Une petite pause sexe pendant la fête de la musique
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une petite pause sexe pendant la fête de la musique
J’habite un appart en ville entouré de parcs. Du coup pour la fête de la musique il y a des groupes qui joue partout autour de chez moi et impossible d’entendre quelque chose correctement en restant à la maison. Alors j’i l’habitude de faire un tour autour de chez moi et dès que de la musique me plait je m’arrête. Cette année la fête de la musique tombe un samedi alors après une grâce matinée et un bon petit déjeuner, je prends une douche et me prépare à aller faire un tour voir quelle est l’ambiance.
Les beaux jours sont déjà là, les filles sont plus courtement vêtues. Mes yeux se régalent par contre ce n’est pas le cas de mes oreilles! Je passe de la techno à du free jazz.. je ne comprends rien à ses musiques. J’arrive à un petit étang bordé de saules pleureurs, j’entends de la musique africaine. La chanteuse, une jeune black d’une petite trentaine d’année grande et ronde, est accompagnés par 5 musiciens. Je ne connais pas certains instruments. Elle chante une chanson de Rokia Traoré. J’ai quelques disques d’elle à la maison, alors je m’arrête pour écouter. Elle enchaine avec une chanson que je ne connais pas mais c’est aussi un rythme lent.
Un mec, assis derrière moi me tape sur la jambe, il me tend un pétard et me dit: « Tiens mais assieds toi! ».
Je m’assoies et tire des lattes et le passe à ma voisine de gauche qui me fais un grand sourire et me remercie. C’est une femme d’une cinquantaine d’année, j’en ai 34, black les cheveux blonds, elle porte un petit décolleté qui dévoile la naissance de ce qui semble être une belle poitrine généreuse. Elle porte une jupe jusqu’a mi cuisse suivi d’une paire de jambes pas très longue mais fine. Sa tête bouge au rythme de la musique. Je suis en train de la déshabiller du regard, elle tire une autre latte et passe le mégo à son voisin et elle se tourne vers moi. Je rougis, elle me sourit. Je lui rend son sourire. Gêné je tourne la tête. Une musique beaucoup plus dansante démarre. Certains musiciens ont changé d’instruments. Certains rythmes font penser à de la musique cubaine. Ma voisine se lève pour danser. Dommage que je ne sache pas du tout bouger mon corps (du moins pour la danse) sinon je me serai lever. Maintenant qu’elle est debout je peux admirer son cul bien rebondi. J’adore les fesses, c’est ce qui m’excite le plus dans le corps humain et les siennes sont non seulement magnifique mais elles savent bouger. Je n’arrive pas dégager mon regard. Quand elle tend une main vers moi pour que je me lève. Je prends sa main, je me lève, me penche vers elle et lui dit « désolé mais c’est vraiment mieux pour tout le monde que je ne danse pas! ». Elle rigole tout en continuant à bouger son corps. Je fais quelques mouvements de bras mais j’ai l’air ridicule. Je regarde autour de moi, je vois une buvette, je décide d’aller nous acheter à boire. Je reviens avec 2 bouteilles de bières, elle danse avec une clope au bec.
Je décapsule une bière avec mon briquet et lui donne en disant: « J’espère que je n’ai pas été trop présomptueux! ». Elle me sourit, attrape la bouteille de bière, me remercie par un bisou sur la joue, je rougis, elle tape sa bouteille contre la mienne et boit une gorgée. J’ouvre ma bière, avale quelques gorgées et lui dit « Romain », elle me répond sans arrêter de bouger son corps « Gloria » et me tend sa clope. Je tire dessus. Avec les 2 mains occupées je m’essaye à de petits mouvements de hanche, elle me regarde et rigole. Je rigole aussi mais ne bouges plus. Quelques minutes plus tard je suis sauvé par de la musique plus calme. Je lui rend sa clope et nous buvons en même temps une gorgée de bière.
Je m’assoies, elle fait pareil. Elle continue à onduler le haut de son corps et elle me dit « C’est une chanson d’amour impossible » et pause sa tête sur mon épaule. Je dois être rouge pivoine mais j’aime ce contact. Je suis célibataire depuis quelques mois et je n’ai pas tiré un coup depuis plus de 2 semaines. Ma queue réagit immédiatement. Je n’ose rien faire. Rapidement elle retire sa tête, s’éloigne un peu de moi mais fini par revenir déposer sa chevelure sur ma cuisse. Nous nous regardons dans les yeux. Elle me traduit la chanson en tripotant un brin d’herbe avec ses deux mains. J’ose poser ma main sur son bras. Elle me sourit, je lui souris et commence à caresser son bras.
Maintenant c’est l’histoire d’une mère dont le fils ainé est parti travailler à la ville depuis que son mari est mort. Je vois une larme couler au coin de son oeil. Je ne sais pas si c’est la chanson ou tout simplement le pollen ou même une saleté. Heureusement que les chansons africaines sont longues parce que j’aime caresser son bras et plus je le fais plus mon sexe gonfle. Elle tourne la tête vers mon ventre et sa joue vient se coller, à travers mon pantalon, sur ma queue tendue. Elle rigole et recule sa tête mais la remplace par sa main dont je caresse toujours le bras. Trop rapidement la musique est de nouveau beaucoup plus rythmée, des personnes se lèvent pour danser mais nous restons ainsi, ma main sur son bras et la sienne sur ma bite, toutes les deux faisant de petits mouvements tout en nous fixant du regard. Elle décide de se lever et m’attrapes par le bras. J’ai vraiment pas du tout envie de danser surtout que je porte un pantalon moulant (on dit que j’ai un beau cul) et ma gaule se voit énormément. Elle ondule son corps, ses fesses… Oh ses fesses.. je suis encore plus excité. Elle fixe mon entre jambe et m’attrape par la main pour me fait rentrer avec elle sous un saule pleureur.
Une fois que nous sommes isolés par les feuilles qui tombent jusqu’au sol ou l’eau, nous entendons encore la musique, je prends les choses en main. Je l’attrape par la taille et serre mon bras autour d’elle Jusqu’a ce que nos corps soient collés. Mes lèvres se posent entre les siennes. Alors que nous nous embrassons langoureusement, ma main descend de sa taille à sa fesse gauche que je commence à caresser alors qu’elle plonge une de ses mains dans mes cheveux. Je remonte sa jupe avec ma main, elle porte un string, je peux enfin toucher la peau de son cul.
Après de longues minutes nos lèvres se décollent et j’ai à peine le temps de dire « Si j’avais..», qu’elle place un doigt sur ma bouche. Son doigt descend sur mon menton, mon torse, mon ventre et attrape à pleine mon paquet. Ma bite gonfle entre ses doigts malgré le jean qui les sépare. Sa main me caresser un moment, elle pose sa bouche sur mes joues, mon cou… jusqu’à ce quelle soit à genoux. Elle ouvre ma ceinture. Mon sexe est tendu au maximum par la situation, ce silence uniquement recouvert par la musique et surtout le fait de pouvoir être surpris. Mon pantalon et mon boxer se retrouve à terre, ma bite est droite devant son visage. Elle pose à peine sa main sur mes couilles, qu’un filet de liquide épais et transparent coule de mon méat. Elle ouvre la bouche, avec sa langue recueille le liquide et remonte jusqu’à mon gland qu’elle gobe goulument. Elle fait de petits mouvements de vas et viens et avale un peu plus ma queue à chaque fois. C’est tellement bon que je l’attrape par les cheveux pour accompagner ses mouvements. La salope! Maintenant elle m’enfonce jusqu’à sa glotte, elle me pousse encore un peu au fond de sa bouche et ne bouge plus. Sa bave coule le long de ses lèvres. Avec mes mains je recule sa tête jusqu’à me faire sortir pour qu’elle reprenne sa respiration. Sa bave coule de ma queue, qu’elle branle, sur mes couilles qu’elle caresse toujours.
Rapidement sa bouche repart à la conquête de ma bite. Elle m’enfonce directement jusqu’au fond. Mes mains se crispent sur sa tête alors que la sienne s’active encore plus sur mes couilles. L’excitation est tellement forte que je sens à nouveau du liquide couler de mon méat, ça doit tomber directement dans sa gorge. Cette fois elle recule d’elle même et reprend le même traitement que tout à l’heure avec ses mains. Une fois qu’elle respire bien, en activant encore plus ses mains elle me demande: « Tu as une capote? ». Je réponds oui de la tête, me baisse, ses mains sont obligées de me lâcher et je prends dans mon porte monnaie un préservatif. Pendant ce temps elle s’est relevée, a baissé son string puis elle s'est tournée et penchée après avoir relevé sa jupe. Alors que je déroule la capote le long de ma queue elle rajoute: « Par contre tu n’entres que dans mon cul, mon minou est uniquement pour mon mec ».
Ca me va très bien. Je m’agenouille, ses mains écartent ses fesses et je plonge ma bouche contre sa rosette. Apres l’avoir bien lécher et humidifier, je presse le bout de ma langue contre son trou qui cède rapidement. Ma langue commence à la sodomiser. Elle lâche ses fesses, se penche et écarte ses jambes un peu plus, ce qui ouvre encore plus son cul, elle pose une main par terre pour se tenir et avec l’autre elle se caresse la chatte et le clito. Un doigt vient rejoindre ma langue dans son cul, lui aussi rentre facilement alors je remplace ma langue, après avoir cracher sur sa rondelle, par un deuxième doigt et rapidement un troisième. Je me lève, sa main continue de s’activer contre et dans sa moule, la mienne dans son cul et avec l’autre je me branle. Je sors mes doigts un a un. Elle gémit. Je pose mon gland contre sa rondelle et à l’aide de ma main je force doucement son cul. Je rentre entièrement mon gland, son troue appuie sur mon frein. Je reste comme ça un moment. Sa main vient compresser mes couilles remplies. Je l’attrape par les hanches, et je commence à la pénétrer de plus en plus profondément avec des mouvements doux. Une fois entièrement en elle j’accélère mes mouvements, je me cale au rythme de la musique. A chaque fois que je suis au fond de son cul mes couilles viennent taper ses doigts qui caressent sa moule. Je ralentis le rythme pour ne pas venir trop vite. Je sors entièrement. Elle ondule du cul, elle en redemande encore. Je pose à nouveau mon gland contre sa rondelle et je rentre d’un coup sec. Je fais 2 allers retours et je ressors. Je rentre encore une fois pour mieux ressentir. A chaque fois que je suis au fond d’elle je sens son cul se contracter autour de ma bite. Je recommence ça une dizaine de fois
L’excitation est très forte. Maintenant je la pillons d’abord tranquillement mais de plus en plus violemment. Même si elle fait tout pour ne pas être entendue, je l’entend gémir. Je serre encore plus fort ses hanches avec mes mains. Je sens ma queue encore plus gonfler, elle le sent aussi et se contracte encore plus fortement autour de moi. Je n’en plus, je me cale au plus profond d’elle. Je sens ses doigts, qui sont dans sa chatte, me caresser la bite. Je n’arrive plus a me retenir et j’explose dans ce cul si accueillant. Une fois entièrement vidé, je refais quelques mouvements en elle. Ma queue a bien rétrécis, je la sens manger dans mon sperme enfermé dans la capote. Je sors à regret. Je retire la capote, fais un noeud. Elle se retourne se penche sur ma bite molle et lèche les dernières gouttes de sperme qui la recouvre. Une fois qu’elle est entièrement propre elle remonte mon boxer et mon pantalon, referme ma ceinture. Elle se relève, remonte son string, arrange sa jupe, dépose ses lèvres contre les miennes que je dévore, elles ont un peu le gout de sperme. Elle se dégage de mes lèvres et quitte notre cachette sous le saule pleureur.
Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits et de réaliser tout ce qu’il vient de se passer que j’attends du bruit tout prêt. Je sors rapidement. Je ne vois plus Gloria. J’attend un peu mais elle ne reviendra pas alors je reprends ma ballade qui finira beaucoup plus calmement.
Les beaux jours sont déjà là, les filles sont plus courtement vêtues. Mes yeux se régalent par contre ce n’est pas le cas de mes oreilles! Je passe de la techno à du free jazz.. je ne comprends rien à ses musiques. J’arrive à un petit étang bordé de saules pleureurs, j’entends de la musique africaine. La chanteuse, une jeune black d’une petite trentaine d’année grande et ronde, est accompagnés par 5 musiciens. Je ne connais pas certains instruments. Elle chante une chanson de Rokia Traoré. J’ai quelques disques d’elle à la maison, alors je m’arrête pour écouter. Elle enchaine avec une chanson que je ne connais pas mais c’est aussi un rythme lent.
Un mec, assis derrière moi me tape sur la jambe, il me tend un pétard et me dit: « Tiens mais assieds toi! ».
Je m’assoies et tire des lattes et le passe à ma voisine de gauche qui me fais un grand sourire et me remercie. C’est une femme d’une cinquantaine d’année, j’en ai 34, black les cheveux blonds, elle porte un petit décolleté qui dévoile la naissance de ce qui semble être une belle poitrine généreuse. Elle porte une jupe jusqu’a mi cuisse suivi d’une paire de jambes pas très longue mais fine. Sa tête bouge au rythme de la musique. Je suis en train de la déshabiller du regard, elle tire une autre latte et passe le mégo à son voisin et elle se tourne vers moi. Je rougis, elle me sourit. Je lui rend son sourire. Gêné je tourne la tête. Une musique beaucoup plus dansante démarre. Certains musiciens ont changé d’instruments. Certains rythmes font penser à de la musique cubaine. Ma voisine se lève pour danser. Dommage que je ne sache pas du tout bouger mon corps (du moins pour la danse) sinon je me serai lever. Maintenant qu’elle est debout je peux admirer son cul bien rebondi. J’adore les fesses, c’est ce qui m’excite le plus dans le corps humain et les siennes sont non seulement magnifique mais elles savent bouger. Je n’arrive pas dégager mon regard. Quand elle tend une main vers moi pour que je me lève. Je prends sa main, je me lève, me penche vers elle et lui dit « désolé mais c’est vraiment mieux pour tout le monde que je ne danse pas! ». Elle rigole tout en continuant à bouger son corps. Je fais quelques mouvements de bras mais j’ai l’air ridicule. Je regarde autour de moi, je vois une buvette, je décide d’aller nous acheter à boire. Je reviens avec 2 bouteilles de bières, elle danse avec une clope au bec.
Je décapsule une bière avec mon briquet et lui donne en disant: « J’espère que je n’ai pas été trop présomptueux! ». Elle me sourit, attrape la bouteille de bière, me remercie par un bisou sur la joue, je rougis, elle tape sa bouteille contre la mienne et boit une gorgée. J’ouvre ma bière, avale quelques gorgées et lui dit « Romain », elle me répond sans arrêter de bouger son corps « Gloria » et me tend sa clope. Je tire dessus. Avec les 2 mains occupées je m’essaye à de petits mouvements de hanche, elle me regarde et rigole. Je rigole aussi mais ne bouges plus. Quelques minutes plus tard je suis sauvé par de la musique plus calme. Je lui rend sa clope et nous buvons en même temps une gorgée de bière.
Je m’assoies, elle fait pareil. Elle continue à onduler le haut de son corps et elle me dit « C’est une chanson d’amour impossible » et pause sa tête sur mon épaule. Je dois être rouge pivoine mais j’aime ce contact. Je suis célibataire depuis quelques mois et je n’ai pas tiré un coup depuis plus de 2 semaines. Ma queue réagit immédiatement. Je n’ose rien faire. Rapidement elle retire sa tête, s’éloigne un peu de moi mais fini par revenir déposer sa chevelure sur ma cuisse. Nous nous regardons dans les yeux. Elle me traduit la chanson en tripotant un brin d’herbe avec ses deux mains. J’ose poser ma main sur son bras. Elle me sourit, je lui souris et commence à caresser son bras.
Maintenant c’est l’histoire d’une mère dont le fils ainé est parti travailler à la ville depuis que son mari est mort. Je vois une larme couler au coin de son oeil. Je ne sais pas si c’est la chanson ou tout simplement le pollen ou même une saleté. Heureusement que les chansons africaines sont longues parce que j’aime caresser son bras et plus je le fais plus mon sexe gonfle. Elle tourne la tête vers mon ventre et sa joue vient se coller, à travers mon pantalon, sur ma queue tendue. Elle rigole et recule sa tête mais la remplace par sa main dont je caresse toujours le bras. Trop rapidement la musique est de nouveau beaucoup plus rythmée, des personnes se lèvent pour danser mais nous restons ainsi, ma main sur son bras et la sienne sur ma bite, toutes les deux faisant de petits mouvements tout en nous fixant du regard. Elle décide de se lever et m’attrapes par le bras. J’ai vraiment pas du tout envie de danser surtout que je porte un pantalon moulant (on dit que j’ai un beau cul) et ma gaule se voit énormément. Elle ondule son corps, ses fesses… Oh ses fesses.. je suis encore plus excité. Elle fixe mon entre jambe et m’attrape par la main pour me fait rentrer avec elle sous un saule pleureur.
Une fois que nous sommes isolés par les feuilles qui tombent jusqu’au sol ou l’eau, nous entendons encore la musique, je prends les choses en main. Je l’attrape par la taille et serre mon bras autour d’elle Jusqu’a ce que nos corps soient collés. Mes lèvres se posent entre les siennes. Alors que nous nous embrassons langoureusement, ma main descend de sa taille à sa fesse gauche que je commence à caresser alors qu’elle plonge une de ses mains dans mes cheveux. Je remonte sa jupe avec ma main, elle porte un string, je peux enfin toucher la peau de son cul.
Après de longues minutes nos lèvres se décollent et j’ai à peine le temps de dire « Si j’avais..», qu’elle place un doigt sur ma bouche. Son doigt descend sur mon menton, mon torse, mon ventre et attrape à pleine mon paquet. Ma bite gonfle entre ses doigts malgré le jean qui les sépare. Sa main me caresser un moment, elle pose sa bouche sur mes joues, mon cou… jusqu’à ce quelle soit à genoux. Elle ouvre ma ceinture. Mon sexe est tendu au maximum par la situation, ce silence uniquement recouvert par la musique et surtout le fait de pouvoir être surpris. Mon pantalon et mon boxer se retrouve à terre, ma bite est droite devant son visage. Elle pose à peine sa main sur mes couilles, qu’un filet de liquide épais et transparent coule de mon méat. Elle ouvre la bouche, avec sa langue recueille le liquide et remonte jusqu’à mon gland qu’elle gobe goulument. Elle fait de petits mouvements de vas et viens et avale un peu plus ma queue à chaque fois. C’est tellement bon que je l’attrape par les cheveux pour accompagner ses mouvements. La salope! Maintenant elle m’enfonce jusqu’à sa glotte, elle me pousse encore un peu au fond de sa bouche et ne bouge plus. Sa bave coule le long de ses lèvres. Avec mes mains je recule sa tête jusqu’à me faire sortir pour qu’elle reprenne sa respiration. Sa bave coule de ma queue, qu’elle branle, sur mes couilles qu’elle caresse toujours.
Rapidement sa bouche repart à la conquête de ma bite. Elle m’enfonce directement jusqu’au fond. Mes mains se crispent sur sa tête alors que la sienne s’active encore plus sur mes couilles. L’excitation est tellement forte que je sens à nouveau du liquide couler de mon méat, ça doit tomber directement dans sa gorge. Cette fois elle recule d’elle même et reprend le même traitement que tout à l’heure avec ses mains. Une fois qu’elle respire bien, en activant encore plus ses mains elle me demande: « Tu as une capote? ». Je réponds oui de la tête, me baisse, ses mains sont obligées de me lâcher et je prends dans mon porte monnaie un préservatif. Pendant ce temps elle s’est relevée, a baissé son string puis elle s'est tournée et penchée après avoir relevé sa jupe. Alors que je déroule la capote le long de ma queue elle rajoute: « Par contre tu n’entres que dans mon cul, mon minou est uniquement pour mon mec ».
Ca me va très bien. Je m’agenouille, ses mains écartent ses fesses et je plonge ma bouche contre sa rosette. Apres l’avoir bien lécher et humidifier, je presse le bout de ma langue contre son trou qui cède rapidement. Ma langue commence à la sodomiser. Elle lâche ses fesses, se penche et écarte ses jambes un peu plus, ce qui ouvre encore plus son cul, elle pose une main par terre pour se tenir et avec l’autre elle se caresse la chatte et le clito. Un doigt vient rejoindre ma langue dans son cul, lui aussi rentre facilement alors je remplace ma langue, après avoir cracher sur sa rondelle, par un deuxième doigt et rapidement un troisième. Je me lève, sa main continue de s’activer contre et dans sa moule, la mienne dans son cul et avec l’autre je me branle. Je sors mes doigts un a un. Elle gémit. Je pose mon gland contre sa rondelle et à l’aide de ma main je force doucement son cul. Je rentre entièrement mon gland, son troue appuie sur mon frein. Je reste comme ça un moment. Sa main vient compresser mes couilles remplies. Je l’attrape par les hanches, et je commence à la pénétrer de plus en plus profondément avec des mouvements doux. Une fois entièrement en elle j’accélère mes mouvements, je me cale au rythme de la musique. A chaque fois que je suis au fond de son cul mes couilles viennent taper ses doigts qui caressent sa moule. Je ralentis le rythme pour ne pas venir trop vite. Je sors entièrement. Elle ondule du cul, elle en redemande encore. Je pose à nouveau mon gland contre sa rondelle et je rentre d’un coup sec. Je fais 2 allers retours et je ressors. Je rentre encore une fois pour mieux ressentir. A chaque fois que je suis au fond d’elle je sens son cul se contracter autour de ma bite. Je recommence ça une dizaine de fois
L’excitation est très forte. Maintenant je la pillons d’abord tranquillement mais de plus en plus violemment. Même si elle fait tout pour ne pas être entendue, je l’entend gémir. Je serre encore plus fort ses hanches avec mes mains. Je sens ma queue encore plus gonfler, elle le sent aussi et se contracte encore plus fortement autour de moi. Je n’en plus, je me cale au plus profond d’elle. Je sens ses doigts, qui sont dans sa chatte, me caresser la bite. Je n’arrive plus a me retenir et j’explose dans ce cul si accueillant. Une fois entièrement vidé, je refais quelques mouvements en elle. Ma queue a bien rétrécis, je la sens manger dans mon sperme enfermé dans la capote. Je sors à regret. Je retire la capote, fais un noeud. Elle se retourne se penche sur ma bite molle et lèche les dernières gouttes de sperme qui la recouvre. Une fois qu’elle est entièrement propre elle remonte mon boxer et mon pantalon, referme ma ceinture. Elle se relève, remonte son string, arrange sa jupe, dépose ses lèvres contre les miennes que je dévore, elles ont un peu le gout de sperme. Elle se dégage de mes lèvres et quitte notre cachette sous le saule pleureur.
Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits et de réaliser tout ce qu’il vient de se passer que j’attends du bruit tout prêt. Je sors rapidement. Je ne vois plus Gloria. J’attend un peu mais elle ne reviendra pas alors je reprends ma ballade qui finira beaucoup plus calmement.
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