Une partie carrée... La suite
Récit érotique écrit par Le fou de sexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2009 dans la catégorie Plus on est
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Une partie carrée... La suite
Le café fut vite bu. Le baiser avec Frédérique me laissait un goût de reviens-y entre les lèvres. Ce fut pourtant Simon qui prit les devants. Assis à côté de moi sur le canapé, il posa sa main sur ma cuisse droite et la fit glisser jusqu’à ma chatte. Marc regardait et je remarquais que sa queue se redressait à la vue de cette main glissante. Frédérique la remarqua aussi et, sans hésiter, l’avala avec ce qui semblait être délectation.
Simon en profita pour me caresser le clitoris et me sucer les tétons. Cela eut pour effet immédiat de les faire se dresser et me refaire mouiller de plus belle. Je saisis sa bite de ma main droite et me mit à le branler. Il était de nouveau bien dur. Sa bite était ferme, un peu plus massive que celle de Marc, un peu plus courte. Son gland était joufflu, comme une cerise gorgée de soleil. Ses doigts jouaient avec ma chatte. Je basculais la tête en arrière pour me laisser aller au plaisir, tout en branlant ce nouvel amant. J’écartais mes cuisses sous ses caresses et il profita de la béance pour faire pénétrer, un, puis deux, puis trois doigts. Il me fouillait, j’écartais encore plus les cuisses et sans effort, sa main entière fut absorbée.
C’était la première fois que je me faisais fister et cela déchaina un orgasme monstrueux. Il fourailla ma chatte pendant un temps qui me sembla infini. Puis tout aussi soudainement qu’il était entré, il retira sa main et me donna ses doigts à lécher. J’étais dans un état second. Je remarquai alors que Frédérique s’était assise sur Marc et qu’elle allait et venait autour de sa queue. Elle lui tournait le dos, avait posé ses pieds sur les cuisses de mon mari et je vis alors qu’il l’enculait. Elle offrait sa chatte à nos regards. J’étais émerveillé par la scène. Simon me passa alors un bras autour des épaules et me fit asseoir sur lui. Sans m’en rendre compte, je m’empalai sur sa queue. Il me prit par la taille et se mit à onduler violemment du bassin. Je me faisais baiser pendant que je regardais mon homme sodomiser la femme de mon amant.
Le temps semblait s’être arrêté. Nous baisions comme des fous, nos cris se mélangeaient à nos baisers et nos caresses. Je jouissais en continue, passant d’une vague à l’autre. J’avais la chatte en feu. Je voulais maintenant sentir le sperme de Simon. Je sortais alors sa queue de mon minou, arrachait la capote et me mis à branler ce chibre tout en en léchant le gland. Au bruit de l’enculade de Frédérique, je devinais que la jouissance ne devait pas être loin non plus. La puissance du jet de Simon me surprit et m’éclaboussait le visage. J’eu le temps de reprendre la queue dans ma bouche pour recevoir le reste du sperme au fond de la gorge. Je pompais violemment pour arracher les dernières gouttes, comme s’il s’agissait d’un grand cru.
Marc éjacula dans la capote, au fond du cul de Frédérique. Les deux amants retombèrent de fatigue, l’un à côté de l’autre, mais elle en profita pour lui enlever le préservatif et lui caresser la bite comme pour la remercier du plaisir qu’elle venait de lui donner. La soirée tirait à sa fin. Nous étions tous les quatre épuisés, mais d’une fatigue merveilleuse, de tant de plaisir et de jouissance. Cela ne faisait que préfigurer les nombreuses autres parties fines que nous aurions ensemble, tout en élargissant le nombre de nos amis, mais c’est une autre histoire…
Simon en profita pour me caresser le clitoris et me sucer les tétons. Cela eut pour effet immédiat de les faire se dresser et me refaire mouiller de plus belle. Je saisis sa bite de ma main droite et me mit à le branler. Il était de nouveau bien dur. Sa bite était ferme, un peu plus massive que celle de Marc, un peu plus courte. Son gland était joufflu, comme une cerise gorgée de soleil. Ses doigts jouaient avec ma chatte. Je basculais la tête en arrière pour me laisser aller au plaisir, tout en branlant ce nouvel amant. J’écartais mes cuisses sous ses caresses et il profita de la béance pour faire pénétrer, un, puis deux, puis trois doigts. Il me fouillait, j’écartais encore plus les cuisses et sans effort, sa main entière fut absorbée.
C’était la première fois que je me faisais fister et cela déchaina un orgasme monstrueux. Il fourailla ma chatte pendant un temps qui me sembla infini. Puis tout aussi soudainement qu’il était entré, il retira sa main et me donna ses doigts à lécher. J’étais dans un état second. Je remarquai alors que Frédérique s’était assise sur Marc et qu’elle allait et venait autour de sa queue. Elle lui tournait le dos, avait posé ses pieds sur les cuisses de mon mari et je vis alors qu’il l’enculait. Elle offrait sa chatte à nos regards. J’étais émerveillé par la scène. Simon me passa alors un bras autour des épaules et me fit asseoir sur lui. Sans m’en rendre compte, je m’empalai sur sa queue. Il me prit par la taille et se mit à onduler violemment du bassin. Je me faisais baiser pendant que je regardais mon homme sodomiser la femme de mon amant.
Le temps semblait s’être arrêté. Nous baisions comme des fous, nos cris se mélangeaient à nos baisers et nos caresses. Je jouissais en continue, passant d’une vague à l’autre. J’avais la chatte en feu. Je voulais maintenant sentir le sperme de Simon. Je sortais alors sa queue de mon minou, arrachait la capote et me mis à branler ce chibre tout en en léchant le gland. Au bruit de l’enculade de Frédérique, je devinais que la jouissance ne devait pas être loin non plus. La puissance du jet de Simon me surprit et m’éclaboussait le visage. J’eu le temps de reprendre la queue dans ma bouche pour recevoir le reste du sperme au fond de la gorge. Je pompais violemment pour arracher les dernières gouttes, comme s’il s’agissait d’un grand cru.
Marc éjacula dans la capote, au fond du cul de Frédérique. Les deux amants retombèrent de fatigue, l’un à côté de l’autre, mais elle en profita pour lui enlever le préservatif et lui caresser la bite comme pour la remercier du plaisir qu’elle venait de lui donner. La soirée tirait à sa fin. Nous étions tous les quatre épuisés, mais d’une fatigue merveilleuse, de tant de plaisir et de jouissance. Cela ne faisait que préfigurer les nombreuses autres parties fines que nous aurions ensemble, tout en élargissant le nombre de nos amis, mais c’est une autre histoire…
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