourer chaque étape de ses va-et-
vient et je suis fier que mon cul puisse accueillir des organes aussi généreux. Par
contre, je sens toujours cette humidité autour de mon trou et il faut croire que
celui-ci en veut beaucoup plus.
Voulant essayer de vérifier ses capacités, c’est entre deux gémissements que je
sollicite Guillaume afin qu’il accélère un peu la cadence. Là encore, le jeune homme
accepte facilement et son bassin adopte très vite une nouvelle vitesse de mouvement.
Ces coups de reins sont vraiment efficaces et inutile de dire à quel point j’y trouve
mon bonheur à me faire pilonner de cette façon. Alors que nos corps se frottent l’un
contre l’autre au rythme de son bon vouloir, ma verge se masturbe contre la housse qui
recouvre mon matelas. A ce train-là, je ne soupçonne pas d’éjaculer dans les minutes
qui vont suivre tellement mon excitation est grande.
J’espère toutefois que Guillaume prend autant de plaisir que je le fais actuellement
mais à l’écoute de ses propres gémissements, je me dis que l’expérience lui est tout
aussi agréable. Dans un sens tant mieux car je voulais vraiment que cette première
fois se passe super bien pour lui afin qu’il puisse y retourner dans un futur proche.
Je subis heureusement ses assauts pendant plusieurs minutes et même si cette relation
est inédite pour lui, Guillaume se montre plutôt endurant. On change notre position
pour en adopter une seconde et cette fois, mon ami s’allonge sur le lit côté dos. Moi,
je positionne mon bassin au-dessus du sien et m’empare de son chibre que je dirige
vers l’entrée de mon intimité.
Dès que son gland s’introduit une nouvelle fois dans mon conduit anal, j’écarte mes
fesses au maximum tout en baissant mon fessier afin que la pénétration se fasse au
maximum. Bien sûr, dans cette position, Guillaume va devoir s’occuper du rythme et
pendant ce temps, je pourrais le câliner comme bon me semble. La sodomie repart de
plus belle et forcément, nos gémissements se manifestent et se mélangent pour notre
plus grand plaisir. Tandis que j’encaisse ses mouvements de bassin, j’en profite pour
me masturber.
Sous mes caresses, mon anus se contracte légèrement autour de la verge de mon
compagnon afin de rendre la pénétration bien plus agréable qu’au tout début. Reste à
savoir quand il va éjaculer et si je vais encore pouvoir subir ses assauts encore
longtemps. Tout à coup, je ressens le besoin de sentir sa langue contre la mienne et
c’est sous cette envie que je penche mon corps en avant. Là, je dépose mes lèvres sur
les siennes et très vite, des baisers ont lieu. Je me sens bien dans cette position et
je suis aux anges.
Au bout de plusieurs minutes, Guillaume se retire de mes baisers pour m’informer de sa
très proche éjaculation. Suite à la communication de ce détail, je me retire afin de
libérer son sexe mais pervers comme je suis, je l’attrape aussitôt afin de lui
administrer une dernière masturbation. Pendant ce temps, mon ami cherche mes lèvres et
c’est avec joie que je lui offre pour l’aider à augmenter son excitation déjà bien
grande. Peu après, de nouveaux gémissements venant de sa part se font entendre mais
ils sont bien différents des premiers entendus jusqu’ici. Oui, sa capitulation arrive
et j’ai hâte de savourer son jus.
C’est alors que je me glisse jusqu’au niveau de son sexe et lorsqu’il m’informe que
les jets vont commencer, j’enferme ma bouche sur son gland que je m’empresse de lécher
par pure gourmandise. Sa semence jaillit à l’intérieur et j’attends que mon amant se
soit bien vidé les testicules pour que je puisse avaler le tout. Forcément, un
sentiment de fierté me gagne très vite mais je dois le laisser de côté car Guillaume
veut me faire jouir à mon tour. Ce dernier attend que je me positionne correctement et
une fois à ses côtés, il attrape mon membre qu’il caresse à vive allure. Sous ce
traitement, je sais par avance que je ne tiendrais pas longtemps et c’est ce qui se
produit.
Un premier jet timide sort et s’écoule sur l’avant de mon gland. Ensuite, les autres
s’échappent pour évoluer dans les airs le cours de quelques secondes seulement. Mon
foutre se dépose alors sur mon ventre tandis que quelques gouttes se déposent sur les
doigts de mon camarade. Dès que mon excitation commence à se taire, j’attrape le
poignet de Guillaume et porte ses doigts jusqu’à mes lèvres dans le but de nettoyer
mes dégâts. Dès que mon sperme est dans ma bouche et non sur sa main, je fais passer
le tout dans mon œsophage et m’accorde du temps afin de retrouver une respiration
digne de ce nom.
Fiers de ce moment, nous nous regardons pendant un moment avant de nous embrasser
comme pour sceller cette expérience commune. Je suis heureux de le compter dans ma
longue liste d’amants et il a su me faire prendre beaucoup de plaisir. J’espère
seulement que nous pourrons renouveler ce genre d’instant très bientôt car je dois
bien avouer que sa verge me plaît fortement. Toutefois, je ne suis pas le seul à
décider et c’est avec hâte que j’attends un signe de sa part dès que nous rentrons au
pays.
FIN
l’opération prend une bonne minute. Soudain, sans que je m’en rende compte, son sexe
est au fond de ma gorge et je reste quelques secondes dans cette position pour mieux
le savourer. Lorsque j’estime que cette pratique a assez duré, je me retire lentement
pour ne pas m’étouffer dès que son gland aura franchi ma glotte pour la seconde fois.
Dès que son chibre est à l’air libre et brille sous l’effet de ma salive, je regarde
ce membre impressionnant tout en hésitant. Dois-je renouveler l’opération ou m’en
passer ?
A force de la répéter, j’ai un peu peur de casser l’ambiance qui s’est instaurée entre
nous deux et je ne tiens pas à lui laisser une mauvaise expérience. Tranquillement, je
reprends ma fellation lorsque je me rends compte que mon anus est un peu humide. Le
garçon avec qui je m’amuse m’excite fortement et cette partie de mon corps souhaite
avoir sa dose d’attention à son tour. Cela ne me pose aucun souci et je sais par
avance que Guillaume pourra y introduire sa vierge dans son intégralité. Si
l’expérience avec ma bouche lui a été guère convaincante, je sais que de ce côté, tout
ira très bien.
Pour la énième fois de la soirée, je laisse son sexe tomber le long de son ventre et
lève les yeux vers son visage afin que mon regard puisse croiser le sien. Dans un
sourire, je lui demande s’il veut tenter de me prendre et c’est sans la moindre
complexité qu’il me répond par l’affirmatif. Là encore, nouvelle interrogation de ma
part lorsque je lui propose de choisir la position qui lui conviendrait le mieux.
Plusieurs secondes passent suite à cette question et même en lui laissant un peu de
répit pour lui permettre de réfléchir, le garçon est dans l’incapacité de me donner
une option claire et précise. Visiblement, je vais devoir choisir à sa place et cette
solution ne me dérange que très peu.
Pendant ce temps, j’ouvre le tiroir de ma table de nuit et sors une boîte de
préservatif que je tends à mon camarade. Celui-ci s’en empare et même s’il a eu
jusqu’à présent, très peu de rapport, je tiens tout de même à ce qu’on se protège un
maximum. Toutefois, si je lui ai remis la boîte, c’est parce que j’ai eu
l’intelligence d’en acheter pour des tailles vraiment impressionnantes. Reste à savoir
si ces préservatifs seront assez larges pour se glisser le long de son alien. Alors
que Guillaume s’affaire à sortir un sachet de la boîte, je le regarde faire et attends
de voir si mes précautions sont adéquates.
Une fois le bout de plastique sorti de son sachet, mon partenaire le dépose sur son
gland et commence à le dérouler. Toutefois, malgré la taille inscrite sur la boîte, le
préservatif pose des soucis à Guillaume qui semble bien embarrassé. Comprenant
rapidement que la protection ne lui servira à rien, je l’invite à me sodomiser
naturellement et à se retirer lorsque l’éjaculation se manifestera. Il accepte bien
volontiers et s’excuse d’avoir un organe si avantageux. Le jeune homme balance la
boîte et la capote sortie au loin tandis que je me mets en mouvement.
Du coup, je m’allonge à plat ventre en prenant soin de déposer ma tête sur un coussin.
Confortablement installé de cette façon, j’invite mon bel amant à venir s’introduire
en moi en y allant doucement. Même si j’ai l’expérience des verges à dimensions plus
qu’honorable, je préfère que les pénétrations se fassent lentement pour être sûr de
pouvoir les accueillir convenablement. C’est alors que j’écarte légèrement mes jambes
et que je sens Guillaume s’allonger sur moi. Sentir le contact de sa peau contre la
mienne m’émoustille beaucoup et là encore, je sens mon anus se mouiller que davantage.
Aussitôt, mon partenaire se saisit de sa verge par sa base et frotte son gland contre
l’entrée de mon orifice. Ces frottements me font beaucoup d’effet puisque je suis très
sensible à cet endroit et à ce moment, je commence à émettre des gémissements mais pas
trop fort pour éviter que les voisins soient alertés de ce que nous faisons. Alors que
ces caresses bienfaitrices s’éternisent, Guillaume me prévient gentiment qu’il va
commencer et c’est silencieusement que j’attends ce moment. Tendrement, le garçon
place son gland contre mes plis rosés et l’extrémité de sa verge ne tarde pas à y
disparaître. Pour l’heure, aucun souci de ma part et j’ai hâte de sentir davantage de
longueur en moi.
Les premiers centimètres entrent sans trop de difficulté et la grosseur de son chibre
m’écarte les chairs sans me causer la moindre douleur. Dans un sens, c’est rassurant
car même si j’avais hâte de m’amuser avec lui, je nourrissais des doutes concernant
mes propres capacités. Toujours aussi doucement qu’au tout début, Guillaume continue
de me pénétrer et au bout d’un moment, je sens son gland me caresser la prostate. Au
même moment, le jeune homme m’indique qu’il a pu mettre sa verge dans son intégralité
et cette nouvelle me fait grandement plaisir. Finalement, mon ami a la preuve que son
engin peut se glisser quelque part et entièrement.
Maintenant, reste à transformer cette intromission lente en une véritable sodomie avec
de bons coups de reins et un rythme beaucoup plus rapide et soutenu. Afin d’offrir
davantage de tendresse à ce moment intime, Guillaume place son visage sur ma gauche et
m’arrache plusieurs baisers langoureux. Ces gestes m’excitent et bien sûr, cela joue
sur l’ouverture de mon fondement. Dès que nos lèvres s’éloignent les unes des autres,
je lui implore de se mettre au boulot et c’est en se montrant docile que le garçon
accepte volontiers. Il place alors son visage sur mon épaule et commence à bouger du
bassin.
Au tout début, je reste très concentré sur mon fessier car j’ai l’appréhension de
sentir une douleur d’un moment à un autre. De son côté, Guillaume y va doucement et
cette attention venant de sa part me touche beaucoup. Même s’il est encore novice en
la matière, mon partenaire est très intentionné et se montrer doux est quelque chose
qui l’honore vraiment. J’adore ce mec et je n’hésite pas à lui montrer mon affectueux
à chaque fois que j’en ai l’occasion. J’aurais aimé l’avoir comme un petit ami mais
notre amitié me convient tout autant.
Je sens ses couilles se poser contre les miennes et ces caresses m’offrent de
délicieux frissons. Très vite, j’ouvre la bouche pour m’adapter à ma respiration qui
commence à s’accélérer et par moment, des râles s’en échappent. J’aime sentir les
centimètres de son sexe me masser l’intérieur de l’intestin et le rythme doux qu’il a
adopté me convient parfaitement. Ainsi, je peux savourer chaque étape de ses va-et-
vient et je suis fier que mon cul puisse accueillir des organes aussi généreux. Par
contre, je sens toujours cette humidité autour de mon trou et il faut croire que
celui-ci en veut beaucoup plus.
Voulant essayer de vérifier ses capacités, c’est entre deux gémissements que je
sollicite Guillaume afin qu’il accélère un peu la cadence. Là encore, le jeune homme
accepte facilement et son bassin adopte très vite une nouvelle vitesse de mouvement.
Ces coups de reins sont vraiment efficaces et inutile de dire à quel point j’y trouve
mon bonheur à me faire pilonner de cette façon. Alors que nos corps se frottent l’un
contre l’autre au rythme de son bon vouloir, ma verge se masturbe contre la housse qui
recouvre mon matelas. A ce train-là, je ne soupçonne pas d’éjaculer dans les minutes
qui vont suivre tellement mon excitation est grande.
J’espère toutefois que Guillaume prend autant de plaisir que je le fais actuellement
mais à l’écoute de ses propres gémissements, je me dis que l’expérience lui est tout
aussi agréable. Dans un sens tant mieux car je voulais vraiment que cette première
fois se passe super bien pour lui afin qu’il puisse y retourner dans un futur proche.
Je subis heureusement ses assauts pendant plusieurs minutes et même si cette relation
est inédite pour lui, Guillaume se montre plutôt endurant. On change notre position
pour en adopter une seconde et cette fois, mon ami s’allonge sur le lit côté dos. Moi,
je positionne mon bassin au-dessus du sien et m’empare de son chibre que je dirige
vers l’entrée de mon intimité.
Dès que son gland s’introduit une nouvelle fois dans mon conduit anal, j’écarte mes
fesses au maximum tout en baissant mon fessier afin que la pénétration se fasse au
maximum. Bien sûr, dans cette position, Guillaume va devoir s’occuper du rythme et
pendant ce temps, je pourrais le câliner comme bon me semble. La sodomie repart de
plus belle et forcément, nos gémissements se manifestent et se mélangent pour notre
plus grand plaisir. Tandis que j’encaisse ses mouvements de bassin, j’en profite pour
me masturber.
Sous mes caresses, mon anus se contracte légèrement autour de la verge de mon
compagnon afin de rendre la pénétration bien plus agréable qu’au tout début. Reste à
savoir quand il va éjaculer et si je vais encore pouvoir subir ses assauts encore
longtemps. Tout à coup, je ressens le besoin de sentir sa langue contre la mienne et
c’est sous cette envie que je penche mon corps en avant. Là, je dépose mes lèvres sur
les siennes et très vite, des baisers ont lieu. Je me sens bien dans cette position et
je suis aux anges.
Au bout de plusieurs minutes, Guillaume se retire de mes baisers pour m’informer de sa
très proche éjaculation. Suite à la communication de ce détail, je me retire afin de
libérer son sexe mais pervers comme je suis, je l’attrape aussitôt afin de lui
administrer une dernière masturbation. Pendant ce temps, mon ami cherche mes lèvres et
c’est avec joie que je lui offre pour l’aider à augmenter son excitation déjà bien
grande. Peu après, de nouveaux gémissements venant de sa part se font entendre mais
ils sont bien différents des premiers entendus jusqu’ici. Oui, sa capitulation arrive
et j’ai hâte de savourer son jus.
C’est alors que je me glisse jusqu’au niveau de son sexe et lorsqu’il m’informe que
les jets vont commencer, j’enferme ma bouche sur son gland que je m’empresse de lécher
par pure gourmandise. Sa semence jaillit à l’intérieur et j’attends que mon amant se
soit bien vidé les testicules pour que je puisse avaler le tout. Forcément, un
sentiment de fierté me gagne très vite mais je dois le laisser de côté car Guillaume
veut me faire jouir à mon tour. Ce dernier attend que je me positionne correctement et
une fois à ses côtés, il attrape mon membre qu’il caresse à vive allure. Sous ce
traitement, je sais par avance que je ne tiendrais pas longtemps et c’est ce qui se
produit.
Un premier jet timide sort et s’écoule sur l’avant de mon gland. Ensuite, les autres
s’échappent pour évoluer dans les airs le cours de quelques secondes seulement. Mon
foutre se dépose alors sur mon ventre tandis que quelques gouttes se déposent sur les
doigts de mon camarade. Dès que mon excitation commence à se taire, j’attrape le
poignet de Guillaume et porte ses doigts jusqu’à mes lèvres dans le but de nettoyer
mes dégâts. Dès que mon sperme est dans ma bouche et non sur sa main, je fais passer
le tout dans mon œsophage et m’accorde du temps afin de retrouver une respiration
digne de ce nom.
Fiers de ce moment, nous nous regardons pendant un moment avant de nous embrasser
comme pour sceller cette expérience commune. Je suis heureux de le compter dans ma
longue liste d’amants et il a su me faire prendre beaucoup de plaisir. J’espère
seulement que nous pourrons renouveler ce genre d’instant très bientôt car je dois
bien avouer que sa verge me plaît fortement. Toutefois, je ne suis pas le seul à
décider et c’est avec hâte que j’attends un signe de sa part dès que nous rentrons au
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comment faire pour apprécier la sodomie ? J'ai essayé à 2 reprises avec un mec dans la trentaine ( j'avais 50 ans à l'époque,en 2000,mais malgré le lubrifant,j'ai eu très mal à l'intérieur du ventre.Je pense que c'est du au fait qu'il était trop membré : 20cms par 5 !) .Bien sur il a pris son pied et il n'a pas tardé à décharger à lextérieur de mon anus trop étroit pour lui !Un autre mec a essayé,et après m'avoir bien léché mon anus,il a mis son gland à l'entrée.J'avais trop peur, car il était encore plus membré ( 23 cms par 5 , avec un gland qui devait faire 5.5 cms de diamètre au niveau de la couronne ).Il ne m'a pas enculé,vu que je lui ai demandé de ne pas le faire .Par contre il m'a sucé pendant plus d'une heure, ce que j'adore! Il semblait kiffer mon petit sexe rasé intégralement( 14 par 4 ,avec un gland de 4.5cms de diamètre au niveau de la couronne ).Je suis retourné une seconde fois chez lui afin qu'il me suce et pendant 1h30 il m'a sucé!j'ai mis 2 jours pour récupérer de cette merveilleuse fellation! Cela s'est passé en Martinique à fort de france! Quel merveilleux suceur!
j'adore vraiment tes histoires qui me donnent des frissons à chaque fois que je les
découvre. Merci et si tu en as encore ne te gênes pas pour nous les faire découvrir je
les lirai avec un grand plaisir.
découvre. Merci et si tu en as encore ne te gênes pas pour nous les faire découvrir je
les lirai avec un grand plaisir.
Très belle histoire, sans fautes d'orthographe, très agréable à lire avec un texte bien
aéré et pas grossier. :) J'espère une suite, à très vite !
aéré et pas grossier. :) J'espère une suite, à très vite !