Une petite "pipe au champagne".
Récit érotique écrit par Alexandre73000 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une petite "pipe au champagne".
En arrivant au pied de mon immeuble je rangeais rapidement mon vélo à la cave ne prenant pas même la peine de passer un petit coup de chiffon pour le sécher. J’étais encore très excité et le cuissard moulant ne m’aidait pas beaucoup à cacher ma condition. Sans compter sur la rougeur de mes joues que je sentais rayonner. Je croisais un voisin que je saluais à la hâte écourtant la conversation puis je montais à mon appartement.
Enfin chez moi, je poussai le loquet, fonçant à la salle de bains, je me déshabillais rapidement tout en jetant mes habits à même le sol et me glissai sous la douche. Je me masturbais avec entrain jusqu’à gicler à longs jets chaud sur le mur. Une bonne douche froide finie de me faire reprendre mes esprits.
Ce n’est qu’en récupérant mes affaires pour les passer à la machine à laver que je vis un papier sur le sol sur lequel était griffonné un prénom « Bruno » et un numéro de portable. Je tenais d’une main tremblante ce petit bout papier tiraillé entre l’envie de me sortir cette relation de la tête et l’envie de le rappeler sans attendre. Je repoussais cette dernière idée me convaincant que ce type de relation n’était pas très « politiquement correcte ». S’ensuivit une nuit particulièrement agité ou je me réveillais plusieurs fois en sueur le sexe bandé et mes fesses réclamant les assauts de mon amant. Aussi le lendemain matin, la boule au ventre, je me résolu à le rappeler dès 8h00 du matin. Il répondit assez rapidement et je reconnu immédiatement sa voix sèche et autoritaire ce qui provoqua chez moi un afflux de stress. Je lui dis d’une petite voix qui contrastait totalement avec la sienne : « Bonjour, c’est Alexandre le jeune homme de l’abri bus, je ne vous dérange pas ? ». Ce a quoi il répondit « Absolument pas je suis un lève tôt, en tous cas je suis content que tu me rappelles, on dirait que tu as apprécié le traitement et c’est plutôt flatteur pour moi ». Je sentis le rouge me monter jusqu’aux oreilles et rendez vous fut pris le soir même à son appartement qui se situait à un petit quart d’heure à peine de chez moi.
La journée fut longue et partagée entre l’envie d’aller à ce rencard et l’envie de partir en courant. Le soir venu je pris une longue douche et me rasais de près puis j’entrepris le court trajet les jambes tremblantes et les mains moites. Arrivé au pied de l’immeuble je pris deux longues respirations, consultais les boites aux lettres, grimpais sans hâte les quatre étages et sonnais à la porte. Il m’ouvrit et me dit : « Ah ! Salut Alexandre, tu tombes bien nous attaquions juste l’apéro. Tu vas pouvoir rester manger avec nous. ». Moi qui m’attendais à un tête à tête j’étais surpris et cela accentua encore ma gène. Bruno au contraire étais très naturel et me présenta à son couple d’amis comme un collègue avec qui il faisait pas mal de grimpettes à vélo. Comprenant l’allusion au terme de « grimpette » je piquais un fard terrible et les saluait maladroitement. Ils devaient avoir à peu près le même âge que Bruno, elle, Chantal, petite blonde d’environs 1m60, un peu rondelette mais très mignonne et lui, Laurent, 1m75, brun assez sec avec une barbe de trois jour.
Je ne savais pas vraiment si ils étaient dans la confidence et jouaient un rôle préparé à l’avance. Mais le diner se passa sans problème particulier, l’apéritif et le vin aidant je fus de plus en plus à l’aise. Enfin vers 23h30 ils prirent congé de leur hôtes et s’en allèrent nous laissant enfin seul pour ma plus grande joie. Bruno nous servit deux whiskey et nous commençâmes à discuter de nous. Il avait 46 ans, divorcé sans enfant et il me disait apprécier les mecs parce qu’il les trouvais beaucoup plus faciles à séduire que les jeunes femmes tout en étant aussi doux et chaud. Devant mon air incrédule il me proposa de me démontrer que ma peau pouvait être aussi douce que la peau d’une demoiselle et me pris par la main m’entrainant vers la salle de bain.
Il m’ordonna de me déshabiller, pris une bombe de gel à raser, un rasoir jetable et me fit passer sous la douche. M’humidifiant tout corps il commença par me raser de la tête aux pieds commençant par les aisselles, le torse, les jambes et enfin le sexe et les fesses. Pas un poil n’échappa au « massacre », alors il me rinça consciencieusement puis me passa une crème hydratante. Mes doigts effleurèrent ma peau et je sentit une douceur insoupçonnée, m’admirant dans la glace je me surpris à me trouver vraiment « bandante ».
Vraisemblablement il devait partager mon point de vu, car il me souleva prestement et me tenant dans ses bras il me conduisit vers la chambre à coucher. Je n’eu pas vraiment le loisir d’admirer la décoration mais il avait tout prévu pour ma visite parce qu’une bouteille de champagne et deux coupes nous attendais sur la table de nuit et les draps sentaient bon le « frais ». Il me déposa sur le lit et je l’entrainais vers moi les bras autour du cou. Nos langues de mêlèrent et mes doigts le déshabillèrent prestement commençant par la chemise puis le pantalon, le boxer et les chaussettes. Poursuivant notre baiser nos mains parcoururent nos corps respectif pendant quelques minutes, puis abandonnant ma bouche, ses lèvres descendirent lentement vers mon cou, puis mon torse, mon ventre et contournant mon sexe dressé il alla titillé mon sillon fessier et mon anus rasé de près. Il se lança dans un anulingus très agréable, sa bouche fouillant littéralement mon trou du cul. Très excité par cette entrée en matière je pris les choses en main et me relevant je me dirigea vers son sexe fièrement dressé qui n’attendait que moi. Je le pris goulument en bouche et le pompais avec entrain. Puis, me tenant la tête à deux mains il me pistonna carrément la bouche au point que j’en ais des haut-le-cœur. Alors le sexe bien baveux il me rallongea sur le dos me faisant écarter les jambes il me pénétra comme une femme. Il étais beaucoup plus doux que la veille et je ne ressentis cette fois absolument aucune douleur mais un plaisir évident et tout en me baisant il m’embrassait et s’amusait à faire rouler mes tétons entre ses doigts.
Il se retira de mon cul et s’allongea à coté de moi m’invitant à venir s’empaler sur son pieux. Dans cette position je pouvais gérer à ma guise le va-et-vient alternant accélérations et mouvement lents. Ne restant pas inactif il me branlait vigoureusement le sexe et cette action conjuguée à l’excitation de la journée et son sexe me sodomisant en cadence eurent rapidement raison de moi et je me vida en longue saccades sur son bas ventre. Les contractions de mon anus provoquèrent son éjaculation et il m’imita se déversant au creux de mes entrailles.
Nous restâmes quelques secondes le corps haletant puis, je lui nettoya le sexe en quelques coups de langues puis me délectais de mon sperme encore chaud sur son ventre. Se relevant il me sourit et me dis « Mais c’est que tu aimes le sperme ma petite cochonne », il nous servit deux flutes de champagnes puis nous trinquâmes. J’entrepris une petite « pipe au champagne ce qui ne tarda pas à lui redonner du tonus. Alors me mettant à quatre pattes sur le lit, il me pénétra en levrette. Mon cul était désormais bien « ouvert » et lubrifié par le sperme de mon amant alors il me pistonna avec entrain me défonçant littéralement le cul ses mains claquant alternativement chacune de mes fesses. Sentant qu’il allait jouir, il me fit mettre à genou devant lui et se branla dans ma bouche grande ouverte. Ses premières giclées frappèrent mon palais puis directement la glotte me donnant un haut-le-cœur. Je m’efforça de tout avaler puis lui nettoya le sexe en quelques coups de langues.
Fatigués nous nous allongeâmes sur le lit en nous embrassant pendant que nos mains parcouraient nos corps. Je m’endormis dans ses bras me sentant plus femme que jamais…
Enfin chez moi, je poussai le loquet, fonçant à la salle de bains, je me déshabillais rapidement tout en jetant mes habits à même le sol et me glissai sous la douche. Je me masturbais avec entrain jusqu’à gicler à longs jets chaud sur le mur. Une bonne douche froide finie de me faire reprendre mes esprits.
Ce n’est qu’en récupérant mes affaires pour les passer à la machine à laver que je vis un papier sur le sol sur lequel était griffonné un prénom « Bruno » et un numéro de portable. Je tenais d’une main tremblante ce petit bout papier tiraillé entre l’envie de me sortir cette relation de la tête et l’envie de le rappeler sans attendre. Je repoussais cette dernière idée me convaincant que ce type de relation n’était pas très « politiquement correcte ». S’ensuivit une nuit particulièrement agité ou je me réveillais plusieurs fois en sueur le sexe bandé et mes fesses réclamant les assauts de mon amant. Aussi le lendemain matin, la boule au ventre, je me résolu à le rappeler dès 8h00 du matin. Il répondit assez rapidement et je reconnu immédiatement sa voix sèche et autoritaire ce qui provoqua chez moi un afflux de stress. Je lui dis d’une petite voix qui contrastait totalement avec la sienne : « Bonjour, c’est Alexandre le jeune homme de l’abri bus, je ne vous dérange pas ? ». Ce a quoi il répondit « Absolument pas je suis un lève tôt, en tous cas je suis content que tu me rappelles, on dirait que tu as apprécié le traitement et c’est plutôt flatteur pour moi ». Je sentis le rouge me monter jusqu’aux oreilles et rendez vous fut pris le soir même à son appartement qui se situait à un petit quart d’heure à peine de chez moi.
La journée fut longue et partagée entre l’envie d’aller à ce rencard et l’envie de partir en courant. Le soir venu je pris une longue douche et me rasais de près puis j’entrepris le court trajet les jambes tremblantes et les mains moites. Arrivé au pied de l’immeuble je pris deux longues respirations, consultais les boites aux lettres, grimpais sans hâte les quatre étages et sonnais à la porte. Il m’ouvrit et me dit : « Ah ! Salut Alexandre, tu tombes bien nous attaquions juste l’apéro. Tu vas pouvoir rester manger avec nous. ». Moi qui m’attendais à un tête à tête j’étais surpris et cela accentua encore ma gène. Bruno au contraire étais très naturel et me présenta à son couple d’amis comme un collègue avec qui il faisait pas mal de grimpettes à vélo. Comprenant l’allusion au terme de « grimpette » je piquais un fard terrible et les saluait maladroitement. Ils devaient avoir à peu près le même âge que Bruno, elle, Chantal, petite blonde d’environs 1m60, un peu rondelette mais très mignonne et lui, Laurent, 1m75, brun assez sec avec une barbe de trois jour.
Je ne savais pas vraiment si ils étaient dans la confidence et jouaient un rôle préparé à l’avance. Mais le diner se passa sans problème particulier, l’apéritif et le vin aidant je fus de plus en plus à l’aise. Enfin vers 23h30 ils prirent congé de leur hôtes et s’en allèrent nous laissant enfin seul pour ma plus grande joie. Bruno nous servit deux whiskey et nous commençâmes à discuter de nous. Il avait 46 ans, divorcé sans enfant et il me disait apprécier les mecs parce qu’il les trouvais beaucoup plus faciles à séduire que les jeunes femmes tout en étant aussi doux et chaud. Devant mon air incrédule il me proposa de me démontrer que ma peau pouvait être aussi douce que la peau d’une demoiselle et me pris par la main m’entrainant vers la salle de bain.
Il m’ordonna de me déshabiller, pris une bombe de gel à raser, un rasoir jetable et me fit passer sous la douche. M’humidifiant tout corps il commença par me raser de la tête aux pieds commençant par les aisselles, le torse, les jambes et enfin le sexe et les fesses. Pas un poil n’échappa au « massacre », alors il me rinça consciencieusement puis me passa une crème hydratante. Mes doigts effleurèrent ma peau et je sentit une douceur insoupçonnée, m’admirant dans la glace je me surpris à me trouver vraiment « bandante ».
Vraisemblablement il devait partager mon point de vu, car il me souleva prestement et me tenant dans ses bras il me conduisit vers la chambre à coucher. Je n’eu pas vraiment le loisir d’admirer la décoration mais il avait tout prévu pour ma visite parce qu’une bouteille de champagne et deux coupes nous attendais sur la table de nuit et les draps sentaient bon le « frais ». Il me déposa sur le lit et je l’entrainais vers moi les bras autour du cou. Nos langues de mêlèrent et mes doigts le déshabillèrent prestement commençant par la chemise puis le pantalon, le boxer et les chaussettes. Poursuivant notre baiser nos mains parcoururent nos corps respectif pendant quelques minutes, puis abandonnant ma bouche, ses lèvres descendirent lentement vers mon cou, puis mon torse, mon ventre et contournant mon sexe dressé il alla titillé mon sillon fessier et mon anus rasé de près. Il se lança dans un anulingus très agréable, sa bouche fouillant littéralement mon trou du cul. Très excité par cette entrée en matière je pris les choses en main et me relevant je me dirigea vers son sexe fièrement dressé qui n’attendait que moi. Je le pris goulument en bouche et le pompais avec entrain. Puis, me tenant la tête à deux mains il me pistonna carrément la bouche au point que j’en ais des haut-le-cœur. Alors le sexe bien baveux il me rallongea sur le dos me faisant écarter les jambes il me pénétra comme une femme. Il étais beaucoup plus doux que la veille et je ne ressentis cette fois absolument aucune douleur mais un plaisir évident et tout en me baisant il m’embrassait et s’amusait à faire rouler mes tétons entre ses doigts.
Il se retira de mon cul et s’allongea à coté de moi m’invitant à venir s’empaler sur son pieux. Dans cette position je pouvais gérer à ma guise le va-et-vient alternant accélérations et mouvement lents. Ne restant pas inactif il me branlait vigoureusement le sexe et cette action conjuguée à l’excitation de la journée et son sexe me sodomisant en cadence eurent rapidement raison de moi et je me vida en longue saccades sur son bas ventre. Les contractions de mon anus provoquèrent son éjaculation et il m’imita se déversant au creux de mes entrailles.
Nous restâmes quelques secondes le corps haletant puis, je lui nettoya le sexe en quelques coups de langues puis me délectais de mon sperme encore chaud sur son ventre. Se relevant il me sourit et me dis « Mais c’est que tu aimes le sperme ma petite cochonne », il nous servit deux flutes de champagnes puis nous trinquâmes. J’entrepris une petite « pipe au champagne ce qui ne tarda pas à lui redonner du tonus. Alors me mettant à quatre pattes sur le lit, il me pénétra en levrette. Mon cul était désormais bien « ouvert » et lubrifié par le sperme de mon amant alors il me pistonna avec entrain me défonçant littéralement le cul ses mains claquant alternativement chacune de mes fesses. Sentant qu’il allait jouir, il me fit mettre à genou devant lui et se branla dans ma bouche grande ouverte. Ses premières giclées frappèrent mon palais puis directement la glotte me donnant un haut-le-cœur. Je m’efforça de tout avaler puis lui nettoya le sexe en quelques coups de langues.
Fatigués nous nous allongeâmes sur le lit en nous embrassant pendant que nos mains parcouraient nos corps. Je m’endormis dans ses bras me sentant plus femme que jamais…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je rêve de me trouver dans cette situation!
vite la suite...
tres tres bon bandant