Une petite voisine ivre.

- Par l'auteur HDS Bonnebite83000 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Une petite voisine ivre. Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une petite voisine ivre.
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Il y a quelques années de cela, j'avais quitté pendant trois ans environ le midi pour aller habiter en Charente, plus précisément à Angoulême suite à une promotion ou j'étais chargé par ma Direction de développer le secteur d'activité. La vie était totalement différente, pas très intéressante par rapport au Midi et les gens avaient une mentalité très spéciale... ils étaient de surcroît pas très sympathique mais comme c'était que pour trois ans, il fallait faire avec.
J'avais trouvé un appartement dans un petit immeuble au dernier étage, quartier Sain Cybard.
Il y avait deux appartements par étage avec des escalier en colimaçon, c'était assez sympa.
Je partais le matin de bonne heure sur Angoulême et rentrais assez souvent très tard donc je ne voyais pas les autres locataires.
Je ne connaissais pas mes voisins, les appartements étaient occupés car les entendais quelque fois.
Dans l'appartement situé en face de chez moi, Les gens se disputaient très souvent et j'entendais des cris, des hurlements car le couple se disputait très souvent et en venaient même aux mains car j'entendais la femme pleurer et la police venait souvent car les voisins devaient se plaindre. Un soir, ils sont venus et ont embarqué le gars.
J'ai appris par la suite qu'il avait été jugé pour violence avec interdiction de s'approcher de l'immeuble et depuis plus de cris, le calme olympien.
Puis l'été est arrivé et il faisait vraiment très très chaud. Il y avait un peu plus d'animations, c'était plus agréable avec les touristes. Un samedi en soirée, il devait être 18 heures, je venais de garer ma voiture et rentrais chez moi. Je vis devant moi une femme assez petite, entre 1,55 m / 1,60 m environ. Elle était à quelques dizaines de mètres de moi et titubait, elle se tenait au mur et marchait avec difficultés. A ma grande surprise, elle s'est arrêtée devant ma porte d'entrée et cherchait ses clés dans son sac.
Arrivé à sa hauteur, je pris mon trousseau de clés et ouvris la porte. Elle avait honte et n'osait me regarder. Je comprenais très bien et lui proposai mon aide. C'était une très jolie femme d'une quarantaine d'années environ, petite avec des cheveux noirs mi-longs et des yeux verts. Elle portait un robe très légère et apparemment, elle ne portait pas de soutien-gorge car le tissu de sa robe était tellement fin que je pouvais voir ses tétons pointés. Elle avait une poitrine magnifique et ferme.

Je lui demandai à quel étage et elle me répondit au dernier étage. Donc c'était ma voisine de palier.
Je lui ai dit que j(habitais aussi au même étage. Nous sommes entrés tant bien que mal car elle avait du vider quelques verres d'apéro et avait des difficultés à marcher correctement dans le long couloir qui menait aux escaliers. Je l'ai soutenu comme j'ai pu en passant un bras sous le sien et sans le faire exprès j'avais dans ma main droite son sein droit. Il était ferme et volumineux, elle avait vraiment de très beaux seins. Je ne sais pas si elle s'en rendait compte, mais elle se laissait faire, elle se laissait guider.
Arrivés aux escaliers en colimaçon, je me suis mis derrière elle pour la protéger et éviter qu'elle tombe en arrière. Elle avait vraiment des difficultés à monter, à lever les pieds. Alors j'ai placé mes deux bras sous ses aisselles et étant calé derrière, je l'aidais comme je pouvais.
Elle n'était pas lourde car elle était mince mais comme elle se laissait aller, c'était un poids mort.
On a commencé l'ascension avec difficulté je l'avoue et arrivés au premier étage, on a fait une petite pose pour reprendre des forces puis on a continué, je ne voulais pas que les voisins nous surprennent. A un moment, elle s'est laissée aller contre moi et comme j'étais une marche en dessous par rapport à elle, ses fesses étaient au même niveau que mon sexe. Elle sentait bon, j'aimais beaucoup son parfum qui m'énivrait mais surtout qui m'excitait. Elle se frottait littéralement, elle se laissait complètement aller contre moi et je me suis mis à bander.
J'avais un pantalon d'été très fin et avec ces frottements, ma bite me faisait mal car elle était comprimée dans mon pantalon.
Ni tenant plus, je me suis débraguetté et libérai ma queue. Puis je me suis replacé derrière elle.
Ma colonne dressée comme un I s'est introduit entre ses fesses et comme je la soulevais sous ses bras, sa robe s'est relevée, j'ai pu voir ses belles fesses bien fermes car elle portait un string.
Avant de continuer, je plaçai ma bite entre ses fesses et me cola contre elle. Mon sexe était coincé entre ses fesses. C'était comme si elle me branlait avec ses deux mappemondes.
Je n'en pouvais plus et j'en profitais pour prendre ses deux seins dans mes mains. Par mes caresses, ses tétons étaient devenus très durs à travers sa robe et comme celle-ci était très échancrée devant, je les dégageai de leur cachette pour les mettre à nus et pouvoir ainsi sentir entre mes doigts cette peau fine et ces mamelons gonflés, c'était magique.
J'avais mon sexe coincé dans son petit cul et ses deux seins dans mes mains.
Arrivé sur notre palier, je me suis vite rhabillé et l'ai quitté pour aller chez moi mais elle m'a bredouillé quelque chose pour me faire comprendre, en sortant les clés de son sac, qu'elle voulait que je l'aide à ouvrir sa porte.
C'est ce que j'ai fait et l'ai aidé à entrer dans son appartement mais une fois à l'intérieur, elle s'est dirigée tant bien que mal aux toilettes, s'est assise assez brutalement sur la cuvette des wc et s'est mise à pisser. Elle a écarté les cuisses et à ma grande surprise, elle n'avait pas enlevé son string et je voyais le liquide doré passé à travers le tissu très fin de sa petite culotte.
A la vue de ce spectacle, je me suis mis à bander tellement fort que j'en avais mal à la tige mais surtout aux couilles car ils avaient durci et grossi par l'accumulation de sperme.
Elle s'étais penchée à l'avant, je l'ai relevé pour ne pas qu'elle pique du nez et n'en pouvant plus par ce spectacle qu'elle m'offrait, j'ai déboutonné et baissé mon pantalon et mon caleçon jusqu'aux chevilles.
Ma bite était au niveau de sa bouche, je me suis branlé tout doucement en lui caressant sa poitrine qui était à l'air. Elle a relevé la tête et quand elle a vu ma bite, elle a posé sa main dessus et a commencé à me branler tout en me regardant, en me fixant. Puis elle a approché sa tête et après avoir donné quelques coups de langue sur mon gland et le long de ma colonne, elle a ouvert la bouche et a gobé littéralement ma colonne qui a disparut complètement.
J'ai un sexe d'une bonne vingtaine de centimètres et très épais et malgré cela, ma bite avait complètement été englouti et ses lèvres venaient au contact de mon pubis. Je sentais le fond de sa gorge s'ouvrir quand mon gland à forcé le passage je sentais le bout de ma bite qui était enserrée et prisonnier de sa gorge. Je n'en pouvais plus, j'avais envie de jouir.
Au bout d'un moment, elle s'est dégagée et elle avait une grosse dose de salive qui sortait de sa bouche causée par cette gorge profonde qu'elle venait de me prodiguer.
Elle m'a sucé à nouveau et a commencé les va et vient et je sentais sa langue très active qui tournoyait autour de mon gland et de ma colonne et de temps en temps, elle asseyait d'enfoncer le bout de sa langue dans la fente du gland, dans le méat.
A ce rythme, je n'ai pas pu tenir longtemps, j'ai voulu me dégager mais elle m'a maintenu dans sa bouche et m'a fait comprendre qu'elle voulait ma liqueur, je me suis cambré et en enfonçant le plus possible ma queue au fond de sa gorge, j'ai éjaculé, il y en avait tellement qu'elle ne pouvait pas tout avaler et je voyais voir quelques filets de sperme sortir par les commissures de se lèvres. Elle ne me lâchait pas et continuait à aspirer jusqu'à la dernière goutte.
Une fois la source tarit et qu'elle avait tout avalé, elle se dégagea.
Je la relevai tout doucement car elle était restée un moment assise sur la cuvette.
Pour la remercier, j'ai fais plein de bisous sur son beau visage puis on s'est embrassé très très fort et longuement et je pouvais sentir son coeur battre contre ma poitrine.
Je lui enlevé son string qui était trempé car elle avait pissé dedans, je l'ai installé sous la douche en la maintenant pour ne pas qu'elle tombe, j'ai pris du gel douche et lui ai lavé sa chatte.
J'en profitai pour lui enfonçer un doigt puis deux dans son vagin. Je fis pareil derrière, je pressai son oeillet et enfonçai un doigt puis deux dans son petit trou. Elle ne réagit même pas.
Je l'a rinçai puis l'essuyai.
Je la pris sous son bras et la conduisis dans sa chambre. Je la déposai délicatement sur son lit et ni une, ni deux, elle se positionna sur le côté en chien de fusil comme on dit et s'endormit.
Dans cette position, elle m'offrait une magnifique vue car elle me montrait son petit cul. J'en profitai pour écarter ses fesses. Je pouvais caresser son anus et le lécher en enfonçant ma langue humectée de salive, le plus loin possible.
Comme elle n'avait pas de réaction, je l'ai laissé dormir et retournai chez moi en prenant soin de bien fermer la porte d'entrée à clé pour ne pas qu'elle soit dérangée.
Il y a encore quelques minutes, je ne savais pas qu'elle existait et là, je venais de jouir et de cracher une quantité incroyable de jute dans sa bouche et au fond de sa gorge et elle avait tout avaler.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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