Une préanesthésie originale
Récit érotique écrit par AmantDesSens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une préanesthésie originale
Je pensais avoir une chambre particulière, au moins la télévision. A la place, j'avais atterri dans un box minuscule, partagé avec un vieil homme. Après m'avoir expliqué brièvement ce qui allait se passer, demandé si j'étais à jeun, l'infirmière prit congé de moi. Le fantasme de l'infirmière ne risquait pas de me traverser l'esprit en la voyant : la soixantaine, pas maquillée et aussi souriante qu'un croque-mort !
Je commençais donc à prendre mon mal en patience... 3 longues heures à attendre avant de passer au bloc ! L'infirmière revint pour prémédiquer l'autre patient, sans un mot pour moi. Sa seule attention à mon égard fut de tirer le demi rideau qui partageait le box.
Après avoir rangé mes affaires, j'endossais la tenue de papier qui était posé sur mon lit.
J'envisageais de me reposer, lorsque mon voisin commença à ronfler. Et c'était peu de le dire ! A tel point que sa toux grasse et bruyante alerta l'infirmière. Elle s'engouffra dans la pièce en laissant la porte coulissante ouverte. Je tentais de trouver dans cette situation banale quelque chose pour me divertir.
Le bout d'un brancard pointa ses roues, poussé par une infirmière. Spontanément, je posais les yeux sur cette jeune femme au teint ambré et aux yeux bleu. Elle accusa cette observation d'un joli et discret sourire. Elle disparut dans le couloir tandis que l'autre infirmière ressortait en laissant la porte légèrement ouverte afin d'écouter plus facilement l'évolution du malade.
Derrière les vitres opacifiées, je me surpris à guetter le passage des brancards. Bien souvent ce n'était qu'un homme. Mais elle repassait assez souvent.
Par l’entrebâillement de la porte, je l'observais, et visiblement, elle en faisait autant. Etait-ce un réflexe de sa part sachant que mon colocataire n'était pas très bien ? Mais en même temps, je me disais qu'un regard ne suffisait.
Je commençais à m'assoupir, bercé par son va-et-vient et le calme relatif de l'étage. Soudain, je fus tiré de mon demi-sommeil par une quinte de toux très bruyante. J'ouvris les yeux alors que l'infirmière allait s'enquérir de l'état du malade à côté de moi. Alertée par le bruit, l'autre infirmière s'est arrêtée à la hauteur de la porte. Elle observait en retrait sa collègue lorsqu'elle me vit éveillée. A nouveau, nos regards se croisèrent. Nous nous sommes souris, un brin moqueur sur les bruits atypiques émis à côté de moi. Je ne sais pas pourquoi, mais elle se pinça les lèvres et baissa le regard.
Seule, alors que sa collègue était repartie à la salle des infirmières, elle m’interrogeât :
- Ca va ? Pas trop long ? Vous passez à quelle heure ?
Sa voix douce résonnait comme une mélodie, en parfait accord avec son physique
- 12h30... C'est clair qu'il n'y a pas grand-chose à faire... Je prends mon mal en patience, après tout, il y a pire que moi, concluais-je en regardant vers ma droite.
- Oui, c'est clair.
Elle fit demi tour vers son brancard, non sans me jeter un dernier coup d'oeil brillant par dessus l'épaule.
- A toute à l'heure, conclue-t-elle.
Je repartis dans mes songes, mais cette fois, illustrés de son image. Nous étions loin du cliché de l'infirmière dans une tenue blanche sexy avec un petit bonnet sur la tête et des collants blancs ! Elle portait une tenue de bloc verte, en pantalon. Mais elle laissait deviner de délicieuses formes, parfaitement proportionnées, voire prometteuses.
Soudain, je suis pris d'un effroi. Mon imaginaire avait du être trop fort et je me rendis compte que mon corps trahissait mes pensées... Sauf que la tenue en papier dont j'étais vêtu était très légère. Je tentais de me changer les idées, mais c'était difficile tant j'étais "inspiré". Et le pire arriva...
La porte s'ouvrit sur mon infirmière. Là, j'avoue j'aurais aimé qu'elle s'occupe de l'autre patient...
- J'ai des documents à compléter avec vous.
Son regard balaya mon corps. Avait-elle vu quelque chose ? Je m'assis alors vite pour dissimuler la bosse qui apparaissait entre mes jambes. Ma spontanéité la fit sourire... ou bien autre chose. J'allais descendre du lit pour m'approcher de la tablette lorsque je me ravisa... Cela allait être pire. Je glissais alors jusqu'au pied, à quelques centimètres d'elle. J'écoutais ses explications, mais mon esprit était ailleurs. Je devais vraiment avoir l'air idiot ! Les formalités ne durèrent que quelques minutes, mais qu'elles me parurent longues ! En même temps, c'était l'occasion idéale pour m'approcher d'elle...
Je m'aidais de mes bras pour me jeter en arrière sur mon lit, oubliant un instant la bosse sous ma blouse. Elle jeta un dernier coup d'oeil au niveau de mon entre jambe. Je décidais, comme je pouvais, de reprendre la situation en main en concluant d'un sourie malicieux :
- A toute à l'heure... Jennifer.
Elle n'en fut pas surprise, à mon grand désarroi, et je restais là penaud.
Je ne restais pas longtemps sans la voir. Elle revint pour amener enfin mon voisin au bloc. Pour manœuvrer le lourd lit, elle replia le rideau de séparation. Dos à moi, je pouvais l'observer sans complexe, surtout qu'elle était absorbée par sa tâche. Malgré une tenue aussi basique que fonctionnelle, j'arrivais à deviner ce qu'elle portait...Un fin liseré descendait du creux de ses reins jusqu'à son entre jambe. Je n’eus aucune difficulté à imaginer ce petit string. Blanc ? A dentelle ? Coordonné avec le soutien gorge ? Que de questions ! Moi qui tentait de me calmer, j'étais sur la mauvaise voix.
Le lit sortit dans le couloir. L'infirmière en chef annonça :
- Pour l'autre patient, le bloc le prend dans 40mn. Tu as ta pose quand ?
- Heu, dans 20mn et je suis toute seule pour ton étage...
Elle réfléchit un instant et rétorqua :
- Je descends celui-ci au bloc, puis je reviens chercher monsieur. Il y a de la place en bas, je le déposerai avant ma pose.
Au moment où elle finit sa phrase, son regard plongea dans le mien, intense. Drôle de façon de dire "à toute à l'heure" pensais-je.
Mon tour arrivant, mon esprit passa à autre chose le temps qu'elle revint me chercher.
- A vous !.
Je me laissais faire, jetant un dernier coup d'oeil à ma tenue pour être sûr visuellement que rien ne transparaissait. Mon excitation était retombée, mais mon sexe était encore en forme.
Dans le couloir, elle entama la conversation, sur quelques banalités. Mon travail, la nature exacte de mon intervention,... Comme elle tirait le lit, je l'avais face à moi, et nos échanges de regards ne s'interrompaient que lorsqu'elle regardait derrière elle pour se guider.
- Nous allons prendre l'ascenseur annonça-t-elle, ce sera plus rapide.
J’acquiesçais, mais en me demandant pourquoi elle voulait tant gagner du temps : je partais déjà en avance. Etait-elle pressée de prendre sa pause ?
Nous nous sommes arrêtés face à la porte de l'ascenseur. Elle remonta le lit pour appuyer sur le bouton d'appel, en laissant courir ses doigts le long de moi, puis reprit sa place.
Un bip retentit et les portes s'ouvrirent. Dans un grand fracas elle poussa mon lit. Il n'y avait pas beaucoup de place dans la cabine. Je pouvais voir la console de l'ascenseur. Ses doigts parcoururent les boutons : 4ème : bloc, 5ème bloc,... mais ils descendirent jusqu'au bouton marqué "SS".
Les portes se referment et son regard me fixe. Je ne dis rien. Certes, je suis intrigué par le bouton qu'elle a choisit, mais je ne veux pas aller conclure des choses qui ne sont que le fait de mon imagination.
Quelques instants après, la cabine s'immobilise et les portes s'ouvrent. Nous sommes effectivement au sous-sol. L'éclairage est blafard; les murs, bruts. Elle tire le lit à elle et se retrouve coincée contre le lit. L'ascenseur se referme.
Elle tend alors les bras et s'allonge de tout son long sur mes jambes tout en me regardant. Ses mains remontent sous ma chemise et ont vite fait de se poser sur mon membre. Il était à peine tendu. Elle réussit à se hisser un peu sur le lit pour mettre sa tête à son niveau.
Sa main prit mon sexe et commença à le caresser. Je le sentais se raidir alors qu'elle se mit à le gouter. D'abord, quelques coups de langues, puis elle prit mon gland entre ses lèvres. Ses doux assauts s'accélérèrent, chaque fois un peu plus profonds. Enfin, elle prit ma queue entièrement dans la bouche pendant quelques secondes. Dans la douce chaleur humide de sa bouche, sa langue poursuivit son inspection.
Ma queue faisait des va-et-viens dans sa bouche. Les yeux mi-clos, elle prenait beaucoup de plaisir à s'appliquer. Elle m'aspirait, léchait, suçait. Je n'avais plus besoin de dissimuler mon envie. Ma queue tendue disparaissait dans sa bouche. Mon plaisir montait. J'ai tenté de lui faire comprendre, même si je savais qu'elle devait l'avoir senti. Elle saisit ma main qui attrapait sa tête pour la repousser. Elle n'eut pas besoin d'insister d'avantage et je m'abandonnais en elle. Elle s'immobilisa sur ma verge pendant encore quelques secondes.
Elle abandonna mon sexe qu'elle remit sous ma chemise. Toujours avec ce sourire, elle appela l'ascenseur.
- Si nous tardons encore, nous allons être en retard... J'ai une réputation tout de même !
L'arrivée au bloc se fit sans un mot. A mon réveil, je me suis demandé un instant si j'avais rêvé. J'interrogeais sur un prétexte quelconque le personnel pour savoir si Jennifer était là. J'appris qu'elle avait quitté son service une heure avant. Je ne devais plus la revoir, mais je dois avouer que j'envisage les prochaines interventions chirurgicales sous un autre angle.
Je commençais donc à prendre mon mal en patience... 3 longues heures à attendre avant de passer au bloc ! L'infirmière revint pour prémédiquer l'autre patient, sans un mot pour moi. Sa seule attention à mon égard fut de tirer le demi rideau qui partageait le box.
Après avoir rangé mes affaires, j'endossais la tenue de papier qui était posé sur mon lit.
J'envisageais de me reposer, lorsque mon voisin commença à ronfler. Et c'était peu de le dire ! A tel point que sa toux grasse et bruyante alerta l'infirmière. Elle s'engouffra dans la pièce en laissant la porte coulissante ouverte. Je tentais de trouver dans cette situation banale quelque chose pour me divertir.
Le bout d'un brancard pointa ses roues, poussé par une infirmière. Spontanément, je posais les yeux sur cette jeune femme au teint ambré et aux yeux bleu. Elle accusa cette observation d'un joli et discret sourire. Elle disparut dans le couloir tandis que l'autre infirmière ressortait en laissant la porte légèrement ouverte afin d'écouter plus facilement l'évolution du malade.
Derrière les vitres opacifiées, je me surpris à guetter le passage des brancards. Bien souvent ce n'était qu'un homme. Mais elle repassait assez souvent.
Par l’entrebâillement de la porte, je l'observais, et visiblement, elle en faisait autant. Etait-ce un réflexe de sa part sachant que mon colocataire n'était pas très bien ? Mais en même temps, je me disais qu'un regard ne suffisait.
Je commençais à m'assoupir, bercé par son va-et-vient et le calme relatif de l'étage. Soudain, je fus tiré de mon demi-sommeil par une quinte de toux très bruyante. J'ouvris les yeux alors que l'infirmière allait s'enquérir de l'état du malade à côté de moi. Alertée par le bruit, l'autre infirmière s'est arrêtée à la hauteur de la porte. Elle observait en retrait sa collègue lorsqu'elle me vit éveillée. A nouveau, nos regards se croisèrent. Nous nous sommes souris, un brin moqueur sur les bruits atypiques émis à côté de moi. Je ne sais pas pourquoi, mais elle se pinça les lèvres et baissa le regard.
Seule, alors que sa collègue était repartie à la salle des infirmières, elle m’interrogeât :
- Ca va ? Pas trop long ? Vous passez à quelle heure ?
Sa voix douce résonnait comme une mélodie, en parfait accord avec son physique
- 12h30... C'est clair qu'il n'y a pas grand-chose à faire... Je prends mon mal en patience, après tout, il y a pire que moi, concluais-je en regardant vers ma droite.
- Oui, c'est clair.
Elle fit demi tour vers son brancard, non sans me jeter un dernier coup d'oeil brillant par dessus l'épaule.
- A toute à l'heure, conclue-t-elle.
Je repartis dans mes songes, mais cette fois, illustrés de son image. Nous étions loin du cliché de l'infirmière dans une tenue blanche sexy avec un petit bonnet sur la tête et des collants blancs ! Elle portait une tenue de bloc verte, en pantalon. Mais elle laissait deviner de délicieuses formes, parfaitement proportionnées, voire prometteuses.
Soudain, je suis pris d'un effroi. Mon imaginaire avait du être trop fort et je me rendis compte que mon corps trahissait mes pensées... Sauf que la tenue en papier dont j'étais vêtu était très légère. Je tentais de me changer les idées, mais c'était difficile tant j'étais "inspiré". Et le pire arriva...
La porte s'ouvrit sur mon infirmière. Là, j'avoue j'aurais aimé qu'elle s'occupe de l'autre patient...
- J'ai des documents à compléter avec vous.
Son regard balaya mon corps. Avait-elle vu quelque chose ? Je m'assis alors vite pour dissimuler la bosse qui apparaissait entre mes jambes. Ma spontanéité la fit sourire... ou bien autre chose. J'allais descendre du lit pour m'approcher de la tablette lorsque je me ravisa... Cela allait être pire. Je glissais alors jusqu'au pied, à quelques centimètres d'elle. J'écoutais ses explications, mais mon esprit était ailleurs. Je devais vraiment avoir l'air idiot ! Les formalités ne durèrent que quelques minutes, mais qu'elles me parurent longues ! En même temps, c'était l'occasion idéale pour m'approcher d'elle...
Je m'aidais de mes bras pour me jeter en arrière sur mon lit, oubliant un instant la bosse sous ma blouse. Elle jeta un dernier coup d'oeil au niveau de mon entre jambe. Je décidais, comme je pouvais, de reprendre la situation en main en concluant d'un sourie malicieux :
- A toute à l'heure... Jennifer.
Elle n'en fut pas surprise, à mon grand désarroi, et je restais là penaud.
Je ne restais pas longtemps sans la voir. Elle revint pour amener enfin mon voisin au bloc. Pour manœuvrer le lourd lit, elle replia le rideau de séparation. Dos à moi, je pouvais l'observer sans complexe, surtout qu'elle était absorbée par sa tâche. Malgré une tenue aussi basique que fonctionnelle, j'arrivais à deviner ce qu'elle portait...Un fin liseré descendait du creux de ses reins jusqu'à son entre jambe. Je n’eus aucune difficulté à imaginer ce petit string. Blanc ? A dentelle ? Coordonné avec le soutien gorge ? Que de questions ! Moi qui tentait de me calmer, j'étais sur la mauvaise voix.
Le lit sortit dans le couloir. L'infirmière en chef annonça :
- Pour l'autre patient, le bloc le prend dans 40mn. Tu as ta pose quand ?
- Heu, dans 20mn et je suis toute seule pour ton étage...
Elle réfléchit un instant et rétorqua :
- Je descends celui-ci au bloc, puis je reviens chercher monsieur. Il y a de la place en bas, je le déposerai avant ma pose.
Au moment où elle finit sa phrase, son regard plongea dans le mien, intense. Drôle de façon de dire "à toute à l'heure" pensais-je.
Mon tour arrivant, mon esprit passa à autre chose le temps qu'elle revint me chercher.
- A vous !.
Je me laissais faire, jetant un dernier coup d'oeil à ma tenue pour être sûr visuellement que rien ne transparaissait. Mon excitation était retombée, mais mon sexe était encore en forme.
Dans le couloir, elle entama la conversation, sur quelques banalités. Mon travail, la nature exacte de mon intervention,... Comme elle tirait le lit, je l'avais face à moi, et nos échanges de regards ne s'interrompaient que lorsqu'elle regardait derrière elle pour se guider.
- Nous allons prendre l'ascenseur annonça-t-elle, ce sera plus rapide.
J’acquiesçais, mais en me demandant pourquoi elle voulait tant gagner du temps : je partais déjà en avance. Etait-elle pressée de prendre sa pause ?
Nous nous sommes arrêtés face à la porte de l'ascenseur. Elle remonta le lit pour appuyer sur le bouton d'appel, en laissant courir ses doigts le long de moi, puis reprit sa place.
Un bip retentit et les portes s'ouvrirent. Dans un grand fracas elle poussa mon lit. Il n'y avait pas beaucoup de place dans la cabine. Je pouvais voir la console de l'ascenseur. Ses doigts parcoururent les boutons : 4ème : bloc, 5ème bloc,... mais ils descendirent jusqu'au bouton marqué "SS".
Les portes se referment et son regard me fixe. Je ne dis rien. Certes, je suis intrigué par le bouton qu'elle a choisit, mais je ne veux pas aller conclure des choses qui ne sont que le fait de mon imagination.
Quelques instants après, la cabine s'immobilise et les portes s'ouvrent. Nous sommes effectivement au sous-sol. L'éclairage est blafard; les murs, bruts. Elle tire le lit à elle et se retrouve coincée contre le lit. L'ascenseur se referme.
Elle tend alors les bras et s'allonge de tout son long sur mes jambes tout en me regardant. Ses mains remontent sous ma chemise et ont vite fait de se poser sur mon membre. Il était à peine tendu. Elle réussit à se hisser un peu sur le lit pour mettre sa tête à son niveau.
Sa main prit mon sexe et commença à le caresser. Je le sentais se raidir alors qu'elle se mit à le gouter. D'abord, quelques coups de langues, puis elle prit mon gland entre ses lèvres. Ses doux assauts s'accélérèrent, chaque fois un peu plus profonds. Enfin, elle prit ma queue entièrement dans la bouche pendant quelques secondes. Dans la douce chaleur humide de sa bouche, sa langue poursuivit son inspection.
Ma queue faisait des va-et-viens dans sa bouche. Les yeux mi-clos, elle prenait beaucoup de plaisir à s'appliquer. Elle m'aspirait, léchait, suçait. Je n'avais plus besoin de dissimuler mon envie. Ma queue tendue disparaissait dans sa bouche. Mon plaisir montait. J'ai tenté de lui faire comprendre, même si je savais qu'elle devait l'avoir senti. Elle saisit ma main qui attrapait sa tête pour la repousser. Elle n'eut pas besoin d'insister d'avantage et je m'abandonnais en elle. Elle s'immobilisa sur ma verge pendant encore quelques secondes.
Elle abandonna mon sexe qu'elle remit sous ma chemise. Toujours avec ce sourire, elle appela l'ascenseur.
- Si nous tardons encore, nous allons être en retard... J'ai une réputation tout de même !
L'arrivée au bloc se fit sans un mot. A mon réveil, je me suis demandé un instant si j'avais rêvé. J'interrogeais sur un prétexte quelconque le personnel pour savoir si Jennifer était là. J'appris qu'elle avait quitté son service une heure avant. Je ne devais plus la revoir, mais je dois avouer que j'envisage les prochaines interventions chirurgicales sous un autre angle.
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