Une première fois inoubliable...
Récit érotique écrit par Christy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2009 dans la catégorie Pour la première fois
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Une première fois inoubliable...
Salut à tous,
Je m’appelle Chris et je suis étudiant. J’ai 20 ans, assez beau garçon, sans non plus être un canon de beauté à la Brad Pitt. L’histoire que je vais vous racontez s’est passée il y a environ deux semaines maintenant. Cette histoire relate en fait ma toute première expérience sexuelle. Et oui, je sais, c’est un peu tard mais à 20 ans, j’étais toujours puceau. Mais grâce au ciel, en tous cas, grâce à mon amie Stéphanie j’ai enfin découvert les plaisirs du sexe. En y repensant, je me demande encore comment j’ai pu vivre sans. Enfin bref, là n’est pas la question.
Il y a deux semaines, je me suis rendu chez des amis pour fêter la fin de leurs examens. Comme vous vous en doutez, à notre âge, la fête allait encore être mémorable, l’alcool coulerait à flot, sans parler de mon autre amie préférée Marie Juana.
Et bien oui, la fête se passaient tranquillement, nous étions tous ivre de joie, mais moi j’étais surtout avide de sexe. Il y avait d’ailleurs une fille que j’essayais de broncher depuis le début de la soirée mais elle ne semblait pas être réceptive à mes signaux.
Je décidais donc de lâcher l’affaire et pour être franc, l’alcool commençait à faire son effet. Je décidais donc de me retirer dans une chambre afin de me reposer un peu.
Sauf qu’en entrant et en m’allongeant sur le lit, je ne me suis pas rendu compte que
Stéphanie était au téléphone avec son petit ami, dans une nième dispute comme les jeunes couples passionnés aiment tant le faire. Au moment où je commençais à m’en aller, elle me dit que je pouvais rester. Elle venait de raccrocher et semble t il avait besoin de réconfort.
Comme tout bon ami qui se respecte je l’écoutais s’épancher sur ses problèmes qui pour changer n’étaient que broutilles mais qui cependant semblaient l’avoir perturbé puisque sans crier garde, elle se mit à pleurer. Je l’ai prise donc dans mes bras pour la consoler et sans un mot elle se mit à m’embrasser. Je commençais à avoir un geste de recul, lui demandant ce qu’elle faisait, et lui disant qu’on ne devrait pas, que c’était parce qu’elle était contrarié et qu’elle risquerait de le regretter, mais au moment où je commençais à partir, elle me devança et fermi la porte à clé. Dans mon état, et avec une libido qui ne demandait qu’à être expulsé, il était au dessus de mes forces de la repousser, surtout qu’elle me redonna un baisé que cette fois ci je n’ai pas su repousser.
Nous échangeâmes donc un baisé passionné pendant environ 5 minutes et déjà je sentais mon sexe se dresser comme jamais auparavant. Je commençai d’ailleurs à avoir très mal. Ma bite enfermée dans un boxer et un pantalon de plus en plus serré à cause de cette excitation incontrôlable. Stéphanie, qui me sentait durcir de plus en plus, me libéra enfin de cette torture en déboutonnant un à un la fermeture de mon pantalon. Elle fit descendre mon jean sur mes genoux, retira mon boxer et libéra enfin de sa prison mon sexe. Elle commençait par me branler doucement d’abord, puis plus rapidement, alternant les vitesses, et pour couronner le tout, elle ajouta à cette voluptueuse masturbation une magistrale fellation. Elle jouait avec mon gland, elle me sucer de plus en plus en vite, augmentant le désir en moi, et je luis disait de ne pas aller si vite car je n’avais jamais eu de relation sexuelle et qu’à ce rythme j’allais décharger d’un coup. Mais elle ne semblait pas broncher et continua à me pomper de plus en plus vite, de plus en plus profondément, et plus elle continuait, plus je me sentis défaillir, je lui disais « Stéphanie arête je vais venir, retire toi vite » mais elle n’a pas bougé d’un poil et sans plus attendre je me suis décharger dans sa bouche dans un long râle de jouissance. 5 ou 6 jets sortirent de ma bite et elle avait tout avalé.
Ce fut tellement bon, jamais je n’avais jouis comme ca jusqu’à présent que je tombais en arrière sur le lit.
Essayons de reprendre mon souffle et de récupérer un peu, je déshabillais Stéphanie car je voulais lui rendre la pareille. Je dégrafais donc son soutien gorge qui dissimuler une poitrine à faire damné un saint et j’arrivais enfin à son jolie petit minou, finement rasé, sans un poil qui ne demandait qu’à être brouter. Et quel broutage. Etant un novice en la matière, je la laissais me guider. J’introduisis d’abord un doigt, puis un deuxième et déjà un peu de mouille suinter de ces magnifiques lèvres. Sans plus attendre, je lui mangeais la chatte et c’étais délicieux. Je faisais comme si je lui roulais une pelle et il semblait qu’elle aimait ca. Elle gémissait, me suppléant de rentrer ma langue encore plus profondément, ce qui était assez surprenant elle qui a priori semblait si réservé à l’extérieur. Elle me hurlait des mots salaces, du genre « tu aimes ça mon salop, vas y, bouffe moi la chatte, plus fort, plus fort oui, ouii, ouiii… » Et sans prévenir, elle se mit à jouir. C’était la première fois que je voyais une fille jouir et j’étais assez surpris. Surpris, mais plus que jamais excité. Très vite, ma bite était de nouveau au Zénith et je n‘avais qu‘une seule envie dorénavant c‘était de m‘introduire dans sa chatte.
Sans la prévenir, je sortis une capote de mon portefeuille et je la pénétrais. C’était bon et chaud. Je sentais ses muscles se contracter au rythme de mes vas et viens et c’était exquis. J’alternais les mouvements, d’abord lent, puis de plus en plus rapide, pour revenir à des mouvements plus lents. Je voulais faire durer le plaisir, et il semblait qu’elle aimait ça. Mais très vite, ce petit manège la rendait folle, elle me retourna donc sur le dos et c’est elle qui donnait la cadence. Elle me faisait l’amour, elle me prenait la salope, elle allait et venait, de plus en plus rapidement, et d’un coup elle s’écria « ouiiiii !!!! » Elle venait de jouir pour la seconde fois. Elle se retira me disant quelle voulait que je jouisse dans son cul. Je croyais rêver. Non seulement c’était ma première fois, mais en plus j’allais aussi sodomiser une fille pour la première fois. Je commençais à lui dilater l’anus mais elle me dit qu’elle voulait être prise à sec. Je m’apprêtais donc à la pénétrais, mais elle me demanda de retirer mon préservatif. Je sais qu’en principe il ne faut pas prendre de danger, mais dans le feu de l’action, je n’ai pas réfléchis une seconde de plus et j’ai retiré la capote. Je l’ai prise donc d’un coup sec. Elle poussa un petit cri de douleur, en m’insultant d’un bref « connard! » mais ceci m’excita d’avantage. Je l’enculais donc encore plus sauvagement, tout en la doigtant, et elle criait, elle criait, si fort que j’avais peur qu’on nous entende. Je plaçais donc mes mains sur sa bouche pour étouffer ses cris, mais ensuite, c’est moi qui hurlais mon plaisir. Sentir son sphincter se contracter sur ma bite, qui la culbutais de mes 18 cm de long, j’allais en elle de plus en plus en vite, dans ce petit orifice serré qui me donnait tant de jouissance, elle criait, je rentrais encore plus en profondeur, et dans un grand râle nous avons jouis comme des bêtes.
Pour la troisième fois elle inondait les draps de sa mouille. Et moi je me déchargeais de 4 ou 5 jets dans son cul. Je me suis écroulé sur elle, ma bite toujours au fond de son anus jusqu’au moment où je débandais, et qu’il sortit de lui-même.
Pour une première fois, je dois dire qu’elle fut grandiose et je remercie encore mon amie Stéphanie pour m’avoir ouvert les portes de ce fabuleux monde du sexe. Depuis, je n’arrête pas de me branler en repensant à cette histoire. J’aurai aimé continuer avec elle mais bon, elle m’a dit que c’était une erreur, que c’était parce que son copain lui manquait, mais peu importe, c’est peut être mieux comme ça, et puis au moins, cette nuit restera pour moi encore plus intense. Merci encore Stéphanie pour ce merveilleux cadeau…
Je m’appelle Chris et je suis étudiant. J’ai 20 ans, assez beau garçon, sans non plus être un canon de beauté à la Brad Pitt. L’histoire que je vais vous racontez s’est passée il y a environ deux semaines maintenant. Cette histoire relate en fait ma toute première expérience sexuelle. Et oui, je sais, c’est un peu tard mais à 20 ans, j’étais toujours puceau. Mais grâce au ciel, en tous cas, grâce à mon amie Stéphanie j’ai enfin découvert les plaisirs du sexe. En y repensant, je me demande encore comment j’ai pu vivre sans. Enfin bref, là n’est pas la question.
Il y a deux semaines, je me suis rendu chez des amis pour fêter la fin de leurs examens. Comme vous vous en doutez, à notre âge, la fête allait encore être mémorable, l’alcool coulerait à flot, sans parler de mon autre amie préférée Marie Juana.
Et bien oui, la fête se passaient tranquillement, nous étions tous ivre de joie, mais moi j’étais surtout avide de sexe. Il y avait d’ailleurs une fille que j’essayais de broncher depuis le début de la soirée mais elle ne semblait pas être réceptive à mes signaux.
Je décidais donc de lâcher l’affaire et pour être franc, l’alcool commençait à faire son effet. Je décidais donc de me retirer dans une chambre afin de me reposer un peu.
Sauf qu’en entrant et en m’allongeant sur le lit, je ne me suis pas rendu compte que
Stéphanie était au téléphone avec son petit ami, dans une nième dispute comme les jeunes couples passionnés aiment tant le faire. Au moment où je commençais à m’en aller, elle me dit que je pouvais rester. Elle venait de raccrocher et semble t il avait besoin de réconfort.
Comme tout bon ami qui se respecte je l’écoutais s’épancher sur ses problèmes qui pour changer n’étaient que broutilles mais qui cependant semblaient l’avoir perturbé puisque sans crier garde, elle se mit à pleurer. Je l’ai prise donc dans mes bras pour la consoler et sans un mot elle se mit à m’embrasser. Je commençais à avoir un geste de recul, lui demandant ce qu’elle faisait, et lui disant qu’on ne devrait pas, que c’était parce qu’elle était contrarié et qu’elle risquerait de le regretter, mais au moment où je commençais à partir, elle me devança et fermi la porte à clé. Dans mon état, et avec une libido qui ne demandait qu’à être expulsé, il était au dessus de mes forces de la repousser, surtout qu’elle me redonna un baisé que cette fois ci je n’ai pas su repousser.
Nous échangeâmes donc un baisé passionné pendant environ 5 minutes et déjà je sentais mon sexe se dresser comme jamais auparavant. Je commençai d’ailleurs à avoir très mal. Ma bite enfermée dans un boxer et un pantalon de plus en plus serré à cause de cette excitation incontrôlable. Stéphanie, qui me sentait durcir de plus en plus, me libéra enfin de cette torture en déboutonnant un à un la fermeture de mon pantalon. Elle fit descendre mon jean sur mes genoux, retira mon boxer et libéra enfin de sa prison mon sexe. Elle commençait par me branler doucement d’abord, puis plus rapidement, alternant les vitesses, et pour couronner le tout, elle ajouta à cette voluptueuse masturbation une magistrale fellation. Elle jouait avec mon gland, elle me sucer de plus en plus en vite, augmentant le désir en moi, et je luis disait de ne pas aller si vite car je n’avais jamais eu de relation sexuelle et qu’à ce rythme j’allais décharger d’un coup. Mais elle ne semblait pas broncher et continua à me pomper de plus en plus vite, de plus en plus profondément, et plus elle continuait, plus je me sentis défaillir, je lui disais « Stéphanie arête je vais venir, retire toi vite » mais elle n’a pas bougé d’un poil et sans plus attendre je me suis décharger dans sa bouche dans un long râle de jouissance. 5 ou 6 jets sortirent de ma bite et elle avait tout avalé.
Ce fut tellement bon, jamais je n’avais jouis comme ca jusqu’à présent que je tombais en arrière sur le lit.
Essayons de reprendre mon souffle et de récupérer un peu, je déshabillais Stéphanie car je voulais lui rendre la pareille. Je dégrafais donc son soutien gorge qui dissimuler une poitrine à faire damné un saint et j’arrivais enfin à son jolie petit minou, finement rasé, sans un poil qui ne demandait qu’à être brouter. Et quel broutage. Etant un novice en la matière, je la laissais me guider. J’introduisis d’abord un doigt, puis un deuxième et déjà un peu de mouille suinter de ces magnifiques lèvres. Sans plus attendre, je lui mangeais la chatte et c’étais délicieux. Je faisais comme si je lui roulais une pelle et il semblait qu’elle aimait ca. Elle gémissait, me suppléant de rentrer ma langue encore plus profondément, ce qui était assez surprenant elle qui a priori semblait si réservé à l’extérieur. Elle me hurlait des mots salaces, du genre « tu aimes ça mon salop, vas y, bouffe moi la chatte, plus fort, plus fort oui, ouii, ouiii… » Et sans prévenir, elle se mit à jouir. C’était la première fois que je voyais une fille jouir et j’étais assez surpris. Surpris, mais plus que jamais excité. Très vite, ma bite était de nouveau au Zénith et je n‘avais qu‘une seule envie dorénavant c‘était de m‘introduire dans sa chatte.
Sans la prévenir, je sortis une capote de mon portefeuille et je la pénétrais. C’était bon et chaud. Je sentais ses muscles se contracter au rythme de mes vas et viens et c’était exquis. J’alternais les mouvements, d’abord lent, puis de plus en plus rapide, pour revenir à des mouvements plus lents. Je voulais faire durer le plaisir, et il semblait qu’elle aimait ça. Mais très vite, ce petit manège la rendait folle, elle me retourna donc sur le dos et c’est elle qui donnait la cadence. Elle me faisait l’amour, elle me prenait la salope, elle allait et venait, de plus en plus rapidement, et d’un coup elle s’écria « ouiiiii !!!! » Elle venait de jouir pour la seconde fois. Elle se retira me disant quelle voulait que je jouisse dans son cul. Je croyais rêver. Non seulement c’était ma première fois, mais en plus j’allais aussi sodomiser une fille pour la première fois. Je commençais à lui dilater l’anus mais elle me dit qu’elle voulait être prise à sec. Je m’apprêtais donc à la pénétrais, mais elle me demanda de retirer mon préservatif. Je sais qu’en principe il ne faut pas prendre de danger, mais dans le feu de l’action, je n’ai pas réfléchis une seconde de plus et j’ai retiré la capote. Je l’ai prise donc d’un coup sec. Elle poussa un petit cri de douleur, en m’insultant d’un bref « connard! » mais ceci m’excita d’avantage. Je l’enculais donc encore plus sauvagement, tout en la doigtant, et elle criait, elle criait, si fort que j’avais peur qu’on nous entende. Je plaçais donc mes mains sur sa bouche pour étouffer ses cris, mais ensuite, c’est moi qui hurlais mon plaisir. Sentir son sphincter se contracter sur ma bite, qui la culbutais de mes 18 cm de long, j’allais en elle de plus en plus en vite, dans ce petit orifice serré qui me donnait tant de jouissance, elle criait, je rentrais encore plus en profondeur, et dans un grand râle nous avons jouis comme des bêtes.
Pour la troisième fois elle inondait les draps de sa mouille. Et moi je me déchargeais de 4 ou 5 jets dans son cul. Je me suis écroulé sur elle, ma bite toujours au fond de son anus jusqu’au moment où je débandais, et qu’il sortit de lui-même.
Pour une première fois, je dois dire qu’elle fut grandiose et je remercie encore mon amie Stéphanie pour m’avoir ouvert les portes de ce fabuleux monde du sexe. Depuis, je n’arrête pas de me branler en repensant à cette histoire. J’aurai aimé continuer avec elle mais bon, elle m’a dit que c’était une erreur, que c’était parce que son copain lui manquait, mais peu importe, c’est peut être mieux comme ça, et puis au moins, cette nuit restera pour moi encore plus intense. Merci encore Stéphanie pour ce merveilleux cadeau…
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