UNE PERLE RARE!

- Par l'auteur HDS JULIE-ANAIS -
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Récit libertin : UNE PERLE RARE! Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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UNE PERLE RARE!
Cette histoire a commencé lors d’une soirée chez Laure et Pierre, des amis de longue date qui m’invitent souvent. J’accepte l’invitation assez souvent, Laure et Pierre sont des personnes agréables et il y a chaque fois de nouvelles têtes. Cette fois ci, au lieu de prendre l’option buffet, Laure et Pierre avaient choisi de faire un repas autour d’une table. Je me retrouvais donc, pour respecter le protocole, entre deux hommes. Celui de gauche était visiblement d’une génération plus avancée en âge. De plus il semblait connaître sa voisine de gauche et se mit immédiatement à parler avec elle. À ma droite j’avais un homme, sans doute de mon âge, avec une figure avenante. Je devinais un corps de sportif, mais il avait aussi une touche d’intellectuel, des r.pliques vives et le ses de l’humour. Bref il me plut tout de suite et je pense que je ne lui fut pas indifférente. Ce ne faut pas le coup de foudre mais le courant passait!

Le repas fut donc très agréable même si je ne me souviens plus très bien du menu. Le café et les digestifs furent servis au salon et Louis, c’était le nom de mon voisin de droite, fut un compagnon de soirée attentionné. En fait, nous avons passé la soirée ensemble, ce qui n’échappa pas à Laure et Pierre. La soirée se terminait et nous voulions la prolonger. Chez lui, chez moi?. Dans cette situation je me souviens toujours de ce que disent les africaines: » Si tu laisses un homme passer la nuit chez toi, il y a de fortes chances que, le lendemain à midi , il te demande de réparer ses chaussettes! ».Je souris à Louis et je dis: »Chez toi. ».
Nous prenons un taxi et Louis précise qu’en fait on va chez un ami qui lui a prêté son appartement pour la semaine. Il précise aussi qu’après une semaine de travail avec Pierre, il quitte la ville demain. Je lui dis alors, un peu malicieusement: «  Ah, mais alors,nous avons toute la nuit devant nous! ». En guise de réponse il me prend une main et je trouve cela agréable . Nous arrivons chez « son ami » et nous nous mettons à l’aise. Louis met de la lumière tamisée et il fait jouer de la musique douce. Louis semble bien savoir faire les choses et, même si son séjour ici a duré qu’une semaine, je ne suis sans doute pas la première femme à venir dans cet appartement. Cela me pose aucun problème. Louis me sourit, iI s’approche de moi, me prend par la taille et pose ses lèvres sur les miennes. Un petit fourmillement révélateur monte de mon bas ventre. Louis me demande si je veux boire quelque chose et j’opte, comme lui, pour un cognac. Assis côte à côte sur le diva, nos verres de cognac devant nous, nous commençons les approches.
Je commence à déboutonner la chemise de Louis et il fait la même chose avec mon corsage. Sans toucher aux cognacs, sana avoir le temps d’enlever chemise et corsage, il me prend prend par la main pour aller dans sa chambre. Je le suis de bonne grâce et sans cérémonie, et pour aller plus vite, chacun se déshabille complètement. Nous nous regardons et échangeons un sourire de satisfaction. Le regard de Louis se pose sur mon pubis et je sais que ma fente est bien visible à travers ma toison blonde et peu abondante. Je regarde le bas ventre de Louis et la vue de son pénis, déjà en pleine érection, provoque chez moi une bouffée de chaleur. Le fourmillement de tout à l’heure redouble d’intensité. J’ai connu un certain nombre d’hommes et j’ai donc vu un certain nombre de pénis, en érection ou non. La longueur ou la grosseur du pénis n’a jamais été pour moi un élément important par rapport au plaisir ressenti lors d’une pénétration. Les dimensions du pénis de Louis n’avaient rien de particulier, mais j’étais fasciné par la cambrure accentuée de son organe et par le gland qui se détachait bien du reste du membre. Le gland de son pénis en érection pointait vers le haut, presque à la verticale. Je sentais que mon sexe était vraiment trempé.
J’aime bien les préliminaires et j’aime bien jouir, mais je peux facilement me passer d’une pénétration. J’aime bien avoir des relations intimes avec des femmes. Pourtant, depuis la vue du pénis bien bandé de Louis, je pensais plus qu’à une seule chose: être pénétrée par ce pénis. Je ne savais pas pourquoi et je ne voulais pas le savoir.
Visiblement Louis n’avait pas prévu le même scénario puisque, après m’avoir allongé nue sur le lit, il se préparait à venir caresser mon sexe avec sa bouche et sa langue. Il était à genoux entre mes jambes écartées et son visage se rapprochait de mon bas ventre. Alors, pensant uniquement à mon envie de pénis, je me relevais un peu, pris les aisselles de Louis chacune avec un bras et ramenais ainsi son visage vers le mien. Je lui offrais alors un long et doux baiser, mais la tête de Louis voulut à nouveau rejoindre mon sexe. Je la retenais d’une main et, poursuivant mon idée fixe, avec ma main droite j’allai, entre les cuisses de Louis chercher son sexe tendu et courbé et je le plaçai à l’entrée de mon vagin. Louis comprit enfin et son membre me pénétra sans aucune difficulté. Sans être une experte en pénétration et en orgasme féminin, j’ai toujours ressenti des plaisirs différents pour une pénétration et pour un orgasme. Pour ma part, le plaisir d’une pénétration n’est jamais à la hauteur du plaisir produit par un orgasme. Or, avec Louis, pour la première fois de ma vie, je sentais les deux types de plaisir se mélanger. Au plaisir sourd et enveloppant de la pénétration s’ajoutait le plaisir plus étincelant de la préparation à l’orgasme, les deux plaisirs variant d’intensité au rythme du va et vient du bassin de Louis. Je ne cherchais pas à comprendre ce qui se passait car la chaleur de la pénétration me mettait dans un état second, traversé par des pointes de jouissance. Pourtant, d’un coup, je compris que ces pointes de plaisir venait sans doute de mon clitoris qui devait être frotté par le membre de Louis à chacun de ses va et vient en moi.

Je ne pouvais, ni ne voulais plus y penser car je sentais le gland du pénis de Louis se gonflait de plus en plus et les pointes de jouissance qui partait de mon clitoris se multipliaient, hors de contrôle. Le visage de Louis, au dessus du mien, grimaçait de plaisir mais restait beau. Je sentais avec volupté l’orgasme se préparer à déferler, et dans un dernier va et vient de son bassin, Louis et moi jouissions ensemble.Le jet de sa semence en moi m’arracha un petit cri suivit du long gémissement déclenché par mon orgasme.Tout mon corps fut un instant agité.

Allongée sur le dos, j’étais anéanti par le plaisir d’un orgasme provoqué par cette pénétration. Mon compagnon de jouissance était sur le dos à ma gauche et je l’entendis dire: » C’était bon! ».
Nous sommes restés dans cette position une dizaine de minutes. Après un tendre baiser, nous sommes allés dans le salon où nous attendaient nos verres de cognac. J’avouais à Louis que c’était la première fois qu’une pénétration provoquait aussi un orgasme. Louis sourit et avait l’air content pour moi, mais,visiblement, il ne tenait pas à aller plus loin sur le sujet.

Comme il était très tard, il fut décidé que je dormirai ici. Louis me prêta un T-shirt pour dormir et je remis ma culotte. Louis opta pour un haut de pyjama et remis son mini slip. Il devait être deux heures du matin quand la fatigue nous plongea, côte à côte, dans le sommeil.

Vers10 heures, je me réveillais tranquillement. Louis, toujours sur le dos, dormait du sommeil du juste. En le regardant dormir, mes yeux tombèrent sur le renflement de son mini-slip et je ne pus m’empêcher de penser à hier soir. Comme il quittait la ville aujourd’hui, je n’hésitais pas longtemps. Je me mis à genoux à côté de lui et descendit un peu son mini-slip. Louis ne réagit pas. Je pris alors dans ma bouche le gland de son membre et le caressais avec ma langue. Louis émis une sorte de grognement de plaisir et ouvrit un peu les yeux.J’enlevais complètement le mini slip de Louis et je pris dans ma bouche une bonne partie de son membre. L’effet de la fellation ne tarda pas et le pénis de Louis pris rapidement la même allure que celle qu’il avait hier soir. J’étais très excitée, Louis aussi, et je ne voulais pas qu’il éjacule dans ma bouche. Le sexe de Louis était maintenant en pleine érection et, comme j’étais à genoux, Louis pensa me pénétrer par derrière. Comme je voulais revivre à coup sûr l’émerveillement de hier soir, je me mis vite sur le dos et Louis compris que je voulais être pénétrée par devant, comme la veille. J’écartais bien mes cuisses et, sans autres préliminaires, mon vagin avala tout entier le membre de Louis qui poussa un petit cri. Au passage, j’avais bien senti le corps de son membre rigide et courbé caresser mon clitoris. Dès les premiers mouvements de va et vient de son bassin, je compris que la magie de hier soir allait à nouveau opérer. Mieux, j’avais vraiment l’impression que le sexe cambré et dur de Louis me pénétrait et me masturbait en même temps.J’étais dans un nuage de plaisir et, à l’intérieur de mon corps, je recevais comme des flèches de jouissance aigüe. En moi, je sentis le gland de Louis qui se gonflait sans fin et…je perdis pied et je m’abandonnai en fermant les yeux. J’étais entièrement livrée à mes sensations. Quand je rouvris les yeux, Louis était devant moi avec un sourire bienveillant. Son sexe ne bandait plus. Il me raconta qu’il avait joui en moi et que, au même moment, j’avais dû avoir un orgasme. Quand il a éjaculé en moi, il me dit j’ai poussé un petit cri suivi d’un long gémissement accompagné de plusieurs soubresauts.

Je restais alors immobile quelques instants, rêveuse, et ,en me levant enfin, je déposais un léger baiser sur la bouche de Louis. Il se leva aussi et j’avais envie de lui dire: »Merci pour tout! », mais je ne voulais pas qu’il se sente instrumentalisé.
Sous la douche je quittais mon nuage, mais je restais dans une brume ouatée une bonne partie de la journée. Je dis au revoir, et non adieu, à Louis avec une petite larme et on se promis de se donner des nouvelles de temps en temps.
Depuis j’ai connu d’autres hommes mais aucun furent à la hauteur de Louis. J’ai des nouvelles de Louis qui va un peu au quatre coin du monde.
Ce que j’ai vécu avec lui est encore une expérience unique et je me demande toujours: Est-ce à cause de la forme du sexe de Louis? De la position de mon clitoris dans mon sexe? De nos positions respectives lors de la pénétration? De tout ça en même temps ?

Rien qu’à y penser, je sens des fourmillement qui montent de mon sexe.

JULIE-ANAIS

Les avis des lecteurs

Moi je pense que pour y avoir une si forte réaction à la sensation ça prend un peu plus que ça. Louis a sans le savoir réveiller en quelques minutes tout ce qu’une bonne préparation peut apporter. N’oublions pas que premièrement, tout part de la tête.
Êtes-vous certaine qu’on ne pourrait parler d’un petit coup de foudre? Juste un petit!



Texte coquin : UNE PERLE RARE!
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