Une pêche (pas si) miraculeuse (Chapitre 1)

- Par l'auteur HDS Pervwriter007 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Une pêche (pas si) miraculeuse (Chapitre 1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une pêche (pas si) miraculeuse (Chapitre 1)
Plongeuse comme sa mère, sa grand-mère et leurs mères avant elles, Mi Youn perpétue la tradition des pêcheuses en apnée.
A l’aube de ses 23 printemps, elle est la plus jeune de son groupe et à ce titre un peu « tête brulée ».

Il n’est pas rare qu’elle reprenne la mer après sa journée pour ramener quelques poissons en plus de sa pêche quotidienne. Maintes fois, les anciennes l’ont mise en garde. La mer peut être mauvaise de nuit et c’est sans compter sur les velléités du pays frontalier, dont les soldats font occasionnellement des incursions dans les eaux territoriales.


Les pieuvres sont nombreuses dans ces eaux, et leur chair très appréciée dans la gastronomie locale.
Bateau à l’ancre, masque, et hop, à l’eau.
Elle longe progressivement les roches, attrapant 2 poulpes. Elle s’immobilise en voyant apparaitre un troisième céphalopode. L’animal est de couleur noire, pratiquement invisible dans l’ombre des recoins rocheux.
Essayant tant bien que mal d’extraire l’animal de sa cachette, elle réalise alors qu’elle n’avait jamais vu de pieuvre de la sorte. Un tentacule vient s’enrouler autour du long bâton qu’elle utilise habituellement pour attraper les ormeaux.
Progressivement, l’animal sort de la cavité. Mi Youn remarque alors sa dimension. Faisant elle-même 1m50, les tentacules de l’animal sont plus longs que ses jambes et le corps de la pieuvre est plus massif que son propre tronc.
L’animal ne semble pas craintif et la fixe de ses grands yeux sans se montrer agressif. Mi Youn ne le sait pas, mais cet animal n’est pas ordinaire.


Fruit d’une manipulation de l’adn et dotée d’un implant placé sur son cerveau, la pieuvre peut être « téléguidée » par un opérateur, à des fins de renseignements notamment. Mi Youn est donc observée par 3 personnes à travers les yeux de l’animal.
Cette technologie étant expérimentale, ordre est donné de conserver le plus grand secret à son propos. La colonelle chargée du programme décide de la faire ramener à la base. Un cobaye de plus, qui plus est en bonne santé et en pleine force de l’âge n’est jamais de trop.
Le cerveau de l’animal reçoit l’ordre de saisir et immobiliser sa proie. Ce n’est pour la pieuvre qu’une formalité vu son énorme gabarit. Mi Youn est en proie à une terreur absolue, elle voit d’un coup un des tentacules s’enrouler à ses chevilles et les resserrer alors que 2 autres viennent saisir ses poignets. L’animal glisse dans son dos et s’y colle. La pauvre nageuse en est sûre, c’est la fin. En paniquant, ses réserves d’oxygène s’épuisent et elle se sent basculer. C’est alors qu’elle constate que l’animal la fait remonter, elle crève la surface et prend une grande aspiration, de l’air enfin.
Elle tousse, crache et tente d’appeler à l’aide, mais l’animal se remet en plongée à quelques mètres sous la surface, remontant régulièrement à la surface pendant qu’il prend le cap, téléguidé par les scientifiques.


Après quelques heures de cette navigation, frigorifiée, épuisée, Mi Youn aperçoit finalement les lueurs d’un navire et reprend espoir. Bien vite balayé quand elle aperçoit le drapeau qui flotte en haut du mat. Tirée sans ménagement sur le pont de la vedette, elle est immédiatement menottée et mise à fond de cale, après que 2 soldats l’ait entièrement déshabillée.
C’est frigorifiée et terrifiée qu’elle finit par s’endormir.

Le réveil est brutal. Débarquée manu militari, elle est introduite dans le bureau de la colonelle, toujours entièrement nue. Cette dernière lui explique de but en blanc que son seul avenir sera dorénavant de servir de cobaye au centre de recherche et que de son comportement dépendra la dureté de son existence.
La colonelle fait alors le tour du bureau, touchant les jeunes seins de Mi Youn, tordant ses tendres pointes. Pas disposée à se laisser faire, celle-ci se recule brusquement, crachant au visage de sa tortionnaire. La réaction est immédiate, une gifle magistrale la fait tomber de sa chaise. Saisie par les cheveux, elle est tirée violemment hors du bureau et menée trois étages plus bas, dans un souterrain chargé d’humidité. Une porte rouillée tourne lentement sur ses gonds dans un insupportable grincement. A peine libérée de ses menottes qu’elle se retrouve attachée à quatre pattes sur un cheval d’arçon.

- Tu vas me payer ce crachat salope, je vais t’apprendre à respecter l’ordre et la discipline.

La colonelle, furieuse, se saisit d’un fouet, le fait claquer contre le mur. La résonnance est terrible. La seconde d’après, c’est sur ses pauvres fesses que Mi Youn reçoit le premier coup, lui arrachant un hurlement strident. Malgré ses efforts et ses mouvements désespérés, elle ne parvient pas à se protéger et sa tortionnaire ne la ménage pas. Au contraire, plus elle inflige peine et souffrance, plus elle apprécie. Mi Youn finit par demander pitié après une trentaine de coups. Tout sauf le fouet, supplie t’elle. Quelques coups supplémentaires s’abattent sur son dos et ses cuisses, pour faire bonne figure et s’assurer que le message est passé.


Tandis que Mi Youn sanglote doucement, sa tortionnaire dézippe sa jupe d’uniforme, enlève son string, et s’approche de sa prisonnière, lui présentant une toison soigneusement taillée.
- Lèches moi, et si jamais tu t’avises de me mordre, tu regretteras que je ne t’ai pas fouetté plus que ça.
Terrifiée, la jeune nageuse obéit immédiatement et commence à prodiguer son tout premier cunnilingus. Les coups de langue sont maladroits mais la colonelle, notant les efforts, décide de faire preuve de clémence. Après tout, c’est sûrement la première fois que cette petite fait quelque chose de sexuel avec une tierce personne.
Mi Youn s'applique, lèche le clitoris, l'aspire sans jamais le toucher avec ses dents.
"Cette folle serait capable de me tuer" se dit elle. Elle sent une douce chaleur émaner de l'entrejambe qu'elle lèche.


Après quelques minutes de ce traitement, une vérification s’impose.

La tortionnaire se recule et fait le tour de Mi Youn, toujours attachée. Aucune trace d’épilation, c’est un buisson sauvage qui est présent entre ses cuisses. Elle recommence à paniquer en sentant les doigts de sa tortionnaire écarter ses lèvres tandis que cette dernière se lèche les babines. Cette petite est bien vierge.

- Je sens que je vais me régaler avec toi, ma petite chose…

"Je suis fichue" se dit la pauvre nageuse...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle mise en bouche la suite promet d’être hot. J’espère que la colonelle ne soit pas trop cruelle vis à vis de cette jeune et jolie vierge. Daniel



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Histoire sexe : Une rose rouge
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