Une petite espionne

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une petite espionne Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une petite espionne
‌‌J'ai vu baiser ma mère et mon père. Oui, je sais, dit comme ça, ça surprend, ça choque même. C'est pourtant la vérité et je ne l'ai pas cherchée, c'est arrivé comme ça, un matin vers 8h. Je rentrais d'une soirée prolongée chez des potes où j'étais censée dormir. Mais il fallait que je partage le pieu avec un mec complètement bourré. Non merci. J'ai préféré rentrer chez mes parents où je crèche encore malgré mes vingt ans. Je préfère ça à un studio en ville où je serais ni nourrie, ni blanchie.

Que je me présente d'abord. Je suis Claire, vingt ans aux fraises, étudiante en médecine, une bosseuse dit-on. Je fais la fierté de mes parents Corinne et Christophe, la cinquantaine, bien conservés je dois dire. Mon père est athlétique, chauve mais athlétique. Ma mère est une grande blonde à mèches qui fut reine de beauté dans sa jeunesse et elle en a conservé un physique dont j'aimerais disposer à son âge.

Donc, je débarque ce matin là, déchaussée pour ne pas faire de bruit, pour regagner ma chambre et forcément, je passe devant celle de mes parents. La porte était entrouverte et c'était allumé à l'intérieur. Je glisse un oeil sans y réfléchir et que vois-je ? Maman en nuisette en train de tailler une pipe à papa déculotté. Surprise ! Je m'écarte vivement, rouge jusqu'aux oreilles. J'entends les "slurp slurp" de la pipe et je balance alors entre deux attitudes : ou gagner ma chambre, ou rester à écouter. Et voir. Je sais, c'est minable de ma part, mais j'ai pris la deuxième option, d'autant que ma mère s'est mise à parler de moi. Je cite :
- Profitons que Claire n'est pas là, j'ai envie de baiser, dit-elle à mon père, qui répondit :
- Tu es sûre qu'elle ne va pas rentrer ?
- Non, elle couche chez ses copains, elle ne rentrera pas avant midi.
- A tous les coups, elle va se faire sauter.
- Et alors ? C'est de son âge, non ? Elle a un stérilet, elle ne risque rien. Tu ne vas quand même pas jouer les père la vertu ? A 20 ans, je baisais pas mal et toi aussi. Je trouve d'ailleurs qu'elle bosse trop. Elle devrait s'intéresser un peu plus au sexe avant qu'elle ne se range. Alors, on baise oui ou non ?

Entendre ma mère parler comme ça m'a remué les entrailles. Mais je n'avais encore rien vu. J'ai entendu un frou-frou et j'ai compris qu'ils se mettaient à poil. J'ai jeté un oeil prudent. Ils étaient en plein 69. Je ne pensais pas que mon père était aussi fortement membré. Ma mère se gavait de sa queue avec une volupté évidente. Elle tétait le gland avant de l'engloutir avec un savoir-faire qui me renvoya à mon inexpérience. J'ai pensé à Jordan, le dernier mec avec qui j'avais fait l'amour. Sa bite faisait bien la moitié de celle de mon père.
Puis ma mère s'est relevée et elle s'est empalée sur papa. Elle a fait aller et venir son cul après l'avoir totalement englouti ce qui m'a épatée, vu le volume. Elle gloussait, la tête en arrière, la chevelure mouvante et elle a mis la main derrière son dos pour palper les couilles paternelles, chose qui ne me serait jamais venue à l'esprit avec Jordan. Est-ce qu'elle allait m'en apprendre encore, ma maman ?

Oh que oui ! Elle s'est retournée, toujours chevauchant et j'ai été obligée de me retirer, enfin juste un peu. La voir de face en train de cavaler, les yeux clos (ce qui m'arrangeait), la langue sur les lèvres en faisant "mmmhh mmmhh" montrait qu'elle prenait son pied. Et c'est alors qu'elle dit :
- Mets-moi le doigt dans le trou du cul.
Oui, elle a dit ça, ma mère. C'est dégueu, hein ? N'empêche qu'elle a fait "oh ah c'est bon !" toujours en se la mettant bien profond, en se positionnant même brièvement sur ses pieds dans un claquement de peaux, signe qu'elle y allait de bon coeur. Ce pieu entrant et sortant verticalement devait lui procurer une sacrée sensation. Puis elle a fait "ouiiii" et elle s'est détachée de la queue encore bien raide. Elle avait joui.

Oui mais pas papa. Ils se sont assis face à face, de profil face à mon oeil en coin. Ils se sont branlés mutuellement en se tenant des propos insanes dont je rougis encore aujourd'hui :
- Tu m'as l'air en super forme ce matin, dit-elle.
- Tu m'as dit que tu avais envie de baiser. Alors, je te baise.
- Cela faisait un moment que tu ne m'avais pas baisée.
- Tu rigoles ? C'était il y a quinze jours.
- Ah oui, c'est vrai, chez les Martin, mais c'est plus Albert que toi qui m'a baisée pendant que tu baisais Micheline.
- Putain, une sacrée partie carrée. Micheline, quelle salope ! Et toi aussi d'ailleurs.
- Plaignez-vous les mecs. Les femmes qui baisent sont en voie d'extinction, à ce qu'on voit et entend. Bon, tu me la mets encore ? J'ai encore envie, moi. Prends-moi par derrière.

Ainsi donc, mes parents étaient libertins à leurs heures. Sacrée révélation dont je ne suis pas remise à l'heure où j'écris. Je n'avais décidément pas perdu mon temps, même si la morale réprouve totalement mon attitude. Du reste, foin d'hypocrisie. Je me suis aperçue, à ma grande honte, que je mouillais. Et je dégoulinai littéralement quand mon père a pris ma mère en levrette, me présentant son cul poilu en mouvement. Je ne l'avais encore jamais vu, ce cul paternel. Il besognait dur et ça clapotait sur le plumard. Il fallait que je fasse gaffe car ma mère tournait parfois la tête vers mon père pour encourager ses coups de boutoir, "vas y, encore, plus fort". Jamais rien vu d'aussi bestial. J'ai compris ce matin là que le sexe, le vrai sexe, c'était autre chose que le simple rapport amoureux dont je faisais mon idéal. Et c'étaient mes parents et je sais qu'ils s'aiment. Mais ils faisaient sortir la bête en eux. Je l'avais compris en voyant le visage de ma mère pendant qu'elle cavalait. Elle grimaçait de plaisir.

Je me sentais toute molle de mon poste d'observation illicite. Si Jordan s'était pointé, il passait à la casserole illico, sûr et certain. J'éprouvais un grand vide entre les cuisses. Quand j'ai repris mon voyeurisme (c'est bien le mot), ils avaient encore changé de position. Elle allongée, lui sur elle bras tendus, il continuait à la pilonner, les reins verrouillés par les chevilles croisées de ma mère, comme si elle avait peur qu'il se retire. Ils remplissaient la pièce de leurs gémissements, de leurs soupirs, de leurs cris même et je m'attendais au bouquet final. Mais ce n'était pas encore le moment.
Ils se sont à nouveau détachés, se sont mis à rire, oui à rire.
- Ben dis donc, tu me sers comme un chef, a dit ma mère.
- J'ai envie de jouir dans ton cul.
- Tu veux m'enculer, gros salaud ?
- Affirmatif. Tourne-toi.
- OK mais lèche-moi d'abord ou va chercher de la crème.

Alerte ! Je me précipitai dans ma chambre, l'oreille à la porte. J'entendis mon père entrer dans la salle de bain pour prendre de quoi lubrifier le petit trou de ma mère qui allait donc se faire sodomiser. Comment pouvait-elle supporter ça ? Lorsqu'il revint dans leur chambre, je me décidai contre toute prudence et toute pudeur à aller encore voir. Maman était à quatre pattes, cul en l'air et papa lui écartait les fesses pour lui mettre la langue et le doigt dans son anus. Je précise que le cul de ma mère m'était aussi inconnu que celui de mon père et je dois dire que je le trouvai beau, ferme, galbé. Pas étonnant qu'il inspirait papa. Il a attrapé le gel et a introduit le lubrifiant avant de positionner son membre.
- Vas-y doucement au début, hein ? a souffla la voix féminine.
- T'inquiète. Tu vas jubiler.

Jubiler ? Par la sodomie ? Eh bien oui. Papa s'est mis sur ses pieds comme pour surmonter le bassin de maman et il s'est enfoncé, lentement mais sûrement. Les peaux ont encore claqué et maman s'est mise à rouler des hanches en couinant et en s'exclamant "ah je baise ah je baise !" L'enculade n'a pas duré longtemps, cinq minutes à peine, mais ce fut tellement intense qu'ils ont joui ensemble, tous les deux. Bruyamment. J'ai filé dans ma chambre et j'ai attrapé mon gode dans le tiroir de ma table de nuit et je me suis branlée frénétiquement en pensant à un noir sculptural monté comme un âne. Puis vaincue par la fatigue, je me suis endormie.

J'ai retrouvé mes parents à l'heure du déjeuner, habillés comme d'habitude, décontractés, heureux.
- Alors ma chérie, tu as passé une bonne soirée ? Tu es rentrée plus tôt, non ?
- Euh oui, j'étais fatiguée. J'ai dormi.
Ils se sont regardés en souriant. Je me suis alors demandée s'ils n'avaient pas été parfaitement conscients que je les avais vus en train de baiser. Mais ils n'ont rien dit, et moi non plus. Parfois, le silence est d'or...

Les avis des lecteurs

J'ai adoré cette histoire extrêmement excitante... merci pour votre texte...divin

Histoire Erotique
La curiosité est un vilain défaut parait-il. Je ne suis pas persuadé que ce le fut pour Claire...
Merci et félicitation pour cette histoire.
Didier

Claire a ainsi bénéficié d'une vraie leçon de la part de ses parents, sans que ceux-ci ne sachent qu'ils avaient du public!
Bravo Micky pour cet excellent texte!



Texte coquin : Une petite espionne
Histoire sexe : Une rose rouge
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