UNE PETITE VISITE INNATENDUE
Récit érotique écrit par BelleCoquineRose [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2007 dans la catégorie Pour la première fois
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UNE PETITE VISITE INNATENDUE
J'étais en train de me verser un verre d'eau à partir du robinet, lorsque mon père vint me voir et me dit:
- Nous allons faire l'épicerie, ta mère et moi, alors reste bien sage.
- Tu le sais bien, je ne ferai aucune folie, répondis-je, loin de me douter de ce que je ferais.
- Alors on y va. N'oublie pas: aucun garçon ici pendant notre absence.
Puis il prit la direction de la porte d'entrée, et sortit dehors, là où ma chère maman l'attendait. Je savais que lorsque mon père et ma mère allaient faire l'épicerie, j'avais toujours quelques heures seule.
J'avais seize ans, et sans me vanter, j'étais absolument splendide. De beaux cheveux bruns, bouclés et longs que j'attachais toujours en queue de cheval, des magnifiques lunettes bleues nuit, ainsi que des yeux couleur de noisette. J'avais tout de même une forte poitrine, j'étais quand même grande, 1m65 pour 88 cm de tour de taille. Je pesais au moins 90 livres.
J'avais plusieurs amies, mais celles-ci étaient toutes occupées et ne pouvaient point passer me voir. Alors je restais là, à attendre je ne sais quoi pour pouvoir m'occuper. Je décidais d'aller sur Internet, sur le site des Chevaliers d'Émeraude, un roman plus que bon si vous voulez mon avis.
Puis, après quelques minutes sur ce site, une personne cogna à la porte. Je me levai et allai voir qui c'était. J'ouvris la porte et... Je vis Peter, le gars le plus mignon que je connaissais.
Je ne vous en avais pas parlé non? Peter était un gars que j'avais connu en 2e secondaire. Je ne l'avais jamais vu, c'est seulement après avoir changé d'autobus que j'avais pu remarquer qu'il prenait le même que moi, destination Rigaud. J'avais déménagé, alors je n'avais pu constater qu'il allait à la même école secondaire que moi.
Il était super craquant. Cheveux courts, frisés et bruns, quelques petites mèches caramel, des yeux couleur noisette, une peau couleur mulâtre, car l'un de ses parents était Noir et l'autre Blanc. Grand, musclé et de taille moyenne, je me disais qu'il était un bon parti pour une fille célibataire (comme moi, tiens!).
Il vit que j'étais bouche bée devant lui et sourit. Il me dit:
- Salut, ça va?
Comme si de rien n'était. On ne se parlait jamais et il venait chez moi! Il devait connaître l'emplacement de ma demeure, car je débarquais toujours avant lui de l'autobus, alors il avait sûrement prit le temps de regarder.
- Salut, oui ça va et toi? Répondis-je à sa question en la lui retournant.
- Bien. Je suis... Euh... Ben... On peut aller au parc ensemble... Si tu... Euh...
Quoi ?! Il paraissait vraiment embarrassé ! Il rougit et baissa la tête. De ma main, je la relevai en poussant son menton et je lui souris tendrement. Je lui dis:
- On va au parc.
Je le relâchai et pris ma clé sur la table de cuisine. Je barrai la porte tout juste avant de sortir et on se retrouva tous deux sur le trottoir à marcher vers le parc. On parlait de tout et de rien, puis, il me prit la main. Je me sentis rougir jusqu'au bout de mes oreilles, puis un vague frisson me parcourut l'échine de mon dos. Peter le remarqua et enleva la veste qu'il portait pour me la tendre.
- Tiens, tu as froid je suppose.
- Non, c'est pas ça, répondis-je, gênée.
- Alors, qu'y a-t-il? demanda celui-ci sa veste remise sur ses épaules.
Je ne répondis pas tout de suite. Nous étions arrivés au parc, puisqu'il était vers 21h00, les enfants qui y jouaient d'habitude n'étaient pas présents. On s'assit sur un banc, assez éloigné, en plein petit boisé. De là, personne ne pouvait nous voir. Soudain, il se rapprocha de moi. Tout de suite, je me collais sur lui. Son corps musclé de sportif me réchauffa d'un coup sec. J'étais bien dans ces bras doux et musclés. Il remarqua mon étreinte et mis son bras alentour de moi. La tête sur son épaule, j'avouais mes sentiments pour lui:
- Peter, je suis amoureuse de toi.
Tout de suite, je sentis son corps se raidir. Puis, le plus doux du monde il dit :
- Moi aussi, Jessica, je suis amoureux de toi.
Puis, sans aucune gêne, il enleva son bras d'autour de mes épaules et mit sa main sur ma cuisse. Tout de suite, cela m'excita grandement, et je ne savais pourquoi. Je n'avais jamais été caressée par un gars de toute ma courte vie; je trouvais cette sensation étrange.
Puis, sentant que personne ne nous regardait, Peter déboutonna mon jean et "dézippa" le zip. Je ne bougeais plus. J'entendais seulement les battements de mon coeur. Puis, sans crier gare, il mit sa main dans ma culotte et entra deux doigts dans mon vagin. Je mouillai instantanément.
- C'est ta première fois? Me demanda-t-il en souriant.
Il faisait noir; c'était le moment idéal.
Je lui répondis:
- Oui, c'est ma première fois.
- Moi aussi... Je vais commencer doucement...
Puis il fit des vas et viens incessants qui me faisaient du bien à chaque fois.
Sentant que j'allais bientôt jouir, il enleva sa main de ma culotte. Ma mouille lui était restée aux doigts; il s'en débarrassa en s'essuyant sur son jean.
Moi, plantée là, je décidais qu'il fallait que j'agisse. Je l'embrassais passionnément, puis ensuite je descendis mes lèvres plus bas; beaucoup plus bas. Je fit la même chose que lui avait fait ; je déboutonnais le bouton du jean et "dézippai" son zip. Tout doucement je descendis son pantalon... Puis je vis son boxer et la bosse que faisait son érection. Je descendis aussi le caleçon et prit son sexe dans l'une de mes mains. Je le mis dans ma bouche et commençais à lui faire une douce fellation. Je continuais ainsi, jusqu'à ce qu'il me dise:
- Arrête, je vais jouir !
Puis, je lâchais son membre. On se regarda intensément, comme si l'un voulait lire les pensées de l'autre. Je savais ce qui allait venir.
Il se leva, son sexe d'au moins 25 cm dans ses mains. Moi, pendant ce temps, je me couchais comme il faut sur le banc. J'enlevais mon chandail, laissant voir mon soutien-gorge qui avait de la misère à contenir mes seins. J'enlevais aussi ma culotte et mon jean, ce que Peter avait fait aussi. Puis, doucement, Peter se coucha sur moi et commença à me pénétrer. Puisque j'étais vierge, et lui, puceau, chacun de nous ressentit une vive douleur. Puis, par la suite, on était en train de jouir ensemble. Que c'était bon! Je sentais son sperme en moi, quel délice...
À la fin de cette première aventure, il me raccompagna chez moi. Mes parents n'étaient pas encore revenus de leurs commissions. Avant que j'entre chez moi, il me prit par la taille et m'embrassa. Par la suite, il me dit:
- Jess, j'ai adoré ma soirée...
- Moi aussi, Peter... Passe une bonne nuit, je penserais à toi.
- Moi aussi, douce aimée..., répondit-il souriant.
Puis on s'embrassa une dernière fois avant qu'il s'en aille.
Moi, je rentrais chez moi, pensant à chaque instant à ce que j'avais fait... J'avais adoré, sûre et certaine !
- Nous allons faire l'épicerie, ta mère et moi, alors reste bien sage.
- Tu le sais bien, je ne ferai aucune folie, répondis-je, loin de me douter de ce que je ferais.
- Alors on y va. N'oublie pas: aucun garçon ici pendant notre absence.
Puis il prit la direction de la porte d'entrée, et sortit dehors, là où ma chère maman l'attendait. Je savais que lorsque mon père et ma mère allaient faire l'épicerie, j'avais toujours quelques heures seule.
J'avais seize ans, et sans me vanter, j'étais absolument splendide. De beaux cheveux bruns, bouclés et longs que j'attachais toujours en queue de cheval, des magnifiques lunettes bleues nuit, ainsi que des yeux couleur de noisette. J'avais tout de même une forte poitrine, j'étais quand même grande, 1m65 pour 88 cm de tour de taille. Je pesais au moins 90 livres.
J'avais plusieurs amies, mais celles-ci étaient toutes occupées et ne pouvaient point passer me voir. Alors je restais là, à attendre je ne sais quoi pour pouvoir m'occuper. Je décidais d'aller sur Internet, sur le site des Chevaliers d'Émeraude, un roman plus que bon si vous voulez mon avis.
Puis, après quelques minutes sur ce site, une personne cogna à la porte. Je me levai et allai voir qui c'était. J'ouvris la porte et... Je vis Peter, le gars le plus mignon que je connaissais.
Je ne vous en avais pas parlé non? Peter était un gars que j'avais connu en 2e secondaire. Je ne l'avais jamais vu, c'est seulement après avoir changé d'autobus que j'avais pu remarquer qu'il prenait le même que moi, destination Rigaud. J'avais déménagé, alors je n'avais pu constater qu'il allait à la même école secondaire que moi.
Il était super craquant. Cheveux courts, frisés et bruns, quelques petites mèches caramel, des yeux couleur noisette, une peau couleur mulâtre, car l'un de ses parents était Noir et l'autre Blanc. Grand, musclé et de taille moyenne, je me disais qu'il était un bon parti pour une fille célibataire (comme moi, tiens!).
Il vit que j'étais bouche bée devant lui et sourit. Il me dit:
- Salut, ça va?
Comme si de rien n'était. On ne se parlait jamais et il venait chez moi! Il devait connaître l'emplacement de ma demeure, car je débarquais toujours avant lui de l'autobus, alors il avait sûrement prit le temps de regarder.
- Salut, oui ça va et toi? Répondis-je à sa question en la lui retournant.
- Bien. Je suis... Euh... Ben... On peut aller au parc ensemble... Si tu... Euh...
Quoi ?! Il paraissait vraiment embarrassé ! Il rougit et baissa la tête. De ma main, je la relevai en poussant son menton et je lui souris tendrement. Je lui dis:
- On va au parc.
Je le relâchai et pris ma clé sur la table de cuisine. Je barrai la porte tout juste avant de sortir et on se retrouva tous deux sur le trottoir à marcher vers le parc. On parlait de tout et de rien, puis, il me prit la main. Je me sentis rougir jusqu'au bout de mes oreilles, puis un vague frisson me parcourut l'échine de mon dos. Peter le remarqua et enleva la veste qu'il portait pour me la tendre.
- Tiens, tu as froid je suppose.
- Non, c'est pas ça, répondis-je, gênée.
- Alors, qu'y a-t-il? demanda celui-ci sa veste remise sur ses épaules.
Je ne répondis pas tout de suite. Nous étions arrivés au parc, puisqu'il était vers 21h00, les enfants qui y jouaient d'habitude n'étaient pas présents. On s'assit sur un banc, assez éloigné, en plein petit boisé. De là, personne ne pouvait nous voir. Soudain, il se rapprocha de moi. Tout de suite, je me collais sur lui. Son corps musclé de sportif me réchauffa d'un coup sec. J'étais bien dans ces bras doux et musclés. Il remarqua mon étreinte et mis son bras alentour de moi. La tête sur son épaule, j'avouais mes sentiments pour lui:
- Peter, je suis amoureuse de toi.
Tout de suite, je sentis son corps se raidir. Puis, le plus doux du monde il dit :
- Moi aussi, Jessica, je suis amoureux de toi.
Puis, sans aucune gêne, il enleva son bras d'autour de mes épaules et mit sa main sur ma cuisse. Tout de suite, cela m'excita grandement, et je ne savais pourquoi. Je n'avais jamais été caressée par un gars de toute ma courte vie; je trouvais cette sensation étrange.
Puis, sentant que personne ne nous regardait, Peter déboutonna mon jean et "dézippa" le zip. Je ne bougeais plus. J'entendais seulement les battements de mon coeur. Puis, sans crier gare, il mit sa main dans ma culotte et entra deux doigts dans mon vagin. Je mouillai instantanément.
- C'est ta première fois? Me demanda-t-il en souriant.
Il faisait noir; c'était le moment idéal.
Je lui répondis:
- Oui, c'est ma première fois.
- Moi aussi... Je vais commencer doucement...
Puis il fit des vas et viens incessants qui me faisaient du bien à chaque fois.
Sentant que j'allais bientôt jouir, il enleva sa main de ma culotte. Ma mouille lui était restée aux doigts; il s'en débarrassa en s'essuyant sur son jean.
Moi, plantée là, je décidais qu'il fallait que j'agisse. Je l'embrassais passionnément, puis ensuite je descendis mes lèvres plus bas; beaucoup plus bas. Je fit la même chose que lui avait fait ; je déboutonnais le bouton du jean et "dézippai" son zip. Tout doucement je descendis son pantalon... Puis je vis son boxer et la bosse que faisait son érection. Je descendis aussi le caleçon et prit son sexe dans l'une de mes mains. Je le mis dans ma bouche et commençais à lui faire une douce fellation. Je continuais ainsi, jusqu'à ce qu'il me dise:
- Arrête, je vais jouir !
Puis, je lâchais son membre. On se regarda intensément, comme si l'un voulait lire les pensées de l'autre. Je savais ce qui allait venir.
Il se leva, son sexe d'au moins 25 cm dans ses mains. Moi, pendant ce temps, je me couchais comme il faut sur le banc. J'enlevais mon chandail, laissant voir mon soutien-gorge qui avait de la misère à contenir mes seins. J'enlevais aussi ma culotte et mon jean, ce que Peter avait fait aussi. Puis, doucement, Peter se coucha sur moi et commença à me pénétrer. Puisque j'étais vierge, et lui, puceau, chacun de nous ressentit une vive douleur. Puis, par la suite, on était en train de jouir ensemble. Que c'était bon! Je sentais son sperme en moi, quel délice...
À la fin de cette première aventure, il me raccompagna chez moi. Mes parents n'étaient pas encore revenus de leurs commissions. Avant que j'entre chez moi, il me prit par la taille et m'embrassa. Par la suite, il me dit:
- Jess, j'ai adoré ma soirée...
- Moi aussi, Peter... Passe une bonne nuit, je penserais à toi.
- Moi aussi, douce aimée..., répondit-il souriant.
Puis on s'embrassa une dernière fois avant qu'il s'en aille.
Moi, je rentrais chez moi, pensant à chaque instant à ce que j'avais fait... J'avais adoré, sûre et certaine !
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