Une nuit de repos
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une nuit de repos
Dans la nuit, je roule seul dans ma voiture. Je rentre de Lyon où j'avais passé plusieurs jours de "réunionites". J'en ai ras le bol, c'est le moins qu'on puisse dire. J'ai bien fait l'amour avec ma femme par téléphone, ma main, malgré nos propos salés, ne m'apportait pas assez de bien être. Il est tard, je pensais pouvoir rentrer d'une traite: la fatigue aidant je dois m'arrêter dans une petits ville où je trouve facilement un hôtel de classe, comme j'aime. Il est 22 heures, je demande à la responsable de l'accueil s'il est possible de prendre un repas. Malheureusement le restaurant est fermé. Pourtant si je veux elle peut préparer vite fait une omelette accompagné d'une bouteille d'un excellent vin.
Marchons pour l'omelette. Je monte ma valise dans la chambre où elle m'accompagne. Nous redescendons ensemble, elle m'installe à une place près de l'accueil, va préparer mon plat. Elle revient me servir, reste près de moi: nous bavardons. La saison est morte à tel point que je suis le seul client de la nuit. Elle peut se consacrer à moi. Je l'invite à partager mon repas: elle n'en veut pas, par contre elle accepte volontiers du vin.
Nous bavardons d'elle, de ses nuits blanches, de moi, de mon travail. Nous en venons à des propos plus personnels: elle n'est pas mariée, enfin elle ne désespère pas. Moi je suis marié. Il me tarde rentrer pour retrouver mon épouse.
- Il vous tarde de rentrer pour faire l'amour ?
- Qu'elle question, bien sur !
- J'aimerai assez avoir quelqu'un comme vous qui vienne me baiser.
- Vous ne baisez donc jamais ?
- Si, pas assez, mon travail ne me permet pas d'avoir des relations très suivies.
- Ça ne vous suffit pas ?
- Non, pas du tout.
- Et alors, comment faites vous ?
- Je me masturbe le plus souvent possible, ou alors……….
- Ou alors quoi ?
- Ou alors quelques fois les clients comme vous esseulés.
- C'est une proposition.
- Pourquoi pas, si je vous plait. Vous me plaisez bien vous.
Je n'en reviens pas d'avoir une telle conversation avec une fille pas trop mal, pas un canon quand même. Elle m'excite terriblement. Je me retiens: demain je baiserai ma femme comme nous aimons, moi dans son cul et elle avec son gode dans le sexe.
Elle sent que je suis tenté. Elle se lève, dessert la table, revient rapidement se penche et m'embrasse sur la bouche. Malgré moi j'ouvre la bouche pour recevoir sa langue. Elle me fait lever, se colle à moi s'aperçoit que je bande. Passe ses mains autour de mon cou. Je la tiens par la taille. Je n'ose en faire plus: si quelqu'un entrait dans l'hôtel ? Elle ne se démonte pas, va fermer la porte, éteint les lumières, me dirige vers ma chambre.
Nous sommes donc maintenant prêt à passer à l'action. Disons pour être clair qu'elle est prête à me "violer". Elle mène la charge à sa façon: elle sort ma bite, la caresse un peu, la regarde: elle doit lui plaire. Elle me laisse tomber un instant, juste le temps de se mettre à poils devant moi. J'ai la surprise de découvrir un corps splendide. Je vais moi aussi me déshabiller: non, c'est elle qui s'en occupe avec beaucoup de maestria. Elle m'entraîne sur le lit. Je suis couché sur le dos, elle vient à mes côtés. Nous nous embrassons sans fin. Je lui caresse les seins, elle ferme les yeux. Je descends vers son entre jambes. Elle écarte les cuisses largement. Je cherche à écarter le début de ses lèvres intimes pour faire ressortir son bouton. Elle mouille beaucoup. Je n'ai qu'à faire quelques vas et viens quand elle jouit: elle me mordille la langue pendant son orgasme.
C'est une femme de décision: elle m'enjambe pour me donner son sexe à lécher, prendre ma queue dans sa bouche. Ce n'est pas à proprement parler une débutante. Elle sait fort bien ce qu'elle veut: jouir. Tous les moyens sont bons. Je lui prends le clitoris dans la bouche, la lèche pas mal, puisqu'elle en jouit en jouit plusieurs fois. Elle a ma bite dans la bouche. C'est mon gland qui le premier a droit à sa langue qui en fait le tour plusieurs fois. Elle a pris en main ma queue, me branle légèrement pendant que sa langue est toujours à l'œuvre. Elle va me faire jouir rapidement, trop vite. Elle sait s'arrêter à temps. Elle sort ma pine de sa bouche, me caresse les couilles, pose un doigt sur mon cul; je caresse comme je pourrai faire avec le sien. Elle me reprend dans sa bouche au moment où elle jouit encore. Cette fois elle me suce à fond, l'ai le bout de mon sexe entier dans cette bouche que j'embrassais il y a eu. Je ne l'averti même pas que je vais jouir. Je lâche mon venin qu'elle garde dans sa bouche un bon moment avant d'avaler le tout à petites gorgées.
C'est une drôle de fille, elle se plaint de ne pas avoir d'amant régulier, qu'elle est obligée de se branler, alors qu'elle vaut réellement le coup. Je débande petit à petit dans sa bouche. Elle ne me lâche pas, me garde comme une friandise. Elle passe à nouveau la langue autour de mon gland, très lentement. Mes couille est mon cul sont l'objet de ses soins. Elle me fait encore bander.
Elle revient près de moi, me embrasse encore profondément.
- Baises moi maintenant, s'il te plait.
- Te baiser ? Pourquoi pas t'enculer ?
- Ce sera pour après.
- Tu comptes jouir par le cul ?
- Je vais me gêner: c'est par là que je jouis le mieux.
C'est une fille qui sait au moins ce qu'elle veut. Quand je raconterai ça à ma femme elle ne voudra pas me croire. Et pourtant elle aime bien baiser, mon épouse.
Elle se met sur le dos, me regarde avec un air coquin, me prend par la queue, me dirige comme avec une laisse vers son sexe. Je passe entre ses jambes, je n'ai pas besoin de me faire guider: je connais bien ce chemin, même si ce n'est pas le sien. Pour la faire rager, je ne fais que pose ma bite à l'entrée de sa moule. Elle cherche à me faire entrer d'un coup de rein. Je m'y attendais. Quand elle désespère je rentre d'un seul coup à fond en elle. Je la baise avec beaucoup de vas et viens. Je la sens jouir plusieurs fois encore. Heureusement j'arrive à me retenir.
Je la tourne sans délicatesse sur le ventre, lui écarte les fesses. J'y mets d'abord deux doigts en exploration. Enfin je lui mets le maximum de pine dans le cul. Elle gémit très fort: c'est vrai qu'elle semble prendre encore plus de plaisir avec une queue dans le cul qu'ailleurs.
Je la lime de plus en plus rapidement: elle jouis plusieurs fois. Si elle ne jouit pas, elle serre son sphincter pour que ma bite profite aussi de la sodomie. Je me retiens le plus possible pour ne pas lui donner le plaisir de jouir dans son cul.
Elle est bien obligée de baisser les armes. Je sors d'elle vainqueur de ses envies. Elle me reprend dans sa bouche, décidée à tout prix à me faire jouir. Je la laisse faire: je me repends encore dans sa bouche. Elle déguste mon sperme avec la même délectation.
- Pourquoi tu n'as pas jouis dans mon cul ?
- Parce que je ne voulais pas te donner ce plaisir.
- Mais j'aime avoir du sperme dans mon cul.
- Pourquoi, puisque te le goûte par ta bouche.
- Imbécile, ce n'est pas pareil dans la bouche et dans le cul. Je vais te faire bander et tu m'enculeras. Je te ferai jouir malgré toi. Chiche !
- Chiche.
Il est des paris qu'il vaut mieux ne pas prendre, surtout avec une femme. Elle me fait bander en traître: elle se met à genoux, son con sur ma tête, sa main sur son clitoris: elle se branle devant moi, à quelques centimètres. Bien sur l'inévitable est là: je bande à nouveau.
Elle n'attend pas que je la lui mette, elle descend vers ma queue, se la met elle même dans le cul. Elle fait tous les mouvements. Je suis prisonnier. Elle fait tout ce qu'il faut pour jouir, elle d'abord comme tout a l'heure plusieurs fois et me garde en elle jusqu'à ce qu'à mon tour je jouisse aussi. Je suis totalement vidé. Elle aussi sans doute qui s'en va.
Finalement j'étais venu passer une nuit à me reposer dans cet hôtel, j'en repars plus fatigué. Je ne sais même pas si ce soir je pourrai bien baiser ma femme. Pourtant je crois qu'en lui racontant ma nuit, elle sera plus que surexcitée pour provoquer les réactions normales d'un époux qui aime sa femme.
Marchons pour l'omelette. Je monte ma valise dans la chambre où elle m'accompagne. Nous redescendons ensemble, elle m'installe à une place près de l'accueil, va préparer mon plat. Elle revient me servir, reste près de moi: nous bavardons. La saison est morte à tel point que je suis le seul client de la nuit. Elle peut se consacrer à moi. Je l'invite à partager mon repas: elle n'en veut pas, par contre elle accepte volontiers du vin.
Nous bavardons d'elle, de ses nuits blanches, de moi, de mon travail. Nous en venons à des propos plus personnels: elle n'est pas mariée, enfin elle ne désespère pas. Moi je suis marié. Il me tarde rentrer pour retrouver mon épouse.
- Il vous tarde de rentrer pour faire l'amour ?
- Qu'elle question, bien sur !
- J'aimerai assez avoir quelqu'un comme vous qui vienne me baiser.
- Vous ne baisez donc jamais ?
- Si, pas assez, mon travail ne me permet pas d'avoir des relations très suivies.
- Ça ne vous suffit pas ?
- Non, pas du tout.
- Et alors, comment faites vous ?
- Je me masturbe le plus souvent possible, ou alors……….
- Ou alors quoi ?
- Ou alors quelques fois les clients comme vous esseulés.
- C'est une proposition.
- Pourquoi pas, si je vous plait. Vous me plaisez bien vous.
Je n'en reviens pas d'avoir une telle conversation avec une fille pas trop mal, pas un canon quand même. Elle m'excite terriblement. Je me retiens: demain je baiserai ma femme comme nous aimons, moi dans son cul et elle avec son gode dans le sexe.
Elle sent que je suis tenté. Elle se lève, dessert la table, revient rapidement se penche et m'embrasse sur la bouche. Malgré moi j'ouvre la bouche pour recevoir sa langue. Elle me fait lever, se colle à moi s'aperçoit que je bande. Passe ses mains autour de mon cou. Je la tiens par la taille. Je n'ose en faire plus: si quelqu'un entrait dans l'hôtel ? Elle ne se démonte pas, va fermer la porte, éteint les lumières, me dirige vers ma chambre.
Nous sommes donc maintenant prêt à passer à l'action. Disons pour être clair qu'elle est prête à me "violer". Elle mène la charge à sa façon: elle sort ma bite, la caresse un peu, la regarde: elle doit lui plaire. Elle me laisse tomber un instant, juste le temps de se mettre à poils devant moi. J'ai la surprise de découvrir un corps splendide. Je vais moi aussi me déshabiller: non, c'est elle qui s'en occupe avec beaucoup de maestria. Elle m'entraîne sur le lit. Je suis couché sur le dos, elle vient à mes côtés. Nous nous embrassons sans fin. Je lui caresse les seins, elle ferme les yeux. Je descends vers son entre jambes. Elle écarte les cuisses largement. Je cherche à écarter le début de ses lèvres intimes pour faire ressortir son bouton. Elle mouille beaucoup. Je n'ai qu'à faire quelques vas et viens quand elle jouit: elle me mordille la langue pendant son orgasme.
C'est une femme de décision: elle m'enjambe pour me donner son sexe à lécher, prendre ma queue dans sa bouche. Ce n'est pas à proprement parler une débutante. Elle sait fort bien ce qu'elle veut: jouir. Tous les moyens sont bons. Je lui prends le clitoris dans la bouche, la lèche pas mal, puisqu'elle en jouit en jouit plusieurs fois. Elle a ma bite dans la bouche. C'est mon gland qui le premier a droit à sa langue qui en fait le tour plusieurs fois. Elle a pris en main ma queue, me branle légèrement pendant que sa langue est toujours à l'œuvre. Elle va me faire jouir rapidement, trop vite. Elle sait s'arrêter à temps. Elle sort ma pine de sa bouche, me caresse les couilles, pose un doigt sur mon cul; je caresse comme je pourrai faire avec le sien. Elle me reprend dans sa bouche au moment où elle jouit encore. Cette fois elle me suce à fond, l'ai le bout de mon sexe entier dans cette bouche que j'embrassais il y a eu. Je ne l'averti même pas que je vais jouir. Je lâche mon venin qu'elle garde dans sa bouche un bon moment avant d'avaler le tout à petites gorgées.
C'est une drôle de fille, elle se plaint de ne pas avoir d'amant régulier, qu'elle est obligée de se branler, alors qu'elle vaut réellement le coup. Je débande petit à petit dans sa bouche. Elle ne me lâche pas, me garde comme une friandise. Elle passe à nouveau la langue autour de mon gland, très lentement. Mes couille est mon cul sont l'objet de ses soins. Elle me fait encore bander.
Elle revient près de moi, me embrasse encore profondément.
- Baises moi maintenant, s'il te plait.
- Te baiser ? Pourquoi pas t'enculer ?
- Ce sera pour après.
- Tu comptes jouir par le cul ?
- Je vais me gêner: c'est par là que je jouis le mieux.
C'est une fille qui sait au moins ce qu'elle veut. Quand je raconterai ça à ma femme elle ne voudra pas me croire. Et pourtant elle aime bien baiser, mon épouse.
Elle se met sur le dos, me regarde avec un air coquin, me prend par la queue, me dirige comme avec une laisse vers son sexe. Je passe entre ses jambes, je n'ai pas besoin de me faire guider: je connais bien ce chemin, même si ce n'est pas le sien. Pour la faire rager, je ne fais que pose ma bite à l'entrée de sa moule. Elle cherche à me faire entrer d'un coup de rein. Je m'y attendais. Quand elle désespère je rentre d'un seul coup à fond en elle. Je la baise avec beaucoup de vas et viens. Je la sens jouir plusieurs fois encore. Heureusement j'arrive à me retenir.
Je la tourne sans délicatesse sur le ventre, lui écarte les fesses. J'y mets d'abord deux doigts en exploration. Enfin je lui mets le maximum de pine dans le cul. Elle gémit très fort: c'est vrai qu'elle semble prendre encore plus de plaisir avec une queue dans le cul qu'ailleurs.
Je la lime de plus en plus rapidement: elle jouis plusieurs fois. Si elle ne jouit pas, elle serre son sphincter pour que ma bite profite aussi de la sodomie. Je me retiens le plus possible pour ne pas lui donner le plaisir de jouir dans son cul.
Elle est bien obligée de baisser les armes. Je sors d'elle vainqueur de ses envies. Elle me reprend dans sa bouche, décidée à tout prix à me faire jouir. Je la laisse faire: je me repends encore dans sa bouche. Elle déguste mon sperme avec la même délectation.
- Pourquoi tu n'as pas jouis dans mon cul ?
- Parce que je ne voulais pas te donner ce plaisir.
- Mais j'aime avoir du sperme dans mon cul.
- Pourquoi, puisque te le goûte par ta bouche.
- Imbécile, ce n'est pas pareil dans la bouche et dans le cul. Je vais te faire bander et tu m'enculeras. Je te ferai jouir malgré toi. Chiche !
- Chiche.
Il est des paris qu'il vaut mieux ne pas prendre, surtout avec une femme. Elle me fait bander en traître: elle se met à genoux, son con sur ma tête, sa main sur son clitoris: elle se branle devant moi, à quelques centimètres. Bien sur l'inévitable est là: je bande à nouveau.
Elle n'attend pas que je la lui mette, elle descend vers ma queue, se la met elle même dans le cul. Elle fait tous les mouvements. Je suis prisonnier. Elle fait tout ce qu'il faut pour jouir, elle d'abord comme tout a l'heure plusieurs fois et me garde en elle jusqu'à ce qu'à mon tour je jouisse aussi. Je suis totalement vidé. Elle aussi sans doute qui s'en va.
Finalement j'étais venu passer une nuit à me reposer dans cet hôtel, j'en repars plus fatigué. Je ne sais même pas si ce soir je pourrai bien baiser ma femme. Pourtant je crois qu'en lui racontant ma nuit, elle sera plus que surexcitée pour provoquer les réactions normales d'un époux qui aime sa femme.
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