Une partie de pêche 1
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une partie de pêche 1
Nous étions très jeunes, la vingtaine, en couple depuis quelques petites années déjà et libertins, enfin c’était plutôt triolisme et candaulisme pour moi car j’étais très voyeur, même pendant les trios, et j’adorais que Nathalie ait des expériences avec d’autres hommes sans moi, avec moi ou devant moi.
Petite, rondelette, une paire de seins énorme, une bouche à tailler des pipes, un cul bien rebondi et une allure presque innocente mais aguichante, sexy et désinvolte.
Nathalie ne manquait pas d’atouts pour attirer le genre masculin.
Elle le savait et en jouait énormément.
Nous avions un copain, Julien, amateur de pêche et qui cherchait un coéquipier pour faire un concours qui durait vingt-quatre heures.
Bien entendu, bonne poire, j’ai accepté.
Il m’a alors dit :
« Il faut qu’on s’entraîne, je connais un endroit qui fait aussi base de loisirs et où l’on peut rester la nuit pour pêcher. »
Nous avons donc convenu d’un week-end pour y aller.
Nous sommes arrivés le samedi en fin de matinée et, après avoir installé la tente, les cannes à pêche et tout le petit bazar, nous avons grignoté.
La tente était une tente de deux ou trois places si on se serrait bien, avec une ouverture par fermeture éclair sur le devant.
Nathalie, ne voulant pas rester seule à la maison, nous avait accompagnés.
C’était un beau week-end chaud et ensoleillé.
Elle avait prévu la serviette, le maillot de bain (enfin juste le string de bain) et la crème solaire.
Vu que nous n’étions pas encore dans le week-end compétition, nous avions chacun notre ligne, on s’était dit que nous ferions le relais uniquement la nuit.
Il faisait bien chaud et Nathalie s’était allongé quelques mètres derrière nous pour bronzer.
Elle était juste en string et ne se gênait pas pour nous faire profiter de son anatomie.
Un coup pile, un coup face, Julien, dès qu’il pouvait, matait discrètement ma femme.
Parfois, elle enfilait un tee-shirt et venait à côté de nous pour discuter ou boire un coup.
Dans le milieu de l’après-midi, elle nous a dit qu’elle avait trop chaud, qu’elle allait prendre une douche et se balader après.
Les sanitaires étaient à une centaine de mètres et il y avait tout ce qu’il fallait, WC, douches avec eau chaude et lavabos.
Sous la douche, elle s’est sentie excitée et a commencé d’une main à se caresser les seins et jouer avec ses mamelons qui sont très vite devenus raides.
L’eau ruisselait sur son corps pendant que les doigts de son autre main titillaient son clito.
La chaleur, l’excitation de s’exhiber sur sa serviette et de se sentir regardé lui avait donné envie de se masturber.
Lorsqu’elle a joui, elle s’est mordu les lèvres pour ne pas faire trop de bruit.
De retour à la tente, elle s’est changée pour se vêtir en bas d’un mini-short échancré sur les hanches, laissant à nu une partie de ses globes fessier, et d’un tee-shirt très moulant qu’elle avait nouée à la hauteur du nombril.
Si j’avais été seul avec elle, je ne lui aurais pas laissé le temps de sortir de la tente et lui aurais sauté dessus, tellement elle était bandante.
La voilà donc partie se balader sous le regard béat de Julien, qui en bavait presque.
Elle est partie côté pêcheur.
Il devait y en avoir environ une dizaine, espacés de dix ou quinze mètres, mais nous étions tous cachés les uns des autres par des buissons et des fourrés.
Chacun avait son petit endroit tranquille à l’abri des regards, et des autres pêcheurs, c’est ce qui faisait de cet endroit un coin sympa pour la pêche.
En tortillant bien ses fesses, elle est passée devant les deux premiers, une bonne soixantaine, mais qui ne sont pas restés indifférents à son passage bien qu’ils n’aient pas osé lui adresser la parole.
Plus loin, un autre, plus jeune mais au look un peu crade, avec son chien, qui lui était tout mimi, lui, a engagé un peu la conversation mais elle n’a pas trop insisté tellement il semblait pouilleux.
Vingt ou trente mètres plus en avant, presque à la hauteur des sanitaires mais en contre-bas, un homme de trente ou trente-cinq ans, short, torse-nu couvert de poils, gabarit moyen, ni beau ni laid, mais qui, dès qu’il l’a vue, a tout de suite voulu bavarder avec elle.
Elle n’aimait pas les poils et un torse aussi velu ne lui plaisait pas du tout, en général.
Là, sans aucune explication, elle s’est sentie attirée par cet homme, il dégageait quelque chose qui la perturbait, alors elle s’est arrêtée pour répondre à sa discussion.
« Qu’est-ce qu’une aussi jolie jeune fille fait ici au milieu des vieux mâles rustre que sont les pêcheurs ? » Lui a-t-il demandé en souriant.
« J’accompagne deux pêcheurs qui se préparent à passer la nuit ici en vue de s’entraîner pour les vingt-quatre heures de pêche. »
« Des amis ? »
« Non, enfin oui et non, mon mec et un copain. »
« Avec une jolie fille comme vous, à leur place, je ne passerais pas la nuit à pêcher, mais sous la tente. » A-t-il dit en riant.
« Vous avez soif ? Désolé, je n’ai que de la bière à vous offrir. »
« Oui je veux bien, merci. »
Il était bien organisé.
Une tente dans le même genre que la nôtre, une glacière, un petit réchaud à gaz, une bassine pour se laver les mains, chose qu’il a faite avant de servir une bière et un gobelet à Nathalie, et un petit fauteuil.
« Tenez, asseyez-vous, vous serez mieux. »
Au début, il se tenait debout à côté d’elle, puis s’est ensuite accroupi en se rapprochant.
Ils ont bu leur bière puis ont continué à discuter, de tout et de rien, un bon moment.
Le sentir se rapprocher la troublait de plus en plus, elle bégueillait parfois, se perdait dans ses mots, elle qui d’habitude était plus à l’aise, n’arrivait pas à reprendre le dessus.
Il s’en est rendu compte et, est devenu plus avenant, plus entreprenant, plus dragueur.
« Vous êtes vraiment très belle. »
« Heu… Merci »
Puis, posant sa main sur sa cuisse, il a continué :
« Vous avez, en plus, la peau très douce, une femme parfaite. »
Elle s’est sentie rougir et a frissonné en sentant sa main lui caresser les cuisses.
« Votre bouche est attirante, on a envie de vous croquer les lèvres. »
Tétanisée, elle a fermé les yeux quand elle a senti ses lèvres s’approcher des siennes.
Redoutant ce moment, tout en étant presque impatiente de sentir sa langue dans sa bouche.
Ils se sont embrassés longuement, pendant que ses mains se sont faufilées sous son tee-shirt pour aller à l’assaut de sa poitrine.
Toujours les yeux fermés, elle se laissait caresser et embrasser tendrement, il était doux et savait bien embrasser.
Malgré qu’ils soient à l’abri des regards des autres pêcheurs, ils n’en étaient pas moins visibles des promeneurs.
Les mains de Marc (il lui avait dit son prénom en se présentant) n’avaient pas chômé, le haut de ma femme n’était plus là et les boutons et la braguette de son mini short étaient ouverts.
« On serait plus tranquille dans la tente. » Lui a-t-il dit.
« Si tu veux. »
Il l’a prise par la main pour l’entraîner jusqu’à sa couche.
Elle s’est allongée sur un sac de couchage, lui est venu s’allonger sur elle pour continuer à l’embrasser.
Ils ont mélangé leur langue encore un bon moment, tout en se caressant mutuellement.
« Tu as ce qu’il faut ? »
« Non. »
« Mince, moi non plus. »
« Tant pis on en restera aux préliminaires. »
« Oui, ce sera déjà pas mal. »
De sa bouche, il est passé à son cou, puis est descendu vers les seins avec qui il a joué longuement.
Les tétons bien érigés, elle gémissait de plaisir sous ses baisers.
Ensuite, il est venu lécher son ventre et son nombril, puis, faisant définitivement sauter le short, il a plongé entre ses cuisses, qu’elle a largement écarté.
La langue qui la fouillait maintenant était divine, elle savait exactement quel endroit titiller, en moins de cinq minutes Nathalie a eu un premier orgasme.
Elle a joui dans sa bouche pendant que sa langue s’activait toujours en elle, la gardant dans un état d’excitation constante.
Trois fois cette langue magique lui a donné du plaisir, il semblait ne plus vouloir s’arrêter.
Alors, au bout d’un moment, elle lui a dit :
« A mon tour de te donner du plaisir. »
Il s’est levé, s’est mis debout à l’entrée mais à l’extérieur de la tente et ma femme est venue se mettre à genoux devant lui.
En baissant son short et son slip, elle a pu découvrir un sexe, assez large mais d’une taille moyenne, tendu à l’extrême, il semblait prêt à exploser.
Elle l’a goulument pris entre ses lèvres pour commencer à le sucer.
Jouant avec ses testicules pendant que sa langue s’affairait sur son gland, elle le branlait en même temps.
Il semblait prendre beaucoup de plaisir et lui caressait la tête pendant qu’elle avalait sa queue.
Après une petite dizaine de minutes, il lui dit :
« Oh c’est trop bon, je vais jouir. »
Elle a alors sorti le sexe qu’elle avait en bouche pour le branler devant son visage.
Quelques secondes plus tard, il l’arrosait de trois grosses giclées de sperme.
Sa semence était abondante et a coulé sur ses joues, son cou et sa poitrine.
Il a attrapé un rouleau de sopalin pour essuyer les traces qu’il lui avait projetées sur le corps.
« C’était trop bon, ta bouche est vraiment divine, tu reviens quand tu veux, je suis là jusqu’à demain soir. Merci. »
« J’ai bien aimé aussi, on verra, si je trouve des capotes je repasserai peut-être. »
Elle s’est habillée puis est revenue vers nous tranquillement.
Elle s’est approchée de moi et a enfoncé sa langue dans ma bouche, elle avait un goût bizarre.
Un goût de sexe ?
Je l’ai regardé dans les yeux et j’ai vu à son regard malicieux que j’avais deviné.
Je me suis dit qu’elle n’avait pas perdu de temps car en à peine une heure, elle s’était déjà fait un mec.
« Je m’ennuie un peu toute seule, tu viens avec moi, on va se balader. »
Julien nous a alors dit :
« Allez-y les amoureux, je m’occupe des gaules pendant ce temps. »
Elle m’a pris par la main pour me faire lever et nous sommes partis nous promener.
Direct, elle m’a guidé jusqu’aux sanitaires, il ne semblait y avoir personne encore à cette heure, nous sommes entrés dans une douche et elle m’a presque violé.
Elle a viré mon tee-shirt, mon short et mon slip, puis s’est accroupie pour me prendre en bouche.
Elle dévorait ma queue, qui était très vite arrivée au meilleur de sa forme, elle était très excitée et semblait vouloir l’avaler complètement.
Quelques minutes plus tard, elle s’est relevée, a viré son short et s’est accrochée à mon cou en enroulant ses jambes autour de ma taille.
« Baise-moi, j’ai trop envie de sentir ta queue me défoncer salaud. »
L’idée me plaisait bien et je n’allais quand même pas la laisser dans cet état, de toute façon je n’avais pas le choix, ses jambes m’emprisonnaient et m’attiraient vers son sexe.
Je me suis enfoncé en elle avec une grande facilité, tellement sa chatte était trempée.
A peine quelques va-et-vient ont suffi à la faire prendre du plaisir, sa bouche me mangeait l’oreille pendant qu’elle jouissait.
« Oh c’est bon, oui j’adore ça quand tu me prends comme ça,… oh salaud…, je t’aime…, vas-y continu… fort… oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii… »
J’ai senti son étreinte encore plus fort pendant son orgasme, presque à me faire mal tellement elle me serrait.
Son excitation était maintenant un peu redescendue et malgré que je bandais toujours très fort, je voulais en savoir plus.
« Tu m’expliques ? »
Alors elle m’a fait le récit de son aventure.
« Je ne sais pas pourquoi ce mec m’excitait, je n’aime pas les poils et lui, on dirait un singe. Par contre, il embrasse et lèche super bien. Je crois même que j’aimerais bien baiser avec lui, sa bite est bien large. »
Sûr qu’avec tout ce qu’elle me disait je n’allais pas débander, alors j’ai repris doucement mes va-et-vient.
« Hummmm, je crois que j’ai encore envie de jouir, continue, c’est trop bon. »
« Ça tombe bien car moi je n’ai pas encore joui et avec ce que tu m’as raconté je suis hyper excité à mon tour. »
« Ça ne te dérange pas s’il me baise ? »
« Non ma chérie, au contraire, ça m’excite. »
Puis nos bouches se sont rejointes, nos langues se sont emmêlées, nous nous sommes embrassés longuement et amoureusement jusqu’à l’orgasme simultané.
Nous avons joui en même temps, je la remplissais de sperme pendant qu’elle m’inondait de cyprine.
Nous sommes restés encore quelques temps comme ça, à nous embrasser, puis elle m’a dit :
« J’ai encore envie. »
« Tu as tout le temps envie. »
« C’est parce que j’aime ça. »
« Julien va se demander ce qu’on fait, je ne sais pas depuis combien de temps on est parti. »
« Bahhhh je lui ferais une petite pipe pour me faire pardonner de t’avoir enlevé quelques temps. »
« Heuuu, quand même, c’est mon pote, tu ne vas pas sucer mon pote. »
« Pfffff je suis sûr que ça te ferait bander aussi. »
Je ronchonnais doucement pour montrer mon mécontentement à cette proposition.
« Arrête de râler, regarde, ta bite reprend de la vigueur rien que d’y penser. »
« Non, non, non et non, c’est mon pote quand même. »
Sur ce, on s’est nettoyé puis rhabillé pour retourner voir Julien.
Zut, c’est vrai que je rebande, l’idée m’avait émoustillée, j’ai vite remis mes affaires pour qu’elle ne s’en aperçoive pas.
« Ahhhh, vous voilà enfin, je commençais à m’ennuyer tout seul. »
Nous avons bu quelques bières tous ensemble avant le repas du soir.
La nuit commençait à tomber, il faisait plus frais.
Nathalie nous a dit :
« Je vais me mettre dans le duvet et lire un peu avant de dormir. »
Elle avait sorti une lampe de poche et un livre de son sac avant de s’enfermer dans la tente.
Nous avions prévu d’aller nous reposer, avec Julien, à tour de rôle.
Je devais prendre la pause en premier et lui ensuite.
Je n’étais pas fatigué et lui, piquait du nez.
A suivre…
Petite, rondelette, une paire de seins énorme, une bouche à tailler des pipes, un cul bien rebondi et une allure presque innocente mais aguichante, sexy et désinvolte.
Nathalie ne manquait pas d’atouts pour attirer le genre masculin.
Elle le savait et en jouait énormément.
Nous avions un copain, Julien, amateur de pêche et qui cherchait un coéquipier pour faire un concours qui durait vingt-quatre heures.
Bien entendu, bonne poire, j’ai accepté.
Il m’a alors dit :
« Il faut qu’on s’entraîne, je connais un endroit qui fait aussi base de loisirs et où l’on peut rester la nuit pour pêcher. »
Nous avons donc convenu d’un week-end pour y aller.
Nous sommes arrivés le samedi en fin de matinée et, après avoir installé la tente, les cannes à pêche et tout le petit bazar, nous avons grignoté.
La tente était une tente de deux ou trois places si on se serrait bien, avec une ouverture par fermeture éclair sur le devant.
Nathalie, ne voulant pas rester seule à la maison, nous avait accompagnés.
C’était un beau week-end chaud et ensoleillé.
Elle avait prévu la serviette, le maillot de bain (enfin juste le string de bain) et la crème solaire.
Vu que nous n’étions pas encore dans le week-end compétition, nous avions chacun notre ligne, on s’était dit que nous ferions le relais uniquement la nuit.
Il faisait bien chaud et Nathalie s’était allongé quelques mètres derrière nous pour bronzer.
Elle était juste en string et ne se gênait pas pour nous faire profiter de son anatomie.
Un coup pile, un coup face, Julien, dès qu’il pouvait, matait discrètement ma femme.
Parfois, elle enfilait un tee-shirt et venait à côté de nous pour discuter ou boire un coup.
Dans le milieu de l’après-midi, elle nous a dit qu’elle avait trop chaud, qu’elle allait prendre une douche et se balader après.
Les sanitaires étaient à une centaine de mètres et il y avait tout ce qu’il fallait, WC, douches avec eau chaude et lavabos.
Sous la douche, elle s’est sentie excitée et a commencé d’une main à se caresser les seins et jouer avec ses mamelons qui sont très vite devenus raides.
L’eau ruisselait sur son corps pendant que les doigts de son autre main titillaient son clito.
La chaleur, l’excitation de s’exhiber sur sa serviette et de se sentir regardé lui avait donné envie de se masturber.
Lorsqu’elle a joui, elle s’est mordu les lèvres pour ne pas faire trop de bruit.
De retour à la tente, elle s’est changée pour se vêtir en bas d’un mini-short échancré sur les hanches, laissant à nu une partie de ses globes fessier, et d’un tee-shirt très moulant qu’elle avait nouée à la hauteur du nombril.
Si j’avais été seul avec elle, je ne lui aurais pas laissé le temps de sortir de la tente et lui aurais sauté dessus, tellement elle était bandante.
La voilà donc partie se balader sous le regard béat de Julien, qui en bavait presque.
Elle est partie côté pêcheur.
Il devait y en avoir environ une dizaine, espacés de dix ou quinze mètres, mais nous étions tous cachés les uns des autres par des buissons et des fourrés.
Chacun avait son petit endroit tranquille à l’abri des regards, et des autres pêcheurs, c’est ce qui faisait de cet endroit un coin sympa pour la pêche.
En tortillant bien ses fesses, elle est passée devant les deux premiers, une bonne soixantaine, mais qui ne sont pas restés indifférents à son passage bien qu’ils n’aient pas osé lui adresser la parole.
Plus loin, un autre, plus jeune mais au look un peu crade, avec son chien, qui lui était tout mimi, lui, a engagé un peu la conversation mais elle n’a pas trop insisté tellement il semblait pouilleux.
Vingt ou trente mètres plus en avant, presque à la hauteur des sanitaires mais en contre-bas, un homme de trente ou trente-cinq ans, short, torse-nu couvert de poils, gabarit moyen, ni beau ni laid, mais qui, dès qu’il l’a vue, a tout de suite voulu bavarder avec elle.
Elle n’aimait pas les poils et un torse aussi velu ne lui plaisait pas du tout, en général.
Là, sans aucune explication, elle s’est sentie attirée par cet homme, il dégageait quelque chose qui la perturbait, alors elle s’est arrêtée pour répondre à sa discussion.
« Qu’est-ce qu’une aussi jolie jeune fille fait ici au milieu des vieux mâles rustre que sont les pêcheurs ? » Lui a-t-il demandé en souriant.
« J’accompagne deux pêcheurs qui se préparent à passer la nuit ici en vue de s’entraîner pour les vingt-quatre heures de pêche. »
« Des amis ? »
« Non, enfin oui et non, mon mec et un copain. »
« Avec une jolie fille comme vous, à leur place, je ne passerais pas la nuit à pêcher, mais sous la tente. » A-t-il dit en riant.
« Vous avez soif ? Désolé, je n’ai que de la bière à vous offrir. »
« Oui je veux bien, merci. »
Il était bien organisé.
Une tente dans le même genre que la nôtre, une glacière, un petit réchaud à gaz, une bassine pour se laver les mains, chose qu’il a faite avant de servir une bière et un gobelet à Nathalie, et un petit fauteuil.
« Tenez, asseyez-vous, vous serez mieux. »
Au début, il se tenait debout à côté d’elle, puis s’est ensuite accroupi en se rapprochant.
Ils ont bu leur bière puis ont continué à discuter, de tout et de rien, un bon moment.
Le sentir se rapprocher la troublait de plus en plus, elle bégueillait parfois, se perdait dans ses mots, elle qui d’habitude était plus à l’aise, n’arrivait pas à reprendre le dessus.
Il s’en est rendu compte et, est devenu plus avenant, plus entreprenant, plus dragueur.
« Vous êtes vraiment très belle. »
« Heu… Merci »
Puis, posant sa main sur sa cuisse, il a continué :
« Vous avez, en plus, la peau très douce, une femme parfaite. »
Elle s’est sentie rougir et a frissonné en sentant sa main lui caresser les cuisses.
« Votre bouche est attirante, on a envie de vous croquer les lèvres. »
Tétanisée, elle a fermé les yeux quand elle a senti ses lèvres s’approcher des siennes.
Redoutant ce moment, tout en étant presque impatiente de sentir sa langue dans sa bouche.
Ils se sont embrassés longuement, pendant que ses mains se sont faufilées sous son tee-shirt pour aller à l’assaut de sa poitrine.
Toujours les yeux fermés, elle se laissait caresser et embrasser tendrement, il était doux et savait bien embrasser.
Malgré qu’ils soient à l’abri des regards des autres pêcheurs, ils n’en étaient pas moins visibles des promeneurs.
Les mains de Marc (il lui avait dit son prénom en se présentant) n’avaient pas chômé, le haut de ma femme n’était plus là et les boutons et la braguette de son mini short étaient ouverts.
« On serait plus tranquille dans la tente. » Lui a-t-il dit.
« Si tu veux. »
Il l’a prise par la main pour l’entraîner jusqu’à sa couche.
Elle s’est allongée sur un sac de couchage, lui est venu s’allonger sur elle pour continuer à l’embrasser.
Ils ont mélangé leur langue encore un bon moment, tout en se caressant mutuellement.
« Tu as ce qu’il faut ? »
« Non. »
« Mince, moi non plus. »
« Tant pis on en restera aux préliminaires. »
« Oui, ce sera déjà pas mal. »
De sa bouche, il est passé à son cou, puis est descendu vers les seins avec qui il a joué longuement.
Les tétons bien érigés, elle gémissait de plaisir sous ses baisers.
Ensuite, il est venu lécher son ventre et son nombril, puis, faisant définitivement sauter le short, il a plongé entre ses cuisses, qu’elle a largement écarté.
La langue qui la fouillait maintenant était divine, elle savait exactement quel endroit titiller, en moins de cinq minutes Nathalie a eu un premier orgasme.
Elle a joui dans sa bouche pendant que sa langue s’activait toujours en elle, la gardant dans un état d’excitation constante.
Trois fois cette langue magique lui a donné du plaisir, il semblait ne plus vouloir s’arrêter.
Alors, au bout d’un moment, elle lui a dit :
« A mon tour de te donner du plaisir. »
Il s’est levé, s’est mis debout à l’entrée mais à l’extérieur de la tente et ma femme est venue se mettre à genoux devant lui.
En baissant son short et son slip, elle a pu découvrir un sexe, assez large mais d’une taille moyenne, tendu à l’extrême, il semblait prêt à exploser.
Elle l’a goulument pris entre ses lèvres pour commencer à le sucer.
Jouant avec ses testicules pendant que sa langue s’affairait sur son gland, elle le branlait en même temps.
Il semblait prendre beaucoup de plaisir et lui caressait la tête pendant qu’elle avalait sa queue.
Après une petite dizaine de minutes, il lui dit :
« Oh c’est trop bon, je vais jouir. »
Elle a alors sorti le sexe qu’elle avait en bouche pour le branler devant son visage.
Quelques secondes plus tard, il l’arrosait de trois grosses giclées de sperme.
Sa semence était abondante et a coulé sur ses joues, son cou et sa poitrine.
Il a attrapé un rouleau de sopalin pour essuyer les traces qu’il lui avait projetées sur le corps.
« C’était trop bon, ta bouche est vraiment divine, tu reviens quand tu veux, je suis là jusqu’à demain soir. Merci. »
« J’ai bien aimé aussi, on verra, si je trouve des capotes je repasserai peut-être. »
Elle s’est habillée puis est revenue vers nous tranquillement.
Elle s’est approchée de moi et a enfoncé sa langue dans ma bouche, elle avait un goût bizarre.
Un goût de sexe ?
Je l’ai regardé dans les yeux et j’ai vu à son regard malicieux que j’avais deviné.
Je me suis dit qu’elle n’avait pas perdu de temps car en à peine une heure, elle s’était déjà fait un mec.
« Je m’ennuie un peu toute seule, tu viens avec moi, on va se balader. »
Julien nous a alors dit :
« Allez-y les amoureux, je m’occupe des gaules pendant ce temps. »
Elle m’a pris par la main pour me faire lever et nous sommes partis nous promener.
Direct, elle m’a guidé jusqu’aux sanitaires, il ne semblait y avoir personne encore à cette heure, nous sommes entrés dans une douche et elle m’a presque violé.
Elle a viré mon tee-shirt, mon short et mon slip, puis s’est accroupie pour me prendre en bouche.
Elle dévorait ma queue, qui était très vite arrivée au meilleur de sa forme, elle était très excitée et semblait vouloir l’avaler complètement.
Quelques minutes plus tard, elle s’est relevée, a viré son short et s’est accrochée à mon cou en enroulant ses jambes autour de ma taille.
« Baise-moi, j’ai trop envie de sentir ta queue me défoncer salaud. »
L’idée me plaisait bien et je n’allais quand même pas la laisser dans cet état, de toute façon je n’avais pas le choix, ses jambes m’emprisonnaient et m’attiraient vers son sexe.
Je me suis enfoncé en elle avec une grande facilité, tellement sa chatte était trempée.
A peine quelques va-et-vient ont suffi à la faire prendre du plaisir, sa bouche me mangeait l’oreille pendant qu’elle jouissait.
« Oh c’est bon, oui j’adore ça quand tu me prends comme ça,… oh salaud…, je t’aime…, vas-y continu… fort… oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii… »
J’ai senti son étreinte encore plus fort pendant son orgasme, presque à me faire mal tellement elle me serrait.
Son excitation était maintenant un peu redescendue et malgré que je bandais toujours très fort, je voulais en savoir plus.
« Tu m’expliques ? »
Alors elle m’a fait le récit de son aventure.
« Je ne sais pas pourquoi ce mec m’excitait, je n’aime pas les poils et lui, on dirait un singe. Par contre, il embrasse et lèche super bien. Je crois même que j’aimerais bien baiser avec lui, sa bite est bien large. »
Sûr qu’avec tout ce qu’elle me disait je n’allais pas débander, alors j’ai repris doucement mes va-et-vient.
« Hummmm, je crois que j’ai encore envie de jouir, continue, c’est trop bon. »
« Ça tombe bien car moi je n’ai pas encore joui et avec ce que tu m’as raconté je suis hyper excité à mon tour. »
« Ça ne te dérange pas s’il me baise ? »
« Non ma chérie, au contraire, ça m’excite. »
Puis nos bouches se sont rejointes, nos langues se sont emmêlées, nous nous sommes embrassés longuement et amoureusement jusqu’à l’orgasme simultané.
Nous avons joui en même temps, je la remplissais de sperme pendant qu’elle m’inondait de cyprine.
Nous sommes restés encore quelques temps comme ça, à nous embrasser, puis elle m’a dit :
« J’ai encore envie. »
« Tu as tout le temps envie. »
« C’est parce que j’aime ça. »
« Julien va se demander ce qu’on fait, je ne sais pas depuis combien de temps on est parti. »
« Bahhhh je lui ferais une petite pipe pour me faire pardonner de t’avoir enlevé quelques temps. »
« Heuuu, quand même, c’est mon pote, tu ne vas pas sucer mon pote. »
« Pfffff je suis sûr que ça te ferait bander aussi. »
Je ronchonnais doucement pour montrer mon mécontentement à cette proposition.
« Arrête de râler, regarde, ta bite reprend de la vigueur rien que d’y penser. »
« Non, non, non et non, c’est mon pote quand même. »
Sur ce, on s’est nettoyé puis rhabillé pour retourner voir Julien.
Zut, c’est vrai que je rebande, l’idée m’avait émoustillée, j’ai vite remis mes affaires pour qu’elle ne s’en aperçoive pas.
« Ahhhh, vous voilà enfin, je commençais à m’ennuyer tout seul. »
Nous avons bu quelques bières tous ensemble avant le repas du soir.
La nuit commençait à tomber, il faisait plus frais.
Nathalie nous a dit :
« Je vais me mettre dans le duvet et lire un peu avant de dormir. »
Elle avait sorti une lampe de poche et un livre de son sac avant de s’enfermer dans la tente.
Nous avions prévu d’aller nous reposer, avec Julien, à tour de rôle.
Je devais prendre la pause en premier et lui ensuite.
Je n’étais pas fatigué et lui, piquait du nez.
A suivre…
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Un très beau texte candauliste!