Une nuit de folie à l’Hotel Olivarius
Récit érotique écrit par Creed [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une nuit de folie à l’Hotel Olivarius
Voici ma première histoire de Sexe, elle est rédigée pour ma très chère et tendre épouse.
Un soir de septembre 2010 sous une pluie battante, nous revenions de chez ses parents à Torcy. A cette époque, nous habitions à Pontoise.
Arrivé au pied de notre appartement, nous nous rendions compte que nous n’avions ni la clef magnétique pour le hall ni la clef de notre nouvel appartement. En effet à cause de cette maudite pluie nous avions précipité notre départ en oubliant les clefs sur la table.
Il était 01h30, et nous ne connaissions encore personne dans l’immeuble. Impossible de retourner à Torcy. Par pudeur nous ne voulions pas déranger les voisins.
Puis virginie (à cette époque ma petite amie) me dit d’une ère rêveuse :- Chéri, et si nous allions dormir dans un hôtel de la place- Oui, bien sûr lui dis-je, nous n’avons pas de choix, et je ne peux plus conduire jusqu’à TorcyAlors nous entreprenions de chercher un hôtel ou passer la nuit. Tous les petits hôtels étaient pleins ? Allons, vers Cergy lui-dis-je. Chose que nous fîmes avant de tomber sur l’hôtel Olivarius.
Un bel et grand hôtel 5 Etoiles. A l’époque nous étions étudiants en école d’ingénieur et c’était la première fois que nous entrions dans un hôtel de ce standing. Tous les matériaux étaient incroyablement bien choisis.
Il ne restait plus qu’une chambre disponible, c’est une chambre VIP. Vu l’état d’émerveillement de virginie et crevé de fatigue. Je décidais de prendre la chambre peu importe le prix.
Nous y posâmes nos sacs devant la porte de la chambre afin de l’ouvrir. En poussant la porte nous nous apercevions qu’il s’agissait d’un incroyable petit palace de roi. Et le lit était si grand. D’un coup, mon petit doigt se levait tout seule en imaginant Virginie me pousser sur ce lit et m’achever toute la nuit.
- Chérie lui dis-je, nous n’avons plus assez de temps, au prix, auquel nous venons de payer la chambre, nous devons profiter au maximum.
- D’une ère coquine elle me répond, j’adore ce cet hôtel, et je dois immortaliser cette chambre dans ma mémoire.
Au moins sur ce point elle et moi étions sur la même longueur d’ondes, il fallait absolument profiter de ce temps.
Je lui laissai le soin de se doucher en premier, ce qu’elle fit sans se faire prier. Pendant ce temps mon sexe ne cessait de se durcir dans mon short. Toutes mes pensées convergeaient vers l’instant où sa chatte commencerait à recouvrir progressivement mon gland. Bref !
En ouvrant la porte de la douche, elle était toute à poile et je pouvais ainsi admirer ses formes à travers cette lumière tamisée. A chacun de ses pas mon excitation montait c’était tellement agréable, dans mon cœur je me suis exclamé « l’homme vient vraiment de mars et la femme de venus ».
Je voulu la saisir et la plaquer contre le mur et la sauter violement à coup sec, mais je savais que ma chérie aimait la douceur et ne souhaitait en aucun cas gaspiller ce moment.
Je fonçais donc à la douche. Au sortir de là, me présentant son dos et ses fesses, posée et bien allongée. Je ne puis me retenir de plonger dans lit pour la caresser délicatement. Il faut dire que Virginie en raffole.
Aussi tôt mon membre redevint raide, mais ne gaspillons pas son plaisir.
Je la retourne, elle se laisse faire et je pose mes lèvres sur ses tétons, elle se cambre signe d’intense plaisir. Dans ces moments elle n’est pas très bavarde et se concentre à fond pour ne pas rater son orgasme. Je descends progressivement jusqu’à son string, la j’y introduit ma mes dois pour évaluer le niveau de plaisir que cela lui procure. Toute la zone est complètement mouillée, sa cyprine est abondante elle meurt de plaisir, elle est surtout détendue. J’introduit mes doigts dans sa chatte, elle gémie et son bassin se met à bouger tout seul, elle ne contrôle plus son corps. Je descends alors et frôle le bout de sont clitoris avec ma langue, elle pousse un grand crie de plaisir. Je m’arrête, de peur que quelqu’un nous ait entendu. Mais elle saisit ma tête, me pousse à enfoncer toute ma langue dans sa chatte. J’aime l’odeur et le petit gout salée de sa cyprine, j’adore la regarder prendre du plaisir et tant mieux car les instants qui suivent sont magiques ! Elle pousse à nouveau des petits cries puis hurle de plaisir. Je sens une pression plus forte sur ma tête pour que langue aille encore plus loin. Ça m’excite d’avantage, mais elle a de l’avance sur moi. Je le sens, je le sais, son heure est proche, ses jambes commencent à trembler. Je profite de cela pour à frôler son petit cul inexploré. Ça lui donne davantage de plaisir mais elle bloque ma main et me dit pas cette fois ci avant de jouir très fort. C’est violent j’ai peur qu’elle fasse un arrêt cardiaque. Elle se ressaisit, m’embrasse comme une folle, je ne reconnais plus ma timide petite amie. A ton tour me dit-elle. Elle me pousse dos contre le lit avec son sourire coquin. Virginie sait que quand je suis déjà bien tendu, l’entrée n’est plus nécessaire. Elle prend ma queue, se mets sur moi. C’est une position que j’affectionne tant. En vérité, je suis un peu macho sur les bords. Mais j’adore quand elle prend l’initiative et le contrôle. Elle engloutie progressivement mon gland. Je sens la chaleur de chatte envieillir mon gland. C’est trop bon, mieux que dans mon imagination en entrant dans cette chambre. C’est fait avec une délicatesse dont elle est la seule à posséder la recette. Elle descend jusqu’au engloutir tout mon membre. Elle remonte et redescend très lentement puis accélère et décélère. Je vais devenir fou, c’est si bon. Je sais et je sens qu’elle apprécie quand c’est bien raide et que ça va au fond de son vagin. D’une fulgurante accélération, cette fois ci en me mordant l’oreille, elle me scissure qu’elle va jouir. Ces paroles vont droit à ma bite, elle jouit encore. Je sens que ça gicle à l’intérieur de sa chatte. Je ne peux aussi m’empêcher de jouir comme un dingue. C’est tellement bon que nous restons emboités et n’avons plus la force de continuer. Un bon coup pour moi c’est largement suffisant ? Zut Il est 5h15.
6h30 nous devons nous préparer pour aller en classe. La pauvre a passé toute la journée à somnoler dans l’amphi. Nos amies se moquent d’elle, mais ils ne connaissent pas la lionne qu’elle est. Depuis ce jour, elle devenue fan des hôtels et nos nuits s’y passent toujours exceptionnellement…
Un soir de septembre 2010 sous une pluie battante, nous revenions de chez ses parents à Torcy. A cette époque, nous habitions à Pontoise.
Arrivé au pied de notre appartement, nous nous rendions compte que nous n’avions ni la clef magnétique pour le hall ni la clef de notre nouvel appartement. En effet à cause de cette maudite pluie nous avions précipité notre départ en oubliant les clefs sur la table.
Il était 01h30, et nous ne connaissions encore personne dans l’immeuble. Impossible de retourner à Torcy. Par pudeur nous ne voulions pas déranger les voisins.
Puis virginie (à cette époque ma petite amie) me dit d’une ère rêveuse :- Chéri, et si nous allions dormir dans un hôtel de la place- Oui, bien sûr lui dis-je, nous n’avons pas de choix, et je ne peux plus conduire jusqu’à TorcyAlors nous entreprenions de chercher un hôtel ou passer la nuit. Tous les petits hôtels étaient pleins ? Allons, vers Cergy lui-dis-je. Chose que nous fîmes avant de tomber sur l’hôtel Olivarius.
Un bel et grand hôtel 5 Etoiles. A l’époque nous étions étudiants en école d’ingénieur et c’était la première fois que nous entrions dans un hôtel de ce standing. Tous les matériaux étaient incroyablement bien choisis.
Il ne restait plus qu’une chambre disponible, c’est une chambre VIP. Vu l’état d’émerveillement de virginie et crevé de fatigue. Je décidais de prendre la chambre peu importe le prix.
Nous y posâmes nos sacs devant la porte de la chambre afin de l’ouvrir. En poussant la porte nous nous apercevions qu’il s’agissait d’un incroyable petit palace de roi. Et le lit était si grand. D’un coup, mon petit doigt se levait tout seule en imaginant Virginie me pousser sur ce lit et m’achever toute la nuit.
- Chérie lui dis-je, nous n’avons plus assez de temps, au prix, auquel nous venons de payer la chambre, nous devons profiter au maximum.
- D’une ère coquine elle me répond, j’adore ce cet hôtel, et je dois immortaliser cette chambre dans ma mémoire.
Au moins sur ce point elle et moi étions sur la même longueur d’ondes, il fallait absolument profiter de ce temps.
Je lui laissai le soin de se doucher en premier, ce qu’elle fit sans se faire prier. Pendant ce temps mon sexe ne cessait de se durcir dans mon short. Toutes mes pensées convergeaient vers l’instant où sa chatte commencerait à recouvrir progressivement mon gland. Bref !
En ouvrant la porte de la douche, elle était toute à poile et je pouvais ainsi admirer ses formes à travers cette lumière tamisée. A chacun de ses pas mon excitation montait c’était tellement agréable, dans mon cœur je me suis exclamé « l’homme vient vraiment de mars et la femme de venus ».
Je voulu la saisir et la plaquer contre le mur et la sauter violement à coup sec, mais je savais que ma chérie aimait la douceur et ne souhaitait en aucun cas gaspiller ce moment.
Je fonçais donc à la douche. Au sortir de là, me présentant son dos et ses fesses, posée et bien allongée. Je ne puis me retenir de plonger dans lit pour la caresser délicatement. Il faut dire que Virginie en raffole.
Aussi tôt mon membre redevint raide, mais ne gaspillons pas son plaisir.
Je la retourne, elle se laisse faire et je pose mes lèvres sur ses tétons, elle se cambre signe d’intense plaisir. Dans ces moments elle n’est pas très bavarde et se concentre à fond pour ne pas rater son orgasme. Je descends progressivement jusqu’à son string, la j’y introduit ma mes dois pour évaluer le niveau de plaisir que cela lui procure. Toute la zone est complètement mouillée, sa cyprine est abondante elle meurt de plaisir, elle est surtout détendue. J’introduit mes doigts dans sa chatte, elle gémie et son bassin se met à bouger tout seul, elle ne contrôle plus son corps. Je descends alors et frôle le bout de sont clitoris avec ma langue, elle pousse un grand crie de plaisir. Je m’arrête, de peur que quelqu’un nous ait entendu. Mais elle saisit ma tête, me pousse à enfoncer toute ma langue dans sa chatte. J’aime l’odeur et le petit gout salée de sa cyprine, j’adore la regarder prendre du plaisir et tant mieux car les instants qui suivent sont magiques ! Elle pousse à nouveau des petits cries puis hurle de plaisir. Je sens une pression plus forte sur ma tête pour que langue aille encore plus loin. Ça m’excite d’avantage, mais elle a de l’avance sur moi. Je le sens, je le sais, son heure est proche, ses jambes commencent à trembler. Je profite de cela pour à frôler son petit cul inexploré. Ça lui donne davantage de plaisir mais elle bloque ma main et me dit pas cette fois ci avant de jouir très fort. C’est violent j’ai peur qu’elle fasse un arrêt cardiaque. Elle se ressaisit, m’embrasse comme une folle, je ne reconnais plus ma timide petite amie. A ton tour me dit-elle. Elle me pousse dos contre le lit avec son sourire coquin. Virginie sait que quand je suis déjà bien tendu, l’entrée n’est plus nécessaire. Elle prend ma queue, se mets sur moi. C’est une position que j’affectionne tant. En vérité, je suis un peu macho sur les bords. Mais j’adore quand elle prend l’initiative et le contrôle. Elle engloutie progressivement mon gland. Je sens la chaleur de chatte envieillir mon gland. C’est trop bon, mieux que dans mon imagination en entrant dans cette chambre. C’est fait avec une délicatesse dont elle est la seule à posséder la recette. Elle descend jusqu’au engloutir tout mon membre. Elle remonte et redescend très lentement puis accélère et décélère. Je vais devenir fou, c’est si bon. Je sais et je sens qu’elle apprécie quand c’est bien raide et que ça va au fond de son vagin. D’une fulgurante accélération, cette fois ci en me mordant l’oreille, elle me scissure qu’elle va jouir. Ces paroles vont droit à ma bite, elle jouit encore. Je sens que ça gicle à l’intérieur de sa chatte. Je ne peux aussi m’empêcher de jouir comme un dingue. C’est tellement bon que nous restons emboités et n’avons plus la force de continuer. Un bon coup pour moi c’est largement suffisant ? Zut Il est 5h15.
6h30 nous devons nous préparer pour aller en classe. La pauvre a passé toute la journée à somnoler dans l’amphi. Nos amies se moquent d’elle, mais ils ne connaissent pas la lionne qu’elle est. Depuis ce jour, elle devenue fan des hôtels et nos nuits s’y passent toujours exceptionnellement…
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