Une nuit...un train

- Par l'auteur HDS GM34280 -
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Récit libertin : Une nuit...un train Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une nuit...un train
Pas que je tienne à garder l’anonymat, ainsi que celui de mon mari, nos noms ne vous apporteraient rien, et je doute qu’ils ne vous intéressent. Pas plus que vous dire que, sans être accro aux sexe, il m’arrive, à l’insu de mon mari, de participer à des sorties libertines avec mes copines.
Ces soirs là, je me défoule avec des amants de occasionnels qui me prennent à un ou à plusieurs, dans les positions les plus scabreuses, et choisissent indifféremment, les orifices qui les intéressent. Ils m’apportent ce que, hélas, mon mari ne m’apporte plus.
Tiens, pas plus tard que hier, j’étais à l’inauguration d’un nouvel espace dans la société ou je travaille. Mon mari n’étant rentré de la semaine, j’ai finit la nuit dans le lit de mon patron à sucer, me faire baiser, sodomiser, jusqu’au petit matin.
J’ai même eu une torride relation avec un de ses meilleurs potes.
Notamment lors d’un déplacement professionnel, ou lui et moi, avions pris une couchette dans le train de nuit qui nous emmenait dans la capitale. Pendant six heures que dura le trajet, je me suis faite enfiler dans toutes les positions, par tous les trous. Idem pour le retour.
C’est pourquoi l’histoire qui va suivre restera à jamais gravé dans ma mémoire.
Nous avions mon mari et moi, eu toutes les peines du monde, pour trouver nôtre couchette. En effet, ce train de nuit était bondés pour les départs en vacances. Après un retard interminable, le convoi s’ébranla enfin. Nous nous préparions pour passer une agréable nuit, dans la lumière bleuté de la veilleuse, bercés par le le doux cliquetis du wagon sur le rail. Étant seule avec mon mari, je pris la liberté de me vêtir d’une simple nuisette, légèrement échancrée, sans rien dessous.
Soudain, voila que d’autres voyageurs investissent le compartiment, et prennent possession des couchettes restées inoccupées.
Mon mari était installé sur la couchette du haut, moi sur la couchette juste en dessous. Une fois allongés, il me prit la main, en signe de bonne nuit.
Les autres se couchèrent à leur tour.
Tandis que je tournais et retournais sur l’étroite couche, à la cherche du sommeil, mon attention fut attirée par un léger frottement de drap, provenant du voisin du bas, couché en face de nous. Il s’agitait dans son drap, ne trouvant certainement pas le sommeil lui aussi.
Il faisait chaud en cette nuit d’Août, et l’homme était torse nu. Il se découvrit d’un geste énervé, et j’aperçus nettement sa queue en érection, qui se développait hors du drap. Il s’en saisit, et commença de lents mouvements de va et vient.
Malgré la faible éclairage du compartiment, on arrivait à s’habituer à l’obscurité, et à distinguer les gestes et les visages. Ce voyageur devait avoir cinquantaine.
Au bout d’un moment, je vis le gland, luisant dans la faible clarté du compartiment, émettre un liquide qui le fit briller d’avantage. De sa main, je vis alors l’homme se badigeonner de ce liquide, le haut de sa bite, puis retroussant le prépuce pour la décalotter, se caresser à même la peau, et commençait à gémir légèrement.
Il ne s’occupait des autres voyageurs, qui du reste dormaient, à l’exception de nous, qui observions, fasciné, sans un mouvement, de peur de nous trahir, et qu’il interrompe ses attouchements.
Je ne pouvais détourner le regard de ce membre tendu, et commençais à être très excitée. J’en admirais la taille et la grosseur, supérieure à celle de mon mari.
J’avais la gorge asséchée, et mon souffle s’accélérait, expérimentant la sensation nouvelle et délicieuse de briser un interdit, sans trop savoir jusqu’où cela allait me mener.
Mon mari était tout aussi excité, si faire se pouvait, et le fait d’observer un autre homme dans son intimité, devait développer chez lui, une note de plaisir, qui devait lui nouer le ventre, et le fit respirer plus rapidement.
Mon mari se pencha vers moi, et me montra le voyageur, me prit la main, et l’agita, simulant le mouvement de va et vient sur une queue.
Je me mépris sur son geste, et pensais qu’il voulait que je le caresse. Je tendis mon bras vers lui, cherchant sa bite, qu’il exhibait au bord de la couchette.
Je prenais en main sa virilité, et commençais à le branler. Sentir sa bite coulisser entre mes doigts, fit surgir une légère humidité entre mes jambes.
Mais ce n’était pas ce que mon mari souhaitait, et repoussa doucement ma main, me montrant l’inconnu deux rangs plus bas, qui poursuivait sa masturbation solitaire.
Je compris alors les intentions de mon mari. Il voulait que j’aille moi-même caresser cet inconnu, et profiter de son érection, de cette queue offerte, et qu’il voulait que j’honore. Dans un premier temps, je fis non d’un signe de tête, le regardant d’un air méchant. Je lui fis un geste signifiant qu’il était fou, et me tourna face à la paroi du wagon, voulant ignorer sa proposition. Mais je ne pouvais m’empêcher de penser à ce voyageur, à sa bite colossale, et ne pus résister au plaisir de le regarder à nouveau.
Je voyais le calibre se gonfler chaque fois qu’il dépassait de sa main, certainement proche d’une éjaculation libératrice. La vision seule de cette forme, de ce gland décalotté, restait gravé dans ma tête, quand bien même je fermais les yeux, et me sentais agir telle un automate privé de volonté. Je ne pouvais résister à l’envie de le toucher, de satisfaire les deux désirs de ces hommes, celui d’un inconnu, désir tout simple de jouir, et celui me mon mari, plus à même de me voir le tromper sous se yeux, en branlant la bite d’un autre mâle.
Je descendis doucement de mon lit, tenant fermée ma fine nuisette, et tombais à genoux contre la couchette du bas, ou l’inconnu s’activait.
Je posais ma main sur la sienne, et accompagnais un instant ses mouvements de va et vient.
L’homme ouvrit les yeux,et me vit penchée sur lui. Il retira sa main, pour me laisser faire, et continuer de le branler, enserrant son membre chaud, tout en glissant une main sous ma chemise de nuit, me caressant, excitée par le contact de cette bite raidie. Je fis comme je l’avais vu faire, essayant la même dextérité, recouvrant le gland avec le prépuce, puis m’arrêtant un instant pour mieux le décalotter, frotter entre mon pouce et mon index pour récupérer le liquide sur le gland mis à nu.
Je le branlais ensuite comme je l’avais vu faire, ma paume en contact direct de la peau fragile.
L’homme se mit à gémir faiblement. Je dégageais mes seins du décolleté de ma nuisette, pour qu’il puisse profiter de leur vue, et approchais leur bout durcit par le désir, du gland érigé que je frottais ainsi doucement, en même temps que je le tenais toujours de ma main. Au bout d’un moment, placée ainsi à genoux avec le visage à quelques centimètres de sa queue, j’eus envie de la prendre en bouche. J’arrêtais ma caresse et saisis le membre dressé que je présentais devant mes lèvres.
Je prenais un plaisir intense, à l’idée de l’engloutir.
L’homme me regardait d’un air approbateur et me retournais alors vers mon mari qui m’observait, fou d’excitation, et me fit un signe d’acquiescement.
Alors je commençais par embrasser cette queue offerte, à la lécher, à passer ma langue sur le gland et son pourtour comme on lécherait une glace à la fraise. L’homme tendit son bras, et posa sa main sur ma chatte. Je sentis un doigt lisser ma fente, jusqu’à atteindre mon clitoris. Je me mis à mouiller abondement, quand il me pénétra de ses doigts. J’étouffais mes gémissements pour ne pas éveiller les soupçons d’une jouissance qui s’annonçait. Ce n’est pour autant que le baissais le rythme que j’imposais sur la bite de ce vicieux inconnu.
L’homme n’y tenait plus et attendait que je le prenne tout entier, que je l’engloutisse au fond de ma gorge. Mais c’est moi qui menais le jeu, qui avais les cartes.
Il était à moi. Je jouais de son impatience, décidais volontairement de faire durer son attente, continuant à l’agacer de mes lèvres, enroulant ma langue autour du gland, avant de l’absorber au plus profond de ma gorge, montant et descendant sur la hampe et le gland décalotté.
Je me hissais un peu plus haut et plus verticalement et entreprit de le masturber avec ma bouche, au-delà de la luette, faisant pénétrer le gland seul dans le début de mon œsophage, comme je l’avait eu fait, mais jamais avec mon mari, ce qui me surpris quand il me donna son accord.
Avant de poursuivre, je regardais mon mari, et compris, dans son regard qu’il regrettait d’avoir accepté. Mais il était trop tard, et il ne put revenir sir sa décision.
L’homme râlait, Je sentait le sexe se gonfler, et venir tous les signes prémonitoires de l’orgasme. Je ne pouvais le faire attendre d’avantage, c’était trop dur pour lui. J’accélérais mon mouvement de va-et-vient et bientôt il éjaculait dans ma bouche, répandant un flot de sperme trop longtemps contenu. Je l’avais ramené à la hauteur de mon palais pour pouvoir respirer et m’appliquais à avaler toute la semence au fur et à mesure que le gland, hoquetant de plus en plus faiblement rejetait le liquide chaud. Enfin, me rengorgeant, je me dessaisit de cette bite, continuant cependant de l’entourer de mes lèvres avec une gourmandise qui semblait inextinguible. A ma grande surprise, mon mari ne nous avait pas quittés des yeux tout au long de nôtre duo érotique. Je devinais que mon mari n’appréciait de me voir avaler le sperme d’un inconnu.
Il m’avouais plus tard, s’être masturbé, synchronisant sa jouissance avec celle de l’homme, qu’il devinait aux mouvements de ma bouche, ingurgitait son sperme. J’avais conscience d’avoir réalisé la plus belle pipe de ma vie, d’avoir donné à l’inconnu un plaisir inouï, indescriptible, dont mon mari n’avait jamais connu l’équivalent.
Je jouis intérieurement de la jalousie que celui-ci devait ressentir et, m’étant relevée, je l’embrassais sur la bouche de mes lèvres encore souillées des traces que l’inconnu avait laissées.
Ce dernier pris quand même la peine de me faire jouir, en me branlant avec deux doigts enfoncés dans ma chatte. Je sentis une vague de plaisir traverser mon corps, et dus étouffer le cri de mon orgasme, espérant que mes gémissements soient couvert par les ronflements des autres voyageurs.
Puis, l’inconnu s’était retourné sans se préoccuper de moi, considérant que ce qu’il avait obtenu de moi, était tout naturel, et il finit par s’assoupir.
Je fus énormément déçue. J’aurais voulu qu’il me prenne contre la couchette du bas. J’imaginais la tête de mon mari, nous surplombant, voir sa femme se faire prendre en levrette. J’aurais tant voulu qu’il m’enfile devant lui, j’aurais tant voulu sentir son énorme queue dans ma chatte, mon petit trou, après l’avoir eu dans la bouche. J’imaginais son sperme couler, inondant mes orifices de son abondante semence, dont j’avais pu en savourer la qualité.
Je me couchais à mon tour, malgré tout satisfaite d’avoir pu donner du plaisir, simultanément et si différemment aux deux hommes, et m’endormit moi aussi dans un rêve érotique.
Le lendemain, au petit jour, l’homme avait quitté le compartiment, et nous le revirent plus lorsque nous atteignions nôtre destination.
Nous reparlons souvent de cette nuit, au cours de laquelle j’ai taillais une pipe à un inconnu dans l’endroit insolite d’un wagon couchette.
Tiens...ça me fait penser qu’en fin de semaine prochaine, j’ai une réunion à Paris, avec un collègue de travail, qui n’est autre que le meilleur pote de mon mari.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
La femme se plaint du mari mais ne divorce pas comment prendre les gens pour des cons.
Sans oublier la prise de risque avaler du sperm comme ça si 1 jour là bite est contaminée , elle se contaminera elle même et son mari.



Texte coquin : Une nuit...un train
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