Une pipe SNCF
Récit érotique écrit par Gentlman33 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une pipe SNCF
Chapitre 1
Le train en partance d’Annecy venait de passer Lyon. Jérôme avait lu depuis le départ, puis doucement s’était assoupi. Les secousses du redémarrage du train au départ de Lyon le réveillèrent brutalement. Il émergea de son sommeil surpris de se trouver encore dans une gare. En voyant défiler les panneaux il s’aperçut en fin où il se trouvait, comme rassuré, il s’apprêta à repartir dans la douceur de son sommeil.
Il n’était plus seul dans le compartiment.
En face de lui une passagère s’était installée. Très attiré par les femmes ou plus encore, par le plaisir qui émane des femmes, Jérôme ne referma pas ses yeux. La jeune femme pouvait avoir dans les 40 ans, brune, plutôt ronde, enfin ronde pour certains mais pas pour lui qui aimait les formes bien affirmées et les rondeurs pleines chez une femme.
Elle se tenait bien droite sur son siège, en face de lui, il l’examina d’un œil intéressé, comme chaque fois qu’une femme avait du charme à ses yeux, même s’il savait pertinemment que rien ne pouvait se passer………… Seulement l’échange de deux regards, et encore fallait-il qu’elle le regarde………. Justement elle le regardait.
De ses yeux clairs et bleus il plongea dans son regard sombre.
De son visage assez agréable il émanait une intelligence vive qui lui plu tout de suite.
Elle doit être très cultivée se dit-il, l’alliance parfaite à priori pour moi chez une femme : l’esprit et la plénitude des formes. Oui…. Mais comment engager la conversation ?
C’est toujours ce moment là le plus difficile, et en même temps c’est terriblement stimulant de se dire que sur le premier mot tout peut être joué.
Tout en laissant aller sa pensée vers des rêves de communication il continuait à la regarder.
Elle avait une poitrine généreuse dont les formes arrondies faisaient tendre le tissu de son pull. Très attiré par les belles poitrines Jérôme se posa encore une fois la question : porte-t-elle un soutient gorge ? Sa réponse fut oui, des seins aussi généreux ne pouvaient pas être laissés ainsi libres de tout mouvement souria-t-il intérieurement. Vraiment, belle poitrine ! ! !
De ses jambes il ne voyait que des chevilles aux genoux, mais tout cela gainé de noir lui plaisait beaucoup. Bon, arrête de fantasmer se dit-il.
Elle était habillée d’un tailleur gris, simple mais de bon goût, des chaussures à talons d’un noir impeccablement brillant.
Elle sortit de son sac un paquet de Malborouh.
« Cela vous dérange si je fume ? » dit-elle en plantant son regard dans les yeux de Jérôme en plein rêve.
« Pas du tout, au contraire ! je serais ravi de vous regarder fumer. »
La jeune femme suspendit son geste qui amenait sa main vers son briquet, elle le regarda un instant, comme pour se demander si en une fraction de seconde elle pouvait se rendre compte à qui elle avait à faire.
« C’est un spectacle bien banal une personne qui fume » lui dit-elle en allumant sa cigarette.
« Sans doute, répondit Jérôme en se réveillant tout à fait cette fois, mais pas pour tout le monde… »
« Ah bon ? pourquoi cela ?.. »
Jérôme se lança. Après tout si elle est intelligente elle le prendra bien : un sourire dans le pire des cas, ce qui est l’élégance du refus ou une invite à poursuivre si elle est joueuse…
« Pas pour la cigarette par exemple »
Elle rit.
« En effet elle n’a pas le plus beau rôle, elle se consume. »
« Oh ! il y a bien d’autres choses qui se consumeraient ainsi entre vos lèvres »
Elle le regarda, surprise et intriguée.
« En général ma cigarette se consume en cinq minutes, vous connaissez autre chose qui tiendrait plus longtemps ? «
Elle faisait partie des joueuses, haut niveau sans aucun doute ! !
« Je n’ai pas une connaissance particulièrement étendue du marché sourit-il, mais je crois posséder au moins un exemplaire qui devrait dépasser les cinq minutes »
« C’est intéressant….mais seulement si cela est bien vrai. » dit-elle après voir tiré une longue bouffée qu’elle aspirait de la bouche et du nez..
« Il ne tient qu’à vous de vérifier, si vous le souhaitez je vous l’offre « dit-il en regardant ses deux seins tendre le tissu sous l’effet de l’aspiration.
« Eh bien pourquoi pas ? « répondit-elle en croisant les bras qu’elle appuya sur ses genoux, le regardant bien en face, après avoir écrasé sa cigarette dans le cendrier pur SNCF.
Jérôme se leva et ouvrit la porte du compartiment : personne dans le couloir. Il la referma, tira les rideaux et coupa la lumière, laissant seulement la veilleuse.
Revenant vers la jeune femme qui n’avait pas changé de position il se planta debout devant elle, sa ceinture à la hauteur de son visage. Sans un mot il ouvrit sa fermeture éclair et sortit son sexe.
Il était presque en érection.
Sans décroiser les bras, sans presque bouger la tête la jeune femme posa sa bouche sur le gland. Les lèvres posées comme celles d’un bébé sur une tétine elle ne bougea pas, comme pour goûter, du bout des lèvres cette queue nouvelle pour sa bouche.
Puis sa langue se mit à lutiner le bout du gland, tout doucement, en même temps que ses lèvres s’ouvrent et acueuillent de plus en plus la queue qui sous la caresse se mit à durcir rapidement. Les bras toujours croisés sa bouche engloutit lentement la belle bite jusqu’à la naissance des poils, un instant elle resta dans cette position, pour bien apprécier ce qu’elle avait en bouche, et pour exciter l’homme un peu plus. Puis lentement elle commença un mouvement de va et vient de ses lèvres le long de la tige maintenant dressée et mouillée de sa salive.
Les impressions se bousculaient dans la tête de Jérôme, il était partagé entre le plaisir physique et fort que lui donnait ce pompage de sa queue qu’il ressentait jusqu’à la base de ses bourses encore emprisonnées dans son pantalon, et la pensée de cette femme élégante et stylée qu’il ne connaissait pas encore il y a dix minutes et qui maintenant, après quelques mots échangés était en train de lui faire une pipe savante dans un train de nuit.
Ce mélange de sensations physiques et cérébrales l’excitait au plus au point et fit naître en lui un brusque sentiment d’estime et de tendresse pour la jeune femme qui lui suçait si habilement la bite.
Elle s’appliquait savamment à le pomper en prenant bien soin de garder les bras croisés, ne voulant utiliser que sa bouche pour exciter le mâle debout devant elle, et pour se donner à elle même le plaisir de ne le toucher qu’avec sa bouche. Elle se désemboucha et se mit à lécher la tige sur toute sa longueur, remontant de la base à la naissance des poils jusqu’au bout du gland, où elle s’attardait sur la petite fente du méat. Puis elle descendit d’un même mouvement, cette fois avec le plat de la langue. Arrivée à la base elle chercha à s’enfoncer plus dans les plis du vêtement. Jérôme suivit son inspiration et défit complètement sa ceinture, baissa pantalon et slip, libérant ainsi la totalité de sa queue et les deux boules restées jusque là prisonnières. Cette libération l’excita encore plus, la sensation de ses deux couilles libres maintenant à la vue de sa belle suceuse le fit bander encore un peu plus, mouillant le sommet de son gland d’une goutte transparente.
La langue de la jeune femme comme ravie de cette découverte explora un peu plus le sexe de son vis à vis. Elle descendit et du bout de la langue excita la base de la bite, descendant encore sur la peau sensible séparant les deux boules qu’elle savait tout près.
Elle joua un instant à lutiner cette partie, comme si elle hésitait entre les deux boules offertes à son jeux. Baissant encore la tête et sortant un peu plus la langue elle soupesa les deux couilles comme pour en prendre estimation de la forme, de la consistance et apprécier ainsi le contenu qu’elle savait y trouver.
Du bout des dents elle s’amusa à tirer délicatement les poils, passant de l’une à l’autre, les cherchant en dessous jusqu’à la bases des bourses ou au contraire remontant à la base de la pine , pour les mordre du bout des ses incisives excitant ainsi l’homme qui en jouisseur confirmé appréciait ces ornements savamment dispensés.
Les yeux fermés il prenait conscience de la sensation de ses couilles, uniquement par le petit tiraillement des poils que leur infligeaient les coups de dents de la jeune femme.
Assise en face de lui elle était presque complètement pliée pour atteindre ce qu’elle cherchait de la langue, mal positionnée elle se leva brusquement et sans un mot s’assit par terre entre les deux rangées de fauteuils. Saisissant Jérôme par la taille elle l’amena à fléchir légèrement les genoux de façon à ce que sa bouche entre de nouveau en contact avec ses boules. Elle était entre ses jambes, allongée tête bêche par rapport à lui, le tenant par la taille pour le lécher, lui légèrement fléchi lui offrait le spectacle complet de son intimité. Elle continua ainsi un court instant à s’amuser en tirant de ses dents les poils de l’homme quelle tenait à sa merci. Sa langue compléta la caresse amorcée en flattant les bourses pendantes et cependant fermes sous les coups doux et humides qu’elle leur dispensait.
Sa bouche s ‘empara d’une couille qu’elle aspira tout en la suçant comme un bonbon délicieux. Son délice terminé pour la première fois elle eut envie de toucher de la main les trésors qu’elle venait d’honorer de la bouche. Du bout des ongles elle griffa les deux belles bourses pleines de plaisir futur, les entourant du pouce et du majeur elle en caressa la périphérie, juste à la naissance du ventre, provocant chez son compagnon de voyage un sursaut de volupté.
Une main soupesant les deux couilles de plus en plus fermes, elle saisit de l’autre la pine raide et moelleuse, d’un tour de main elle en évalua la grosseur et la fermeté puis commença d’un geste à la fois souple et ferme à la branler. Elle prenait plaisir à sentir dans sa main cette bite chaude et raide grâce à elle, savourant le spectacle de sa main refermée sur cette tige. Levant les yeux elle chercha le regard de Jérôme. Celui-ci en jouisseur affirmé attendait cet instant.
Etre branlé aussi délicieusement et regardé en même temps par celle qui vous dispense ce moment de bonheur ne peut être qu’un raffinement d’esthète.
Les yeux plantés dans les siens, continuant son branle en l’accélérant, son autre main s’égara entre les fesses de l’homme, un doigt inquisiteur s’avançant délibérément vers son anus. Les yeux dans les yeux elle enfonça son doigt dans l’œillet souple en continuant à branler la bite.
Cette initiative brutale provoqua un sursaut de plaisir chez son compagnon, elle sentit venir la puissance du jet qui annonçait la jouissance de Jérôme. Ne relâchant pas son branlage elle guetta l’arrivée du sperme, et au moment où celui-ci jaillissait du gland dilaté, elle posa sa bouche pour le déguster.
Jérôme éjacula pendant de longues secondes, il lui sembla se vider entièrement, jamais il n’avait jouit d’une façon aussi intense.
Retrouvant à peine ses esprits, sa délicieuse compagne était debout, enfilant son manteau, son sac à la main, le train entrait en gare.
Se tournant vers lui elle dit d’une voix charmeuse, « Au revoir, je m’appelle Esther »
« Je m’appelle Jérôme » s’entendit-il lui répondre.
Les genoux en coton Jérôme se demandait s’il n’avait pas rêvé. Un bristol sur le siège lui confirma la réalité de ce voyage extraordinaire, d’un geste rapide il ouvrit son Filofax et nota consciencieusement le numéro d’Esther.
Le train en partance d’Annecy venait de passer Lyon. Jérôme avait lu depuis le départ, puis doucement s’était assoupi. Les secousses du redémarrage du train au départ de Lyon le réveillèrent brutalement. Il émergea de son sommeil surpris de se trouver encore dans une gare. En voyant défiler les panneaux il s’aperçut en fin où il se trouvait, comme rassuré, il s’apprêta à repartir dans la douceur de son sommeil.
Il n’était plus seul dans le compartiment.
En face de lui une passagère s’était installée. Très attiré par les femmes ou plus encore, par le plaisir qui émane des femmes, Jérôme ne referma pas ses yeux. La jeune femme pouvait avoir dans les 40 ans, brune, plutôt ronde, enfin ronde pour certains mais pas pour lui qui aimait les formes bien affirmées et les rondeurs pleines chez une femme.
Elle se tenait bien droite sur son siège, en face de lui, il l’examina d’un œil intéressé, comme chaque fois qu’une femme avait du charme à ses yeux, même s’il savait pertinemment que rien ne pouvait se passer………… Seulement l’échange de deux regards, et encore fallait-il qu’elle le regarde………. Justement elle le regardait.
De ses yeux clairs et bleus il plongea dans son regard sombre.
De son visage assez agréable il émanait une intelligence vive qui lui plu tout de suite.
Elle doit être très cultivée se dit-il, l’alliance parfaite à priori pour moi chez une femme : l’esprit et la plénitude des formes. Oui…. Mais comment engager la conversation ?
C’est toujours ce moment là le plus difficile, et en même temps c’est terriblement stimulant de se dire que sur le premier mot tout peut être joué.
Tout en laissant aller sa pensée vers des rêves de communication il continuait à la regarder.
Elle avait une poitrine généreuse dont les formes arrondies faisaient tendre le tissu de son pull. Très attiré par les belles poitrines Jérôme se posa encore une fois la question : porte-t-elle un soutient gorge ? Sa réponse fut oui, des seins aussi généreux ne pouvaient pas être laissés ainsi libres de tout mouvement souria-t-il intérieurement. Vraiment, belle poitrine ! ! !
De ses jambes il ne voyait que des chevilles aux genoux, mais tout cela gainé de noir lui plaisait beaucoup. Bon, arrête de fantasmer se dit-il.
Elle était habillée d’un tailleur gris, simple mais de bon goût, des chaussures à talons d’un noir impeccablement brillant.
Elle sortit de son sac un paquet de Malborouh.
« Cela vous dérange si je fume ? » dit-elle en plantant son regard dans les yeux de Jérôme en plein rêve.
« Pas du tout, au contraire ! je serais ravi de vous regarder fumer. »
La jeune femme suspendit son geste qui amenait sa main vers son briquet, elle le regarda un instant, comme pour se demander si en une fraction de seconde elle pouvait se rendre compte à qui elle avait à faire.
« C’est un spectacle bien banal une personne qui fume » lui dit-elle en allumant sa cigarette.
« Sans doute, répondit Jérôme en se réveillant tout à fait cette fois, mais pas pour tout le monde… »
« Ah bon ? pourquoi cela ?.. »
Jérôme se lança. Après tout si elle est intelligente elle le prendra bien : un sourire dans le pire des cas, ce qui est l’élégance du refus ou une invite à poursuivre si elle est joueuse…
« Pas pour la cigarette par exemple »
Elle rit.
« En effet elle n’a pas le plus beau rôle, elle se consume. »
« Oh ! il y a bien d’autres choses qui se consumeraient ainsi entre vos lèvres »
Elle le regarda, surprise et intriguée.
« En général ma cigarette se consume en cinq minutes, vous connaissez autre chose qui tiendrait plus longtemps ? «
Elle faisait partie des joueuses, haut niveau sans aucun doute ! !
« Je n’ai pas une connaissance particulièrement étendue du marché sourit-il, mais je crois posséder au moins un exemplaire qui devrait dépasser les cinq minutes »
« C’est intéressant….mais seulement si cela est bien vrai. » dit-elle après voir tiré une longue bouffée qu’elle aspirait de la bouche et du nez..
« Il ne tient qu’à vous de vérifier, si vous le souhaitez je vous l’offre « dit-il en regardant ses deux seins tendre le tissu sous l’effet de l’aspiration.
« Eh bien pourquoi pas ? « répondit-elle en croisant les bras qu’elle appuya sur ses genoux, le regardant bien en face, après avoir écrasé sa cigarette dans le cendrier pur SNCF.
Jérôme se leva et ouvrit la porte du compartiment : personne dans le couloir. Il la referma, tira les rideaux et coupa la lumière, laissant seulement la veilleuse.
Revenant vers la jeune femme qui n’avait pas changé de position il se planta debout devant elle, sa ceinture à la hauteur de son visage. Sans un mot il ouvrit sa fermeture éclair et sortit son sexe.
Il était presque en érection.
Sans décroiser les bras, sans presque bouger la tête la jeune femme posa sa bouche sur le gland. Les lèvres posées comme celles d’un bébé sur une tétine elle ne bougea pas, comme pour goûter, du bout des lèvres cette queue nouvelle pour sa bouche.
Puis sa langue se mit à lutiner le bout du gland, tout doucement, en même temps que ses lèvres s’ouvrent et acueuillent de plus en plus la queue qui sous la caresse se mit à durcir rapidement. Les bras toujours croisés sa bouche engloutit lentement la belle bite jusqu’à la naissance des poils, un instant elle resta dans cette position, pour bien apprécier ce qu’elle avait en bouche, et pour exciter l’homme un peu plus. Puis lentement elle commença un mouvement de va et vient de ses lèvres le long de la tige maintenant dressée et mouillée de sa salive.
Les impressions se bousculaient dans la tête de Jérôme, il était partagé entre le plaisir physique et fort que lui donnait ce pompage de sa queue qu’il ressentait jusqu’à la base de ses bourses encore emprisonnées dans son pantalon, et la pensée de cette femme élégante et stylée qu’il ne connaissait pas encore il y a dix minutes et qui maintenant, après quelques mots échangés était en train de lui faire une pipe savante dans un train de nuit.
Ce mélange de sensations physiques et cérébrales l’excitait au plus au point et fit naître en lui un brusque sentiment d’estime et de tendresse pour la jeune femme qui lui suçait si habilement la bite.
Elle s’appliquait savamment à le pomper en prenant bien soin de garder les bras croisés, ne voulant utiliser que sa bouche pour exciter le mâle debout devant elle, et pour se donner à elle même le plaisir de ne le toucher qu’avec sa bouche. Elle se désemboucha et se mit à lécher la tige sur toute sa longueur, remontant de la base à la naissance des poils jusqu’au bout du gland, où elle s’attardait sur la petite fente du méat. Puis elle descendit d’un même mouvement, cette fois avec le plat de la langue. Arrivée à la base elle chercha à s’enfoncer plus dans les plis du vêtement. Jérôme suivit son inspiration et défit complètement sa ceinture, baissa pantalon et slip, libérant ainsi la totalité de sa queue et les deux boules restées jusque là prisonnières. Cette libération l’excita encore plus, la sensation de ses deux couilles libres maintenant à la vue de sa belle suceuse le fit bander encore un peu plus, mouillant le sommet de son gland d’une goutte transparente.
La langue de la jeune femme comme ravie de cette découverte explora un peu plus le sexe de son vis à vis. Elle descendit et du bout de la langue excita la base de la bite, descendant encore sur la peau sensible séparant les deux boules qu’elle savait tout près.
Elle joua un instant à lutiner cette partie, comme si elle hésitait entre les deux boules offertes à son jeux. Baissant encore la tête et sortant un peu plus la langue elle soupesa les deux couilles comme pour en prendre estimation de la forme, de la consistance et apprécier ainsi le contenu qu’elle savait y trouver.
Du bout des dents elle s’amusa à tirer délicatement les poils, passant de l’une à l’autre, les cherchant en dessous jusqu’à la bases des bourses ou au contraire remontant à la base de la pine , pour les mordre du bout des ses incisives excitant ainsi l’homme qui en jouisseur confirmé appréciait ces ornements savamment dispensés.
Les yeux fermés il prenait conscience de la sensation de ses couilles, uniquement par le petit tiraillement des poils que leur infligeaient les coups de dents de la jeune femme.
Assise en face de lui elle était presque complètement pliée pour atteindre ce qu’elle cherchait de la langue, mal positionnée elle se leva brusquement et sans un mot s’assit par terre entre les deux rangées de fauteuils. Saisissant Jérôme par la taille elle l’amena à fléchir légèrement les genoux de façon à ce que sa bouche entre de nouveau en contact avec ses boules. Elle était entre ses jambes, allongée tête bêche par rapport à lui, le tenant par la taille pour le lécher, lui légèrement fléchi lui offrait le spectacle complet de son intimité. Elle continua ainsi un court instant à s’amuser en tirant de ses dents les poils de l’homme quelle tenait à sa merci. Sa langue compléta la caresse amorcée en flattant les bourses pendantes et cependant fermes sous les coups doux et humides qu’elle leur dispensait.
Sa bouche s ‘empara d’une couille qu’elle aspira tout en la suçant comme un bonbon délicieux. Son délice terminé pour la première fois elle eut envie de toucher de la main les trésors qu’elle venait d’honorer de la bouche. Du bout des ongles elle griffa les deux belles bourses pleines de plaisir futur, les entourant du pouce et du majeur elle en caressa la périphérie, juste à la naissance du ventre, provocant chez son compagnon de voyage un sursaut de volupté.
Une main soupesant les deux couilles de plus en plus fermes, elle saisit de l’autre la pine raide et moelleuse, d’un tour de main elle en évalua la grosseur et la fermeté puis commença d’un geste à la fois souple et ferme à la branler. Elle prenait plaisir à sentir dans sa main cette bite chaude et raide grâce à elle, savourant le spectacle de sa main refermée sur cette tige. Levant les yeux elle chercha le regard de Jérôme. Celui-ci en jouisseur affirmé attendait cet instant.
Etre branlé aussi délicieusement et regardé en même temps par celle qui vous dispense ce moment de bonheur ne peut être qu’un raffinement d’esthète.
Les yeux plantés dans les siens, continuant son branle en l’accélérant, son autre main s’égara entre les fesses de l’homme, un doigt inquisiteur s’avançant délibérément vers son anus. Les yeux dans les yeux elle enfonça son doigt dans l’œillet souple en continuant à branler la bite.
Cette initiative brutale provoqua un sursaut de plaisir chez son compagnon, elle sentit venir la puissance du jet qui annonçait la jouissance de Jérôme. Ne relâchant pas son branlage elle guetta l’arrivée du sperme, et au moment où celui-ci jaillissait du gland dilaté, elle posa sa bouche pour le déguster.
Jérôme éjacula pendant de longues secondes, il lui sembla se vider entièrement, jamais il n’avait jouit d’une façon aussi intense.
Retrouvant à peine ses esprits, sa délicieuse compagne était debout, enfilant son manteau, son sac à la main, le train entrait en gare.
Se tournant vers lui elle dit d’une voix charmeuse, « Au revoir, je m’appelle Esther »
« Je m’appelle Jérôme » s’entendit-il lui répondre.
Les genoux en coton Jérôme se demandait s’il n’avait pas rêvé. Un bristol sur le siège lui confirma la réalité de ce voyage extraordinaire, d’un geste rapide il ouvrit son Filofax et nota consciencieusement le numéro d’Esther.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Alalala le bon temps, maintenant c'est plus possible on peut plus fumer :(
Bonne mise en train