une petite série excitante
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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une petite série excitante
Il y avait 6 ans que nous habitions en bord de mer à quelques kilomètres de Marseille, mon mari que j'aimais comme au premier jour où je l'ai vu,était toujours autant candauliste et à l'aube de mes trente-cinq ans j'en profitais souvent. Au début de notre installation dans le sud-est, il se déplaçait souvent dans l'hexagone et depuis un an maintenant il partait régulièrement en Europe voire à l'autre bout de la planète. Nos enfants rentraient dans la préadolescence, ils étaient autonomes dans la journée mais une étudiante venait à la maison lorsque je sortais avec une amie ou avec mon mari et nos amis.
Une semaine, Christophe, mon mari était parti pour son travail à Dubaï et ne rentrait que le dimanche matin, le samedi soir, après avoir reçu la « nounou » pour garder les enfants, les préparer et les coucher, je suis sortie avec une amie très complice, on a commencé par un restaurant sympa puis après on a fini la soirée dans notre boîte de nuit habituelle. Au bar, j'ai discuté avec un homme d’une quarantaine d'années, grand et mince avec un certain charisme, il a du partir vers 3 heures du matin mais a eu le temps de me donner son téléphone et de me faire promettre de l'appeler le lendemain pour se voir rapidement.
J'ai été rejoindre mon amie au comptoir, il y avait deux jeunes accoudés à son côté, ils ont commencé discuter avec nous, l'un des deux s'est décalé vers moi, en riant, je lui ai demandé s'il était venu à vélo vu son jeune âge, il a avoué ne pas posséder son permis mais il m'a fièrement mis sa carte d'identité sous les yeux montrant qu'il était majeur depuis quelques mois. À ce moment là une réflexion de Christophe mon chéri m'est revenue en mémoire « tu as eu pas mal d'amants beaucoup plus vieux que toi, tu devrais essayer un petit jeune, ça te changerait ». Du coup j'ai regardé mon voisin un peu plus attentivement, c'est vrai qu'il faisait gamin mais il était plutôt bel homme , dans les 1m 85, relativement « baraqué » et il avait un très beau sourire.
Vers la fin de la soirée, lorsque le D.J. a mis une série de slow, il m'a entraîné sur la piste, à mon habitude, j'ai passé les bras autour de son cou, lui me collant très près, rapidement j'ai senti qu'il avait une érection et au lieu de m'écarter et de jouer les offusquées, j'ai collé mon ventre au sien, à la fin Du morceau, je l'ai laissé m'embrasser, un patin hésitant. Son copain avait fait « chou blanc » avec mon amie qui m’attendait au bar. Je lui ai dit que j'allais la raccompagner puis ramener Bruno chez lui, on est parti, la copine devant et mon sans doute futur amant sur la banquette arrière.
Une fois mon amie déposée, j'ai proposé à Bruno de passer devant, il m'a dit qu'il se sentait bien à l’arrière et qu'il avait l'impression d'avoir un chauffeur personnel. A l'aller, on était passé pas loin de chez ses parents mais il m'a guidée vers un chemin de campagne très isolé. Moteur arrêté et tous feux éteints, j'ai été le rejoindre à l'arrière puis j'ai verrouillé les portières. Il m'a sauté dessus , je lui ai dit de ralentir, là on s'est embrassé calmement mais intensément sa langue un peu brouillon au début a trouvé vite le bon rythme, ses mains sont venu sur ma poitrine, il a défait les boutons de mon corsage un à un puis à voulu défaire mon soutien-gorge en mettant sa main dans mon dos, je lui ai fait remarquer que l’attache était devant entre les deux bonnets, mes deux seins ont été libéré et sa bouche est passée de l'un à l'autre, je commençais à avoir la culotte sérieusement humide. Tout en continuant à embrasser mes seins il a posé une main sur ma cuisse pour passer sous ma jupe, j'ai frissonné lorsqu'un doigt est arrivé entre mes bas dim-up et ma culotte puis est passé sous le tissu, ça y était un gamin juste majeur me branlait le clito, le contact était différent de mes autres amants, le geste était un peu désordonné mais la nouveauté compensait la maladresse. Lorsqu'il a tiré ma culotte vers le bas, j'ai soulevé les fesses pour l'aider. Connaissant l'habitude de certains hommes de garder les culottes comme trophée, j'ai fini de la retirer avant de la mettre de côté. A mon tour, j'ai commencé à lui caresser le sexe sur le pantalon puis j'ai défait la ceinture, ouvert la fermeture et caressé sa belle verge, taille standard mais bien raide, vu son âge c'était normal.
Je me suis penchée et j'ai posé mes lèvres sur le gland, j'ai tiré pour le décalotter avant de le sucer un bon coup. D'une main je caressais les couilles, avec la bouche, je faisais des bisous le long de la tige avant de le reprendre en bouche, j'aime sucer mon partenaire, avec Bruno, j'ai senti qu'il ne fallait pas que ça dure plus longtemps, je me suis étendue sur la banquette arrière, ma jupe enroulée autour de ma taille, j'ai attiré Bruno, il est rentré d'un coup, j’étais bien lubrifiée et sa verge s'est positionnée directement devant mon trou. Comme avec chaque nouvel amant, la sensation de la première pénétration est toujours sublime, même rapide je sentais et imaginais le gland s'enfoncer dans mon vagin, les parois découvraient ce nouveau contact charnel et mon clito m’envoyait des ondes électriques dans tout le corps, rapidement, j'ai eu un orgasme, mon jeune amant a suivi aussitôt. On est resté un moment l'un dans l'autre puis on s'est assis pour se rafistoler comme on a pu, j'ai rattaché mon soutien-gorge, fermé mon corsage, j'ai remis ma jupe en place , j'ai mis des kleenex au fond de ma culotte avant de la remettre.
Avant de partir, il m'a demandé mon téléphone je lui ai dit que s'il appelait, qu'il me demande de la part de Bruno, mon mari sera au courant, il m'a dit que deux semaines plus tard, ses parents partaient une semaine et qu'il aimerait me revoir alors.
En fin de matinée du dimanche, j'ai été chercher Christophe à l'aéroport de Marignane, en chemin, je lui ai raconter ma soirée avec mon jeune et l’éventuel deuxième rdv, il m'a dit qu'il devait aller le lundi à son bureau pour le « débriefing » puis serait à la maison les trois jours suivant, donc j'avais mon lundi tranquille.
Après le repas familial, nos enfants sont sortis voir les copains, on est parti aussitôt faire la sieste, une fois nus et enlacés, j’ai raconté en détail ma fin de nuit avec mon jeune amant, pendant qu'il me faisait un délicieux cunnilingus, je finissais de lui raconter, ne pouvant parler et sucer, dès la fin de l’histoire, j’ai avalé le phallus de mon homme, comme à notre habitude on a fait l’amour en parfaite harmonie, on se connaissait sur le bout des doigts de la langue et d'ailleurs, on était naturellement l'un dans l'autre, pour nous c’était une évidence. Ensuite il m'a demandé si j'allais appeler le second, j’ai répondu que j'allais le faire , je lui ai dit que le jeune voulait me voir chez lui la semaine suivante, aucun problème, il était au bureau tous les jours.
J’ai téléphoné au numéro 1 de connaissance et numéro 2 dans la concrétisation, il me proposait de le retrouver le lundi vers 14h dans un petit appartement prêté par un copain, sa femme actrice était sur scène le samedi soir et dimanche après-midi et son théâtre faisait relâche le lundi d’où l’appartement de secours.
J’ai pris un peu d’avance, les gps n’étaient pas monnaie courante alors, malgré mon avance, il a répondu au premier coup de sonnette, un fois dedans, on ne savait pas si on devait s'embrasser sur les joues se faire un bisou sur les lèvres ou se rouler un patin, on a pris la deuxième solution. Après avoir bu un café, il m’a prise dans ses bras et là, on s’est roulé notre premier patin, ensuite, tout s'est déroulé naturellement, on s’est déshabillé mutuellement puis couché côte à côte, on s’est embrassé, il m’a caressé du cou au minou, là il m’a écarté les jambes, s’est placé entre et m'a dévoré littéralement le minou, il a sucé et mordillé mes grandes et petites lèvres sa langue est passée du clitoris jusqu’ai bord de ma petite étoile sans toutefois y rester, mon clitoris a été sollicité par sa langue, ses lèvres même ses dents sont venues le mordiller doucement, j’ai eu je pense trois orgasme à la suite.
Lorsqu'il a arrêté et qu’il a amené sa bite à la hauteur de ma bouche, il m'a fallu redescendre dur terre avant de m'en occuper dignement. Le sexe de mon jeune ressemblait à celui de mon chéri, celui d'Antoine avait une longueur similaire mais était plus « trapu", mais peu importe, j'adore sucer une queue bien raide et c’était le cas. Il était à genoux sur le lit et moi appuyée sur un bras, après trois orgasmes successifs, j’avais plus envie de baise que de faire une fellation, je me suis étendue en l'entrainant sur moi j’ai attrapé son phallus et avant de le faire pénétrer, je me suis frotté le clitoris avec le gland puis je l’ai mis en position , il m’a souri et m'a pénétrée, encore une sensation bien sur connue mais nouvelle et différente selon mes amants, leur sexe et la manière de l'utiliser. Richard semblait infatigable, j’avais eu trois orgasmes lors du cunni, j’en était au second avec ses coups de reins.
Mon jeune amant devait faire entre 1m 80 et 1m 85, relativement musclé, mon mari faisait 1m75 pour 73 kg, musclé et de beaux restes d'ancien sportif, le 3ème, il devait flirter avec le mètre 90 et ne pas dépasser les 70 kg, il avait un mélange de cheveux blancs et blonds, lorsque j'ai raconté ce détail à mon chéri, on l'a surnommé le grand blanc-blond, tout ça pour dire que je ne pouvais pas les confondre.
J’étais mariée et très amoureuse de mon chéri, j’ai bien aimé baiser avec mon jeunot, j’ai beaucoup aimer baiser avec le grand blanc-blond et j’ai adoré avoir trois hommes différents en moins d'un jour et demie entre mes cuisses.
Le soir, lorsque Christophe est rentré il a vu immédiatement que Je m’étais éclatée avec mon dernier amant, je lui ai dit que oui, bien sûr mais que c'était autant d'avoir eu des relations sexuelles avec lui et deux autres en un temps très court.
Peu après, mon jeune m'a appelé me confirmant le départ de ses parents à partir du samedi la semaine suivante, je lui ai dit que les w.e. Je n’étais pas disponible, il m'a donné son adresse en me disant qu'il n'irait pas au collège le lundi et qu'il m’invitait à un petit repas chez lui à midi.
A mon arrivée, il m'a sauté dessus, je lui ai demandé de me montrer ce qu'il avait préparé à manger, c’était simple mais assez bon ensuite, il m'a amenée dans la chambre de ses parents, il tenait à me faire l'amour dans leur lit. Il m'a déshabillée calmement, je l'ai déshabillé au même rythme, je l'ai couché puis je lui ai fait une fellation avec tout le confort nécessaire pour en faire une digne de ce nom, il m'a étonné de sa résistance, il s'était peut-être masturbé avant mon arrivée pour se calmer. Je n’ai pas eu besoin de lui demander, il s'est placé au bord du lit, a écarté mes cuisses puis m'a fait un cunnilingus. Au début, il était un peu trop rapide, je lui ai tenu la tête pour lui donner le bon tempo, il a appris très vite et j'ai joui. Il m'a baisée 3 fois presque à la suite.
Lorsqu'il fut l’heure de partir, il m'a fait promettre de revenir j'ai dit oui pour le jeudi suivant. Ce jour-là, j'ai passé la matinée avec mon grand blanc-blond, l'après-midi avec mon jeune et le soir avec mon chéri. J'ai amélioré ma performance, mes trois hommes en 12 heures de temps.
Je n'ai plus revu mon jeune, le grand blanc-blond, c'est une autre histoire.
Chez Bruno il y avait une photo de ses parents qui semblaient très jeune, sa mère l'a eu alors qu'elle n'avait pas 18 ans, elle avait six mois de plus que moi, je pense qu'il était motivé d'avoir une maîtresse de l’âge de sa mère.
Une semaine, Christophe, mon mari était parti pour son travail à Dubaï et ne rentrait que le dimanche matin, le samedi soir, après avoir reçu la « nounou » pour garder les enfants, les préparer et les coucher, je suis sortie avec une amie très complice, on a commencé par un restaurant sympa puis après on a fini la soirée dans notre boîte de nuit habituelle. Au bar, j'ai discuté avec un homme d’une quarantaine d'années, grand et mince avec un certain charisme, il a du partir vers 3 heures du matin mais a eu le temps de me donner son téléphone et de me faire promettre de l'appeler le lendemain pour se voir rapidement.
J'ai été rejoindre mon amie au comptoir, il y avait deux jeunes accoudés à son côté, ils ont commencé discuter avec nous, l'un des deux s'est décalé vers moi, en riant, je lui ai demandé s'il était venu à vélo vu son jeune âge, il a avoué ne pas posséder son permis mais il m'a fièrement mis sa carte d'identité sous les yeux montrant qu'il était majeur depuis quelques mois. À ce moment là une réflexion de Christophe mon chéri m'est revenue en mémoire « tu as eu pas mal d'amants beaucoup plus vieux que toi, tu devrais essayer un petit jeune, ça te changerait ». Du coup j'ai regardé mon voisin un peu plus attentivement, c'est vrai qu'il faisait gamin mais il était plutôt bel homme , dans les 1m 85, relativement « baraqué » et il avait un très beau sourire.
Vers la fin de la soirée, lorsque le D.J. a mis une série de slow, il m'a entraîné sur la piste, à mon habitude, j'ai passé les bras autour de son cou, lui me collant très près, rapidement j'ai senti qu'il avait une érection et au lieu de m'écarter et de jouer les offusquées, j'ai collé mon ventre au sien, à la fin Du morceau, je l'ai laissé m'embrasser, un patin hésitant. Son copain avait fait « chou blanc » avec mon amie qui m’attendait au bar. Je lui ai dit que j'allais la raccompagner puis ramener Bruno chez lui, on est parti, la copine devant et mon sans doute futur amant sur la banquette arrière.
Une fois mon amie déposée, j'ai proposé à Bruno de passer devant, il m'a dit qu'il se sentait bien à l’arrière et qu'il avait l'impression d'avoir un chauffeur personnel. A l'aller, on était passé pas loin de chez ses parents mais il m'a guidée vers un chemin de campagne très isolé. Moteur arrêté et tous feux éteints, j'ai été le rejoindre à l'arrière puis j'ai verrouillé les portières. Il m'a sauté dessus , je lui ai dit de ralentir, là on s'est embrassé calmement mais intensément sa langue un peu brouillon au début a trouvé vite le bon rythme, ses mains sont venu sur ma poitrine, il a défait les boutons de mon corsage un à un puis à voulu défaire mon soutien-gorge en mettant sa main dans mon dos, je lui ai fait remarquer que l’attache était devant entre les deux bonnets, mes deux seins ont été libéré et sa bouche est passée de l'un à l'autre, je commençais à avoir la culotte sérieusement humide. Tout en continuant à embrasser mes seins il a posé une main sur ma cuisse pour passer sous ma jupe, j'ai frissonné lorsqu'un doigt est arrivé entre mes bas dim-up et ma culotte puis est passé sous le tissu, ça y était un gamin juste majeur me branlait le clito, le contact était différent de mes autres amants, le geste était un peu désordonné mais la nouveauté compensait la maladresse. Lorsqu'il a tiré ma culotte vers le bas, j'ai soulevé les fesses pour l'aider. Connaissant l'habitude de certains hommes de garder les culottes comme trophée, j'ai fini de la retirer avant de la mettre de côté. A mon tour, j'ai commencé à lui caresser le sexe sur le pantalon puis j'ai défait la ceinture, ouvert la fermeture et caressé sa belle verge, taille standard mais bien raide, vu son âge c'était normal.
Je me suis penchée et j'ai posé mes lèvres sur le gland, j'ai tiré pour le décalotter avant de le sucer un bon coup. D'une main je caressais les couilles, avec la bouche, je faisais des bisous le long de la tige avant de le reprendre en bouche, j'aime sucer mon partenaire, avec Bruno, j'ai senti qu'il ne fallait pas que ça dure plus longtemps, je me suis étendue sur la banquette arrière, ma jupe enroulée autour de ma taille, j'ai attiré Bruno, il est rentré d'un coup, j’étais bien lubrifiée et sa verge s'est positionnée directement devant mon trou. Comme avec chaque nouvel amant, la sensation de la première pénétration est toujours sublime, même rapide je sentais et imaginais le gland s'enfoncer dans mon vagin, les parois découvraient ce nouveau contact charnel et mon clito m’envoyait des ondes électriques dans tout le corps, rapidement, j'ai eu un orgasme, mon jeune amant a suivi aussitôt. On est resté un moment l'un dans l'autre puis on s'est assis pour se rafistoler comme on a pu, j'ai rattaché mon soutien-gorge, fermé mon corsage, j'ai remis ma jupe en place , j'ai mis des kleenex au fond de ma culotte avant de la remettre.
Avant de partir, il m'a demandé mon téléphone je lui ai dit que s'il appelait, qu'il me demande de la part de Bruno, mon mari sera au courant, il m'a dit que deux semaines plus tard, ses parents partaient une semaine et qu'il aimerait me revoir alors.
En fin de matinée du dimanche, j'ai été chercher Christophe à l'aéroport de Marignane, en chemin, je lui ai raconter ma soirée avec mon jeune et l’éventuel deuxième rdv, il m'a dit qu'il devait aller le lundi à son bureau pour le « débriefing » puis serait à la maison les trois jours suivant, donc j'avais mon lundi tranquille.
Après le repas familial, nos enfants sont sortis voir les copains, on est parti aussitôt faire la sieste, une fois nus et enlacés, j’ai raconté en détail ma fin de nuit avec mon jeune amant, pendant qu'il me faisait un délicieux cunnilingus, je finissais de lui raconter, ne pouvant parler et sucer, dès la fin de l’histoire, j’ai avalé le phallus de mon homme, comme à notre habitude on a fait l’amour en parfaite harmonie, on se connaissait sur le bout des doigts de la langue et d'ailleurs, on était naturellement l'un dans l'autre, pour nous c’était une évidence. Ensuite il m'a demandé si j'allais appeler le second, j’ai répondu que j'allais le faire , je lui ai dit que le jeune voulait me voir chez lui la semaine suivante, aucun problème, il était au bureau tous les jours.
J’ai téléphoné au numéro 1 de connaissance et numéro 2 dans la concrétisation, il me proposait de le retrouver le lundi vers 14h dans un petit appartement prêté par un copain, sa femme actrice était sur scène le samedi soir et dimanche après-midi et son théâtre faisait relâche le lundi d’où l’appartement de secours.
J’ai pris un peu d’avance, les gps n’étaient pas monnaie courante alors, malgré mon avance, il a répondu au premier coup de sonnette, un fois dedans, on ne savait pas si on devait s'embrasser sur les joues se faire un bisou sur les lèvres ou se rouler un patin, on a pris la deuxième solution. Après avoir bu un café, il m’a prise dans ses bras et là, on s’est roulé notre premier patin, ensuite, tout s'est déroulé naturellement, on s’est déshabillé mutuellement puis couché côte à côte, on s’est embrassé, il m’a caressé du cou au minou, là il m’a écarté les jambes, s’est placé entre et m'a dévoré littéralement le minou, il a sucé et mordillé mes grandes et petites lèvres sa langue est passée du clitoris jusqu’ai bord de ma petite étoile sans toutefois y rester, mon clitoris a été sollicité par sa langue, ses lèvres même ses dents sont venues le mordiller doucement, j’ai eu je pense trois orgasme à la suite.
Lorsqu'il a arrêté et qu’il a amené sa bite à la hauteur de ma bouche, il m'a fallu redescendre dur terre avant de m'en occuper dignement. Le sexe de mon jeune ressemblait à celui de mon chéri, celui d'Antoine avait une longueur similaire mais était plus « trapu", mais peu importe, j'adore sucer une queue bien raide et c’était le cas. Il était à genoux sur le lit et moi appuyée sur un bras, après trois orgasmes successifs, j’avais plus envie de baise que de faire une fellation, je me suis étendue en l'entrainant sur moi j’ai attrapé son phallus et avant de le faire pénétrer, je me suis frotté le clitoris avec le gland puis je l’ai mis en position , il m’a souri et m'a pénétrée, encore une sensation bien sur connue mais nouvelle et différente selon mes amants, leur sexe et la manière de l'utiliser. Richard semblait infatigable, j’avais eu trois orgasmes lors du cunni, j’en était au second avec ses coups de reins.
Mon jeune amant devait faire entre 1m 80 et 1m 85, relativement musclé, mon mari faisait 1m75 pour 73 kg, musclé et de beaux restes d'ancien sportif, le 3ème, il devait flirter avec le mètre 90 et ne pas dépasser les 70 kg, il avait un mélange de cheveux blancs et blonds, lorsque j'ai raconté ce détail à mon chéri, on l'a surnommé le grand blanc-blond, tout ça pour dire que je ne pouvais pas les confondre.
J’étais mariée et très amoureuse de mon chéri, j’ai bien aimé baiser avec mon jeunot, j’ai beaucoup aimer baiser avec le grand blanc-blond et j’ai adoré avoir trois hommes différents en moins d'un jour et demie entre mes cuisses.
Le soir, lorsque Christophe est rentré il a vu immédiatement que Je m’étais éclatée avec mon dernier amant, je lui ai dit que oui, bien sûr mais que c'était autant d'avoir eu des relations sexuelles avec lui et deux autres en un temps très court.
Peu après, mon jeune m'a appelé me confirmant le départ de ses parents à partir du samedi la semaine suivante, je lui ai dit que les w.e. Je n’étais pas disponible, il m'a donné son adresse en me disant qu'il n'irait pas au collège le lundi et qu'il m’invitait à un petit repas chez lui à midi.
A mon arrivée, il m'a sauté dessus, je lui ai demandé de me montrer ce qu'il avait préparé à manger, c’était simple mais assez bon ensuite, il m'a amenée dans la chambre de ses parents, il tenait à me faire l'amour dans leur lit. Il m'a déshabillée calmement, je l'ai déshabillé au même rythme, je l'ai couché puis je lui ai fait une fellation avec tout le confort nécessaire pour en faire une digne de ce nom, il m'a étonné de sa résistance, il s'était peut-être masturbé avant mon arrivée pour se calmer. Je n’ai pas eu besoin de lui demander, il s'est placé au bord du lit, a écarté mes cuisses puis m'a fait un cunnilingus. Au début, il était un peu trop rapide, je lui ai tenu la tête pour lui donner le bon tempo, il a appris très vite et j'ai joui. Il m'a baisée 3 fois presque à la suite.
Lorsqu'il fut l’heure de partir, il m'a fait promettre de revenir j'ai dit oui pour le jeudi suivant. Ce jour-là, j'ai passé la matinée avec mon grand blanc-blond, l'après-midi avec mon jeune et le soir avec mon chéri. J'ai amélioré ma performance, mes trois hommes en 12 heures de temps.
Je n'ai plus revu mon jeune, le grand blanc-blond, c'est une autre histoire.
Chez Bruno il y avait une photo de ses parents qui semblaient très jeune, sa mère l'a eu alors qu'elle n'avait pas 18 ans, elle avait six mois de plus que moi, je pense qu'il était motivé d'avoir une maîtresse de l’âge de sa mère.
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